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n° 15200Fiche technique21066 caractères21066
Temps de lecture estimé : 13 mn
08/10/12
Résumé:  Rencontre amoureuse avec une étudiante chinoise, à Paris.
Critères:  fh hplusag jeunes asie amour ffontaine cunnilingu pénétratio fsodo nostalgie portrait -regrets
Auteur : Jeff 2  (Jeff)
Lili...

Elle marchait, tête baissée, les yeux rivés au sol. Menue, pas très grande, elle semblait être une âme perdue au milieu de tous ces grands gaillards d’étudiants occidentaux et ces filles élancées, toujours à la limite de l’anorexie. C’était une « petite » asiatique qui avançait, à pas comptés, serrant ses livres contre son ventre et détournant son regard de ceux qu’elle croisait.


Je l’observais souvent, à quelques tables de la mienne, dans la grande bibliothèque universitaire. Mais dès que nos regards s’entrecroisaient, hop ! elle baissait ses yeux vers la page qu’elle étudiait. Réservée, perdue, esseulée… c’était l’impression qu’elle donnait. Mais en réalité, c’était plus qu’une impression, c’était un truisme. Lili était une jeune étudiante chinoise à Paris. Plus tard, après que j’eus réussi à l’approcher puis à l’apprivoiser, j’ai découvert en elle une jeune femme enjouée, capable d’exubérance et d’une très grande culture. Elle était en France pour terminer une thèse sur l’art romantique à travers je ne sais plus quel auteur et selon un angle d’approche aussi tarabiscoté qu’incompréhensible pour le simple mortel que je suis.


Bref, vous l’avez compris, amis lecteurs, il m’a fallu du temps, de la patience et surtout de la persévérance pour approcher et apprivoiser Lili. Mais comme ce sont toujours les premiers pas qui coûtent, après, je peux vous l’assurer, quels délices, quel nirvana ce fut ! Pour autant, n’allez pas croire que sauter le premier pas signifie automatiquement sauter la fille ! Que nenni ! Entre le moment où elle a accepté mes premières paroles sans détourner la tête, tolérant ma présence à ses côtés et avant d’arriver à une invitation pour une soirée en tête-à-tête, il m’a fallu beaucoup de temps dont je ne vous narrerai pas les péripéties, ici. À cette occasion, j’ai pu mettre en application ce que le sieur Jean de La Fontaine explicitait dans la fable Le lion et le rat, dont il concluait : « Patience et longueur de temps / Font plus que force ni que rage. »


Puisque Lili était à Paris pour étudier l’art romantique, j’avais décidé, pour la séduire – c’était une forme de défi saugrenu que je m’étais fixé – que je jouerais à fond cette carte de mon jeu personnel. Et dès lors j’ai tout mis en œuvre pour y arriver. Bref, je sortais le grand jeu… gastronomie, visites de la ville de jour, de nuit, promenades sur la Seine, dîner sur un bateau-mouche, aux chandelles… tout. J’ai tout fait. Dans les règles de l’art. De l’art romantique, bien entendu. Et plus nous avancions tous les deux vers cette complicité qui amène inexorablement vers une position horizontale, plus je me prenais à mon propre jeu. À cette occasion, je découvrais (ou redécouvrais sans jamais l’avoir réellement pratiqué) le cheminement volontairement suivi par les amoureux du XVIIe siècle, dénommé « la carte du tendre », qui passait par « le lac de l’indifférence » pour aboutir aux rivages inconnus qui bordent « la mer dangereuse ». Bref, que le temps de la séduction permet de mieux connaître l’Autre et que plus on apprend à le connaître, plus on met du temps à le séduire, plus le désir monte et plus il faut aussi apprendre à se contrôler.


Ainsi, après des semaines, des mois d’attentes, après un ultime dîner aux chandelles servi dans un restaurant réputé de la capitale, le temps de l’attente me paraissait à ce moment-là propice à une conclusion évidente : c’était pour ce soir !


