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n° 15155Fiche technique26335 caractères26335
Temps de lecture estimé : 16 mn
12/09/12
Résumé:  Kris reçoit un homme à la maison pour m'offrir un petit spectacle...
Critères:  fh couple extracon cocus voir exhib fmast hmast fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo -totalsexe -cocucont
Auteur : Kristal      Envoi mini-message
Kris mène le jeu...



Les semaines et les mois passent… Je ne vous décrirai plus Kris, mon épouse dont je reste éperdument amoureux au fil des ans. Elle porte toujours avec le même charme, la même grâce, la même sensualité, sa quarantaine épanouie ! Ajoutés aux miens, les regards des hommes – voire des femmes – qui la croisent ne font que confirmer que sa silhouette, sa démarche, son sourire, s’ils prennent doucement un peu d’âge, sont toujours sources d’envies et de fantasmes très… charnels.


Quant à nos jeux libertins, ils progressent dans un climat de confiance réciproque qui nous offre des sensations toujours plus variées. Après avoir savouré les multiples plaisirs du triolisme, du mélangisme et de l’échangisme, notre imagination – celle de Kris en particulier – nous amène à expérimenter des situations nouvelles.


Et, dans ce domaine, Kris fait preuve de beaucoup d’inventivité ! Son petit penchant pour l’exhibitionnisme nous a poussés, à plusieurs reprises, à faire l’amour sous le regard de voyeurs divers et variés. Connaissant le plaisir que je prends à la contempler ainsi dans ses ébats, elle vient de me proposer un nouveau jeu… Elle voudrait s’offrir à un homme qu’elle aurait « dragué » elle-même, ramené chez nous, hors ma présence. Sauf que je serai tranquillement installé dans mon bureau, devant l’écran de mon PC, une webcam branchée dans notre salon afin d’être témoin de ces jeux, de pouvoir les enregistrer à l’insu de son partenaire. Elle est persuadée, par ailleurs, que son amant d’un soir sera plus « libéré » sans ma présence, car non libertin, et d’autre part elle devrait être encore plus excitée de savoir que je l’admire en cachette…


En ce qui me concerne, jouer les cocus-voyeurs me convient parfaitement puisqu’il ne s’agit que d’un jeu nouveau qui devrait être particulièrement excitant.


Elle est partie en chasse ! Sa traque ne fut pas très longue, ce qui se comprend aisément lorsqu’on connaît Kris, sa silhouette, ses seins arrogants, ses jambes, ses cuisses fermes et galbées, son sourire coquin, son regard de braise… Un après-midi, mon téléphone portable m’annonça la nouvelle : le soir même, à la sortie de son travail, Kris ne rentrerait pas seule. De plus, je connaissais sa « victime », un commerçant qui la draguait discrètement depuis un certain temps et qui ne lui était pas indifférent. Au point que nous en avions déjà parlé tous les deux. D’origine italienne, il portait un prénom surprenant autant qu’amusant :



Il ne me restait qu’à prendre mes dispositions pour que tout puisse se dérouler comme nous l’avions envisagé. Je disposais de suffisamment de temps pour préparer son retour, sachant qu’elle n’arriverait pas avant minuit, au moins. Le matériel installé, vérifié, je fis une petite provision de boissons, de petites choses à grignoter afin de profiter pleinement de mon séjour enfermé dans mon bureau. Pour l’invité de Kris, je devais être en déplacement en région parisienne et ne rentrer que le lendemain soir, ce qui leur éviterait toute mauvaise surprise… Il ne me restait plus qu’à attendre, confortablement installé, avec pour seul soucis, celui d’éviter de faire le moindre bruit, de tousser ou éternuer, bien que Kris ait prévu de mettre un peu de musique afin d’amoindrir ces risques.


Enfin, un léger crissement de pneus, une clef dans la porte, des voix… et la lumière du salon vint éclairer mon écran, sur lequel j’apercevais Kris refermant la porte, un homme de dos derrière elle ! Une brusque montée d’adrénaline me fit frémir. Cette fois, j’allais enfin assister en direct à la débauche de mon amour ! Restait à savoir si l’invité de mon amour oserait faire le premier pas et dans quelles conditions car Kris s’était contentée de lui proposer un dernier verre à la maison, sans pour autant lui laisser entendre qu’elle s’abandonnerait à lui dès ce premier soir…


