Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15189Fiche technique35287 caractères35287
Temps de lecture estimé : 21 mn
03/10/12
Résumé:  Régulièrement mon chéri me dit qu'il fantasme en pensant que je fais l'amour avec un autre, sans sa présence. Je finis par le faire.
Critères:  fh collègues fépilée boitenuit danser travail exhib noculotte pénétratio -extraconj
Auteur : Nanou  (Femme mariée quadra, libertine, un peu exhib, sans-culotte)      Envoi mini-message

Série : Journal d'une sans-culotte libertine

Chapitre 10 / 16
L'amour au bureau (1ère partie)

L’amour au bureau – Première partie


Depuis nos expériences libertines, régulièrement, mon chéri me dit qu’il fantasme sur le fait que je fasse l’amour avec un autre homme, en dehors de sa présence. Il est vrai que lors de nos rapports amoureux, il m’arrive de lui répondre que moi aussi j’aimerais bien. La condition est que, bien sûr, je lui raconte tout.


********************


Un jour, je lui dis qu’un de mes collègues de travail me fait la cour, il répond :



Pour le coup, c’est plutôt moi qui fais « le fanfaron », j’ai prononcé ces mots, un peu agacée, un peu excitée. Je me demande s’il se moque de ce que je fais ou si, au contraire, il est vraiment prêt à ce genre de situation. Invariablement, je me demande si moi, je suis prête à franchir le pas. Bien que nous ayons une vie plutôt libre, nous n’avons jamais eu de relation extra-conjugale en dehors de la présence de l’autre.


Quelque temps après, d’un air taquin il me demande :



En fait, la seule chose que j’ai faite, c’est de choisir des vêtements plus attrayants, j’ai banni les pantalons informes, les pulls larges, tout ce qui masque ma silhouette. Et j’ai eu le droit à encore plus de compliments de la part de mon collègue.

Suite à la réflexion moqueuse de mon mari, je décide d’aller plus loin, il l’aura voulu. J’avoue qu’au fond de moi, je suis un peu partagée, toutefois, le fait d’être courtisée est plutôt agréable et flatteur. Surtout par un homme bien de sa personne.

L’événement qui va tout accélérer est le repas qui est organisé chaque année par le service où je travaille. Souvent, après le repas, quelques-uns vont en boîte. Je n’y vais pas à chaque fois, cependant, je me suis toujours amusée dans ces soirées.


Le lendemain, je mets une robe que je n’ai portée qu’en présence de mon époux. Elle est assez courte, environ 10 cm au-dessus du genou, le haut est bien décolleté. Quand je vais prendre un café, le collègue qui me fait « la cour » – Christophe – me rejoint. Il me dit :



J’ai dit cela par réflexe, sans vraiment penser à ce que je disais. Du coup, Christophe répond :



Notre conversation s’arrête là, il faut bien aller justifier nos salaires.


Le jour fatidique est arrivé, après le boulot, je rentre à la maison pour me préparer. Mon époux n’est pas encore chez nous. Je prends un bon bain pour me relaxer. Je me rince, me mets de la crème sur tout le corps. Je sens la douceur de ma peau totalement lisse. Mon chéri s’est occupé de mon minou quelques jours auparavant, aussi ma fente est apparente : je suis plus nue que nue, comme dit mon cher et tendre.

Je me caresse doucement, l’excitation est en train de me gagner, je me titille le clito, puis un de mes doigts part à la conquête de mon antre d’amour, je le trouve déjà toute humide d’excitation. Je ne sais pas ce qui me prend, quand je pense que ce soir je vais peut-être « tromper » mon chéri et cela me met dans tous mes états. En fait, je trouve un plaisir certain à penser à cette soirée, puisque mon homme m’encourage, j’aurais tort de ne pas en profiter, je ne suis pas une oie blanche.


J’ai une idée pour entretenir mon envie : Bernard m’a acheté des boules de geishas, je vais les utiliser ce soir. Je me dirige vers le dressing, elles sont dans le tiroir de mes sous-vêtements, dans un joli étui nacré. Je les enduis d’un peu de gel de lubrification et je les introduis délicatement dans mon corps.


