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n° 15198Fiche technique19396 caractères19396
Temps de lecture estimé : 12 mn
06/10/12
Résumé:  J'attendais ce moment depuis si longtemps.
Critères:  fh amour voir ffontaine intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo tutu -amourdura -couple
Auteur : Cev
Les aventures de Cev

Cela faisait si longtemps que j’attendais ce moment-là. Si longtemps que je voulais te tenir dans mes bras. Te sentir, te toucher, te caresser. Me laisser aller à toutes mes envies et répondre aux tiennes.


L’éloignement m’avait fait languir et ces retrouvailles n’en sont que meilleures.


Je peux enfin sentir ta peau sous ma main. Sentir la chaleur de ton corps. Mes lèvres redécouvrent tout d’abord ton cou, le haut de tes épaules, et ma langue te fait frissonner quand elle s’attarde sur ta nuque. Tu réagis, tu fermes les yeux et tes mains dans mes cheveux me font comprendre que tu aimes cela.


Nos lèvres se cherchent, se trouvent, et nos langues s’entremêlent. J’aime cela, ces baisers fougueux où nos salives se mélangent. Ta langue chaude pénètre au plus profond de ma bouche. Sentir ta respiration, fermer les yeux et jouer avec tes lèvres, ta langue. Parfois tendrement, parfois avec envie. Je te mords tendrement, je t’aspire.


Tes mains cherchent les boutons de ma chemise. Tes gestes sont précis, rapides et tes doigts ont vite fait de pouvoir parcourir mon dos, mes épaules, mon torse. Tu joues avec tes ongles, tu me pinces avec délicatesse et je te déshabille à mon tour. Je veux pouvoir m’occuper de toi sans aucune entrave. Tu te retrouves totalement nue devant moi et j’ai toujours le même plaisir à te regarder.


Mes mains se promènent sur ton corps, elles s’attardent sur ton dos et je ne peux m’empêcher de descendre vers tes fesses. Je les touche avec légèreté, puis avec plus de conviction. J’aime ça, quand mes doigts passent lentement sur ta peau douce, quand ils effleurent le sillon qui les sépare.


Je remonte alors vers tes seins en passant par tes hanches et je m’occupe enfin d’eux. Ils sont beaux, fermes et je joue avec. Tu as pour moi un magnifique décolleté quand tu es habillée et je prends un malin plaisir à être le seul à pouvoir les toucher, les embrasser. Tes mamelons rétractés sont toujours un jeu pour moi. Je pose mes lèvres sur eux. Je mouille de ma salive et j’aspire doucement. Je caresse de ma langue, et petit à petit ils vont venir. Je peux alors les sucer, les mordiller avec douceur au début, puis légèrement plus fort. Tu réagis, entre le plaisir et un peu de douleur. J’adore essayer d’être à la limite. Tu me guides.


Tes mains s’occupent de moi. Elles ont vite fait de descendre vers mon sexe. Tu le touches, le caresses. C’est un vrai plaisir pour moi.

Tu joues avec mes bourses, avec ma queue. Tu fais des mouvements de va-et-vient, tout doucement. Tu effleures mon gland, sans serrer. C’est un régal. Je te serre de plus en plus fort contre moi. Je t’embrasse avec passion, la bouche grande ouverte. Je veux ta langue au plus profond de moi.

Nous nous allongeons alors tous les deux. Toi sur le dos, et moi près de toi, sur le côté. Je me mets à genoux, jambes écartées. Ta main continue de me caresser le sexe, les couilles. Puis tu viens tendrement passer ta main entre mes fesses. Tu caresses mon petit trou, juste à l’extérieur. C’est divin.


Pendant ce temps, mes doigts partent à la découverte de ton entrejambe. Ils écartent tes jambes pour mieux pouvoir s’y promener. Je caresse lentement ton sexe en prenant soin d’éviter ton clitoris. Je m’occupe d’abord de tes grandes lèvres. Elles sont serrées au départ, puis après quelques secondes, elles s’ouvrent à moi en général. Moment que j’apprécie, car elles s’écartent quasiment toutes seules et je sais alors que ton excitation monte. Elles me laissent le passage et je passe mon doigt entre, et le fait de sentir que tu commences à mouiller est un vrai aphrodisiaque. Ton sexe s’humidifie assez vite et je le sens alors gonfler sous mes doigts.


