n° 15173 | Fiche technique | 13697 caractères | 13697 2411 Temps de lecture estimé : 10 mn |
25/09/12 |
Résumé: Le conte du petit chaperon rouge, repris à la sauce erotic-fantasy. | ||||
Critères: #sorcellerie #fantasy #conte #occasion #lieudeloisir fh frousses inconnu poilu(e)s forêt fellation pénétratio | ||||
Auteur : Morodar Envoi mini-message |
D’ordinaire, personne ne vient dans cette partie de la forêt. Tous les chasseurs m’évitent, et les habitants du village tout proche savent qu’il vaut mieux me foutre la paix. Je suis un solitaire. J’aime la tranquillité. Ils savent que je ne leur ferai aucun mal. Je chasse ici depuis des années. Je ne vais pas m’en prendre à leur bétail, même si c’est très tentant. Non, je préfère l’excitation de la traque. La mise à mort est encore plus satisfaisante quand la proie est difficile à abattre. Le bétail ne me fournit aucun défi. Et puis, le daim, c’est meilleur que le mouton ou la chèvre.
Mais je remonte depuis un moment l’odeur d’un humain. Elle n’appartient à aucun des chasseurs ou trappeurs que je connaisse. Et c’est celle d’une femelle. Un nouveau venu, c’est rare, mais une femme, c’est un truc si exceptionnel que je ne me rappelle pas la dernière fois que j’en ai vu une.
Je la trouve finalement dans une petite clairière ensoleillée. Je connais bien l’endroit. C’est un ancien lieu de culte d’un dieu de la fertilité. Son autel de pierre est toujours là, au centre du demi-cercle formé par la clairière. Il est vieux, usé par le temps, le vent et la pluie. Plus personne ne se souvient des rites de ce dieu, ni même son nom.
D’abord, je reste caché. Sous ma forme actuelle, je fais peur à la plupart des gens. Mieux vaut attendre de voir l’intruse avant de me montrer. Si elle me semble être du genre farouche, je vais rester planqué dans les buissons. Je ne veux pas qu’elle me jette des pierres, ou coure dire à sa famille qu’un monstre velu a tenté de la bouffer. Elle est assez insouciante, à première vue. Elle ne fait aucun effort pour être discrète. Elle ramasse des champignons tout en chantant. Et cette cape rouge, vraiment pas subtil ! Bon, c’est vrai qu’à part moi, il n’y a presque aucun autre prédateur dans les bois. Je les ai tous dévorés. L’ours, c’est mon plat préféré. Du coup, les herbivores abondent dans la forêt. C’est sans doute pour ça que les gens du coin me voient comme une sorte d’esprit bénéfique. Grâce à moi, ces bois sont presque aussi sûrs que leurs maisons. Et il y a abondance de gibier pour tous.
J’examine ma visiteuse avec plus d’attention. C’est une jeune femme. Malgré sa cape ample, je vois bien que son corps à des courbes appétissantes. Je suis un moment fasciné par la grâce juvénile qu’elle dégage en se déplaçant dans la clairière, sautillant d’un amas de champignons à l’autre. Bon sang, depuis ma malédiction, je n’ai pas touché une seule femme. Combien de temps, déjà ? Dix, quinze ans ? Pas étonnant que voir une jolie fille m’émoustille. Je relève la truffe et hume l’air. Elle sent bon. La vanille, les amandes et la jeunesse. Je dirige mes oreilles pointues vers elle. Je l’entends fredonner une courte chanson d’une voix musicale.
Une comptine que j’avais déjà entendue, chantée par des enfants en vadrouille près de l’orée de la forêt. Je décide alors de me dévoiler. Avec lenteur, j’entre dans la clairière. Aussitôt, la belle s’immobilise et se tourne vers moi, de toute évidence surprise par mon apparence. Mais elle n’a pas peur. Ses superbes yeux verts pétillent même de curiosité. Je continue à m’avancer, jusqu’à me trouver à moins d’un pas d’elle. Malgré mon apparence terrifiante, elle reste droite et fière devant moi, ce qui n’est pas un mince exploit. Un profond silence s’est soudain abattu sur le bois. Nous nous détaillons un long moment. Sous son capuchon écarlate, je peux voir un doux visage, lisse et remarquablement pâle. Elle a de grands yeux fascinants, une bouche aux lèvres charnues et un petit nez mutin. Elle porte une chaîne d’argent à son cou gracile, et un anneau cuivré perce le lobe de son oreille gauche.
