n° 15160 | Fiche technique | 18011 caractères | 18011Temps de lecture estimé : 11 mn | 18/09/12 |
Résumé: Un déjeuner qui met à mal ma faculté à contrôler ma libido | ||||
Critères: fffh copains fellation -hfff | ||||
Auteur : Roland C (roland.cha@voila.fr) Envoi mini-message |
Marié à une superbe jeune femme, je ne pensais pas que ma vie pourrait être plus parfaite. Et surtout, je pensais les folles aventures dont, pour certaines, vous avez pu lire les récits sur site, loin derrière moi. Je me trompais lourdement comme vous allez le découvrir dans les péripéties que je vais vous conter.
La première de ces péripéties se déroule, il y a à peu près deux ans, pendant la période estivale. Cela faisait un an qu’Apolline et moi-même étions mariés et les difficultés inhérentes aux circonstances de notre mariage avaient fini par être vaincues par la naissance d’un véritable sentiment d’amour. Je filais donc le parfait amour avec ma superbe camerounaise. Du coup notre vie sociale en couple se portait bien mieux. C’est donc au milieu de l’été que nous nous sommes décidés à inviter nos amies Noriko et Aïcha à déjeuner, un dimanche midi.
Les circonstances dans lesquelles j’avais rencontré Noriko étaient particulièrement rocambolesques. En effet, Noriko est une magnifique eurasienne avec laquelle, avant de rencontrer ma femme, j’avais eu l’occasion de tourner un film pornographique amateur. Après le tournage, je suis rapidement devenu ami avec Noriko et sa compagne Aïcha. Une fois marié, j’ai continué à fréquenter le couple de jeunes femmes et des liens d’amitiés n’ont pas tardé à se créer entre elles et ma femme.
Nous avions donc invité nos amies à déjeuner. La journée s’annonçait des plus chaudes et des plus ensoleillées, ce qui n’était pas pour me déplaire. Comme tout le monde, j’aime les journées ensoleillées et je les aime d’autant plus que, généralement, leur chaleur pousse mon épouse à porter des tenues plutôt légères. Ce jour-là, Apolline portait une robe d’été de couleur bleu-ciel, très courte et assez légère pour laisser deviner ses formes. Des formes encadrées par ses longues nattes afro tombant jusqu’au bas de son dos. En dessous de sa robe, je savais qu’Apolline ne portait qu’un soutien-gorge, indispensable pour soutenir son opulente poitrine. Pour parachever le tout, tandis qu’elle cuisinait, elle se dandinait au son de la radio en chantonnant. La voir se déhancher et bouger sa chute de reins plus que généreuse, me donnait de véritables difficultés à me concentrer sur les préparatifs du repas. Pour tout dire, je commençais à avoir chaud et à sentir venir une érection monstrueuse. C’est au moment où, hypnotisé par les déhanchements de mon épouse, j’envisageai plus que fortement une partie de jambes en l’air que la sonnette de l’appartement retentit.
Avant d’aller ouvrir la porte, je pris un instant pour reprendre mon sang-froid et calmer mon excitation naissante, ce dont Apolline se rendit compte. Elle s’adressa à moi avec un sourire coquin, car elle n’ignorait rien de l’effet qu’elle me faisait :
Arrivé à la porte, j’avais quelque peu réussi à reprendre mes esprits. Le spectacle qui s’offrit à moi à l’ouverture de la porte me fit perdre tout espoir de retour au calme. Je me retrouvai face à Noriko et Aïcha que la chaleur avait également poussées à s’habiller de façon légère. Noriko, toujours aussi superbe, portait un tee-shirt vert-clair presque transparent et une jupe bleue plus mini que mini. Je pouvais deviner sans peine ses seins, probablement libres de toute contrainte sous le tee-shirt. Des seins que je savais être de belle taille et d’une forme parfaite, puisque j’avais eu le plaisir de les contempler par le passé. La taille de la jupe me faisait appréhender le moment où les mouvements de jambes de Noriko ne permettraient plus à son vêtement de cacher sa petite culotte, si toutefois elle en portait une. Ce qui me ramenait en mémoire la vue et la saveur de son sexe auxquelles j’avais goûté avec délectation lors du tournage du porno amateur.
