n° 15162 | Fiche technique | 19538 caractères | 19538Temps de lecture estimé : 12 mn | 21/09/12 |
Résumé: Lorsqu'Agnès accepte cette promenade en forêt pour réaliser son fantasme, elle est loin de se douter de l'aventure dans laquelle elle se lance. | ||||
Critères: fh fplusag jeunes inconnu forêt voir exhib noculotte intermast jeu -occasion -nature | ||||
Auteur : Fantasio |
Agnès progresse difficilement au cœur de la forêt inhospitalière où André, son mari, l’a abandonnée une heure plus tôt.
Il avait raison, elle est bien obligée de le reconnaître. Si elle se trouve seule dans ces bois touffus que le soleil d’été arrive à peine à traverser, elle ne le doit qu’à elle-même. Alors qu’elle se bat avec les branches et les buissons épineux pour se frayer un chemin, elle se demande ce qui lui a pris d’accepter ce jeu stupide. Les deux bouteilles de délicieux chablis qu’ils ont partagées la veille n’y sont sans doute pas étrangères. Ils ont dîné dans la petite auberge où ils sont descendus pour passer un week-end champêtre en amoureux. L’alcool aidant, elle s’est amusée à émoustiller son mari en lui faisant partager ses fantasmes.
Elle aurait pu, « elle aurait dû », pense-t-elle, mettre le holà, lui dire que les fantasmes doivent rester des fantasmes pour continuer à jouer leur rôle, mais au lieu de cela, elle lui a demandé ce qu’il avait en tête.
« Quelle idiote je fais », peste-t-elle en se battant contre la végétation hostile et en pensant à ce salaud d’André qui, avant de partir de l’auberge, l’a obligée à s’habiller comme s’ils allaient sortir en boîte. Pour sa balade dans les bois, il n’a rien trouvé de mieux à lui proposer qu’un chemisier de soie largement ouvert sur sa généreuse poitrine et une mini-jupe portée sur une paire de bas résille et d’escarpins à talons. D’ailleurs, après plus d’une heure de marche, ses bas sont réduits en lambeaux sous les coups de griffes des branches et des buissons qu’elle a écartés sur son passage. Les boutons de son joli chemisier ont sauté eux-aussi, l’obligeant à nouer le vêtement sous sa poitrine et découvrir la peau dorée de son ventre et de sa taille.
Il doit bien se marrer le salaud, pense-t-elle en essayant de découvrir où se cache son mari. Tout au long de son périple, elle a entendu des branches craquer, des feuilles s’agiter, sans jamais parvenir à découvrir si c’était le fait d’André ou d’une de ces créatures sylvestres qui hantent ses fantasmes.
Malgré son inconfort, et la douleur brûlante provoquée par les ronces et les orties sur sa peau nue, elle ressent une délicieuse excitation à se savoir épiée, comme une proie prise dans le viseur d’un chasseur. Elle imagine que ce n’est pas André mais un ou même des inconnus qui l’observent, en attendant le moment propice pour la capturer dans leurs filets.
Elle transpire, elle est en nage, elle voudrait être arrivée à l’auberge pour prendre une bonne douche et soigner ses écorchures. Une branche craque derrière elle. Elle sursaute, se retourne brusquement pour ne découvrir que la végétation, sombre et touffue. Elle sourit, glisse sa main sous sa jupe pour recueillir le jus salé qui lui a brusquement inondé la chatte, avant de porter ses doigts brillants à sa bouche.
Il ne manquait plus que ça, ronchonne-t-elle en découvrant la petite rivière qui lui barre le chemin. Elle fait tout au plus une dizaine de mètres de largeur et ne doit pas être bien profonde, mais s’il y a quelque chose qu’Agnès déteste plus que tout, c’est de mettre les pieds dans ce genre de soupe sombre, vaseuse, envahie d’une dense végétation aquatique au cœur de laquelle doivent certainement se nicher des créatures peu ragoûtantes.
Elle se retourne plusieurs fois. Elle sait qu’elle pourrait l’appeler et qu’il lui viendrait aussitôt en aide, mais cela mettrait fin à leur petit jeu et André lui ferait très certainement payer sa couardise en se moquant d’elle pendant de longues semaines. Elle n’a pas le choix, il faut qu’elle y aille. Tandis qu’elle se débarrasse de ses bas déchirés et de sa mini-jupe pour ne garder que son chemisier et sa petite culotte de coton blanc, elle sent une agréable sensation de plaisir lui traverser le corps en imaginant l’effet de son strip-tease sur ce voyeur qui l’épie, tapi dans la forêt.
