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Temps de lecture estimé : 29 mn
03/10/12
Résumé:  Tout a commencé par un défi puéril.
Critères:  grp hplusag fplusag jeunes frousses rousseurs copains collègues piscine jardin boitenuit danser exhib strip intermast fellation cunnilingu pénétratio gangbang jeu yeuxbandés -totalsexe -occasion -groupes
Auteur : Fantasio
Même pas cap'

Tout a commencé par un défi puéril, du genre « même pas cap’… »


Par une douce soirée d’été, j’étais attablé avec Maud à la terrasse d’un restaurant d’une cité balnéaire, devant les reliefs d’un gargantuesque plateau de fruits de mer. Les vertus aphrodisiaques des crustacés, combinées aux effets enivrants des deux bouteilles de muscadet qui les avaient accompagnés, avaient fait monter la température de mon « excitomètre » qui s’étirait de plus en plus douloureusement dans la prison de mon jean.


Nous étions collègues depuis plusieurs années, mais n’étions devenus amants que depuis une quinzaine de jours. À trente-cinq ans, Maud venait de se séparer d’un mari volage et, pour ce qui me concerne, après vingt ans de mariage et des enfants volant enfin de leurs propres ailes, mon épouse et moi avions décidé de reprendre notre liberté et profiter de la fin de la quarantaine en célibataire.


Un soir, à l’occasion d’un repas offert par la boîte, nous avons pleinement adhéré à l’objectif de « team building » encouragé par la direction, et nous avons terminé la soirée dans mon lit, histoire d’approfondir encore davantage cet esprit de corps si cher à nos employeurs.

Depuis cette soirée, nous étions comme deux adolescents, profitant de ce que leurs parents ont le dos tourné – ou, dans le cas présent, que leurs collègues soient hors de vue –, pour nous découvrir avec passion, pimentant nos rencontres furtives d’un délicieux sentiment d’interdit.


Ce soir-là, sur la terrasse, Maud portait une petite robe d’été assez ample, m’offrant une vue admirable sur les généreuses rondeurs de ses seins et sur les dentelles roses du soutien-gorge dans lequel ils se balançaient voluptueusement. Son rire chantant, l’éclat pétillant de ses yeux verts, et le rayonnement intense qui émanait de son corps tout entier, m’avaient littéralement transporté tout au long du repas.



Je venais de la mettre au défi de se débarrasser de ses sous-vêtements, là-même, au milieu de la foule grouillante qui profitait de cette chaude soirée sur les terrasses environnantes.

J’ai toujours admiré le talent des femmes à dénuder leurs parties les plus intimes sans révéler le moindre centimètre carré de chair. Cet élégant mouvement de hanches, de mains et d’épaules avec lequel elles parviennent à faire disparaître, comme par magie, leur petite culotte ou leur soutien-gorge, m’a toujours laissé béat d’admiration, et en même temps, frustré de ne pouvoir, durant ce bref effeuillage, découvrir la moindre parcelle de leurs trésors dénudés.



Elle aurait pu éclater de rire, me traiter de vieux cochon, me faire comprendre que l’exhibition n’était pas trop son truc. Mais ses yeux brillants et son sourire complice m’ont tout de suite rassuré, augmentant brutalement ma raideur priapique.



Cette fois, elle a vraiment éclaté de rire, au point que la moitié de la terrasse s’est tournée vers nous pour essayer de découvrir la source de cette hilarité aussi soudaine que contagieuse. Si elle avait l’intention de relever mon défi, on ne peut pas dire qu’elle s’y prenait avec discrétion.

La petite culotte a été la première à descendre, après qu’elle a discrètement soulevé ses fesses et glissé ses mains sous sa robe pour accompagner le petit filet de dentelle rose jusqu’à ses chevilles. En fixant de ses yeux brillants d’excitation, elle a posé le petit triangle rose à côté de mon assiette, couverte de coquilles vides et de carapaces éventrées.



Pendant que le serveur débarrassait les restes de notre repas en feignant ignorer l’incongru triangle de dentelle rose qui, quelques secondes auparavant, habillait le plus savoureux des coquillages, Maud a gardé ses yeux plongés dans les miens, un petit sourire dessiné sur les lèvres et une main dissimulée sous la table. Sa langue glissait sensuellement sur ses lèvres entrouvertes, comme pour me faire partager le plaisir délicieux que ses doigts faisaient naître entre ses cuisses.


Lorsque le garçon s’est éloigné, elle a effectué sans effort et en une fraction de seconde, cette élégante torsion du buste et des bras destinée à libérer les bretelles et permettre au soutien-gorge de tourner librement autour de son torse. Une main glissée dans son décolleté a suffi pour dégrafer le vêtement et le faire ressortir par le même chemin, telle une magicienne sortant un émouvant lapin de sa boîte à malice.

Cela a été à mon tour d’éclater de rire lorsque le soutif est venu rejoindre la petite culotte au centre de la table. Malgré les regards amusés et visiblement intéressés de nos voisins les plus proches qui n’avaient rien perdu du sensuel effeuillage, et le retour du garçon se penchant obséquieusement au-dessus d’elle pour lui présenter la carte des desserts, Maud ne s’est jamais départie de son sourire, ni de cette excitation brillante illuminant ses grand yeux verts.


Perturbé par l’agitation croissante de mon membre coincé dans la fournaise étroite de mon slip, j’ai tenté de la convaincre de rentrer à l’hôtel où, comme promis, elle pourrait enfin profiter à sa guise de mon corps d’Apollon.



J’ai donc pris mon mal en patience, la laissant déguster son sorbet de fruits rouges, penchée sur la coupe glacée, pendant que je me brûlais les yeux à contempler ses seins couleur de miel, dont les tétons sombres et dressés frottaient sensuellement sur le tissu fleuri.