Aux côtés de Noriko, Aïcha était vêtue tee-shirt et d’un pantalon blanc extrêmement moulants, contrastant avec son teint mat et mettant bien en valeur son physique longiligne. Son régime alimentaire et sportif lui réussissait très bien car son physique n’avait jamais été aussi harmonieux. Elle avait laissé pousser ses cheveux qui étaient mi-longs, ce qui embellissait son visage. Visage sur lequel la timidité habituelle cédait place, depuis quelques mois, à un sourire épanoui. En dépit du fait qu’elle ne correspondait pas vraiment à mon type de femme favori, je dois reconnaître qu’elle était extrêmement mignonne. En fait, je réalisai pour la première fois à quel point elle pouvait être belle. Son épanouissement était sans doute lié au fait que, dans un avenir très proche, Noriko projetait de se retirer du monde de la prostitution et de la pornographie.
Pour compléter le tableau, les deux jeunes femmes resplendissantes se tenaient par la taille amoureusement. Je restai quelques secondes bouche bée devant le merveilleux spectacle, littéralement en extase devant un spectacle si enchanteur.
C’est Noriko qui bougea en premier pour me faire la bise. Avoir un contact physique avec Noriko, quel qu’il soit, c’est toujours pour moi une expérience véritablement troublante. Tout d’abord, je me noie presque complètement dans ses grands yeux marron, puis je sens son parfum, à la fois doux et enivrant. Ensuite, au fur et à mesure qu’elle se rapproche, je ressens comme une sorte de trouble. Un délicieux frisson, comme si des ondes magnétiques venues de son corps magnifique envahissaient doucement mon propre corps. Enfin, lorsque sa peau touche la mienne, je ressens un trouble intense, comme si l’espace de ce contact, j’avais la vision et la sensation de ce que peut être le paradis. De toutes les femmes que j’ai connues, seules Noriko et Apolline me font ce genre d’effet. Cette fois-là ne fit pas exception à la règle et l’embrassade avec Noriko m’amena ce délicieux trouble que je viens de vous décrire. Aïcha suivit, me posa les mains autour de la taille et m’embrassa avec un sourire moqueur, elle comprenait bien mon trouble.
Mes relations avec Aïcha avaient évolué de la méfiance vers l’amitié. Dès le départ, elle avait compris ce que je ressentais pour sa compagne, et me voyait comme un rival. Puis elle avait compris que j’étais décidé à respecter leur amour et à me limiter à des liens d’amitié avec Noriko. Mon mariage avec Apolline avait achevé de la rassurer. Mais à cet instant, troublé comme je l’étais, j’étais bien loin de ce genre de considérations.
Après avoir fermé la porte, je me retournai et me trouvai derrière les deux filles. Leurs tenues respectives me permettaient d’apprécier la beauté de leurs jambes et les mouvements de leurs fesses pendant qu’elles marchaient, sans oublier les ondulations de la longue chevelure noire de jais de Noriko. Au moment où Aïcha mit tendrement la main aux fesses de Noriko, je sentis mon sexe se mettre à gonfler dans mon pantalon. Cela ne s’arrangea pas lorsqu’Apolline vint accueillir les filles, chacune complimentant les autres sur leurs vêtements et testant la douceur des tissus. J’étais dans un appartement seul avec trois jeunes femmes, dont deux sont, sans aucun doute, les femmes de ma vie. Et ces trois jeunes femmes superbes étaient en train d’examiner et de toucher les quelques bouts d’étoffes qui couvraient leurs corps magnifiques, tout en laissant ignorer peu de choses de leur beauté. Je commençai à avoir très, très chaud et mon sexe gonflait au point que l’érection serait bientôt difficile à cacher. Pour essayer de penser à autre chose, je me mis au devoir de m’occuper de l’apéritif.
Dans l’état d’excitation où j’étais, boire de l’alcool ne risquait pas d’arranger les choses.