Au cours de nos pérégrinations, je l’avais initiée à la gastronomie française, aux vins et à cet art de vivre qui participe à notre richesse culturelle. Et Lili appréciait de plus en plus ces découvertes, montrant à la fois une soif d’apprendre mais aussi une gourmandise insatiable. Elle était enjouée et ses yeux se mettaient à briller dès l’ouverture d’une carte et étincelaient lorsque le serveur soulevait la cloche qui cachait la présentation alambiquée d’un plat. Moi, je me réjouissais de la voir ainsi. Et au fur et à mesure de nos rencontres, quelques gestes tendres et complices étaient venus émailler nos tête-à-tête. Ils étaient même devenus des rites… Frôlements de nos hanches quand nous marchions côte à côte, effleurement de nos mollets sous les tables nappées jusqu’au sol quand nous étions au restaurant, pieds qui se touchaient aussi, caresses du dos de la main en travers d’une table de bistrot ou de restaurant… J’étais même arrivé à lui faire accepter de légers baisers dans le cou… c’est dire le degré d’intimité auquel nous en arrivions alors.


Expliquons, pour sa décharge, que dans sa culture, dans son éducation, garçons et filles ne s’embrassent pas dans les rues et que la pudeur et la retenue sont des valeurs fortes en Chine. Alors, il ne faut pas lui jeter la pierre. Elle se comportait comme on l’avait éduqué.


Avec une certaine perversité, j’avais ce soir-là imaginé un itinéraire qui passait au pied de mon immeuble et espérais fortement que je pourrais détourner notre chemin en faisant une longue halte dans mon appartement. Et mon obstination me donnait enfin raison.


Gloria ! Lili au sortir du restaurant accepta de laisser sa main dans la mienne… puis, enjambant le canal Saint-Martin, je « nous » arrêtai au milieu du pont de fer pour lui faire admirer la féerie du paysage urbain et délicatement j’emprisonnai son visage dans ma main, délicatement j’approchai mes lèvres de sa bouche pour l’embrasser. Et Lili se laissa faire. Mieux, elle aspirait mes lèvres au contact des siennes, ouvrant sa bouche pour m’inciter à poursuivre et dans le même souffle me rendait mon baiser en introduisant une langue fraîche, pointue et fouineuse qui m’électrisait la colonne vertébrale. Ce premier baiser, langoureux, passionné, était plein de promesses pour d’autres à venir… Lili embrassait comme elle mangeait, avec gourmandise, délectation et jouissance. Lili se sentait-elle soudain libre ? Libérée ? Les artefacts de la pensée féminine m’échapperont toujours et je ne suis pas prêt à en chercher les cheminements. Moi, je constate et utilise ce qu’elles veulent bien m’accorder à l’instant présent. En redescendant de la passerelle, nous étions enlacés. Contre moi, je sentais son corps gracile et léger onduler et tous les dix pas, elle levait la tête pour picorer mes lèvres… Dire que je marchais sur un petit nuage était proche de la réalité. Dire que j’étais excité était aussi en dessous de la vérité.


Devant la porte de mon immeuble, je marquai un temps d’arrêt pour ne pas la brusquer et lui proposai, du bout des lèvres, de venir chez moi. En guise de réponse, elle se haussa un peu plus sur la pointe de pieds et vint coller son corps au mien, m’offrant une nouvelle fois ses lèvres fraîches et humides et tout en se laissant fouiller et en me fouillant la bouche, elle frotta son pubis contre mon bas-ventre ce qui eut pour effet de décupler mon envie d’elle.


Rapide comme l’éclair, de peur qu’elle ne vienne à changer d’idée, je l’entraînai derrière moi et nous nous sommes retrouvés dans mon appartement. Et là, après un bref moment de timidité, cela allait être le prélude à un véritable feu d’artifice.


Après avoir rapidement examiné les lieux, timidement elle m’interrogea – avec cet inimitable accent chinois – sur les autres occupants de ce vaste logement. Rassurée et admirative que je puisse vivre seul, elle s’extasia alors sur l’appartement, puis sur le nombre de livres et de bibelots qui encombrent chaque coin et recoin, chaque mur-bibliothèque dégueulant souvent sur le parquet ou les fauteuils. Oui, je sais, un appartement de célibataire, ce n’est pas toujours le top du rangement, mais quand en plus ledit célibataire est accro aux livres, revues et journaux, là vous atteignez le summum. Pour la rassurer je lui fis faire un rapide tour du propriétaire avant de la ramener vers le salon. Là, une nouvelle fois, nos lèvres sont entrées en fusion, nos bouches se sont collées l’une à l’autre et tandis que nous nous embrassions avec passion, mes mains partaient en exploration de son corps. En prenant garde de ne pas la brusquer, de ne pas heurter sa sensibilité.