Elle s’est absentée cinq longues minutes, prétextant une envie pressante, me laissant avec le trophée de ses sous-vêtements posés bien en évidence sur la table, pour le plus grand intérêt de la moitié de la terrasse.

Je commençais à trouver le temps long, lorsqu’elle a refait son apparition, glissant élégamment entre les tables, comme enivrée à l’idée de passer au milieu de ces gens qui l’observaient alors qu’elle ne portait rien sous sa robe.



Sans même m’attendre, elle a fait disparaître ses sous-vêtements dans son vaste cabas, et s’est éloignée en agitant sensuellement son adorable derrière.

Je l’ai suivie à quelques mètres de distance, tandis qu’elle se glissait dans les ruelles populeuses de la vieille ville, agitant sa courte robe au rythme de ses longues jambes fuselées, la remontant parfois au-dessus de sa croupe au détour d’une rue moins peuplée, pour me permettre d’admirer la rondeur généreuse de ses fesses et m’inviter à la suivre à la trace. Comme si j’avais besoin d’une invitation !



Elle s’était arrêtée devant la porte d’une boîte de nuit au titre évocateur, « Les Sens Interdits ». Boîte de strip-tease, club échangiste, ou peut-être les deux, toujours est-il que je n’étais pas vraiment amateur de ce genre d’endroit, que je n’avais fréquenté que lors de quelques enterrements de vie de garçon.



Elle s’est collée contre moi et m’a embrassé avec une passion brûlante, laissant ma main se glisser le long ses cuisses et sous sa robe, jusqu’à tremper mes doigts dans son sexe dégoulinant. Elle était visiblement très excitée et je ne l’étais pas moins. Même si j’aurais mille fois préféré l’emmener à l’hôtel pour profiter enfin de son corps de déesse, ce n’était pas le moment de faire le difficile.



Le local était plutôt petit, éclairé de lumières tamisées, à l’exception de la piste de danse où se trémoussaient deux danseuses vêtues d’un string à paillettes et de pompons balançant au bout de leurs seins. Autour d’elles, un groupe de touristes en goguette dansait en riant bruyamment, se faisant gentiment rabrouer lorsque leurs mains aventureuses tentaient de frôler les chairs dénudées des deux danseuses professionnelles.


Une hôtesse déguisée en « bunny » nous a conduits vers une table au bord de la piste. Il devait bien y avoir une cinquantaine de clients, jeunes et moins jeunes, en groupe pour la plupart, plus d’hommes que de femmes, en faisant exception des filles de la boîte.



Elle n’a pas attendu ma réponse, m’entraînant brusquement sur la piste, tandis que « Kiss » résonnait dans la boîte. Le corps de Maud ondulait sensuellement au rythme chaloupé de la guitare et de la voix de fausset du Prince de Minneapolis. Elle collait son corps contre le mien, laissant ses mains glisser sensuellement le long de ma poitrine, frottant voluptueusement ses fesses contre la matraque qui me déformait l’entrejambe, m’invitant à lui peloter les seins tout en lui dévorant la bouche.


Sans nous en rendre compte, l’attention des autres danseurs s’était détournée des deux professionnelles pour se porter sur nous et surtout sur Maud, dont le corps semblait possédé par le rythme torride de la musique. Elle s’était éloignée au centre de la piste, et me regardait, les yeux brillants d’excitation, les mains posées sur les cuisses, agitant ses boucles brunes, tout en remontant lentement le bas de sa robe, jusqu’à dévoiler ses hanches nues, laissant un pan de tissu fleuri pendre stratégiquement devant son con dénudé.

Le morceau terminé, elle s’est précipitée dans mes bras en riant comme une enfant, accompagnée par les applaudissements des autres danseurs.



J’ai entraîné sa main sous la table pour la glisser dans ma braguette entrouverte, à la rencontre de mon gourdin survitaminé, tandis que la mienne se faufilait entre ses cuisses pour noyer mes doigts dans la chaleur moite de sa caverne.



Tandis que nous nous caressions plus ou moins discrètement sous la table, une grande blonde répondant au nom d’Ivana s’est livrée à un strip-tease au centre de la piste. Elle était plutôt douée et, à la façon dont elle nous regardait, elle n’était visiblement pas dupe de notre manège.


Alors qu’elle ne portait plus que ses escarpins à talons, ses sous-vêtements de dentelle noire et des bas de même couleur retenus par des jarretelles, elle a fait un signe dans ma direction et au même instant, la salle tout entière m’a encouragé à aller la rejoindre.



Maud était visiblement enchantée à l’idée de me voir m’exhiber à mon tour devant les autres clients. Je n’avais pas le choix. J’avais commencé toute cette histoire et j’avais une pressante envie de voir comment elle allait évoluer. Alors, après avoir rangé mon service trois-pièces, je me suis avancé au centre de la piste pour danser en compagnie de la jeune femme à moitié nue.


Après avoir collé son dos contre mon torse et testé la raideur de mon membre en y frottant ses fesses rebondies, elle m’a demandé de défaire son soutien-gorge, ce dont je me suis acquitté non sans difficultés, à l’instar de la plupart des hommes confrontés à l’incommensurable mystère des agrafes de soutif. Avant que le vêtement de dentelle ne tombe sur le sol, elle a conduit mes mains sur ses seins, les dissimulant à l’assistance tout en me permettant d’apprécier leur douce tiédeur et leur fermeté quelque peu artificielle.

Elle a ensuite tiré une chaise au centre de la piste m’invitant à m’y asseoir. Puis, elle a pris place derrière moi, les seins posés sur mes épaules, déboutonnant lentement ma chemise pour promener ses mains sur mon torse dénudé. Je regardais Maud assise à quelques mètres à peine, les mains glissées entres ses cuisses, riant à gorge déployée, tandis que des spasmes du plaisir venaient lui inonder la chatte.


