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n° 15203Fiche technique22352 caractères22352
Temps de lecture estimé : 14 mn
08/10/12
Résumé:  Ma première séance de pose nue devant un parfait inconnu.
Critères:  fhh inconnu caférestau voiture fsoumise humilié(e) exhib noculotte photofilm intermast fellation cunnilingu pénétratio sm init confession -couple+h -sm -exhib
Auteur : Domisexy  (Femme soumise j'obéis à mon Maître en vous dévoilant ma vie)            Envoi mini-message
Le photographe

Notre première expérience de photos sexys avec un inconnu l’a été avec un photographe amateur trouvé grâce à un journal gratuit de petites annonces.



Nous avons eu beaucoup de réponses, il faut dire que peu d’annonces proposent qu’une femme pose nue et gratuitement pour un photographe. Mon mari a donc rencontré plusieurs d’entre eux et en a choisi un qui était, pour lui, le plus sympa et mignon à la fois. Il a voulu que je le rencontre seule une première fois pour discuter avec lui.


Pour l’occasion j’ai dû m’habiller très sexy : guêpière qui laissait mes seins nus, pas de culotte, veste très échancrée à même la peau qui s’entrouvrait au moindre de mes gestes, jupe portefeuille qui, elle aussi, ne cachait rien de mon petit minou surtout quand j’étais assise et laissait voir facilement, juste en marchant, la lisère et l’attache de mes bas !


Le rendez-vous était dans un café à 17 h. Tout l’après-midi, Dominique n’a cessé de me caresser et de m’exciter. Il m’a aussi donné toute une série de consignes que je devrais respecter à la lettre. J’étais dans un drôle d’état en partant seule ! Après un court voyage en voiture, je me suis garée sur un parking proche du café. C’était le mois de février et il faisait assez froid, je sentais l’air glacial s’engouffrer sous ma jupe et mordre mon sexe offert à cette attaque. Mes seins n’étaient pas plus à la fête puisque j’avais bien sûr interdiction de fermer mon manteau et les tétons étaient comme des petites framboises.



Le photographe était déjà installé quand je suis arrivée et il a pu bien me mater quand j’ai enlevé mon manteau et que je me suis penchée pour m’asseoir. D’ailleurs il n’était pas le seul à profiter de ma tenue, d’autres clients n’arrêtaient pas de me regarder. J’étais un peu gênée et craintive mais aussi très excitée de mon audace (C’était la première fois que je sortais dans une telle tenue sans mon mari).



Le courant est tout de suite passé entre nous. Après quelques banalités et une discussion tout à fait ordinaire, il m’a demandé quel genre de photos j’étais prête à faire et je lui ai dit (comme mon mari le voulait) que j’étais prête à faire toutes les photos qu’il voudrait à condition que mon mari soit d’accord et présent. Il m’a aussi dit que ma tenue était très aguichante, qu’il avait aperçu mes seins, mes bas ainsi que l’attache de mes jarretelles et cela m’a fait rougir, je sentais mon sexe s’ouvrir et devenir de plus en plus mouillé.



Avant de nous quitter, il m’a dit qu’il avait hâte de me voir nue, offerte à son objectif et à ses yeux, et qu’il serait très exigeant sur les poses. J’ai acquiescé et baissé la tête, il me restait à faire le plus dur : la dernière consigne de mon mari était qu’avant de partir, et dans le café, je lui dévoile mes seins en précisant que c’était un ordre. Je lui ai dit :



Il était stupéfait mais ses yeux se sont mis à briller d’un drôle d’éclat, il ne me quittait plus du regard et s’est penché vers moi. J’ai alors ouvert l’unique bouton encore fermé de ma veste et timidement écarté les pans du tissu jusqu’à ce que mes tétons dressés soient découverts et j’ai attendu qu’il dise quelque chose, comme mon mari le désirait.