Elle me paraît impressionnée. Elle admire ma carrure d’ogre. Son regard glisse le long de mon torse large, de mon ventre musclé, puis finalement entre mes jambes. Pour la première fois depuis des années, je ressens de la gêne et de l’embarras. Ma nudité ne semble pourtant nullement la choquer. Ses yeux brillent étrangement. Comme si elle me trouvait… séduisant ? Non, c’est absurde.
Elle fait alors un pas vers moi, se retrouvant si proche que nos corps se touchent presque. Elle tend alors la main pour caresser ma courte fourrure argentée. Sa main joue dans les poils de ma poitrine et de mon ventre. Sa cape s’entrouvre alors, et je constate avec stupéfaction qu’elle est nue en dessous ! À part des mocassins de peau, elle ne porte pas le moindre vêtement. Confus, je ne parviens pas à détourner mon regard de ses seins lourds, ronds et légèrement tombants. Elle a des tétons rose foncé, dressés comme s’ils voulaient m’inviter à les toucher. Finalement, mes yeux descendent encore plus bas, jusqu’à sa vulve toute mignonne, parfaitement rasée, ce qui me surprend.
Depuis que cette abominable sorcière m’avait transformé en un hybride mi-homme, mi-loup, je n’avais plus approché aucune femme, honteux de mon allure monstrueuse. Et voilà qu’une parfaite inconnue, presque nue, vient titiller ma libido. Dieux, cette fille est en train de me rendre fou. L’eau me monte à la bouche, juste à la regarder. Et son parfum si entêtant m’enflamme le sang. J’ai vraiment envie de la prendre. Avec gêne, je constate que mon phallus se dresse lentement. Elle cesse alors de caresser la fourrure de mon ventre et sa main descend jusqu’à mon sexe, déjà fièrement dressé. Elle le prend dans sa petite main chaude, le stimule un moment avec un air fasciné. De son autre main, elle saisit mes bourses, les malaxant.
Interloqué, je la vois alors s’accroupir devant moi et gober ma longue verge, d’un coup. Elle se l’envoie jusqu’au fond de la gorge. Du moins, elle essaie. Vu ses dimensions, je serais vraiment étonné qu’elle arrive à toute la prendre. Elle maîtrise la succion avec un talent inouï. Où a-t-elle appris à faire une si bonne pipe ? Puis sans avertissement, elle stoppe tout, se redresse et plante son regard émeraude dans le mien. Elle défait alors les attaches de sa cape cramoisie, la laissant tomber au sol à ses pieds. Je peux alors admirer son corps de déesse à la peau de la blancheur du lait. Ses longs cheveux brun-roux sont attachés dans une longue tresse qui tombe entre ses omoplates, jusqu’au creux de ses reins.
Elle glisse ses bras autour de mon cou et passe ses jambes autour de ma taille. Je la soutiens par les fesses, la trouvant légère comme un chaton. Elle prend ma tige en main, la menant jusqu’à sa fente. Je l’y empale avec lenteur, savourant la chose. Oh, cette chaude humidité ! Et elle est serrée. Sans doute en raison de la taille de mon engin. Je commence à la limer, d’abord doucement, pour voir comment elle réagit. En moins de deux, elle se met à soupirer et gémir. Sa chatte devient encore plus coulante. J’accélère le tempo, la défonçant avec plus d’ardeur.
Elle a une grande endurance, la petite rouquine. Merde, mes jambes commencent à fatiguer. Je repère derrière mon épaule un arbre massif. Tout en continuant à la faire monter et descendre sur mon membre ferme, je fais quelques pas vers l’arrière, me retourne, puis appuie le dos de ma compagne contre l’écorce rugueuse du gros chêne. Ainsi, je peux la pilonner à loisir. Mes coups de reins deviennent plus rapides et brusques. Quand ma queue atteint le fond de la rouquine, elle pousse à chaque fois un long râle de satisfaction. Je fais de gros efforts pour contenir ma jouissance, je veux donner à la petite récolteuse de champignons autant de plaisir qu’elle m’en donne.