Au travers des tissus légers qui l’habillaient, je sentais ses muscles se bander au rythme de nos langues. Sous mes mains, ses petits seins semblaient se tendre et presque doubler de volume. Sous mes doigts leurs pointes durcissaient. Contre mon buste je devinais sa respiration s’accélérer et son souffle devenir plus court. Puis ma main est partie vers d’autres lieux stratégiques… Précautionneusement, je descendis vers son ventre. Au travers de son pantalon en toile un peu rêche, j’explorai son entrejambe. Je frottai ma main doucement repliée en conque pour mieux épouser son anatomie intime. Et Lili respirait de plus en plus fort. En guise d’approbation elle se collait encore plus à moi, s’accrochait à mon cou, passait ses doigts fins dans mes cheveux et dardait dans ma bouche une langue vigoureuse, exploratrice. Son corps semblait soudain agité de soubresauts et ses cuisses s’ouvraient et se fermaient de plus en plus violemment, m’emprisonnant la main jusqu’à me la presque broyer.


Alors que je tentais de me dégager de cette double étreinte pour reprendre ma respiration, Lili en quelques contorsions ôta son pantalon et m’offrit sa nudité. Je restai un instant médusé par sa plastique. Des jambes fuselées qui se terminaient sur un ventre légèrement bombé, orné d’une bande de poils pubiens longs mais soigneusement entretenus et qui laissaient entrevoir son sexe, imberbe. Hum ! Quel magnifique grain de peau elle avait ! Doux, soyeux, chaud et humide en raison des premières caresses. Je me détachai d’elle et enfouis mon nez et ma bouche dans son giron.


Lili est partie à la renverse, sur un large fauteuil, et, jambes largement écartées, en s’agrippant à ma tête elle accepta mon hommage à sa féminité ruisselante. Elle sentait bon. Son goût, légèrement salé, inondait ma bouche. Avec délicatesse, j’explorai son sexe. D’abord ses poils. Longs et soyeux, qui retenaient des effluves de cannelle et de citron. Plus tard elle m’expliquera qu’elle utilise un savon à base de ces deux senteurs. De ce doux tapis, en suivant la pointe naturelle je descendis vers ses lèvres. Charnues, lippues, qui cachaient des trésors. D’autres lèvres, très brunes, aux plis multiples et turgescents qui s’ouvraient pour laisser perler quelques gouttes de son plaisir et faisaient écrin à son clitoris. Un minuscule bouton rose, enserré dans un repli rose nacré. Du bout de ma langue j’allai le titiller et déclenchai une série de cris rauques. Bien sûr, j’étais là sur un point sensible. Alors j’insistai. Je l’aspirai, le mordillai, le fis rouler sous ma langue, l’agaçai avec le bout de mes dents. De temps à autre, je descendais chercher encore plus de lubrifiant avec ma langue entre les lèvres de son sexe et remontais rapidement, ce qui avait pour conséquence de faire rouler les hanches de Lili de gauche et de droite. Elle soulevait et abaissait ses fesses au rythme de son plaisir, de sa jouissance. Du bout des doigts j’explorais l’entrée de son sexe et doucement j’allais et venais en le pistonnant doucement. Puis, l’index recroquevillé vers le haut je suis parti explorer la paroi humide de son sexe pour trouver cette zone grenue et ultra-sensible qu’est le fameux point G ! Sous les premiers contacts, Lili se cambrait et feulait avant de retomber et tenter d’enlever ma main, car peu habituée à cet attouchement, elle en restait surprise. Mais j’insistai. Je recommençai mon exploration tout en excitant son clitoris. Le résultat fut immédiat. Lili poussa un cri, se contracta et lâcha un long jet de plaisir, incontrôlable.