Au bout d’un instant qui m’a semblé interminable, il m’a dit que j’avais de jolis seins, que je devais être bien excitée vu la manière dont les tétons étaient érigés et qu’il adorait que je sois si obéissante. Je n’ai rien dit et me suis empressée de refermer ma veste car, malgré mes précautions, d’autres clients profitaient du spectacle et ne me quittaient plus des yeux. J’ai très vite pris congé, je suis partie sous les regards lubriques de tous les clients (non sans leur avoir encore offert le spectacle de mes seins et de mon ventre en me rhabillant) les joues rouges de honte et de plaisir mélangés, les lèvres de mon sexe ruisselantes et ouvertes !



En rentrant à la maison, j’ai dû raconter dans les moindres détails ma sortie à Dominique, vêtue uniquement de ma guêpière et de mes bas, ses doigts plantés dans mon vagin. Nous étions tous les deux très excités et le reste de la soirée a été une explosion de toutes les tensions retenues depuis plusieurs jours…



C’est la semaine suivante que ma première expérience de pose a eu lieu. J’avais déjà servi de modèle pour mon mari mais jamais encore je ne m’étais livrée si totalement à un étranger. Savoir que j’allais être totalement soumise à ses envies, prendre toutes les poses qu’il voudrait (et je ne doutais pas qu’elles lui permettraient de voir jusque dans les moindres détails toute mon anatomie) me troublait au plus haut point. Dominique était à peu près dans le même état que moi et toute la semaine s’est passée dans une ambiance chargée d’érotisme. Chaque geste était trouble, tout était prétexte à caresses et frottements. Notre sensibilité était exacerbée par l’attente et le désir. Pour accentuer encore plus mon excitation, mon mari a décidé que je n’aurais plus le droit à aucun sous-vêtement, juste des bas avec un porte-jarretelles ou une guêpière laissant mes seins nus. Se savoir ainsi prête au plaisir à tout moment m’a effectivement mis encore plus les nerfs à fleur de peau.


J’étais devenue une vraie pile électrique, hypersensible. À la moindre caresse, j’étais à la limite de l’orgasme. Dominique a aussi exigé que je travaille et que je reste dans cette tenue pour toutes mes activités. J’essayai de mettre des jupes assez longues pour cacher mes bas et l’attache des jarretelles mais mes mouvements laissaient souvent voir ce que j’essayais de dissimuler. J’ai aperçu à plusieurs reprises le regard de mes collègues de travail s’attarder sur moi lorsque je m’asseyais ou me levais. Ils ne manquaient pas aussi de m’épier lorsque je me baissais et leur offrais, malgré mes précautions, une vue des plus intéressante sur ma poitrine, car bien sûr je ne devais pas non plus porter de haut fermé jusqu’au cou.


Dominique voulait que chacun de mes gestes me rappelle que j’allais être offerte nue devant l’objectif d’un inconnu et je dois dire que j’y pensais tout le temps. Tous les gestes de la vie quotidienne prenaient un autre sens, je faisais attention à tous mes gestes et j’étais constamment à l’affût, consciente que tout le monde pouvait s’apercevoir de mon absence de sous-vêtements. Je fus même obligée de passer plusieurs fois par jour aux toilettes pour essuyer ma liqueur d’amour qui coulait de mon ventre ouvert sur mes cuisses jusqu’à mes bas. J’avais peur de tacher mes jupes et que quelqu’un s’en aperçoive !


Tous les jours, nous faisions l’amour plusieurs fois. Deux jours avant la séance Dominique ne voulut plus que nous ayons de relation sexuelle, juste des caresses pour moi, sans avoir le droit de jouir ; cela me mettait dans un état indescriptible, j’aurais été prête à n’importe quelle extravagance pour me soulager de toute la tension accumulée. Je devais par contre lui offrir ma bouche matin et soir pour le soulager, ce qui ne faisait qu’accentuer le manque pour moi.