Ivana m’a ensuite offert une séance de « lap dance » qui a bien failli faire exploser la bombe à retardement dont le mouvement d’horlogerie agitait mon entrejambe.


Elle a fini par se retourner, dressée entre mes jambes écartées, posant mes mains sur ses hanches et m’invitant à la débarrasser de son string de dentelle. Je dois dire que j’ai pris mon temps pour découvrir ce con parfaitement épilé, aux grosses lèvres juteuses d’où débordaient des dentelles roses et brillantes, surmontées d’un joli petit bouton dressé.


Lorsque le petit vêtement est enfin tombé sur ses chevilles, elle s’est retournée les mains chastement posées sur son sexe, m’offrant la vision de ses longues jambes dressées sur ses escarpins à talons, surmontées d’une magnifique paire de fesses, trônant à quelques centimètres à peine de mon visage.

La chanson touchait à sa fin et je me suis levé derrière elle, remplaçant ses mains par les miennes tandis qu’elle dressait ses bras telle une athlète sur le podium des jeux olympiques, m’offrant le privilège de jouer à Monsieur Loyal, et révéler enfin le clou du spectacle aux spectateurs ébahis.


J’ai regagné ma place sous les applaudissements du public et la queue plus douloureuse que jamais, au point de devoir demander à Maud de calmer momentanément ses ardeurs. Elle était incroyablement excitée, glissant ses doigts couverts des liqueurs salées de sa chatte entre mes lèvres entrouvertes.

J’allais lui proposer de m’occuper de l’incendie qui lui dévorait le ventre dans le confort douillet de notre hôtel, quand, sous les cris enthousiastes des clients déjà bien échauffés par le spectacle d’Ivana, le DJ a annoncé le début du concours de strip-tease.

Maud m’a regardé, et malgré l’obscurité de la pièce, j’ai pu percevoir le rouge brillant qui lui allumait les joues et l’éclair d’excitation dansant dans ses yeux.



Trois jeunes filles d’une vingtaine d’années, faisant partie d’un groupe bruyant d’une dizaine de jeunes gens, avaient pris place au centre de la piste, sous les cris et les encouragements enthousiastes de leurs amis.



Les regards des clients se sont tous tournés vers notre table, tandis qu’avec un petit sourire cruel, j’attendais la réponse d’une Maud plus rubiconde que jamais. Mais comme moi quelques minutes plus tôt, elle n’avait pas encore envie de mettre fin à cette excitante soirée.


Lorsqu’elle s’est enfin levée dans un mouvement mécanique, presque comme dans un rêve, un concert d’applaudissements a retenti aux quatre coins du local. Personne n’avait oublié sa danse lascive, et la perspective d’en découvrir davantage, réjouissait tous les hommes présents, moi le premier.


Les trois autres concurrentes étaient passées avant elle. Un blonde aux rondeurs généreuse, une brune plutôt garçon manqué et une rousse pulpeuse à souhait. Elles étaient bien plus jeunes que Maud, mais leur strip-tease, ponctué d’éclats de rire et de gestes maladroits, nés d’une gêne évidente et d’un excès d’alcool, manquait quelque peu de sensualité. À peine dénudées, elles s’étaient empressées d’aller se dissimuler derrière le rideau des coulisses, ne nous laissant guère le temps pour profiter des courbes appétissantes de leurs corps juvéniles.


Le strip-tease de Maud était d’un tout autre calibre. Elle est apparue sur un air de sax de Stan Getz, période bossa-nova, et un silence religieux s’est installé dans la salle, tandis que chacun contemplait les ondulations ensorcelantes de son corps animé par les mélopées sirupeuses du saxophone. Tout en me regardant fixement, elle a agité ses longues boucles brunes, dénudant une épaule, puis l’autre, révélant les premières rondeurs de ses seins pour les dissimuler aussitôt, remontant sa robe en agitant souplement ses hanches, comme une danseuse du carnaval de Rio.


Le petit triangle de dentelle rose de sa culotte est apparu en haut de ses cuisses, moulant pudiquement sa chatte brûlante, descendant dans une courbe émouvante sous la rondeur d’un ventre nu et d’une délicieuse couleur doré. Puis elle s’est retournée, avant de se pencher vers l’avant pour nous offrir le tableau de son admirable derrière, emballé dans un écrin de dentelle rose et balançant sensuellement au rythme de la bossa. Sans quitter la pose, elle a descendu le voile pudique de sa petite culotte avec une lenteur calculée, dévoilant peu à peu son appétissant popotin, jusqu’à ce que l’élastique arrive au milieu des fesses et révèle à nos yeux ébahis, plus de la moitié de la raie sombre menant au paradis.


Elle avait décidé de faire durer le plaisir et sa robe est brusquement retombée sur les fesses un instant dénudée lorsqu’elle s’est retournée une nouvelle fois. Un petit sourire coquin dessiné sur les lèvres, elle a répété son numéro de contorsionniste pour dégrafer son soutien, avant de m’inviter à aller le pêcher en glissant ma main dans le décolleté béant de sa robe.


Cette fois, tout le monde s’est mis à applaudir à tout rompre. Les hommes autant que les femmes, même le personnel de la boîte, nous étions tous surexcités par le spectacle que Maud nous offrait. Comme Ivana l’avait fait quelques minutes plus tôt, elle a invité un jeune homme de la bande des trois autres concurrentes, afin qu’il vienne l’aider à terminer son effeuillage.