Ensuite, je vais choisir mes habits. Une petite robe noire, mi-cuisse, sans manche, moulante, dont le bas épouse bien la taille, les hanches, le haut des cuisses et s’évase ensuite. Les sous-vêtements : un soutien-gorge en dentelle, pigeonnant pour donner du volume à ma poitrine, un string avec le devant en tulle qui ne laisse aucun doute sur le fait que je suis totalement épilée.


Je mets mon soutien-gorge, puis mon string, le haut de ma fente est parfaitement visible à travers le tulle. J’essaie un porte-jarretelles, mais je suis pratiquement sûre que les coutures vont faire épaisseur sous ma robe. Je la mets et, effectivement, le tissu est trop fin, un œil observateur verra obligatoirement les marques que laisse le porte-jarretelles. Des yeux observateurs, il y en aura, mes collègues mâles en premiers. Je veux bien être sexy, mais pas de manière aussi ostensible. Je me contente de mettre des bas Dim-up, c’est toujours mieux que des collants.


Je suis prête à partir avant que mari ne revienne du travail. Il m’avait prévenue que sa réunion durerait longtemps. Je mets une veste pour protéger mes épaules de la fraîcheur de la nuit et je me rends au restaurant où une salle a été réservée pour nous.

Christophe m’attend dans l’entrée :



Dès que j’ai accroché ma veste au portemanteau, je dois bien me rendre à l’évidence : quasiment tous les regards sont dirigés vers moi. Je m’assieds le plus vite possible. Le repas se déroule normalement. À chaque fois que je croise les jambes, je sens les boules de geishas qui bougent dans mon vagin et entretiennent mon excitation intime.


Nous parlons de tout et de rien, certains racontent les inévitables histoires drôles ou pas drôles. À la fin du repas, une partie des convives rentrent chez eux, les autres vont finir la soirée en boîte.

Trois de mes collègues viennent avec leurs conjoints. Il y a en plus, Virginie, ma collègue de bureau, Thierry, un informaticien d’une société de sous-traitance qui passe les trois-quarts du temps chez nous et, bien sûr, Christophe et moi. Deux couples se sont arrangés pour venir ensemble. Thierry emmène Virginie, visiblement, il la drague, normal, ils sont célibataires tous les deux. J’emmène Christophe qui n’a pas pris sa voiture, il habite à côté du restaurant.


La boîte de nuit est sympa, il y a deux salles, une plutôt techno et musique moderne, l’autre avec une piste de danse spéciale rock. Nous sommes tous d’accord pour aller dans la salle rock, plus conviviale, il y a plus de places assises et ils passent régulièrement des slows, pour reposer les danseurs ou pour faciliter le travail des dragueurs.


Je pose mon gilet au vestiaire et m’éclipse discrètement aux toilettes : il faut que je retire mes boules de geishas, je ne sais pas si elles vont tenir avec le rythme des danses. Quand je les enlève, elles sont toutes moites, je les nettoie et les essuie avec un mouchoir en papier et les remets dans leur étui. Je vais m’asseoir avec mes collègues.


Dès la première série de rock, Christophe m’invite. C’est un bon danseur, malgré cela, il me faut quelques minutes pour m’habituer à ses enchaînements de passes. Nous faisons quelques danses et nous retournons nous asseoir pour nous désaltérer. J’alterne les danses avec mes collègues sans privilégier particulièrement Christophe. Après un instant de détente autour de notre table, le seul avec qui je n’ai pas encore dansé m’invite à une série de rock. J’ai remarqué qu’il est certainement le meilleur danseur présent, ses mouvements sont quasi parfaits.

En plus nous tombons sur des rocks rapides. Je sens bien que ma robe virevolte autour de moi, sans savoir à quel point. J’en prends conscience, quand Christophe m’invite à danser un slow et qu’il me dit :



Comme le DJ a baissé les lumières de la piste, ce que je fais est très discret : je prends une de ses mains et la dirige sur mes hanches, à la hauteur de la ceinture du string. Je sens bien qu’il est excité. J’ai envie de lui faire plaisir, il est tellement chou.