Ton clitoris lui aussi se gorge de sang quand je viens le caresser avec mon doigt mouillé. Il gonfle et sort petit à petit de son capuchon. Ce moment où je sens ton sexe se mouiller et se gonfler ainsi ne me donne qu’une envie, c’est d’aller un peu plus loin. Et c’est ce que je fais. J’introduis lentement mon doigt à l’intérieur. Tout doucement pour ne pas te faire mal. Au départ cela est très serré, puis cela s’ouvre lentement et je n’ai aucun mal à introduire ce doigt en entier. Tu te cambres pour me faciliter la tâche. Je sens que cela te plaît, que tu veux que j’aille un peu plus loin. Je fais alors quelques mouvements de va-et-vient mais assez vite, je retire ce doigt, car je n’ai qu’une envie : le lécher. Goûter ce liquide, avoir ton goût dans la bouche. J’adore le goût de ton sexe humide, mouillé. Je sais déjà que je ne pourrai pas résister longtemps avant d’aller explorer tout cela avec ma langue. Mais pas pour le moment. Il faut que je sois patient.


Pendant que je continue de m’occuper de ton clitoris, tu me fais coucher sur le côté. Tu veux toi aussi pouvoir t’occuper de moi. Tu me diriges lentement afin que tu puisses caresser mon sexe avec ta langue. Au début, seulement avec ta langue. Tu remontes tout le long de mon sexe, tu mouilles mon gland de ta salive. Et ce n’est qu’ensuite que tu viens le prendre dans ta bouche. Je ne sais pas si tu fais cela par plaisir ou pour me faire plaisir, mais le résultat est là. Tu le fais divinement bien.


Je me couche sur le dos en abandonnant ton sexe. Tu me dis de profiter. Et là, c’est le bonheur. Quand je te regarde me sucer, les yeux fermés ou au contraire me fixant du regard. Quand tu mouilles bien mon sexe de ta salive et que tu montes et descends en le serrant à peine de tes lèvres, en le touchant juste, en essayant de le prendre au plus profond de ta bouche. Sans les mains. Quand je regarde ce spectacle, ton visage, et que tes doigts me caressent les bourses, l’entrejambe, qu’ils passent doucement entre mes fesses, effleurant juste mon petit trou alors c’est tout simplement magnifique comme sensation. C’est sexuellement parfait, enivrant, excitant au plus haut point.


Tu vas alors plus loin. Avec détermination tu relèves mes jambes, tu les écartes et tu diriges ta bouche vers mon petit trou. Ta langue vient le lécher. Tes doigts écartent mes fesses et tu viens insinuer ta langue au plus profond. C’est tout simplement fantastique pour moi. Les sensations que cela me procure, le fait de te regarder le faire, et surtout me dire que tu n’as pas de retenue toi non plus dans l’envie de faire plaisir à l’autre. Que tout est bon pour m’amener au plaisir, à la jouissance.


Je profite alors de ta bouche et de ta langue pendant quelques minutes. Je ne pense qu’à moi, à mon plaisir. Ces moments sont fabuleux et je ne peux pas me retenir de le dire, voire de le crier :



J’ai envie de hurler. Mais l’envie de m’occuper de toi est plus forte.


Je te remonte vers moi, je t’embrasse à pleine bouche. J’embrasse ta langue qui a encore le goût de mon sexe, de mon cul et je te couche à nouveau sur le dos.

Je te mets au bord du lit. Tes jambes fléchies, écartées et moi à genoux, face à ton sexe. J’adore le regarder, l’embrasser. Tout d’abord du bout des lèvres, puis le bout de ma langue vient effleurer tes grandes lèvres, ton clitoris. Je le mouille bien de salive et je le lèche. Ma langue se promène tout autour et finit par s’insinuer à l’intérieur. C’est un grand moment de plaisir pour moi, mettre ma langue au plus profond, lécher, goûter, boire, sentir que ça coule. Le bonheur.


J’adore ce goût, sentir que ton sexe s’ouvre à moi, à ma langue. Ce n’est qu’après que je pose entièrement ma bouche. Grande ouverte, je te suce littéralement. Je caresse de plus en plus vite et de plus en plus fort ton clitoris avec toute la longueur de ma langue. Tout est trempé, humide et tu te cambres de nouveau. Tu gémis et ta main vient tenir ma tête car tu veux que je continue. Tu me le dis :



Tu dis adorer ma langue, adorer quand je te suce. Alors je continue. Je ralentis parfois, effleure juste ton clitoris, et je repars de nouveau. Je savoure. Je joue un peu à te faire languir. Je passe ma langue tout autour, puis entre tes fesses. Je mouille et lèche ton petit trou. J’essaye de m’insinuer moi aussi au plus profond. C’est différent, mais rien ne me gêne du moment que cela t’amène au plaisir. Ton corps entier me rend fou. Je ferme les yeux, je me régale.


Je retourne alors te sucer et j’introduis un doigt dans ton sexe, puis deux.

Je caresse tout doucement la partie arrière de ton vagin, tu gémis. Je joue à bouger mes doigts dans tous les sens et tu as l’air d’apprécier. Ton vagin se dilate, il me laisse la place.