Le jeune homme était visiblement mal à l’aise, mais devant ses copains, il n’était pas question de reculer. Le dos collé contre son torse, elle lui a pris les mains pour les promener sur son corps, par-dessus la robe, remontant celle-ci pour dévoiler à nouveau sa petite culotte au centre de laquelle on pouvait percevoir une tache sombre, née des débordements incontrôlés de son petit minou.


Elle était magnifique. Elle me regardait comme si nous faisions l’amour, tandis les mains de son partenaire se promenaient sur son corps comme s’il s’agissait des miennes.


À la demande de Maud, le jeune homme a descendu la fermeture éclair fermant la robe dans le dos, et, après avoir glissé ses bras hors des bretelles, elle a laissé le vêtement tomber d’un seul coup à ses pieds, posant en même temps les mains du jeune homme sur sa superbe poitrine. C’était probablement la première fois qu’il serrait dans ses mains juvéniles les seins d’une vraie femme et non pas ceux des gamines de son âge.


Alors que son partenaire s’enhardissait enfin, prenant un plaisir évident à lui peloter les mamelles, jouant avec ses tétons durcis, Maud a fermé les yeux, glissant une main dans sa culotte, continuant à onduler du croupion au rythme de la musique tropicale, les doigts profondément enfoncés au creux de sa chatte.

Lorsqu’elle a senti la main du jeune homme venir rejoindre la sienne au fond de son nid trempé, ses yeux se sont aussitôt ouverts, comme sous l’effet d’une décharge électrique explosant brutalement au creux de sa chatte. En jouissant dans la main du garçon, visiblement aussi surpris qu’elle, Maud était brusquement revenue à elle, se retournant aussitôt pour cacher la rougeur qui lui brûlait les joues et dévoiler par la même occasion au public abasourdi, le spectacle d’une demi-lune, à moitié dissimulée par la petite culotte rose.


Le jeune homme s’est agenouillé devant elle alors que le saxophone égrainait ses dernières notes et, dans un silence quasi religieux, il a lentement fini de descendre le voile de dentelle rose, prenant de longues secondes pour contempler le buisson sombre parfaitement taillé, sous lequel brillaient les chairs irisées de ses petites lèvres et d’où s’écoulaient les filets brillants de sa jouissance.


Puis, elle s’est enfin tournée face au public, les bras en croix, poussant un « Tadaaa ! » libératoire, aussitôt couverts par les applaudissements assourdissants et les cris enthousiastes de toute l’assemblée.

Contrairement aux autres jeunes femmes, elle n’a pas pris la peine d’aller se cacher dans les coulisses pour se rhabiller. Ramassant ses vêtements épars sur le sol, elle est tout simplement venue me rejoindre dans un grand éclat de rire, pour lover son corps nu dans mes bras, et se jeter sur ma bouche pour mêler sa langue à la mienne et partager un baiser brûlant de passion.


Tandis qu’elle enfilait sa robe sans prendre la peine de remettre ses sous-vêtements, la patronne est venue lui apporter son prix, une statuette en plastique doré, d’inspiration grecque et représentant une jeune déesse dévêtue.


Nous nous apprêtions à partir et je n’étais pas mécontent à l’idée de pouvoir bientôt libérer, dans le confort douillet de notre chambre d’hôtel, l’insupportable tension qui me tordait le membre.



C’était Éric, le jeune gars qui avait participé à l’effeuillage de Maud. Avec ses amis, ils allaient terminer la soirée dans la villa que les parents d’une des filles possédaient sur les hauteurs de la ville. Il nous invitait à les rejoindre pour un bain de minuit dans leur piscine.


Lorsque Maud m’a regardé d’un air interrogateur, je me suis contenté de lui répondre d’un sourire. Après tout, c’était sa soirée. À elle de décider. Pour ma part, j’étais partagé entre la perspective de profiter enfin de mon enivrante compagne, et celle de pouvoir en découvrir davantage sur ces jeunes filles, dont certaines m’avaient déjà régalé de leurs charmes. Le regard que je leur avais jeté alors qu’elles nous observaient discrètement depuis leur table, n’avait pas échappé à Maud.



Tout en parlant, elle s’est lovée contre moi, saisissant discrètement mais fermement le gourdin noueux qui me déformait l’entrejambe, comme pour m’apprendre ce qu’il en coûtait de regarder d’autres femmes qu’elle.


Cinq minutes plus tard, nous nous entassions à six dans une petite Renault Clio. Je me suis retrouvé à l’arrière entre Maud et Sylvie, la brune aux airs de garçon manqué qui avait participé au concours. C’était aussi le cas de Véro, une petite blonde aux formes généreuses et au visage rieur, qui s’est installée en travers de nos jambes, écrasant mon sexe de ses fesses rebondies. À chaque virage, je sentais mon membre presser contre la raie de ses fesses, comme s’il essayait de percer les barrières de mon jean et de sa courte jupe en lycra, afin d’atteindre ce nirvana auquel il aspirait depuis que nous avions quitté le restaurant.


La voiture n’avait pas parcouru cinq cents mètres que Sylvie s’est penchée pour rencontrer la bouche de son amie, tandis que sa main glissait sous son débardeur. Elles étaient de toute évidence, plus que d’excellentes amies, pas le moins du monde troublée par notre présence.

Maud m’a regardé en souriant, posant sa main sur la cuisse dénudée de la jeune fille. Sa jupe remontée presque sur son ventre, dévoilait une petite culotte rouge, moulant impudiquement sa chatte.


Je regardais les doigts de Maud caressant le voile translucide et l’enfonçant peu à peu dans la fente humide. Sous l’intensité des caresses et des baisers, le corps de Véro se tordait de plaisir. Pierre, le passager, s’est tourné vers nous pour profiter du spectacle dont André, le chauffeur, ne perdait rien dans son rétroviseur.