Le jour venu est enfin arrivé. Mon mari avait tout prévu dans les moindres détails et j’ai suivi son scénario à la lettre. C’était un samedi et nous ne travaillions ni l’un ni l’autre. Le matin nous nous sommes levés tard et avons déjeuné vers 11 heures. Tout l’après-midi fut consacré à ma préparation. Coiffeur, esthéticienne pour m’épiler parfaitement le ventre, puis bain avec des huiles essentielles pour parfumer tout mon corps. J’ai passé une crème auto-bronzante sur tout le corps pour avoir un joli hâle puis du fond de teint pour bien prendre la lumière. J’ai dû me maquiller le visage et les aréoles des seins ainsi que les petites lèvres de mon ventre pour bien les faire ressortir et me rendre encore plus impudique. L’effet était saisissant ! Tout mon corps était une invitation à l’amour ! Je n’avais jamais été aussi nue qu’à ce moment.



Je me suis ensuite parée, plus qu’habillée, avec les vêtements que Dominique avait choisis pour moi. J’ai fait glisser des bas de soie sur mes jambes jusque très haut sur mes cuisses, un porte-jarretelles de dentelle noire est venu les retenir. Une jupe portefeuille a couvert mes reins et une veste très échancrée a caché un peu ma poitrine. Chaque geste que je faisais laissait voir un peu de mes seins, la jupe s’ouvrait très haut au moindre mouvement, chaque pas dévoilait mes cuisses aux regards. Lorsque j’étais assise, elle laissait voir le haut de mes bas, les jarretelles, la peau blanche et douce tout en haut de mes cuisses et l‘ombre de ma fente d’amour. Les vêtements soulignaient plus qu’ils ne cachaient mon corps, tout était fait pour le mettre en valeur et l’offrir aux regards. Un pendentif représentant une femme nue plongeait entre mes seins et soulignait mon décolleté très audacieux.



Enfin le moment tant attendu est arrivé. Nous avions rendez-vous dans un petit restaurant pour un souper léger. La nuit qui était tombée me rassurait et me cachait un peu, il n’y avait pas grand monde dans les rues et je suis passée inaperçue jusqu’au restaurant.



Nous arrivâmes les premiers et tous les regards se sont tournés vers moi quand je passai dans la salle. Le serveur me regarda avec beaucoup d’insistance, surtout pendant que Dominique me débarrassa de mon manteau : ma veste s’écartait et laissait voir presque toute ma poitrine quant à ma jupe, elle dissimulait à peine mes lèvres qui commençaient déjà à s’écarter de plaisir et de trouble. Heureusement nous avions une table un peu à l’écart.



Jean, le photographe, arriva à peine après que nous nous soyons installés. Son regard ne me quittait pas et se perdait souvent dans l’échancrure de ma veste. J’étais assise entre eux, mon mari à ma gauche, Jean à ma droite, les deux hommes se faisant face. Pendant le repas mon mari passait sa main sur mes cuisses et jusqu’à mon ventre. À chaque caresse, je frémissais.



Jean s’en est rendu compte et l’a imité. À un moment tous deux avaient la main sur mes cuisses, là où la soie des bas est remplacée par la douceur de la peau. Quand le serveur est arrivé, ils ont pris un malin plaisir à remonter encore plus haut jusqu’à se rejoindre sur ma vulve. L’un d’eux a alors effleuré mon petit bouton et j’ai sursauté. Le serveur a remarqué leurs mains sous la table et m’a regardé avec un sourire moqueur sur les lèvres.



J’étais rouge de honte mais aussi d’excitation C’est mon mari qui lui répondit :



Nous avons alors commandé les cafés et le serveur est reparti. Dominique a expliqué à Jean qu’il m’avait fait mettre du fond de teint sur tout le corps pour mieux capter la lumière.



Mon mari lui a aussi dit qu’il avait voulu que je maquille mes seins et m’a dit :



J’étais gênée mais j’ai ouvert les deux boutons de ma veste. Timidement, j’ai écarté les pans du tissu jusqu’à ce qu’ils puisent voir mes aréoles maquillées. C’est à ce moment que le serveur est arrivé avec les cafés.


J’ai refermé mon corsage mais Jean a dit qu’il n’avait pas bien vu.