Puis mes doigts se dirigent vers l’avant. Vers cette zone qui pour le moment est peu perceptible. Je fais des mouvements de va-et-vient de plus en plus forts, de plus en plus grands et de plus en plus profond. Des mouvements comme « viens par ici », et le résultat ne se fait pas attendre. Au bout de quelques minutes, le petit renflement avec lequel j’adore jouer apparaît. Il gonfle, telle une éponge. Je le caresse de plus en plus fort, il gonfle de plus en plus. Tu me dis alors « doucement ». Pardon, difficile pour moi de résister car ensuite je sais ce qui va arriver, cela va véritablement couler sur mes doigts et c’est ce qui se produit. Ton sexe dégouline et tu me le dis :



Et tous mes sens en profitent, le goût, la vue, l’odeur. Quel plaisir pour moi.


Au bout de quelques minutes de ce traitement, tu serres fortement les jambes, tu me dis :



Non, pas encore, je veux te faire tellement de choses encore. Profiter de ces minutes de plaisir, d’échange et de partage avec toi.

Alors je me redresse. Je viens de nouveau t’embrasser longuement. On partage alors le goût de ton sexe.


Tu en profites pour me caresser le torse, me serrer fortement contre toi. Tes mains se dirigent alors vers mes tétons. Tu les caresses de plus en plus fortement. Tu finis alors par me les pincer, de plus en plus fort. Le mélange de la douleur légère que cela me procure et le plaisir que cela m’entraîne est flou. L’oscillation entre plaisir et douleur est agréable. Le passage de l’un à l’autre en quelques millisecondes est excitant. Le fait de totalement me confier à toi, de te demander de me faire mal et que tu acceptes me montre chaque fois combien nous sommes fait l’un pour l’autre. Accepter de faire mal à l’autre pour son plaisir. Tu remplaces alors une de tes mains par ta bouche, tes dents. La douleur légère est agréable là aussi. Je sais que tu n’iras pas trop loin. Stop, j’ai un mouvement de recul. Surtout, je te dis de ne pas t’en vouloir. Le but du jeu est de trouver la limite. Je ne suis pas masochiste même si je sais que demain mes mamelons me rappelleront sûrement ce moment de bonheur avec toi. Tu osais moins auparavant mais tu sais maintenant que pour moi rien n’est honteux ou humiliant quand il s’agit de sexe entre nous deux.


Je m’occupe alors de nouveau de ton corps. Des caresses, des baisers. Te lécher, partout, des pieds aux lobes de tes oreilles. Je te murmure combien je prends du plaisir. Tu me réponds alors :



Et nous passons quelques minutes à s’occuper l’un de l’autre, simultanément. Tu me suces, je te lèche. Nos jeux de langues nous font gémir, bouger, se cambrer l’un et l’autre. Chacun de nous pense à l’autre.


Tu m’arrêtes et me pousses à me coucher sur le dos. Tu viens au-dessus de moi et te place à califourchon. Non pas à genoux mais sur les pieds, jambes repliées. Tu prends mon sexe et tu l’introduis délicatement dans le tien. Serré au début, ton vagin m’accueille très rapidement. Tu fais tout d’abord des mouvements lents et je sais déjà que cela va être terrible pour moi. Comment résister dans cette position. Mon sexe est immédiatement aspiré par le tien et chaque mouvement l’introduit au plus profond de toi. Tu mets tes mains derrière ma nuque pour te tenir, tantôt tu fermes les yeux, tantôt tu me fixes du regard en souriant. Je sais ce que tu penses : « difficile de résister non ? Regarde, je peux te faire jouir quand je veux. Je sais que tu aimes ça. Que tu en profites ».


La vue de tes seins devant moi, ton regard, la sensation de mon sexe totalement entouré par le tien dans ces mouvements de va-et-vient. Cela me coule dessus, sur mon sexe, sur mes bourses :



Tu ne bouges plus et tu me regardes en souriant. Fière et amusée.



Tu recommences alors plusieurs fois jusqu’à ce que je te dise ne plus en pouvoir. Je prends alors les commandes et te couche sur le lit.


Nos langues se cherchent, se trouvent. Mes doigts vont s’introduire directement dans ton sexe. Sans détour. Et je commence à te caresser à l’intérieur. Je reprends ces mouvements qui te font gonfler, mouiller. Mes gestes sont de plus en plus appuyés. Je te caresse le vagin avec tellement de conviction que tes fesses décollent du lit. Je ne veux pas te faire mal, mais tu gémis, tu me donnes l’air d’apprécier. Le bruit de mes caresses est excitant. Ce bruit de sexe humide. Et ça gonfle sur mes doigts, de plus en plus. Et comme certaines fois, j’ai l’impression que tu lâches prise, que tu ne te retiens pas et ça coule, ça gicle dans ma main, tellement que je te dis à l’oreille :



C’est pour moi une sensation très grisante, excitante au plus haut point. Un fantasme. Mais tu m’arrêtes. C’est trop bon et si tu veux que ça dure.