Arrivés de l’autre côté de la piste, en dehors du regard de nos collègues, je laisse Christophe, non sans lui avoir dit d’attendre que je revienne. Je vais dans les toilettes, situées à côté des vestiaires. Je me glisse rapidement dans une cabine. Je relève ma robe et fais descendre mon string le long de mes jambes, je l’enlève et le mets au creux de ma main. Je me dépêche de rejoindre mon cavalier avant la fin de la danse. Arrivée à ses côtés, je glisse ma culotte dans la poche de son pantalon.



Je l’empêche de mettre la main dans sa poche en la posant sur ma taille et je l’entraîne vers la piste.



Je prends sa main et, une nouvelle fois, la dirige vers là où devrait se trouver la ceinture de mon string. Je vois son regard chercher le mien. Je lui fais un grand sourire, j’appuie mon ventre sur le sien, je sens, à travers nos vêtements, sa virilité qui prend de l’ampleur. Avant qu’il ait repris ses esprits, la danse se termine et je me dirige vers nos collègues.


À notre table, il ne reste que Thierry et Virginie. J’attends que Christophe revienne s’asseoir, pour choisir une place face à lui. Je veux lui faire profiter d’une vue sur mon entrecuisse, ce qui n’est pas difficile vu la configuration des lieux : tables basses, fauteuils profonds. Je lui fais un grand sourire et écarte imperceptiblement les jambes en tendant la main pour prendre mon verre. Quand je m’adosse au fauteuil, je laisse mes jambes dans la même position. Je vois son regard qui se dirige vers mes cuisses. Comme lors de chaque série de slow, la luminosité n’est pas très élevée, il ne doit pas voir grand-chose. À son tour, il s’avance pour prendre son verre et il reste penché en avant, certainement dans l’espoir d’avoir un meilleur point de vue.


Nos collègues reviennent se désaltérer. Deux couples ont décidé de s’en aller. Ils nous disent au revoir et quittent le dancing. Thierry m’invite à danser, il est moins bon danseur que mon précédent collègue et je n’ai pas à craindre de dévoiler mes charmes à tous.


Quand nous retournons nous asseoir, Christophe est toujours au même endroit, il discute avec Virginie. Le DJ a remonté l’intensité lumineuse, chic, je vais pouvoir recommencer le spectacle. Je suis peut-être un peu folle de tenter mon collègue de cette manière éhontée, néanmoins, je prends plaisir à le faire. Depuis tout à l’heure, où j’ai senti sa tige de chair se gonfler contre moi, je suis convaincue de mon charme et je n’ai pas envie de m’arrêter en si bon chemin. En fait, je me sens un peu coquine, mon mari m’a mise au défi, il ne se doutait peut-être pas que j’étais capable d’aller au si loin.


Je reprends le siège en face de Christophe et, cette fois-ci, je m’adosse directement au fond du fauteuil et je me laisse glisser vers l’avant. De cette manière, ma robe remonte encore plus haut, j’écarte un peu les cuisses. Bingo, cette fois-ci, il a tout vu. Je m’imagine ses pensées : elle a enlevé son string, me l’a donné, maintenant, elle me dévoile son intimité parfaitement épilée, où va-t-elle s’arrêter ?

Ce dont je ne me suis pas aperçue, perdue dans mes réflexions, c’est que Thierry est venu s’asseoir à côté de Christophe et que, lui aussi, regarde dans la même direction. Vu où il est, il ne doit pas tout voir, par contre, il doit constater que je porte des bas.


Le dernier couple revient, Christophe propose de finir la soirée chez lui, il a mis une bouteille de champagne au frais. Le couple restant est d’accord. Virginie n’a pas l’air spécialement enthousiaste, mais elle dit oui quand même, Thierry est OK, moi aussi. Nous quittons la boîte. Comme à l’aller, je repars avec Christophe. Les autres nous suivent. Dès que je démarre, Christophe se tourne vers moi, il pose sa main sur ma cuisse, largement découverte.



Imperceptiblement, sa main remonte le long de ma cuisse et atteint la lisière de mes bas. Je ne fais rien pour l’en dissuader.



Sa main a atteint mon bas-ventre, un de ses doigts caresse le haut de ma fente.