J’aurais aimé me mêler à leur jeu et partir, moi aussi, à la découverte de ce corps juvénile qui se tordait d’extase sur mon sexe turgescent, mais mes bras étaient écartés le long du dossier, derrière les épaules de Maud et de Sylvie. Je ne pouvais les ramener vers le théâtre d’opérations sans risquer d’interrompre leur jeu. Mais, je ne suis pas homme à rendre les armes si facilement et, après une approche aussi discrète qu’efficace dans les corsages des deux jeunes femmes, je me suis appliqué à peloter les oranges juteuses de l’une et les pamplemousses non moins juteux de l’autre.



Véro était à moitié dénudée, le débardeur descendu sous les seins, la jupe remontée sur le ventre et la petite culotte brillante de liqueurs. Nous étions tous aussi excités qu’elle et, pour ma part, je ne sentais plus ma queue, mais seulement une brûlure ardente qui me dévorait l’entrejambe.


Tandis que nos nouveaux amis se dirigeaient vers la villa nichée au cœur d’une pinède dominant la baie, j’ai retenu Maud.



Elle a éclaté de rire avant de m’entraîner vers une tonnelle faisant face à la mer, à une petite dizaine de mètres en contrebas de la piscine d’où résonnaient les cris et les rires des autres membres du groupe, arrivés avant nous. Nous nous sommes enlacés violemment, laissant nos mains courir sur nos corps tremblant de désir. Je l’ai dénudée en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire. Sa peau brûlait littéralement sous mes doigts tandis que mes mains se glissaient entre ses cuisses, entre ses fesses, entre les lèvres trempées de sa chatte. Maud était visiblement aussi pressée que moi. Ses doigts s’activaient nerveusement pour déboutonner mon jean et libérer enfin ma queue brûlante comme un tison.


Quelques secondes plus tard, elle rebondissait dans mes bras, le con empalé sur mon gourdin, les bras noués autour de ma nuque et les jambes serrées autour de ma taille. Ses cris de plaisir résonnaient dans la nuit, tandis que mon pilon plongeait frénétiquement au cœur d’un tsunami de plaisir. Malgré mes efforts pour retarder l’inévitable, j’ai fini par exploser dans son ventre, mêlant mes liqueurs aux siennes, et déclenchant chez Maud un long « Ouiiii… » qui a résonné dans la nuit et n’a pas dû échapper aux hôtes la villa.



Elle n’a pas pris la peine de remettre sa robe, ni d’essuyer les filets de sperme et de cyprine qui s’écoulaient sur ses cuisses. Après m’avoir embrassé avec passion, comme pour me remercier de l’orgasme qu’elle venait de connaître, elle s’est précipitée vers la piscine, traversant la pelouse, les lolos et le cul au vent, avant d’y disparaître dans un « splash » assourdissant, sous les rires et les exclamations enthousiastes de nos nouveaux amis.


Je n’ai pas eu la même désinvolture, et ce n’est qu’après avoir remis de l’ordre dans ma tenue que j’ai rejoint le groupe. Je comptais sur l’effet de la petite pilule bleue avalée un peu plus tôt, pour me permettre de profiter pleinement de toutes ses jolies choses que je voyais flotter au gré de l’eau.


Sylvie et Véro, poursuivaient leurs ébats dans un coin de la piscine, leurs corps nus dansant sous les reflets bleutés. Maud avait déjà trouvé de la compagnie en la personne d’Éric et de deux autres garçons qui répondaient au nom de Nicolas et Jacques. Elle me souriait, tandis que les garçons pataugeaient autour d’elle, comme de jeunes requins hésitant à s’attaquer à une proie trop dangereuse pour eux. Ils étaient nus et, malgré la fraîcheur de l’eau, on distinguait clairement la raideur de leur membre se tordant sous le prisme aquatique.


Je les regardais en souriant, lorsqu’une jeune sirène nue et trempée m’est littéralement tombée dans les bras.



Julie avait de toute évidence, décidé de se faire le vieux de la soirée, et je dois dire que cette idée ne me déplaisait pas. J’avais déjà pu découvrir son corps juvénile au « Sens Interdits », et des concurrentes au strip-tease amateur, elle était sans aucun doute celle qui m’avait le plus chatouillé les grelots.

C’était une jolie rousse au visage un peu enfantin parsemé de taches de rousseurs, dotée d’une magnifique paire de seins, un peu lourds mais d’une fermeté juvénile, à l’image de ses fesses, rondes et charnues à souhait.


Elle m’a entraîné dans la villa qui appartenait à ses parents, lesquels avaient, de toute évidence, de très gros moyens. Dans l’immense salon qui donnait sur la piscine, Pierre, André et une quatrième jeune fille prénommée Nina, étaient penchés sur des lignes de coke.

Je n’ai pas refusé leur invitation, connaissant les effets revigorants et endurants de la poudre blanche. Tandis que Pierre traçait les lignes sur son miroir, Julie s’est assise en travers de mes cuisses, frottant lascivement son adorable derrière dénudé contre mon sexe encore somnolant, pressant sa poitrine trempée contre ma chemise entrouverte et mon torse dénudé.


Tout en laissant courir mes mains sur la peau douce et frémissante de Julie, je regardais Nina, la seule qui ne m’avait pas encore dévoilé ses charmes. C’était une jolie brune aux cheveux coupés à la Louise Brooks, avec des petites lunettes rondes de myope posées sur le bout du nez. Sa petite robe de soirée dissimulait pudiquement ses chairs tout en moulant délicieusement ses formes. Elle faisait des efforts évidents pour dissimuler son embarras devant la nudité voluptueuse de son amie. Elle paraissait plus jeune que les autres, avec un air de petite fille trop sage pour son âge.



La jeune fille a rougi l’espace d’une seconde, mais la coke qu’elle venait de sniffer avait déjà fait son effet, et un excitant frisson est venu lui parcourir la peau.