Elle avance un pied qui s’enfonce aussitôt dans dix centimètre de vase. L’eau est glacée mais Agnès ne veut pas reculer. Alors, elle progresse, lentement, pas à pas, sa jupe et ses souliers à la main, résistant à la répulsion et à l’angoisse qui lui envahissent le corps et l’esprit tandis que l’eau monte au niveau des genoux, puis des cuisses, jusqu’à venir frôler ses fesses et les lèvres brûlantes de son con. Elle est au milieu de la rivière. Le plus dur est fait, pense-t-elle. Mais pressée par l’envie d’en finir avec cette désagréable expérience, elle se précipite, son pied glisse sur un rocher, et elle disparaît en hurlant dans l’eau sombre et glacée.
Il ne s’est pas passé plus de trois seconde entre le moment où elle s’est étalée et celui où elle a ressurgi des flots pour se précipiter vers la rive et échapper à cet horrible cauchemar. Elle est trempée. Ses boucles brunes lui cachent le visage, son chemisier semble moulé sur sa poitrine, dévoilant par transparence le soutien-gorge de dentelle blanche et les disques sombres de ses aréoles et de ses tétons. Quant à sa petite culotte, ce n’est plus qu’un voile translucide qui révèle impudiquement le buisson de poils sombres qui couvre sa petite chatte.
Agnès est furieuse, contre elle-même mais aussi contre son mari qui l’a entraînée dans cette aventure et qui doit sans doute se marrer comme une baleine en l’observant depuis l’autre rive. Comble de malchance, elle a lâché ses souliers et sa jupe dans sa chute. Elle regarde cette dernière s’éloigner au fil du courant. Plutôt mourir que de retourner dans cet infâme bouillon, jure-t-elle en serrant les dents.
Elle hésite. Une partie d’elle-même veut en finir : « Je ne peux pas rentrer comme ça à l’auberge quand même ! » alors qu’une autre refuse de rendre les armes : « Cela lui ferait trop plaisir à ce salaud ! » Et c’est cette dernière qui finit par l’emporter. Heureusement, la rivière coule au bord d’une vaste clairière noyée sous les rayons intenses d’un soleil estival, et cette délicieuse chaleur lui remonte le moral. Elle regarde tout autour d’elle. Même si elle sait que son mari n’est pas loin, elle ne voit personne à l’horizon. Alors, elle retire ses frusques gorgées d’eau qu’elle tord avant de les poser sur les hautes herbes recouvrant la clairière. Puis, elle s’allonge à son tour pour livrer son corps trempé et fatigué aux caresses réparatrices du soleil.
Agnès respire, elle est bien, pour la première fois peut-être depuis qu’André l’a abandonnée au bord de la route. Elle sourit en réalisant que, tapie dans son cocon d’herbes folles, elle a disparu à la vue d’André. Bien fait pour lui, songe-t-elle. S’il veut se rincer l’œil, il faudra bien qu’il approche, ce salaud. Elle ferme les yeux et se laisse emporter par la quiétude paradisiaque de l’endroit. Elle a trente-cinq ans et elle se sent belle. Ses mains caressent son corps brûlant, glissent entre ses cuisses, avant de laisser ses doigts s’enfoncer en elle pour laisser le plaisir prendre peu à peu possession de son corps.
Elle se redresse brusquement, une main en travers de la poitrine, qui ne cache pas grand-chose des deux appétissantes mamelles écrasées sous son bras, l’autre aux doigts encore brillants de liqueur, posée sur ses cuisses serrées nerveusement l’une contre l’autre.
L’homme est debout devant elle. Sa silhouette se découpe à contre-jour sur la lumière brillante du soleil, si bien qu’elle n’arrive pas à percevoir ses traits. Comment est-il arrivé là ? Elle n’a pas l’impression de s’être assoupie bien longtemps. Et en plus, il a dû traverser la clairière pour venir jusqu’à elle. André a dû le voir. Elle se dit qu’il va surgir d’un instant à l’autre pour sauver sa damoiselle en détresse. Mais elle a beau tendre l’oreille, elle n’entend rien d’autre que le battement frénétique de son cœur.