Son doigt essaie de s’insinuer entre mes lèvres, seulement ma place de conductrice n’est pas très adaptée. Et puis nous arrivons devant chez lui. Il habite une maison, héritée de ses parents, quasiment en centre-ville, il ouvre le portail avec une télécommande, j’entre la voiture dans la cour jusqu’au garage. Thierry gare la sienne derrière, le couple reste dans la rue.

Christophe ouvre la maison et nous guide vers le salon. Encore une fois, j’attends que chacun soit assis pour m’installer, mais cette fois-ci c’est pour être discrète vis-à-vis des autres convives, ce n’est pas la peine que tous sachent que je suis dans une tenue plus que légère. Je me retrouve aux côtés du couple, Virginie et Thierry sont sur des fauteuils de l’autre côté, en face un canapé deux places où, évidemment, Christophe prend place.



Ce n’est pas son jour à Virginie. Christophe se lève pour aller chercher les verres et les boissons. Je me lève aussi :



Je vais chercher les verres, les pose sur la table de salon et rejoins Christophe dans la cuisine. Il est en train de mettre des glaçons dans le seau à champagne.



Pendant que je démoule les glaçons, j’entends le frigo qui s’ouvre et se referme, puis je sens une main dans mon dos, elle descend plus bas, frôle ma hanche, passe sur mes fesses, prolonge sa descente jusqu’au bas de ma robe. Puis elle remonte lentement entre mes cuisses, caresse la chair nue au-dessus des bas, continue son ascension et atteint enfin le Graal. Le contact de cette main sur la partie la plus intime de mon corps me fait frémir de plaisir. Un doigt s’insinue entre mes nymphes et remonte vers mon clito. J’écarte les pieds pour faciliter cette délicieuse intrusion. Je sens un autre doigt qui cherche à entrer dans mon sexe. Essai couronné de succès, car je suis toute mouillée, j’en tremble d’excitation. Je pose le bac à glaçons et je m’appuie des deux mains sur le meuble. Pour un peu je jouirais comme ça, debout, juste avec deux doigts, à quelques mètres de certains de mes collègues.


Nous nous reprenons, il ne faut pas rester trop longtemps, cela paraîtrait louche. Christophe met la bouteille dans le seau et me donne le jus de fruits. Je le suis dans le salon, les jambes un peu flageolantes.

Pendant que Christophe sert ses invités, je reprends ma place à côté du couple et pour entretenir l’envie, je me mets dans une position où, à nouveau, j’exhibe mes charmes à Christophe. Je me sens toute humide et ça me plait.


J’aperçois le regard de Thierry sur mes cuisses, il doit bien se rendre compte que dans la position où je suis, je laisse Christophe découvrir mes dessous. Je suis sûre qu’il aimerait bien en faire autant. Heureusement, d’où il est, il ne peut pas voir que, justement je n’ai pas de dessous.

La discussion tourne assez vite court, car chacun est un peu fatigué de cette soirée assez tonique. Aussi, quand Virginie dit qu’elle aimerait bien rentrer, nos collègues sautent sur l’occasion. Tout le monde se lève et se dirige vers l’entrée, je fais de même. Quand je passe vers lui, Christophe me retient et me dit discrètement :



Le couple sort en premier, suivi par Virginie et Thierry, puis moi. Christophe, toujours derrière moi en profite pour me peloter les fesses, il passe même une main entre mes cuisses sous ma robe.

Après les embrassades habituelles et les souhaits de bonne nuit, chacun retourne vers sa voiture, le couple part en premier, Thierry qui ramène Virginie ensuite. Je démarre ma voiture, recule dans l’allée et dès que je vois les feux des autres véhicules disparaître, je rentre à nouveau dans la cour.


Christophe m’ouvre la porte et m’entraîne vers l’entrée de son domicile. La porte à peine refermée, il me prend dans ses bras et descend la fermeture de ma robe. Je baisse les bras, il repousse les bretelles et accompagne la descente de mon vêtement qui finit par tomber à terre. Il passe à nouveau ses bras derrière mon dos et dégrafe mon soutien-gorge en dentelles. Il m’aide à l’enlever complètement, ensuite, il descend en m’embrassant la poitrine, le ventre, passe autour de mon sexe et continue sur mes cuisses. Il me lève un pied, pour enlever ma chaussure, fait de même sur l’autre.