Connaissant Kris, j’étais persuadé qu’elle n’avait pas l’intention de lui sauter dessus, aimant trop les jeux de séduction assez… softs, et adorant profiter de l’excitation de ces moments. D’ailleurs elle se comporta immédiatement en hôtesse attentionnée :



Elle le remercia d’un large sourire, posa deux verres sur la table basse, versa le liquide doré sur les glaçons puis se laissa tomber dans le canapé en soupirant :



Étouffant un petit rire, elle plongea son regard dans celui de son invité avec une expression qui semblait largement contredire ses paroles. Elle saisit son verre, se pencha en avant, le fit tinter légèrement contre celui de Fortune puis se laissa aller en arrière dans le profond canapé. Si profond que son geste fit remonter largement sa jupe, offrant au regard de l’homme le galbe de deux cuisses fermes, ornées de bas dont la large bande de dentelle augmentait encore la sensualité.



Enfin, sur mon écran je le vis se lever, s’approcher de Kris, se pencher sur elle et poser les lèvres sur les siennes… Kris, adossée dans le canapé, ne pouvait pas échapper à ce baiser inattendu (le voulait-elle ?). Elle ne résista pas, ses lèvres s’entrouvrirent, leurs langues se mêlèrent, le baiser devint sauvage, ardent… tandis que la main droite de Fortune venait se poser sur la cuisse dénudée de mon amour, glissant lentement jusque sur la chair souple et douce, au-dessus de la dentelle des bas, remontant jusque sur la hanche en entraînant le tissu de la jupe. Mon écran m’offrait maintenant les jambes de Kris, son pubis encore voilé par la dentelle d’un joli tanga sombre, et cette main étrangère qui caressait la peau découverte. Leur baiser s’éternisait, Kris se cambra comme pour s’offrir plus encore à la caresse, ses genoux s’écartèrent légèrement.


Un petit « clic » de souris, efficace et obéissant, mon ordi immortalisa la scène.


Malgré nos maintenant nombreuses expériences libertines, j’avoue que de voir mon épouse seule avec un autre partenaire m’excitait énormément et me faisait bander comme rarement ! Les doigts de l’homme frôlèrent le fin tissu, dernier rempart de l’intimité que je devinais désormais bouleversée, humide de désir. Un long frémissement secoua Kris qui s’arracha au baiser brûlant en gémissant :



Les dernières paroles de Kris furent comme un signal pour son agresseur qui, toujours penché au-dessus d’elle, posa les doigts sur le bord du chemisier de mon épouse. Les boutons ne résistèrent pas plus que Kris, le tissu s’écarta, libérant deux seins nus, gonflés de désir, aux pointes dressées fièrement. Deux paumes enveloppèrent les globes fermes et tièdes en une lente caresse qui fit gémir mon ange.



Cette fois, Kris déclenchait les hostilités ! Offerte aux caresses de son partenaire, les yeux clos, elle laissa la bouche avide de Fortune dévorer ses seins, en aspirer les pointes turgescentes. Elle frémit à nouveau lorsque la main curieuse atteignit son pubis, glissant entre le tissu et la peau pour s’insinuer lentement dans sa fente humide, brûlante. Un léger cri lui échappa lorsqu’un doigt habile frôla la petite perle de chair sensible, nichée entre les lèvres gonflées. Le ventre en avant, le torse bombé, les jambes ouvertes, Kris s’abandonna aux caresses.

Sentant naître en elle la grande vague du plaisir qui allait l’emporter elle gémit :



Fortune se laissa tomber à genoux devant sa proie, ses mains remontèrent sur les cuisses offertes, saisirent le tissu qui ceignait les hanches de Kris et l’entraînèrent vers le bas, dénudant un fin petit triangle de poils bruns soigneusement taillés, deux lèvres brillantes et humides. Il se pencha en avant, effleurant le sexe en feu du bout de la langue. Kris ne put retenir un cri et s’ouvrit largement, passant ses jambes sur les épaules de son compagnon pour lui permettre de plonger au creux de son intimité bouleversée, béante, indécente.