Julie s’est aussitôt levée pour l’entraîner derrière le bar, nous offrant le spectacle de son délicieux popotin s’agitant au rythme de ses pas.



Tandis que Nina préparait les verres, Julie a disparu derrière le comptoir et le visage de la première s’est brusquement empourpré. Nous ne pouvions rien voir, mais la simple évocation de ce qui se déroulait derrière le comptoir, était suffisante pour nous chatouiller l’entrejambe.



Julie venait de nous lancer un petit string en dentelle rouge ne cadrant pas vraiment avec l’allure ingénue de Nina. Pendant quelques secondes, Nina a essayé de résister mais Julie n’était pas disposée à tenir compte des objections de son amie. Elle a donc poursuivi son effeuillage, nous offrant d’abord son soutien, extirpé comme par magie, puis sa robe, laissant son amie entièrement nue derrière le bar, au-dessus duquel nous pouvions découvrir les premières rondeurs plutôt prometteuse de ses jolis seins.



Julie est venue nous rejoindre, accompagnant nos encouragements enthousiastes. Abandonnée derrière le bar, Nina a disposé nerveusement cinq verres de whisky-glace sur un plateau et, après avoir avalé près de la moitié de l’un deux, elle est venue nous les apporter, dévoilant pour la première fois, le superbe pelage de poils noirs parfaitement taillés de son jeune minou.

Nous l’avons applaudie et complimentée tandis qu’elle se penchait pour nous offrir notre whisky et nous faire profiter par la même occasion de son émouvante nudité.



Sans demander son reste, elle s’est littéralement enfuie de la villa pour éteindre dans la fraîcheur de la piscine, le feu qui lui dévorait la chatte. Les deux garçons se sont déshabillés à leur tour pour aller la rejoindre, me laissant seul avec l’appétissante Julie.


Ma queue avait retrouvé toute son ardeur, et les seules questions qui se posaient à moi, étaient « Quand ? » et « Où ? ».


Elle m’a fait visiter la villa, me débarrassant peu à peu de mes vêtements tout au long de notre parcours, comme un Petit Poucet aux prises avec la plus sensuelle des ogresses. Lorsque nous sommes arrivés sur la grande terrasse qui prolongeait la chambre à coucher, j’étais aussi nu que Julie.


Appuyés à la rambarde, je pressais mon torse contre son dos, mon sexe glissé entre ses fesses, reposant contre l’ouverture béante de son con, contemplant les lumières de la ville, la mer brillante sous le reflet de la pleine lune, et les ébats amoureux qui se déroulant dans la piscine juste sous nos pieds.


Nina poussait des cris et de grands éclats de rire pour échapper aux assauts de Pierre et André qui disparaissaient sous l’eau à tour de rôle pour se livrer à une pêche aux moules subaquatique. Sylvie était assise sur le bord de la piscine, offrant son sexe trempé à la bouche gourmande de Véro, laquelle livrait son corps aux caresses et aux assauts de Nicolas. À en juger par les grimaces qui tordaient son visage et les remous causés par les coups de coups de rein du jeune homme contre les fesses de son amie, il devait lui ramoner le con avec une ardeur toute juvénile.


Maud quant à elle, se livrait à des caresses bucco-génitales sur les sexes dressés d’Éric et de Jacques, assis côte à côte sur le rebord de la piscine. Les reins cambrés, elle nous offrait le spectacle de son cul émergeant du fil de l’eau, comme un soleil couchant disparaissant sous l’horizon marin.


Devant cet émouvant spectacle, mon membre dressé n’a pas tardé à trouver le chemin de la caverne de Julie. Les mains accrochées à la rambarde, je l’ai pénétrée lentement, sentant ses chairs s’écarter avant de se refermer nerveusement sur ma queue. Je lui ai ramoné la chatte pendant de longues minutes, visitant ses moindres recoins, alternant le rythme et la force de mes assauts.


L’intensité de ses vocalises suivait celle du plaisir qui grandissait au creux de son ventre et qui lui électrisait les chairs avant d’exploser dans sa bouche en exhortations aussi crues qu’enthousiastes, que je ne pouvais m’empêcher de trouver plutôt incongrues dans cette bouche de jeune bourgeoise.


Quelques mètres plus bas, chacun s’était arrêté pour se tourner vers nous et surtout vers Julie qui lançait ses imprécations à la lune, accrochée au bastingage comme un marin dans la tempête, sa chevelure de feu et son corps incandescent agités par mes vigoureux assauts au plus profond de sa chatte.

Je dois avouer avoir ressenti un petit sentiment de fierté et d’orgueil, en constatant que tous ces jeunes gens qui avaient l’âge de mes enfants, nous observaient avec admiration et envie. Il n’était pas question de les décevoir. Si bien que pour conclure en beauté, je me suis extrait de sa caverne inondée pour poser mon gland sur la rondelle sombre et fripée de son jeune bouton de rose.



Le cri, aussi poignant qu’inutile, a retenti dans la nuit, tandis que d’un coup de rein vigoureux, mon gland a écarté brutalement l’obstacle élastique avant de s’enfoncer inexorablement dans le boyau soyeux.

Dans la piscine, tout le monde a compris ce qui venait de se passer et, tandis que Julie continuait à s’agiter sur le gourdin glissé entre ses reins, je me suis dit que la plupart de ces gamins n’avaient probablement encore jamais pleinement exploré les mystères des plaisirs sodomites.