Tu me regardes et me demandes comment je veux continuer :



Rien que la phrase est magnifique pour moi. Sentir que notre connivence dans la vie de tous les jours, dans le sexe, te permets enfin de me parler ainsi, de te lâcher. De faire en sorte qu’il n’y ait plus aucun tabou entre nous. Et tu connais déjà ma réponse. Tu sais combien j’apprécie cela. Non pas que je veuille cela à chaque fois, loin de là, mais parce que je sais la confiance en moi qu’il te faut pour me l’offrir. En tout cas, c’est l’idée que je m’en fais. La confiance pour t’ouvrir à moi, savoir que je serai doux, attentionné. La confiance pour briser ces tabous, pour te laisser totalement aller.


Je mouille alors mon doigt et je l’introduis lentement dans ton petit trou. C’est déjà très plaisant. Je te sens te laisser aller. Tu as confiance.

Tu es sur le dos, jambes écartées et je m’introduis lentement. Sans lubrifiant, tout est tellement humide. Tu me dis « doucement », mais je sais que tu as confiance. Pourquoi voudrais-je te faire mal ?


La pression se fait plus forte et tu laisses mon gland s’introduire. C’est un vrai moment de plaisir pour moi. Sentir que tu t’ouvres complètement à moi. Que tu me laisses m’introduire dans ton intimité. J’aime sentir mon sexe serré dans ton petit trou. Sentir que, petit à petit, tu te détends et que tu me laisses aller de plus en plus profondément. Tes mains prennent mes fesses et tu me guides à aller plus loin, plus profond en toi. Quel bonheur.



Tes mots m’excitent au plus haut point. Mes mouvements s’accélèrent, sont de plus en plus amples, tout en essayant d’être le plus doux possible. Surtout, que le plaisir soit partagé.


Je te demande alors de te tourner. Tu es de dos devant moi, et je peux alors regarder tes fesses ; mieux, les écarter pour m’y introduire de nouveau. La résistance est moindre. Tu me laisses pénétrer sans aucune résistance. Tout est mouillé, humide et chaud. C’est une sensation fabuleuse pour moi de sentir mon sexe à cet endroit-là. Que du plaisir. Je te demande si cela va et tu me réponds :



Mes mains caressent tes cheveux, tes seins, tes mamelons. Puis je descends vers ton sexe.


Il est trempé, le liquide coule sur ma main au fur et à mesure que mes mouvements s’accélèrent et que je viens de plus en plus profondément en toi. Mes doigts caressent ton clitoris, je te masturbe. Tu gémis, tu me dis :



Alors je continue. Le plaisir monte en moi. Je ne cesse de me retenir. Mes doigts sont mouillés et je continue. Je caresse ton sexe de plus en plus vite, de plus en plus fort. Le mien est au plus profond de toi, les frissons montent de plus en plus, je sais que je ne vais pas pouvoir résister.


Je viens en toi de plus en plus fort et tu as l’air d’y prendre du plaisir.

Je t’entends alors me dire :



Et tu gémis. De plus en plus fort, sans retenue. Et c’est trop pour moi. Je sens les contractions de ton plaisir autour de mon sexe. Alors je me laisse aller. Je lâche prise et c’est un vrai moment d’extase. Quelques secondes seulement, mais elles n’ont aucun prix. Ces quelques secondes où plus rien n’existe en dehors de ton plaisir et du mien. Ces quelques secondes où je ne pense plus à rien, sauf à nous deux. Et à chaque fois la même question : « comment autant de plaisir après tant d’années ? Elle me rend vraiment fou à ce point-là ? »


Nous nous prenons alors dans les bras. Sans un mot. Nous avons chaud tous les deux, on souffle un peu. La pression redescend comme tu dis. La moindre de mes caresses te fait frissonner, devient presque désagréable.



Nous fermons les yeux, ensemble. Profiter de ces quelques secondes, de ces quelques minutes d’extase en ce qui me concerne.

Profiter de la chance que j’ai. Du plaisir que tu m’apportes, du plaisir que j’ai à te faire l’amour, à te voir et à t’attendre jouir dans mes bras.


Ta respiration ralentit. Tu sombres petit à petit et je prends du plaisir à te regarder t’endormir. À t’écouter.

Nos corps sont l’un contre l’autre. Nous ne formons plus qu’un.

Après tant de plaisir, je ferme les yeux moi aussi. Je sais la chance que j’ai, alors je profite. Et je m’endors à mon tour, heureux…