Avant que le plaisir ne retombe, vicieusement j’aspirai son clitoris entre mes lèvres, le fis rouler et le mordillai tout en réintroduisant mon doigt dans son sexe et en excitant à nouveau son point G. De mon autre main, j’allai caresser son anus, mouillé par son plaisir. À la première palpation, il s’ouvrit telle une fleur et facilita son accès. Doucement, je le pénétrai puis commençai à aller et venir. Lili suffoquait, ahanait. Elle avait du mal à reprendre un souffle normal et ses muscles étaient à la limite de la tétanie sous les vagues de jouissance qui montaient en elle. Elle se cambrait, se cabrait et, une main agrippée à son sein, l’autre appuyant ma tête contre son sexe, elle cria sa jouissance, lâchant ses longs jets de plaisir en partie dans ma bouche. Enfin, retombant sur ses fesses, elle eut du mal à reprendre pied sur terre. Elle resta là, extatique, ahurie, hallucinée de ce plaisir qu’elle semblait découvrir et auquel, sans mentir – c’est elle qui devait me l’avouer plus tard –, elle ne s’attendait pas.


À ses pieds, le visage trempé d’elle qui ruisselait sur mes vêtements jusque sur le parquet, en passant par le cousin du siège, je me remettais, moi aussi, de cette folle cavalcade vers le plaisir et j’avais l’impression que mon sexe venait d’exploser. Dans ma folie gloutonne, je venais de jouir…


Après quelques minutes d’accalmie, je me déshabillai enfin et lui présentai mon sexe, mi-tendu par un plaisir incomplètement satisfait.


Avec beaucoup de difficultés, Lili bougea. Comme elle était plus petite que moi, ses lèvres étaient justes à la hauteur de ma poitrine qu’elle s’empressa de venir bécoter. S’attardant sur les mamelons, elle joua avec eux comme elle aurait pu le faire avec les seins d’une femme. Ce jeu de lèvres, de petites et grandes succions, de titillement de mes tétons, eut pour effet de faire redresser mon sexe et de m’envoyer de longues décharges électriques dans tout le corps. Sa langue était redoutable. Elle ne laissait aucun centimètre carré de ma peau indifférent et par petites touches, abandonnant mes seins, elle descendit sans précipitation vers mon ventre, mon nombril, pas loin de mon sexe qui dardait et commençait à me faire mal.


Avec cette lenteur composée et exaspérante, elle vrilla sa langue dans mon nombril. Elle joua avec lui comme avec les replis d’un clitoris. Aurait-elle trouvé sous sa langue cette excroissance de chair, turgescente et excitée, qu’elle n’aurait pas mieux fait. Je n’en pouvais plus mais la bougresse insistait, s’attardait et mettait mes nerfs à rude épreuve. J’avais beau enserrer sa tête entre mes mains pour tenter de la forcer d’abandonner mon nombril pour qu’elle s’occupe enfin sérieusement de ma virilité, rien ne pouvait l’arracher de cette zone que je ne me savais pas si sensible. Ses seins frottaient allègrement mes cuisses et de temps en temps, remontaient malicieusement sur les testicules. Le contact des pointes acérées et de la mollesse des petits globes accentuait encore mon désir d’elle. En redescendant, c’était son menton, sa gorge qui venait frotter ma hampe et réenclenchait de nouveaux spasmes de plaisir.


Enfin, elle se décida à abandonner le centre de mon univers pour aller jouer avec mon sexe. Oh ! je dois avouer que j’ai bien failli éclater au premier contact de sa langue. Avec autant de perversité que de plaisir elle s’est ingéniée à laper, suçoter, aspirer, lécher, léchouiller, caresser, absorber mon sexe. Pfiou ! Comment une si petite bouche pouvait-elle avaler mon sexe ? Mystère de la nature (féminine). En écrivant ces lignes, j’ai encore cette sensation qui m’enveloppe et me tend. Lili, sous ses aspects de jeune fille timide et toute pétrie de bonne éducation chinoise, était une redoutable suceuse. Avec application et méticulosité, elle m’a pourléché le sexe qui n’était plus qu’une tige brillante et vibrante. Avec une application toute asiatique, elle avait formé un rond parfait avec ses lèvres, légèrement plus petit que mon sexe, et par petites avancées, avec ou sans la langue, commençait à faire coulisser mon sexe dans sa bouche, l’utilisant comme son propre sexe pour m’aimer. Geee ! Alternant les caresses de surface avec des caresses de plus en plus profondes. Je ne résistai pas longtemps à ce traitement et lâchai au fond de sa gorge deux ou trois longs jets de jouissance qu’elle s’appliqua à avaler.