Me voilà nue, puisque mon string est dans sa poche (enfin presque, il me reste mes bas) dans l’entrée de la maison de mon collègue. Le pire ou le mieux, c’est que cette situation m’excite. Christophe prend ma main et m’entraîne dans le salon, il m’allonge sur le canapé, je suis à sa merci. Il me caresse les seins, dont les pointes s’érigent instantanément. Puis une main se dirige vers mon sexe, elle caresse mon pubis glabre et s’insinue entre mes cuisses que j’écarte complaisamment.



C’est un mensonge léger, pour la bonne cause. Je suis persuadée qu’il va être encore plus excité. Un doigt vient titiller mon clito, je sens mon plaisir arriver. Toute une soirée à entretenir mon excitation et une petite caresse m’entraîne au septième ciel. En plus, maintenant il colle sa bouche sur ma fente, j’écarte encore plus les cuisses, puis je pose un pied à terre et l’autre sur le dossier. Il introduit sa langue entre mes lèvres intimes tout en continuant à caresser mon bouton. Je jouis. J’ai envie de son sexe, je le repousse gentiment, m’assied sur le canapé et déboutonne sa chemise ; pendant ce temps, il déboutonne son pantalon. Je lui enlève sa chemise, il descend pantalon et slip, je vois enfin sa tige de chair bien dressée devant mes yeux. Je me baisse pour la mettre dans ma bouche, je lui fais des caresses avec ma langue, des va-et-vient avec ma main.



Il se relève, en profite pour enlever totalement ses vêtements, il revient quelques secondes plus tard avec une boîte de capotes. Il la vide sur la table du salon, prend un étui et l’ouvre, il l’enfile avec dextérité sur son membre turgescent. Il m’allonge à nouveau sur le canapé, pointe une nouvelle fois sa langue dans mon sexe humide, pendant que ses mains caressent mes seins dressés d’excitation. Il s’allonge sur moi, je sens son sexe se présenter à l’entrée du mien, il me pénètre par petits coups. Quand mes lèvres sont complètement ouvertes sur son pénis, il s’enfonce d’un seul coup. Je sens son pubis contre le mien, je profite de cette intromission que j’attends depuis quelques heures. Christophe attaque des allers et retours dans mon sexe. Je ne sais pas si cela dure longtemps, mon envie est tellement forte que je jouis très vite. Il continue ses mouvements en moi, mes orgasmes se suivent jusqu’à ce qu’il arrête, terrassé lui-même par la jouissance. Il ne reste que quelques instants sur moi, certainement pour ne pas me faire supporter le poids de son corps. Je sens son sexe qui quitte le mien avec un petit sentiment de vide.

Il s’assied à mes pieds et me caresse les seins :



Il continue ses caresses sur ma poitrine, une main se dirige sur mon ventre, approche de mon pubis.



Il continue à descendre sa main sur mon minou. Il introduit un doigt dans ma grotte d’amour. De mon côté, de penser à deux hommes me donne envie, je tends une main vers son pénis qui durcit à nouveau. Je lui dis de s’allonger sur le tapis, je me mets tête-bêche sur lui. Je prends son membre dans la main pour continuer à lui redonner la vigueur nécessaire.

De son côté, il alterne ses caresses linguales sur mon clito et me lèvres. Au moment où je me lève pour récupérer une capote sur la table, la sonnette retentit.



Je m’assieds sur le canapé, il se lève et se dirige vers l’entrée, sabre au clair. Quelques instants après je l’entends ouvrir la porte :



Sa question est inutile, il a certainement vu ma voiture. En plus, si Christophe a ouvert la porte, il doit voir mes vêtements qui sont restés au sol dans l’entrée. À posteriori, je me demande même s’il ne l’a pas fait exprès, car vu où il a retrouvé ses clés, il fallait vraiment le faire. Sur le moment, je ne pense pas à ça. Je dis à Christophe :



Je vais dans sa chambre et trouve le peignoir sur son lit. En fait de peignoir, c’est plutôt une veste de kimono : elle m’arrive un peu en dessous les fesses. Je retourne dans le salon, ils sont en train de chercher les clés. À mon entrée, Thierry lève les yeux et ne se gêne pas pour me regarder sous toutes les coutures. Je ne peux pas lui en vouloir, vu les circonstances, c’est naturel, si je n’avais pas voulu qu’il me voit, je serais restée dans la chambre de Christophe. En fait, Christophe a l’air plus gêné que moi.