Ma queue délicieusement enchâssée entre ses fesses, Julie se caressait la chatte avec frénésie. Je pouvais sentir ses doigts courir au plus profond de sa caverne inondée, se pressant contre mon membre emprisonné dans son écrin de soie, déclenchant des spasmes nerveux de plaisir et des jets liqueurs qui venaient couler entre nos cuisses. Elle avait de plus en plus de mal à se tenir debout, s’accrochant à la rambarde et s’appuyant davantage sur mon membre dressé que sur ses jambes flageolantes. De sa bouche ne sortaient plus que des râles, interrompus par les tremblements extatiques qui lui traversaient le corps.

Grâce aux effets combinés de la coke et du Viagra, ma bite conservait une raideur militaire, plus que jamais prête au combat. Et, au vu des regards intéressés que nous lançaient les quatre jeunes femmes dans la piscine, je n’avais que l’embarras du choix quant au prochain territoire féminin à conquérir.

J’ai fini par libérer la pauvre Julie, soulevant dans mes bras son corps traversé de spasmes pour l’allonger sur le lit aux dimensions « king-size » et partir à la recherche de nouvelles proies.


Lorsque j’ai fait mon apparition au bord de la piscine, l’artilleur au garde-à-vous, ils m’ont tous acclamés comme si j’avais remporté une épreuve sportive ou un prix quelconque au concours des sosies de Rocco Sifredi. Il est vrai que je n’ai pas trop à me plaindre de ce côté-là et, le fait de pouvoir exhiber ma raideur après mon marathon avec Julie, accentuait encore davantage leur admiration.

Après un plongeon qui se voulait élégant et quelques coups de crawl destinés à faire étalage de mon style olympique, je me suis arrêté à l’écart, en prenant un petit air de gigolo attendant sa prochaine cliente.



Après avoir fait exploser les lances d’incendie d’Éric et de Jacques dans sa bouche gourmande, Maud les avait abandonnés pour venir presser son corps nu contre le mien.



Elle m’a à peine laissé terminer ma phrase, avant de se jeter à mon cou pour me dévorer la bouche, tout en nouant ses jambes autour de ma taille pour s’empaler sur mon sexe dressé.



J’ai éclaté de rire lorsqu’elle m’a murmuré son excitant désir à l’oreille. Encore fallait-il pouvoir être à la hauteur de cet appétissant défi.



Tous les visages se sont tournés vers moi avec un air interrogateur et Maud, toujours fichée sur mon épieu, n’a pas été la moins surprise. Je n’étais pas trop sûr de mon coup, ni des règles du jeu que je venais d’imaginer, mais s’il nous fallait goûter aux charmes de chacun de ces jeunes gens, autant y ajouter un peu de piment.



Tandis que Véro se précipitait dans la maison à la recherche de foulards et d’écharpes pour leurs bander les yeux et que Nina criait en direction de la chambre pour inviter Julie à venir nous rejoindre, Maud et Sylvie sont venues embrasser les garçons à tour de rôle, dans l’espoir d’en apprendre d’avantage sur nos caractéristiques buccales.


Quelques minutes plus tard, elles étaient alignées toutes les cinq sur le rebord de la piscine, les jambes largement écartées et les pieds dans l’eau, prêtes à offrir leurs liqueurs chlorées à nos bouches assoiffées. Alignés au bord du bassin, nous avons progressé en silence et en file indienne, savourant pendant près d’une minute les parfums salées exhalés par chacune de ces fontaines débordantes de plaisir.


À l’issue de cette première épreuve, les filles ont réussi un honorable quatre sur six et elles étaient impatientes de passer à la deuxième épreuve et de tester à leur tour notre perspicacité buccale. Après nous avoir bandé les yeux et changé plusieurs fois de place dans de grands éclats de rire, elles nous ont enfin invités à repasser devant leur calice, dans une délicieuse procession à la gloire de leurs cinq paradis.

Il faut reconnaître que notre défi était plus facile que le leur. Non seulement nous avions déjà pu découvrir les particularités physiques et gustatives de chacun des cinq coquillages irisés, mais en plus, leurs gémissements indiscrets provoqués par nos langues indiscrètes, les trahissaient les unes après les autres.


Avant même que le dernier d’entre nous n’ait terminé son pèlerinage, nous avions deviné la maîtresse de chacune de ses chattes juteuses dont les liqueurs nous parfumaient encore la bouche.



Maud a plongé dans la piscine, suivie par ses quatre amies, visiblement heureuses de pouvoir enfin rafraîchir le feu brûlant qui leur consumait le minou. Pour la troisième épreuve, nous étions les premiers à nous bander les yeux, alignés sur le bord de la piscine et offrant nos membres dressés à la dégustation de leurs bouches gourmandes. L’épreuve était difficile, d’autant que chacune s’appliquait à nous offrir le grand jeu, dissimulant ses talents, sous un florilège de pratiques plus excitantes les unes que les autres.


À l’issue de cette troisième joute, trois artilleurs avaient rendu les armes. Seuls Éric et Jacques, dont les bourses avaient été vidées par Maud quelques minutes plus tôt, et moi-même, arborions encore fièrement une virilité triomphante et combative. Et c’est sur un piètre un sur cinq que nous avons entamé la quatrième épreuve, offrant une nouvelle fois nos queues un peu moins fringantes à leur insatiable appétit.

Sans surprise, elles ont réussi un brillant six sur six, contribuant par la même occasion à redonner vigueur aux membres de Pierre, Nicolas et André.



J’avais l’impression d’être un mono dans une colonie de vacances un peu spéciale, dans laquelle les filles se baladaient le cul à l’air et la chatte offerte au bon plaisir de leurs compagnons.

Je les ai regardés se précipiter hors de la piscine, essuyant leurs corps dénudés en riant comme des enfants, tandis que Maud nageait dans ma direction pour venir se lover dans mes bras.