Cette fois, ce ne fut pas un simple « clic » de ma souris entre mes doigts mais le démarrage de l’enregistrement. Désormais mon ordi allait conserver ces images torrides que je pourrais revoir tout à loisir avec mon amour… Mon amour qui maintenant se laissait dévorer en poussant de petits cris annonciateurs d’un plaisir brutal. À croire que le biais de la caméra, le choix de Kris dans sa position étaient exceptionnels car je pouvais désormais contempler les deux amants de manière parfaite. Au point que je vis Fortune écarter encore un peu les cuisses de mon amour, sa langue descendre encore pour lécher lentement, agacer d’une pointe audacieuse la fleur plissée et secrète de Kris. Humidifiée de salive, celle-ci ne résista pas à la pression d’un doigt curieux qui disparut progressivement dans l’anus palpitant tandis que deux autres doigts s’insinuaient dans la grotte juteuse pour pincer doucement le clitoris exacerbé. Kris se tordait sous la double caresse. Fortune accéléra ses va-et-vient, son majeur rejoint par un complice dans les reins féminins qu’il dilata longuement.



Un véritable hurlement échappa à Kris lorsque l’orgasme la foudroya ! Son agresseur laissa son corps s’apaiser, sa respiration retrouver son rythme tout en couvrant le corps abandonné de longues et douces caresses. Puis il se redressa, emplit leurs verres. Lorsque Kris rouvrit les yeux, s’ébroua, il lui tendit gentiment le sien, un grand sourire aux lèvres.



Je vis Kris se pencher en avant, poser les mains sur la ceinture de son amant… et apparaître une splendide tige de chair dressée dont les doigts de mon épouse effleurèrent lentement la raideur prometteuse.



Ce sont maintenant les lèvres de Kris qui effleurent le sexe tendu puis qui s’ourlent autour du gland brillant. Et je vois le mât viril disparaître lentement, envahissant la gorge de mon amour qui entame un lent va-et-vient, recrachant l’énorme pieu pour mieux l’emboucher à nouveau, dans une caresse gourmande. Une main sur les fesses de Fortune pour le maintenir contre elle, elle caresse de l’autre les bourses lourdes et pleines, glisse un doigt plus bas pour agacer l’anus de sa victime qui gémit, tressaille puis se tend brutalement en avant, laissant échapper un râle quand Kris enfonce brusquement un doigt dans le cul masculin, déclenchant une série de spasmes et l’explosion du plaisir mâle. Je peux deviner les longs jets crémeux qui inondent la gorge de Kris en la voyant déglutir, se régaler de la semence tiède.


Libérant son amant, elle suçota quelques secondes le gland, nettoyant à petits coups de langue toute trace de jouissance puis avec un radieux sourire, elle releva le visage vers lui :




Le mari ! S’il savait que je suis aux premières loges pour admirer mon « cocufiage » programmé et que je bande comme un fou en les regardant s’éclater ! C’est Kris qui reprit l’initiative. Adossée profondément dans le canapé, elle prit ses seins à deux mains, caressant les globes soyeux, agaçant les pointes turgescentes tout en regardant fixement son amant d’un soir. L’une de ses mains glissa sur son ventre, vint se poser entre ses cuisses. D’un doigt nerveux, elle frôla les lèvres de son sexe, impudique et perverse, elle se laissa aller à une longue caresse, offrant à Fortune la vision de sa féminité avide de jouissance !


Mon concurrent, excité par ce nouveau jeu, ôta rapidement ses vêtements pour apparaître nu lui aussi, son sexe reprenant vigueur devant ce spectacle d’un érotisme démentiel. Debout face à elle, il se masturbait lentement, les yeux rivés sur la main de Kris qui coulissait dans son intimité ruisselante. Très vite, la tige entre ses doigts reprit des proportions inquiétantes, longue, large et semblant dure comme du bois, surmontée du gland enflé et luisant, gros comme une balle de golf… De derrière mon bureau, j’imaginais déjà le lent parcours de cette colonne de chair s’enfonçant dans le ventre de mon épouse et mon excitation monta d’un cran encore ! Je n’ai pas résisté à l’envie de me caresser aussi en admirant les deux acteurs de mon plus beau film.


Les deux amants se caressaient toujours, les yeux dans les yeux, on sentait monter leur excitation puis l’homme s’agenouilla entre les jambes ouvertes de Kris qui glissa un peu en avant, leurs sexes se frôlèrent. Fortune saisit Kris par les hanches, l’attirant doucement vers lui. Mon épouse saisit la queue de son partenaire, la guida entre les lèvres brûlantes et se laissa embrocher lentement, profondément.



Il allait et venait lentement, se retirant presque entièrement pour mieux s’enfoncer d’un coup de reins tout en torturant les seins offerts, les jambes de Kris posées sur ses épaules. Elle se tordait en gémissant sous les assauts virils, pleine de cette barre d’acier qui la fouillait profondément, l’emplissait totalement, dilatant ses chairs. Bientôt le rythme s’accéléra. Fortune prit les chevilles de Kris, lui relevant les jambes, l’écartelant pour la labourer à grands coups de reins. Sur mon écran, le pieu de chair apparaissait, luisant de mouille pour disparaître brutalement, totalement au fond du ventre de mon amour qui tremblait sous les coups de boutoir, les yeux révulsés, la bouche grande ouverte.