Il s’est rapidement retourné comme elle le lui a demandé et le poids qui lui oppressait la poitrine s’est évanoui comme par magie. Au ton de sa voix et en examinant sa silhouette frêle et élancée, elle se dit qu’il doit être jeune et probablement aussi gêné qu’elle. Elle l’étudie pendant de longues secondes, tout en enfilant son chemisier encore trempé, frêle voile translucide qui ne cache rien de sa lourde poitrine et de ses longs tétons bruns qui pointent sous le tissu.
Elle devrait crier le nom d’André, l’appeler à l’aide mais elle n’en ressent pas l’envie. Après tout, il aurait dû venir de lui-même, et s’il n’a pas cru devoir le faire, elle ne voit pas pourquoi ce serait à elle de crier au loup.
Elle essaye de retenir le rire qui lui gonfle le ventre et la poitrine, mais devant le sourire penaud du jeune homme, elle finit par éclater et il se joint à elle, laissant leur rire complice résonner durant de longues secondes dans la clairière.
Lorsqu’il s’assied en tailleur à ses côtés, elle peut enfin observer son visage. Il est jeune en effet, un grand gamin en quelque sorte, qui, à voir le teint rubicond de son visage, ne doit pas être habitué à faire la conversation à une jolie femme à moitié dénudée. Une femme qui a le double de son âge, pense-t-elle, en frémissant d’excitation.
Ils parlent de tout et de rien durant de longues minutes. Il lui explique qu’il est en vacances avec ses parents dans la région, elle lui raconte son aventure et le fantasme qu’André, son mari, l’aide à réaliser. Elle se remet à rire en découvrant le visage angoissé du jeune homme qui regarde nerveusement tout autour d’eux en s’attendant à voir surgir un mari jaloux et ivre de colère.
Elle pose sa main sur sa cuisse pour le rassurer et lui disant qu’André ne viendra que si elle l’appelle. Et à cet instant, elle n’a aucune envie de l’appeler. Sa main remonte sur l’entrejambe du jeune homme pour constater qu’il a tout ce qu’il faut là où il faut pour satisfaire une femme. Elle caresse lentement le membre dressé à travers la toile du pantalon, jusqu’à ce que le jeune homme finisse par oublier ses craintes pour poser ses yeux sur la ravissante créature qui l’entraîne sur le chemin de la jouissance.
Elle a libéré sa queue et la tient dans sa main. Une belle queue fine et longue, dure comme du bois, qui tremble d’émotion sous la caresse de ses doigts. Agnès se dit qu’elle a intérêt à y aller mollo si elle veut profiter pleinement de ce cadeau que le hasard a placé en travers de sa route. Sans cesser de caresser la bite juvénile, elle regarde longuement autour d’elle, lançant à la ronde un sourire coquin destiné à son voyeur de mari. Puis son visage disparaît entre les herbes hautes et sa bouche gourmande se referme sur la délicieuse friandise.
Alors qu’Agnès est penchée sur son sucre d’orge, on peut voir ses deux globes charnus dépassant de la végétation, dressés vers le soleil comme deux magnifiques tournesols. Ce ne sera qu’une question de minutes, Agnès en est consciente, mais elle veut profiter au maximum de ces instants pendant lesquelles elle peut enfin vivre librement ce fantasme qu’elle partage à distance avec son mari adoré.
Lorsque l’explosion devient imminente, elle retire sa bouche pour laisser les jets de sperme chaud s’écraser sur son visage et sur sa poitrine. Elle rit et il rit avec elle, il l’attire vers lui et ils roulent dans l’herbe en échangeant un long baiser, plein de passion et de reconnaissance.
Agnès sourit et retire son chemisier pour s’allonger aux côté de son jeune amant, lui offrant ainsi la troublante vision de son corps nu, tremblant d’excitation sous les rayons déclinants du soleil. Elle ferme les yeux, guide les mains du jeune homme sur sa peau brûlante, sur ses seins, sur son ventre, sur ses cuisses, sur son buisson garni de perles de rosée. Ses mains sont douces et elle sent son corps frémir tandis que les doigts s’enfoncent doucement au cœur du volcan bouillonnant de lave.