Quelques instants après nous nous trouvions assis autour de la petite table ronde de la salle à manger. Comme par un malicieux hasard, je me retrouvais entre Apolline et Noriko. De prime abord je me dis qu’au moins, avec Aïcha en face de moi, je risquais moins de loucher que si ça avait été l’une des deux autres filles. Mais je n’ai pas tardé à réaliser que son tee-shirt blanc était assez moulant pour ne rien laisser ignorer de sa poitrine qui, si elle était plus petite que celles des autres filles, n’en était pas moins désirable. Ainsi je pouvais deviner de jolis petits seins en forme de poire tout à fait en harmonie avec le physique longiligne de la belle marocaine. Je tentais de me calmer en portant mon regard ailleurs, mais c’était peine perdue, serrés comme nous l’étions, j’avais forcément l’une des filles sous mes yeux. Dans tous les cas c’était difficile, voire impossible, de ne pas baisser le regard pour contempler le merveilleux spectacle d’une belle poitrine.
À droite, c’était Noriko avec ses seins de bonne taille, qui pointaient sous son tee-shirt vert-clair si transparent qu’il me semblait distinguer les aréoles. À gauche, s’était Apolline avec sa poitrine énorme prise dans un soutien-gorge et une petite robe qui avaient bien du mal à la contenir. Ma diablesse de femme choisissait toujours ses vêtements de façon à ce que ses formes soient toujours à la limite d’en déborder. J’étais foutu, mon sexe était au summum de l’érection, je ne savais plus où poser mes yeux et il était hors de question que je me lève, sinon les filles auraient vu dans quel état j’étais.
Pendant le repas, j’essayai de me concentrer sur la nourriture qui était, par ailleurs, excellente. Mais c’était peine perdue, et la vue des filles portant la nourriture à leur bouche me faisait naître toutes sortes de visions érotiques toutes plus excitantes les unes que les autres. Noriko portant un radis à ses lèvres sensuelles, Aïcha croquant à belles dents dans un morceau de viande, Apolline léchant avec gourmandise la sauce sur son couteau. Et soudain Aïcha renversa maladroitement une partie de son verre d’eau sur elle-même. D’abord l’eau tomba sur le bas de sa gorge venant rafraîchir sa peau mate, puis arriva sur son tee-shirt, accentuant au passage l’effet de transparence de celui-ci. Le tee-shirt ne cachait maintenant plus rien et l’absence de soutien-gorge acheva de révéler un spectacle accentuant mon trouble. Du coup, je me trouvai donc les yeux rivés sur les seins désormais presque à nu de la belle. Pendant que Noriko se moquait gentiment de sa copine et qu’Apolline l’aidait à s’essuyer, je refis une tentative de reprendre mon calme en soufflant un peu. Finalement Apolline et Aïcha partirent, en riant, à la salle de bain pour sécher les vêtements de cette dernière.
Soulagé, je me dis :
« Enfin un peu de répit, je vais pouvoir essayer de me calmer, de me concentrer sur autre chose pour faire fléchir la fichue trique que j’ai dans le pantalon. »
Mais s’était compter sans Noriko, qui s’inquiétait de moi.
Elle mit aussitôt sa main sur mon front. À son contact, je ressentis ce fameux trouble, d’autant plus fort que je ne m’attendais pas à ce geste. Une sorte de courant électrique partit de mon front, descendit le long de ma colonne vertébrale pour arriver comme multiplié par dix, au bout de mon sexe. Il s’en fallut de peu pour que je n’éjacule sous le choc. Noriko le comprit assez vite et avec un sourire mi-affectueux, mi-moqueur me dit :
Ne comprenant pas bien là où elle voulait en venir, j’allais lui poser une question, quand je fus interrompu par le retour d’Apolline et d’Aïcha. Noriko me fit signe de me taire en mettant son index devant ses lèvres sensuelles. Les joues d’Aïcha étaient un peu empourprées, sans doute était-elle gênée par ce qui venait d’arriver. Sa nature timide n’avait pas complètement disparue. Mais je n’eus guère le loisir d’y réfléchir, je me trouvai à nouveau à table avec les trois beautés et mon excitation n’avait guère faibli, bien au contraire.