Avant qu’elle finisse sa phrase, je m’écarte de l’arbre. La gardant collée sur mon torse velu, ma queue bien fichée en elle, je m’étends sur le dos dans l’herbe grasse. Elle se met alors à faire de rapides va-et-vient sur ma verge, ses mains plaquées sur mon torse, enfonçant ma queue en elle avec une joie évidente. Je saisis ses seins pesants à pleines mains, les pétrissant avec une certaine rudesse. Elle doit aimer, car elle ferme les yeux et se lèche sensuellement les lèvres. Je pince les tétons, les étire et les maltraite un peu. Elle en grogne de plaisir. Ses ongles écorchent la peau de mes pectoraux. Sa respiration devient plus courte, hachée. Elle approche de l’orgasme. Moi aussi, d’ailleurs.
J’entends soudain ma compagne pousser un long hurlement de plaisir. Puis elle s’effondre sur moi, le souffle lent et le corps tremblant de satisfaction. Après un court moment de repos, elle relève les yeux vers moi, apparemment satisfaite. Elle est de toute évidence étonnée de sentir ma queue toujours en elle, dure et droite.
Elle se lève alors et je sens à regret ma verge quitter sa chair chaude. Elle se dirige vers le vieil autel, pose sa cape dessus, puis s’étend sur le dos et écarte bien les cuisses, m’offrant la vision splendide de sa vulve rosée dégoulinante de son jus intime. Elle me fait un clin d’œil coquin, puis m’envoie un baiser. Sans attendre, je me lève à mon tour et la rejoins.
Je m’appuie des mains sur la pierre chauffée par le soleil, et plante avec impatience mon membre au plus profond de sa chatte. Elle accueille le retour de ma tige de chair dans sa fente en poussant un long soupir d’appréciation. Cette fois, je suis bien plus agressif. Je la lime sans retenue, me montrant aussi sauvage que possible. Elle passe ses bras autour de mon cou et me mordille une oreille, me murmurant de ne pas la ménager. Je suis plus qu’heureux de la satisfaire. Pendant que je la bourre avec violence, elle se masse vigoureusement son petit bouton gonflé par le plaisir. Et se pince aussi les mamelons, me regardant droit dans les yeux.
Je n’en peux plus. Je retiens mon orgasme depuis déjà un long moment. Mais je ne veux pas venir. Pas tout de suite. Après tant d’années d’abstinence, je veux faire durer le plaisir aussi longtemps que possible. Cela ne dérange sûrement pas ma mignonne compagne.
Je m’arrête alors et sans lui demander son approbation, je la retourne, la plaquant durement à plat ventre sur la plaque de pierre. Elle lâche bien un petit cri d’étonnement, mais je me fais vite pardonner en fichant mon phallus dans sa chatte. Je la tiens par les fesses pour mieux la labourer. À chaque coup de rein, je pénètre aussi loin que je le peux, en profondeur. Je la saisis soudain par la tresse, tirant violemment sa nuque vers l’arrière à chaque coup de hanche. Être prise d’une manière aussi féroce lui plaît car elle crie d’extase maintenant, me suppliant de continuer. Elle se met alors à contracter les muscles de son vagin, massant mon membre d’une manière incroyable. Je perds alors le contrôle de mon plaisir. Mon orgasme me foudroie, intense et libérateur. Il dure un long moment. On dirait que je ne vais jamais finir de me vider.
Je parviens enfin à redevenir maître de moi et je lâche ma compagne, puis m’assois lourdement au sol, le dos appuyé contre l’autel. Elle se redresse, échevelée mais avec un magnifique sourire de satisfaction sur le visage.
Elle enfile sa superbe cape rouge sang, maintenant tachée de sueur et divers fluides corporels. Elle s’agenouille devant moi, prend mon visage canin dans ses mains et m’embrasse avec une douceur qui me surprend.
Avant que je puisse ajouter quoi que ce soit, elle se lève et part d’un pas énergique, me laissant seul dans la clairière ensoleillée, toujours sous le choc de cette étrange aventure.
FIN