Elle accompagne ses caresses, le conduit au plus profond de son intimité, visitant les territoires les plus sensibles de sa chatte en chaleur. Son corps se cabre, se tord de plaisir, son jus intime s’écoule brutalement entre leurs doigts. Elle jouit, elle gémit, elle finit par crier, autant pour se libérer que pour qu’André l’entende du fond de sa cachette. Quand la bouche du jeune homme se pose sur sa chatte et que sa langue vient se glisser entre ses chairs détrempées, elle ouvre brusquement les yeux, sentant à son tour une brutale explosion venir lui électriser le ventre. Elle cambre brutalement les reins, obligeant son partenaire à reculer, avant qu’un geyser de liqueur jaillisse brusquement de sa chatte béante.
Elle n’a jamais joui avec une telle intensité et elle a envie de crier le nom d’André pour qu’il vienne partager son extase, mais elle se contente de rire aux éclats, accompagnée par son jeune amant visiblement fasciné par le festival hydraulique qu’elle vient de lui offrir.
Ils sont restés près d’une heure dans la clairière et quand ils se sont séparés, le jeune homme a insisté pour lui donner son teeshirt. L’ample vêtement de coton descend jusque sous les fesses de la jeune femme, à peine plus court que la mini-jupe qu’elle portait une heure plus tôt. Elle ne prend pas la peine d’enfiler sa petite culotte, laissant sa chatte à l’air, profitant des excitants frissons qui la traversent tandis qu’elle parcourt le demi-kilomètre qui la sépare de l’auberge.
Un mélange d’angoisse et d’excitation lui parcourt le corps lorsqu’elle pénètre dans le lobby de l’hôtel. Un couple avec un jeune enfant attend à la réception. Avec ses cheveux humides, ses pieds nus et son teeshirt pour seul vêtement, Agnès donne l’impression de sortir de sa douche. Elle frémit en sentant le regard de l’homme qui glisse sur ses cuisses dénudées avant de venir admirer les rondeurs de ses seins et ses tétons dressés qui pointent sous le coton. Le gamin dont il tient la main est juste à côté d’elle et elle réalise qu’il doit avoir une vue imprenable sur le spectacle impudique de ses fesses et de sa petite chatte trempée d’excitation.
Alors qu’elle s’apprête à demander la clef de sa chambre au jeune réceptionniste, lui aussi en pleine contemplation mystique, elle entend qu’on l’appelle depuis le bar. Elle se retourne pour découvrir André, affalé dans un fauteuil et en pleine discussion avec un client. Elle ne s’attendait pas à le trouver là. Les joues brûlantes d’émotion, ne sachant que penser de tout cela, elle s’avance vers eux.
Elle n’en croit pas ses oreilles quand ledit Robert confirme les dires de son mari qui lui sourit d’un air moqueur. Ce salaud l’a vraiment abandonnée ! Et à présent, voilà qu’il essaye de glisser sa main le long de ses cuisses tandis qu’elle se tient debout à ses côtés. Il ne manque vraiment pas d’air !
Elle est furieuse et en même temps déçue. Sans la présence discrète d’André observant ses extases, son aventure perd soudain tout son piment. Elle repousse sa main en le regardant avec les yeux humides de larmes. Après lui avoir demandé la clef de leur chambre, elle laisse tomber la boule chiffonnée de ses vêtements humides sur les genoux de son mari avant de s’enfuir pour cacher ses larmes. Et si dans sa course, elle dévoile impudiquement les rondeurs roses de ses fesses aux clients ébahis, elle n’en a vraiment rien à faire.
Elle est décidée à faire ses valises et à quitter cette maudite auberge sur le champ. Elle tourne nerveusement dans la chambre quand elle découvre sa mini-jupe qui sèche au soleil sur le balcon. Une brusque bouffée de chaleur lui envahit le corps, comme un soulagement, une libération qui se manifeste jusqu’au creux de sa chatte. Il était là, il a tout vu ! Elle sent sa liqueur couler entre ses cuisses, en revivant l’espace d’une seconde sa rencontre avec son jeune amant. Elle est heureuse, elle aime André plus que tout.
Elle retire son teeshirt et s’allonge nue sur leur lit. Elle l’attend, il va arriver et ils pourront enfin faire l’amour, avant de préparer ensemble la réalisation de son prochain fantasme.