Le repas reprit, ainsi que le supplice de Tantale auquel je me trouvais soumis depuis ce qui me semblait être une éternité. L’étroitesse de la table n’arrangeait rien et de temps à autres, mes jambes se mêlaient accidentellement à celles des filles ou nos pieds se touchaient. Chaque fois j’éprouvais une sensation à la fois puissante et douce qui venait un peu plus mettre à mal le peu de contrôle que j’exerçais encore sur mon sexe prêt à exploser. À cela il faut ajouter que nous étions assez près les uns des autres pour que je sois enivré par les odeurs des filles. Un doux mélange de discrets parfums, de douces senteurs de corps féminins avec l’ajout progressif d’une odeur de transpiration, tout aussi féminine, due à la chaleur ambiante. Ce qui m’amena des visions des corps des trois belles alanguis dans une atmosphère de sensualité torride. C’était intenable, j’étais fiévreux et je n’étais pas loin d’éjaculer.
C’est Apolline qui finalement vint à mon secours au moment où nous finissions le plat de résistance.
Je ne me fis pas prier et, me servant du plat pour cacher la bosse sur mon pantalon, je fonçai à la cuisine. Au moment où Apolline y fit son entrée, j’étais en train de me rafraîchir à grand coup d’eau froide sur le visage. Elle se colla à mon dos et murmura.
Je ne lui avais jamais caché l’effet que me faisait Noriko et elle savait parfaitement celui qu’elle-même avait sur moi. De toute façon, dans l’état où j’étais, il était impossible de cacher mon émoi.
À l’adresse des filles, elle dit plus haut.
Apolline m’attrapa par la ceinture et me tira vers un grand placard, en fait une petite pièce garde-manger contiguë à la cuisine. Après avoir tiré la porte, elle se mit à genoux devant moi et ouvrit ma braguette.
Je sentis sa main chaude passer ma braguette, pénétrer dans mon slip et se poser sur mon sexe. Il me fallut un effort surhumain pour ne pas me laisser aller dans cette main si douce. Elle extirpa avec grand ménagement, mon sexe, au comble de l’excitation, de mon pantalon. Je savais que, dans l’état où j’étais, l’éjaculation n’était pas loin. Déjà, de mon gland, perlaient des gouttes de sperme.
Son regard et son sourire prirent cet air de malice annonciateur de bien des plaisirs.
Avec un regard franchement lubrique, elle emboucha directement mon sexe brûlant. Je tressaillis sous le contact humide et chaud de sa bouche, mais réussis à ne pas jouir. Apolline ne me laissa pas de répit, elle se mit à faire aller et venir de façon énergique mon sexe dans sa bouche. Elle s’acharnait sur mon sexe avec une gourmandise frisant la boulimie. Une vague de plaisir fantastique ne tarda pas à me submerger, me forçant à étouffer un cri de jouissance. Pour mon plus grand plaisir, alors que j’éjaculai, Apolline continua à me sucer, prolongeant divinement mon orgasme. J’étais véritablement au septième ciel et ma belle continua à engloutir mon sexe avec gloutonnerie jusqu’à ce que je débande, après avoir éjaculé encore et encore. Pendant que, vaincu par le plaisir, je m’assis par terre, ma femme se releva en essuyant sa bouche du revers de la main. Elle souriait toujours, presque avec un air moqueur.
Avant de quitter la pièce, elle se pencha pour m’embrasser tendrement.
Je réapparus à table quelques minutes plus tard, en prétendant que j’avais dû satisfaire un besoin urgent, ce qui n’était pas tout à fait faux. Le reste du repas se passa plus tranquillement pour moi. Certes, j’étais toujours en admiration devant les trois filles mais le traitement que m’avait fait subir Apolline m’avait bien calmé. Depuis ce jour, lorsque nous voyons Noriko et Aïcha, la nuit précédente, avec l’aide de mon épouse, je m’efforce d’épuiser au maximum mon énergie sexuelle.