Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15161Fiche technique11586 caractères11586
Temps de lecture estimé : 8 mn
20/09/12
Résumé:  Première rencontre suite à quelques mails échangés.
Critères:  fh extracon telnet hmast fellation cunnilingu pénétratio fdanus confession -extraconj
Auteur : Unaoutien            Envoi mini-message
Celle que j'attendais

Ça y est, j’y suis. Plus que quelques secondes. Nous sommes vendredi, fin d’après-midi. J’attends ce moment depuis de longues semaines avec impatience, mais aussi beaucoup d’appréhension. Je marche vite. Je transpire. J’ai tellement envie d’y être déjà. Mais pour moi, c’est la première fois. Alors je tremble.


Pour que vous compreniez bien, je me dois de revenir un peu en arrière. Le 31 juillet précisément.


Je me présente : j’ai 35 ans, je suis marié depuis six ans et notre deuxième enfant est né, il y a juste un mois. Je sais donc ce qui m’attend (ou plutôt, ce qui ne m’attend plus…). Je suis pourtant bel homme : 1,79 m pour 80 kg, que du muscle ! Les cheveux courts, bruns avec déjà quelques reflets argentés qui me donnent un certain charme, les yeux clairs, contrastant avec ma peau mate, les mains douces et habiles et un caleçon rempli de belles promesses.


Donc, je profite de cette première journée, seul à la maison (ma femme et les enfants sont chez ma belle-mère jusqu’à ce soir) pour m’inscrire sur ce nouveau site de rencontres pour adultes. « Il faut bien passer le temps. Il faut bien que le corps exulte » comme disait l’autre. Je remplis mon profil, essaie d’avoir l’air intelligent, sexy et ouvert à toutes sortes de propositions. Je télécharge aussi une ou deux photos du fameux caleçon prometteur. Puis, je pars en chasse.


Je trouve assez rapidement ma proie. Elle s’appelle Eva, 33 ans, blonde aux yeux bleus, mince, à la recherche de situations excitantes et ludiques. Pas de photos, mais j’ai confiance, je tente le coup : je lui envoie un message instantané original et sympathique auquel – surprise – elle répond tout de suite. Nous échangeons quelques banalités d’usage et attaquons ensuite le vif du sujet : elle est mariée également (pratique pour la discrétion), cherche à pimenter son quotidien mais n’est pas très disponible, elle me dit qu’elle aime l’exhibitionnisme et me parle ensuite de ses fantasmes…


Au fur et à mesure de notre discussion, je sens l’excitation monter en moi et, très vite, je me mets à bander. Je le lui dis. Ça lui plaît et elle me demande des détails… Je lui raconte donc comment je me mets à l’aise, comment ma main se pose sur mon sexe. Au fur et à mesure que mon plaisir augmente, mon récit ralentit… L’imaginer en train de me lire, me dire que rien que mes mots et, bien sûr, son imagination, la font mouiller… D’une main, je me caresse les couilles tandis que l’autre fait des va-et-vient sur mon sexe. Elle doit sans doute comprendre à ce long temps de pause que mes mouvements ont encore accéléré… Je sens en effet le plaisir qui monte, les frissons qui traversent mon corps, mes doigts qui courent de mes couilles à mon anus alors que je me branle de plus en plus fort. Puis, je jouis dans un long gémissement. Avant de me nettoyer, et pour lui prouver l’effet qu’elle me fait déjà, même virtuellement, je prends une ou deux photos de mon forfait… Quand je lui dis que j’ai joui, elle m’annonce qu’elle s’est aussi caressée de son côté… Après avoir échangé nos adresses mail et quelques promesses, nous en restons là pour ce premier contact (très prometteur).