Thierry retrouve rapidement ses clés, coincées entre le coussin et le bras du fauteuil où il était assis.



Dès que j’ai prononcé ces mots, je vais dans la cuisine pour aller chercher à boire. Je sens le regard de mes deux collègues se diriger sur moi. Sans prêter attention, je vais à la cuisine et je reviens avec une autre bouteille de champagne. Ils ne se sont même pas assis, leurs regards vont de ma tête à mes cuisses largement découvertes par la faible longueur du « peignoir ». Il est même possible que, en marchant, je découvre un peu plus mon anatomie. Cette pensée me rend euphorique, je sens ma grotte d’amour qui s’humidifie de plaisir.



Je lui tends, il commence à l’ouvrir. Christophe s’est assis sur le canapé. Je prends nos verres et les mets devant Thierry qui les remplit. Après une gorgée de champagne, je repose mon verre, fais le tour de la table et m’approche de Thierry.



À cette réflexion, il rougit légèrement, il sait que je me suis aperçue de ses regards observateurs lors de la soirée. J’ouvre le kimono-peignoir et expose mon corps à ses yeux égrillards.


Thierry est le premier à parler :



Il finit son verre, m’embrasse en me disant au revoir et se dirige vers l’entrée. Christophe l’accompagne.

Pendant ce temps, je m’installe sur un canapé, peignoir suffisamment ouvert pour découvrir tous mes trésors. Christophe revient dans le salon, il se place devant moi et m’observe d’un regard voluptueux.


J’ouvre son peignoir qui laisse apparaître son membre bien dressé. Je me baisse vers cette colonne de chair qui n’attend que les caresses, ma main la flatte, que je continue avec ma bouche. Je sens bien que Christophe est troublé et si je continue je crois qu’il va atteindre le point de non-retour. Je me tourne vers la table pour saisir un préservatif, je lui enfile sur le sexe, puis je lui tourne le dos. D’une main, je tiens son pénis pour le diriger dans mon intimité bien préparée à cette action. Je m’empale doucement, jusqu’à m’asseoir sur lui. Il est totalement en moi, je ressens un bien-être ineffable. Je bouge un peu sur lui : je monte et descends lentement quelques instants, puis j’ai envie d’autre chose. Je me relève, puis je me mets à quatre pattes sur l’épais tapis du salon et je fais signe à Christophe. Il s’installe derrière moi, je sens sa tige se poser sur mes lèvres intimes. Aussitôt il s’enfonce dans mon sexe et ses va-et-vient font monter mon plaisir. Christophe continue ses mouvements en moi, ses mains bien accrochées sur mes hanches. Cette soirée pleine de surprises, m’amène gentiment vers le septième ciel. J’adore toujours autant cette position aussi, j’atteins rapidement l’orgasme. Puis je sens Christophe se coller contre moi et s’immobiliser au fond de mon corps et je jouis à nouveau. Nous nous séparons et nous asseyons sur le canapé.


Christophe me propose à boire, cette fois-ci, je préfère de l’eau, c’est plus raisonnable. Nous discutons encore quelques minutes, puis je déclare que je commence à être un peu fatiguée et que je vais rentrer. Je me lève pour récupérer mes habits. Je les enfile dans l’entrée, Christophe a juste refermé son peignoir. Je l’embrasse et me dirige vers la porte d’entrée. Christophe m’accompagne. Avant de sortir je l’embrasse à nouveau, je lui dis :



Et d’un geste rapide, il vérifie. Il me sourit et m’embrasse tendrement. Je le quitte et me dirige vers ma voiture.


Bien sûr, le lendemain matin, j’ai tout raconté à mon époux, qui m’a fait l’amour comme une bête, tellement il était excité par mon récit.