L’ordre était tombé, sec. J’ai baissé les yeux et me suis exécutée sous le regard pénétrant du serveur qui prenait tout son temps pour poser les tasses. Ils étaient tous les trois en train de regarder mes seins.



J’ai dû affronter le regard narquois du serveur. Au bout d’un moment qui m’a semblé interminable Dominique a dit :



Je sentis mon visage devenir tout chaud et rougir pendant que je m’empressai de fermer mon vêtement. Le serveur est parti, le spectacle étant terminé. J’étais profondément troublée par cette scène, des sentiments contraires m’envahissaient : je m’en voulais de m’être ainsi exhibée et j’étais heureuse d’avoir fait plaisir à mon mari, fière d’avoir montré à ces deux inconnus à quel point j’étais docile et obéissais à mon maître, excitée qu’ils aient vu ma poitrine dans ce restaurant, et fière de ne pas avoir déçu Dominique en obéissant sans hésitation à ses ordres. Tout se bousculait dans ma tête et la soirée ne faisait que commencer.


Nous sommes partis du restaurant non sans que je sois encore exhibée devant le serveur et un couple de clients qui venait d’arriver, car mon mari a tout fait pour cela en m’aidant à mettre mon manteau. Nous avons regagné notre voiture accompagnés du photographe et sommes partis pour notre domicile, les deux hommes ayant convenu de ne prendre qu’un seul véhicule. J’étais assise aux côtés de mon mari, Jean à l’arrière. J’ai dû ôter mon manteau avant de m’asseoir.



Dominique aime que j’aie la poitrine nue en voiture et avait décidé de ne rien m’épargner ce soir-là. Jean s’est penché vers moi et ses deux mains se sont posées sur mes seins, jouant avec mes mamelons durant tout le trajet. C’est dans cette tenue que je suis montée jusqu’à notre appartement, veste ouverte sur ma poitrine, jupe ne cachant presque rien de ma vulve, accompagnée par mon mari et un inconnu. Heureusement l’escalier était désert.


Arrivés à la maison, je leurs ai préparé un digestif pendant que le photographe installait son matériel. Les premières photos étaient assez « sages » : j’avais la veste entrouverte et ma jupe laissait voir mes bas et les jarretelles, je me suis mise petit à petit dans l’ambiance et je jouais avec la caresse de l’objectif, m’enhardissant doucement en étant de plus en plus suggestive.



Ça y était, on entrait dans le vif du sujet, soumise aux désirs d’un homme devant son mari. Je voyais à la bosse qui déformait le pantalon des deux hommes qu’eux aussi étaient dans l’ambiance et qu’ils appréciaient le spectacle.



Les ordres tombaient un à un.



Nue devant cet homme et Dominique, j’attendais haletante la suite. J’ai dû me changer et il m’a fait aller sur le palier de notre immeuble, comme si j’accueillais des invités puis j’ai dû descendre dans la cage d’escalier. J’avais une peur terrible que des voisins nous découvrent mais heureusement il n’en a rien été. J’ai dû enjamber la rampe de l’escalier ce qui offrait mon sexe à son objectif et à ses yeux. Après quelques clichés nous avons regagné l’appartement.



Je crois que Jean n’aurait pas eu besoin de me le dire, j’étais au bord de la jouissance et j’avais du mal à résister. C’est avec soulagement que je me suis laissée aller et j’ai eu un orgasme terrible. J’ai tout oublié pendant plusieurs secondes.


Quand je suis redescendue de mon nuage, mes deux hommes semblaient ravis et ont décidé de faire une pause mais pas question pour moi de me rhabiller, je devais rester nue, offerte à leur vue.