De retour dans le salon, nos jeunes amis s’activaient qui à servir les boissons, qui a nous tracer de nouvelles lignes de coke pour nous permettre de résister aux dernières épreuves. L’innocente nudité de tous ces jeunes gens, qui s’embrassaient et se caressaient ouvertement, avait quelque chose d’irréel. Décidément, ce week-end en amoureux avec Maud, avait pris une tournure aussi inattendue qu’excitante.


Dix minutes plus tard, j’étais allongé sur le tapis épais du salon, aux côtés des cinq garçons, les yeux bandés et nos sexes dressés au garde-à-vous, attendant de se glisser dans cinq fourreaux brûlants dont nous devions deviner la propriétaire.


Une sensation délicieuse m’a envahi le corps lorsque les lèvres humides d’un con trempé sont venues avaler mon gland, avant de laisser mon gourdin frémissant s’enfoncer lentement dans la chaleur torride d’une première visiteuse.


Plongé dans l’obscurité, j’écoutais le glissement mouillé des sexes glissants l’un dans l’autre, le claquement des fesses sur nos cuisses ou notre ventre et les gémissements retenus des jeunes femmes qui faisaient tout pour ne pas trahir leur identité.

L’exercice n’était pas facile tant leurs cons étaient ouverts et inondés, mais l’opulence et le poids des fesses s’écrasant sur nos cuisses, constituaient néanmoins un indice suffisant pour deviner l’identité de nos visiteuses.



L’exclamation de Maud sonnait comme un soulagement après la cavalcade qu’elles venaient de s’offrir. Après avoir enlevé nos bandeaux, nous les avons découvertes, affalées les unes sur les autres, visiblement épuisées, le visage et le corps rayonnants de plaisir. Elles étaient vraiment magnifiques, et nous sommes restés de longs moments immobiles, le membre dressé, à les observer avec admiration. Puis, nous nous sommes concertés avant qu’ils ne me demandent d’annoncer notre verdict.



La jeune fille s’est mise à rougir délicieusement en m’entendant décrire cette adorable petite chatte qu’elle m’avait permis de visiter quelques minutes plus tôt.

J’ai complété mon récit en décrivant longuement le con de chacune des quatre autres jeunes femmes, m’extasiant sur la fournaise de Julie, sur le boyau étroit et doux de Nina, sur la vaste caverne trempée de Sylvie.



On a tous éclaté de rire et les filles ont dû reconnaître que nous avions remporté l’épreuve haut la main, devinant parfaitement l’ordre des cinq chattes accueillantes qui étaient venues nous rendre visite.



Quelques instants plus tard, nous contemplions avec admiration cinq paires des fesses, fièrement dressées et sous lesquelles brillaient les chairs frémissantes d’autant de jolies chattes.

Question cul, ceux de Julie et de Maud étaient incontestablement les plus élégants, avec leurs rondeurs parfaites, généreuses et fermes à la fois. Celui de Véro était plus opulent, mais sa jeunesse lui donnait un caractère pétillant et particulièrement attirant. Celui de Nina avait une rondeur presqu’enfantine, qui donnait envie de le croquer. Quant à celui de Sylvie il était, plutôt menu, rond et musclé, comme le cul d’un jeune éphèbe grec.


Et le défilé a repris. Cette fois les filles n’ont pas retenu leurs vocalises, allant jusqu’à nous encourager nommément lorsqu’elles reconnaissaient le pilon dressé qui venait leur visiter le con.

Elles ont joui plusieurs fois avant que le dernier d’entre nous ne termine son parcours. Mais leurs jouissances répétées ne les ont pas empêchées de reconnaître chacune des cinq queues avant même la fin de l’épreuve.



Tandis que les jeunes femmes reprenaient leur souffle, le cul dressé et le con brillant des fruits de leur jouissance, j’ai fait signe aux garçons de venir se placer derrière chacune d’elle, me laissant spectateur de leur dernier assaut. Sur mon signe, leurs cinq lances sont venues s’enfoncer d’un brusque coup de rein dans le cul des cinq jeunes femmes, déclenchant un concert de cris, de protestations et de ruades aussi véhémentes qu’inutiles. C’était trop tard, elles étaient ferrées et aucun des cinq cavaliers n’était prêt à se laisser désarçonner par sa pouliche. Pour la plupart, c’était sans doute leur première fois, et je n’ai pu m’empêcher de ressentir une certaine fierté d’être à l’origine de cette initiation.


Le contact oppressant du boyau étroit et soyeux sur leur membre gorgé d’un plaisir trop longtemps retenu, n’a tardé à faire son effet. Et les uns après les autres, ils ont laissé exploser leur trop-plein de jouissance entre les reins de leur partenaire.



Les garçons se sont affalés sur les filles pour former une grappe compacte de dix corps tremblants de passion, emmêlés sur le large sofa. Maud a fini par venir me rejoindre sur le fauteuil d’où je contemplais cet émouvant spectacle. Elle a souri avec gourmandise en constatant que mon sexe n’avait toujours pas perdu de sa vigueur.



Cette nuit-là, après qu’un taxi nous ait déposé à notre hôtel, nous avons fait l’amour comme deux possédés, revivant les extases que nous avions fait naître chez nos jeunes amis, jusqu’à ce que les premiers éclairs de l’aube ne viennent à bout de notre résistance et que nous finissions par nous endormir enlacés l’un à l’autre.


Nous sommes rentrés à Paris le lendemain sans prendre congé de nos jeunes amis.

Maud et moi sommes encore collègues aujourd’hui. Et si, depuis qu’elle s’est remariée l’an dernier, nous ne sommes plus amants, nous continuons à partager le souvenir de cette soirée extraordinaire. Un souvenir qu’elle a sans doute rangé dans le tiroir de ses fantasmes, tiroir que je ne désespère pas de pouvoir un jour ouvrir à nouveau.