D’un ultime et puissant coup de reins, il explosa au plus profond du corps abandonné, inondant les chairs de longues et brutales coulées de sève brûlante tandis que Kris, tendue comme un arc, se mit à hurler en jouissant. Ils restèrent un moment enlacés, Fortune la joue posée sur les seins de Kris, retrouvant lentement leur souffle et leurs esprits. Puis Kris se redressa.



Kris disparut de mon écran, ses pas firent craquer les marches d’escalier et un grattement à la porte du bureau m’alerta. J’ouvris la porte, me retrouvais face au sourire radieux de mon amour.



Nous avons échangé un long baiser avant que Kris ne m’abandonne à nouveau pour sauter sous la douche. Quelques minutes plus tard, elle descendit et les pas de son amant résonnèrent dans l’escalier. Il prit rapidement une douche lui aussi puis la rejoignit. Assis nus tous les deux, ils prirent un verre tout en se caressant mutuellement.



Moi aussi je riais mentalement. Tout en contemplant le couple infidèle, j’allumai une cigarette, me versai un verre. Pendant quelques instants mon écran resta calme, les tourtereaux étant sages. Bien que…


Kris avait posé la tête sur l’épaule de Fortune, le bras de l’homme derrière ses épaules et sa main effleurant un sein nu. Ma souris soupira en même temps que mon épouse dont la pointe d’un sein s’érigea sous une caresse plus précise… L’ordi ronronnait à nouveau en position d’enregistrement, prêt à capturer la suite des événements, comme les lèvres masculines capturèrent le sein de Kris. Ma cigarette écrasée, j’avais sous les yeux le corps de mon amour, une bouche mordillant ses seins, une main mâle s’agitant doucement entre ses cuisses tandis que les doigts féminins retrouvaient une belle hampe déjà redressée.


Kris échappa à son agresseur, s’agenouilla sur le canapé puis pencha son visage vers le sexe qu’elle tenait toujours en main. Ses lèvres reprirent possession de la tige de son amant tandis qu’une main de celui-ci caressait sa poitrine qui se balançait sous elle au rythme de l’ardente fellation. Son autre main descendit de ses épaules sur son dos, vers la croupe cambrée pour masser les fesses rondes avant de s’insinuer entre les globes fermes. La bouche pleine, Kris ne put que gémir lorsque les doigts agiles entamèrent une course lente, de son pubis jusqu’à son anus, s’attardant à loisir sur la rondelle plissée. Mon amour sursauta légèrement, ses reins se cambrèrent un peu plus, semblant aller au-devant d’un nouveau plaisir. Un long soupir lui échappa tandis qu’elle s’empalait sur la main de son amant dont le majeur s’enfonça au plus profond d’elle. Ses lèvres aspiraient le sexe de l’homme avec une nouvelle voracité.



Il se redressa puis vint se placer derrière mon ange, toujours à genoux sur le canapé. Il saisit ses hanches et, sans préambules, s’enfonça jusqu’à la garde dans le ventre brûlant. Il se mit à la besogner avec ardeur, à grands coups de reins, la faisant basculer en avant sous ses poussées puissantes.



Maintenant Kris ahanait sous les coups de boutoirs, prononçant des mots sans suite. Son amant continuait à s’enfoncer régulièrement en elle. Les deux mains sur ses fesses, il écarta les globes de chair et son pouce appuya sur son anus. Je vis distinctement le doigt dilater la rondelle plissée puis s’y glisser sans ménagements, arrachant un nouveau cri à mon épouse. Il fit encore quelques va-et-vient. Il se retira et son gland lubrifié par les sucs de Kris vint se frotter sur la rondelle abandonnée par son pouce.



Voir mon amour défoncée, se tordre autour de l’énorme pieu qui vrillait maintenant son cul, m’excitait tellement que je ne pus m’empêcher de me branler aussi. L’homme la sodomisait lentement, puissamment, s’enfonçant entièrement dans les reins de Kris qui se mit à crier :



Un long cri échappa à Kris quand la jouissance la submergea, quand les jets bouillants inondèrent ses reins. Et moi je jouis aussi, seul devant mon écran !