Les semaines qui suivirent, nous nous sommes échangé de nombreux mails… Nous prenons le temps de faire connaissance, mais aussi échangeons quelques photos… Tout d’abord, elle m’a envoyé une photo d’elle en bikini, plutôt soft, mais qui me prouve que j’ai eu raison d’avoir confiance. Elle n’a pas menti sur son profil, bien que je ne voie pas ses yeux, et elle a de plus un corps de rêve. Des seins qui pourraient tenir parfaitement dans mes mains, des fesses que j’imagine rondes et fermes, un ventre sur lequel je pourrais tout à fait jouir… et je peux presque distinguer ses lèvres à travers son maillot humide qui lui colle à la peau.


Par jeu, j’imprime une ou deux photos d’elle que je dispose à plusieurs endroits de mon appartement et je me photographie (merci le retardateur) en train de me masturber à ses côtés. C’est très plaisant à réaliser pour moi, je prends beaucoup de plaisir à la regarder et surtout à imaginer quelle sera sa réaction en me voyant éjaculer sur « elle ». Et, si j’en crois les mails et photos qu’elle m’envoie pour répondre à mon petit jeu, ça lui a beaucoup plu aussi.


Nous décidons finalement de nous rencontrer. Après de longues tergiversations, nous arrivons à trouver une soirée de liberté commune. Nous définissons un lieu, une heure et quelques détails pratiques et choisissons de ne plus nous contacter jusqu’au jour J. afin de faire monter l’envie et le désir. Et ça fonctionne.


Plus que quelques secondes. Nous sommes vendredi, fin d’après-midi. Nous avons rendez-vous un peu en dehors de la ville, près d’un bâtiment désaffecté entouré d’un jardin boisé à l’abri des regards. Je le sais, je passe devant plusieurs fois par semaine, et je m’y suis déjà arrêté pour assouvir un petit besoin pressant. J’arrive le premier et fais un petit tour de reconnaissance. Tout va bien, rien n’a bougé depuis la dernière fois. Le soleil du soir est encore chaud. Je suis vêtu d’une simple chemise et d’un pantalon léger en toile. Je m’allume une cigarette et m’appuie contre le mur de la maison en attendant son arrivée. Quelques minutes passent, j’entends une voiture qui se gare, j’éteins vite ma cigarette, me redresse, époussette un peu ma veste… Je suis anxieux et impatient. Puis je la vois arriver et toutes mes peurs s’évanouissent. Elle a respecté mes consignes : elle porte bien une robe rouge assez courte, et d’où je suis je pense apercevoir des bas noirs. Elle arrive à ma hauteur, une seconde passe qui me semble une éternité, ses yeux bien plantés dans les miens, puis ses lèvres rejoignent les miennes et nous échangeons enfin ce baiser passionné que nous avons tant attendu.


Mon corps est parcouru de frissons. Sa langue cherche la mienne, joue à l’éviter puis à la retrouver… Mes mains partent à la découverte de son corps. Elle ne peut réprimer un petit gémissement au moment où mes doigts passent de ses bas autoportants à la douceur de sa peau nue. Je prends ça pour un signal, et la prenant par la main, je l’attire un peu plus à l’abri des regards. À partir de ce moment-là, nous ne nous lâchons plus. Mes mains parcourent sa peau, passent en dessous de ses vêtements. Elle m’agrippe et me colle contre le mur. Ses mains collent mes épaules aux briques encore chaudes, elle plante ses yeux dans les miens et sans lâcher mon regard, elle déboutonne mon pantalon, l’abaisse en même temps que mon caleçon et toujours en me fixant, elle me dit langoureusement :



Et là, elle les agrippe et gobe ma queue déjà à moitié raide. Il ne me faut pas très longtemps pour lui offrir une belle érection. Sa langue lape mon sexe comme une boule de glace très appétissante, sa main joue avec mes couilles, on dirait qu’elle connaît déjà mon corps. Je me laisse aller au plaisir qu’elle m’offre, ma main dans ses cheveux, je la guide tendrement. Ma queue est bien au chaud entre ses lèvres, ses va-et-vient et sa main sur mes couilles font monter mon plaisir mais je ne veux pas jouir maintenant.