Nous reprîmes la séance, moi toujours nue, mais sur le lit conjugal. Après une dizaine de pellicules, la séance prit fin alors que j’étais à nouveau haletante au bord de l’orgasme. Je m’étais exhibée comme jamais avant, obéissant aux ordres d’un inconnu en présence de mon mari. Je n’avais rien caché de moi, il avait pu contempler mon anatomie dans ses moindres détails, voir au plus profond de mon sexe, figer sur sa pellicule mon plaisir et mon impudeur. J’avais été, l’espace d’une soirée, un objet sexuel, une esclave soumise et obéissante attentive à satisfaire tous les désirs de mes maîtres et j’en avais tiré un plaisir que je n’aurais jamais soupçonné avant cela. C’est à ce moment-là que je me suis promis, que j’accepterais tous les jeux que Dominique voudrait bien me proposer.



J’étais surprise parce que c’était totalement imprévu, mais j’étais prête à tout ce soir-là, et de plus Jean était assez mignon. Je me suis approchée de lui à genoux. Après avoir fait glisser son pantalon, j’ai libéré son sexe qui tendait son slip. Après l’avoir totalement déshabillé, ma langue a doucement longé sa hampe dressée, j’ai taquiné ses bourses pleines de mes ongles puis j’ai plongé jusqu’à ce que mon visage soit contre son ventre. J’ai commencé des allées et venues en aspirant bien sa verge pour lui procurer un maximum de sensations.



Jean ne se fit pas prier, d’autant que Dominique me relevait et, passant derrière moi en empaumant mes seins, me poussait vers lui tout en m’obligeant à me cambrer, lui offrant mon ventre. Jean prit mon sexe à pleines mains, jouant avec mes lèvres pendant que mon maître glissait une jambe entre les miennes pour m’ouvrir d’avantage. Je me retrouvais les bras tirés en arrière offrants mes seins et les jambes écartées, livrant mon sexe déjà béant.


Je tressaillais sous ses caresses et il n’eut aucun mal à glisser un puis plusieurs doigts en moi tant mon sexe était mouillé et ouvert. Ses doigt allaient et venaient en moi, m’arrachant des gémissements de plaisir, et plus il me travaillait plus je m’ouvrais. Après quelques minutes de ce traitement, il dit :



Effectivement, je sentais mon sexe dilaté par cette pénétration mais j’étais tellement excitée que je ne ressentais aucune douleur, juste une impression d’être écartelée et remplie comme rarement je l’avais été. Ils m’ont alors allongée sur le lit, mon mari m’a écarté les jambes pour que Jean puisse me prendre d’un seul coup jusqu’au fond de mon ventre offert dans une pose totalement impudique. Puis il a commencé à aller et venir de plus en plus fort en moi, je sentais sa verge cogner au fond de mon ventre et, à chaque coup, je gémissais de plaisir et de douleur mêlée.


Dominique a lâché mes jambes, qu’il n’avait d’ailleurs plus aucune raison de tenir puisque je n’avais aucune envie de me soustraire aux assauts, pour venir me caresser les seins et m’embrasser à pleine bouche. Je lisais dans ses yeux tout le plaisir que je lui donnais en me m’offrant ainsi pour lui et tout l’amour qu’il me portait à cet instant. Nous n’avions jamais été aussi proche qu’à ce moment et pourtant c’est un autre que lui qui me faisait jouir sous ses doigts. Notre photographe a encore accéléré et j’ai senti ses jets tout au fond de mon ventre pendant que mon maître pinçait violement mes tétons pour me faire jouir une nouvelle fois, presque en même temps.



Je me suis exécutée sans me faire prier, je voulais encore montrer à quel point j’aime mon mari et tout ce que je suis prête à faire pour lui. Je me suis empalée à m’en étouffer jusqu’à ce que mon maître jouisse en moi, je regardais notre complice dans les yeux, totalement impudique. J’ai ouvert la bouche pour lui montrer l’offrande de Dominique et j’ai tout avalé.


À aucun moment, je ne me suis sentie rabaissée ou humiliée, ce n’est qu’un jeu entre nous dont j’accepte toutes les règles à l’avance sans même les connaître, sûre que mon maître saura m’emmener au paroxysme du plaisir. Nous avons revu ce photographe à plusieurs reprises.