Et sans relâcher son étreinte buccale, Lili continua et accéléra son mouvement, sa succion. De nouveau je me sentis durcir et ma peau raclait ses dents… À peine dur, déjà de nouveaux spasmes revenaient agiter mon sexe, toujours abrité par la bouche de Lili. Mais cette fois, au milieu de sa caresse, elle me laissa en plan quelques secondes, le temps pour elle de m’enfourcher.


Calant ses pieds bien à plat le long de mon flanc, écartant largement ses cuisses, m’offrant la vue de son sexe gonflé, bavant et nu, elle s’empara de mon sexe et, d’une main agile, elle le fit glisser vers son entrejambe, frottant légèrement mon bout le long de sa fente ouverte, pour mieux l’humidifier et, en une longue, lente et unique pesée, elle s’est assise sur moi et s’est empalée, jusqu’au fond. Seules, les contractions de son intimité me massaient avec délice. Elle était pourtant étroite. Son sexe semblait être celui d’une gamine et pourtant, bonheur de l’élasticité des chairs, elle s’était ouverte comme par enchantement pour m’absorber, m’avaler, m’aspirer au plus profond d’elle avec une légère grimace, qui rapidement devait devenir un sourire de contentement, et de profonds râles annonciateurs de nouvelles vagues de plaisir qui montaient en elle.


Je calai mes mains sur ses fesses et entamai un hardi va-et-vient, me mettant à la limite de l’expulsion et chaque fois je la laissais retomber, doucement en tentant de repousser toujours plus profondément mon sexe en elle. Elle poussait de plus en plus de soupirs, de petits cris d’oisillon, affamée de sexe. Ses mains s’appuyaient sur ma poitrine dont elle maltraitait les flancs et la chair. À la limite de l’explosion, je voulus changer de position, lui faire l’amour en levrette.


L’attrapant par la taille pour m’extraire d’elle, et sans franchement lui demander son avis, je me débrouillai pour la positionner à genoux, m’attachant à tenir ses hanches fermement. Devant moi, ses petites fesses, nerveuses, s’ouvraient largement. Sa rondelle brune, ses lèvres charnues et gonflées de plaisir étaient un appel à toutes les pénétrations, y compris les plus sauvages. Mon sexe, droit et presque douloureux, était tendu comme un arc et tressautait devant ce spectacle. En une rapide poussée, je m’immisçai au plus profond de Lili. Sous mes mains je la sentis vibrer et il n’a pas fallu longtemps pour qu’elle feule de plaisir. Bloquant ma respiration, une fois encore je tentai d’endiguer mon propre plaisir ; et avant que le sien ne retombe, je pointai mon sexe devant son petit trou qui, sous la pression, s’ouvrit comme s’il n’attendait que moi. Lentement je poussai, l’écartai pour me retrouver pressé par l’anneau étroit, chaud et humide. Sous mes doigts, sous mes mains, je la sentais tendue mais prête à une nouvelle jouissance. Et sans plus attendre, j’entamai un pistonnage en règle de ses fesses tandis que sa main partait à la rencontre de son clitoris pour parfaire ses orgasmes.


En quelques minutes, j’atteignis le paroxysme de mon plaisir et ne pouvant résister plus longtemps, je me laissai aller, porté par les vagues de bonheur qui nous submergeaient. Épuisé, en sueur, je m’écroulai sur son dos, sans chercher à sortir d’elle et en faisant attention à ne pas l’écraser sous mon poids. Nous sommes restés ainsi durant de longues, de très longues minutes pour reprendre notre souffle, savourer les derniers soubresauts de nos chairs imbriquées.


La nuit a été courte. À plusieurs reprises nos corps se sont mêlés. Nos sueurs mélangées. Au matin, Lili m’a quitté, définitivement, car elle reprenait l’avion pour le fin fond de la Chine. Un lieu improbable où elle savait que je ne la rejoindrais jamais… Elle me manque, Lili. Bien sûr, depuis je la cherche auprès d’autres jeunes étudiantes chinoises, vietnamiennes, japonaises… mais aucune n’est Lili… Peut-être qu’aux prochaines vacances, j’irai en Chine, là-bas, pour aimer Lili…