Alors, j’attrape ses mains et la relève à ma hauteur. Elle m’enlève habilement ma chemise en remontant, et me voilà complètement nu. Elle est si belle. Je l’embrasse langoureusement et sa bouche goûte déjà un peu mon plaisir. Elle se frotte contre ma queue raide et j’en profite pour commencer à la déshabiller. Je passe sa robe par-dessus ses épaules et découvre qu’elle n’a pas de soutien-gorge. Mes lèvres passent par son cou pour aller lécher ses seins. Ma langue joue avec ses tétons que je sens durcir au fur et à mesure de mes baisers. Elle ne porte plus que son petit string noir (qui ne cache pas grand-chose) et ses bas assortis.


Elle sait ce qui me plaît, la coquine ! Je mordille ses seins et c’est pour elle comme un déclic. Elle m’agrippe, et me fait comprendre qu’elle me veut, maintenant. Je l’allonge au sol, écarte son string, admire son sexe qui ruisselle de désir et y colle ma bouche. Ma langue écarte ses grandes lèvres, cherche son clitoris, et la lape comme un chat, un bol de lait. J’aime le goût de sa chatte, sucré et amer en même temps. Elle pousse des petits gémissements à chaque fois que je suce sa queue miniature, ma langue passe de sa chatte à son cul, et elle écarte les cuisses comme pour me dire « tout ceci est à toi ». Son bassin se rapproche et je comprends qu’elle veut être pénétrée.


Nous n’avons pas besoin de parler, nos corps se comprennent instinctivement. Je la pénètre d’un coup avec trois doigts. Elle est trempée de mouille et de salive et ça rentre sans problème. Elle pousse un cri de plaisir, je suis de plus en plus excité. J’alterne mes petits jeux de doigts et de langue jusqu’à ce que je sente qu’elle n’en peut plus. Alors je me redresse, et place ma queue à l’entrée de son sexe, je joue avec mon gland entre ses grandes lèvres, mais ne la pénètre pas vraiment. Ses yeux me supplient. Elle attrape mes fesses et d’un coup de bassin me fait la pénétrer au plus profond de son corps.


Hmm ! Nous restons immobiles un instant, profitons de ce moment magique où nous ne faisons plus qu’un. Après ces quelques secondes de partage, je me retire et la retourne. Je sais que la levrette est sa position préférée. Elle aime être prise comme une chienne. Alors, j’agrippe ses hanches et sans ménagement, je reviens en elle, d’un coup, presque brutalement. Ses cris m’excitent énormément et surtout la vue sur son cul humide de mes coups de langue. Elle gémit de plus en plus sous mes coups de bite, et de mon côté mon plaisir augmente en voyant ses seins balancer en cadence.


Notre plaisir, comme nos gémissements, notre sueur et nos secrétions se mêlent. Son corps vibre, et sentant qu’elle va bientôt jouir, je me laisse aller, glisse un doigt dans son anus et le fait de sentir ma queue à travers la mince cloison entre son cul et sa chatte me fait éjaculer d’un coup. Le premier jet est projeté au fond de sa chatte et les suivants giclent sur ses fesses et son dos. Je regrette de ne pas avoir pris mon appareil photo. Cette image est magnifique. Mon amante à quatre pattes, dans l’herbe, la chatte et les fesses dégoulinant de mon sperme.


Épuisés, nous nous allongeons côte à côte, je la regarde intensément, son corps nu et transpirant est tellement agréable à observer. Puis je l’embrasse langoureusement, les mains doucement posées sur sa peau douce… Ensuite, je crois que nous nous sommes endormis. Quand j’ai rouvert les yeux, j’étais seul, un petit papier posé à côté de moi qui disait :


« Merci de m’avoir donné ce plaisir. Je suis heureuse de garder l’odeur de ton sperme sur mon corps. Nous nous reverrons, c’est promis. »


Je me suis rhabillé et suis rentré chez moi, plein de frissons.