n° 15211 | Fiche technique | 25483 caractères | 25483Temps de lecture estimé : 15 mn | 12/10/12 corrigé 11/06/21 |
Résumé: Ma nièce aime la fessée. | ||||
Critères: fh jeunes oncletante alliance amour fsoumise cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fouetfesse init -amourcach -fsoumisah | ||||
Auteur : Agerespectab (Gentil papy) Envoi mini-message |
Je m’appelle Frédéric, je suis un vieux garçon un peu libertin, qu’aucune femme n’a encore réussi à cramponner. J’ai une nièce, fille de mon frère tué en Afghanistan. J’adore ma nièce qui me le rend bien. J’ai aussi beaucoup d’affection pour ma belle-sœur, Marie-Thérèse femme très séduisante, mais nous n’avons jamais flirté jusqu’ici.
En ce mercredi de septembre, je déguste mon café d’après déjeuner lorsque tintinnabule la sonnette d’entrée. C’est ma nièce Valérie qui jette ses bras autour de mon cou à peine la porte ouverte :
Là, elle m’a coupé la chique ! Je la dévisage, les yeux comme des soucoupes, je ne peux empêcher des images de s’imposer à mon esprit, images de celles de mes maitresses qui m’ont complaisamment offert leur postérieur pour des jeux érotiques plus ou moins claquants, et je culpabilise aussitôt, mais elle insiste :
Les bras autour de mon cou, la joue appuyée sur ma poitrine ; je sens même ses tout petits seins, enserrés dans son tout petit soutien-gorge, et ça ne m’aide pas à décider sereinement, mais c’est elle qui décide, en petit bout de femme qui déjà mène les hommes qui l’aiment par le bout du nez :
En quelques clics, le mal est réparé.
Je la prends par la main et l’entraine devant le canapé, où je m’installe en son milieu, puis :
Son visage s’empourpre mais elle s’exécute. Je la bascule sur mes cuisses. Sa culotte en coton blanc enveloppe complètement ses fesses. Je glisse mes pouces sous l’élastique, elle réagit vivement :
Je n’insiste pas. Je lève la main droite et claque doucement une fesse. Pas de réaction, je recommence avec l’autre. Je fesse assez modérément mais j’imagine quand même qu’elle ne peut ignorer qu’il s’agit bien d’une fessée. Passée une série de dix claques :
Nouvelle série de dix, en augmentant l’impact :
Sa voix est un peu mourante. Je continue pour dix claques de plus. Elle en a maintenant pris trente, plutôt légères il est vrai.
Et cette fois je claque pour de bon. Elle couine à chaque fois.
Elle est toute rouge et a commencé à pleurer, elle se pelotonne contre moi en cachant son visage. Elle renifle un peu. Je caresse ses cheveux, je cajole. Au bout d’un bon moment :
Elle me quitte un peu boudeuse, mais elle se souviendra de ce qui s’est dit ce jour-là puisqu’elle mettra quatre années à le digérer.
Le lendemain j’ai un coup de fil de ma belle-sœur Marithé. Après les échanges de politesse d’usage elle me dit :
Voilà ce que ma belle-sœur m’a déclaré après la première fessée que j’ai administrée à Valérie.
Les années ont passées. De fait, il semble bien que ma nièce se soit montrée obéissante avec sa mère puisqu’il n’a plus été question de fessée pendant plus de quatre ans. Si ma belle-sœur s’est trouvée obligée de corriger sa fille, ce fut sans qu’elles ne m’en parlent, ni l’une, ni l’autre.
En fait j’ai mis du temps à comprendre. Comprendre qu’il existait, comme souvent entre mère et fille, une sourde guerre de position vis-à-vis des hommes ; il me fallait, si je voulais conserver la confiance de ma nièce, que je lui dissimule complètement que sa mère et moi étions assez complices. Je suis parvenu à obtenir de Marithé un « modus vivendi » selon lequel nous ferions semblant d’un froid entre nous, n’échangeant que par écrit des billets aussitôt détruits, ou planqués en lieu sûr, après lecture.
Valérie, après ses dix-huit ans, m’a adressé des signaux d’alarme bien peu discrets, avec ses jupes très courtes et ses premiers strings qu’elle me laissait découvrir furtivement. Mais comme dit l’adage « ce n’est pas aux vieux singes que l’on enseigne les grimaces ». Donc j’ai fait celui qui ne voyait rien jusqu’au jour où :
Et, ce disant, j’étais assez près d’elle pour lui attraper un poignet, la trainer jusqu’au canapé, la basculer sur mes cuisses. Lui maintenant les deux poignets ensemble, je lui retrousse sa jupette et j’ai tout de suite le spectacle de son derrière nu, puisqu’elle portait un string ce jour-là.
J’ai appliqué une longue fessée, sans prononcer un seul mot. C’était de bonnes claques, mais pas les plus violentes, tout de même. J’agissais calmement, sans colère, cherchant surtout à être à l’écoute de son corps. J’étais presque sûr qu’elle m’avait provoqué froidement pour arriver à ce résultat, je cherchais à en recueillir la preuve. Comme ses jambes menaient une sarabande insupportable, j’ai déplacé ma jambe droite pour coincer les siennes entre mes cuisses. De la sorte, ses fesses étaient vraiment offertes à la correction, quelle qu’elle soit. Mais je n’ai pas ajouté de sévérité. Elle a reçu cinquante claques, espacées chacune de plus d’une seconde puisqu’il s’est écoulé presque une minute et demi. J’ai arrêté la fessée et lui ai demandé :
Je l’aide à se redresser et l’installe debout devant moi, coincée entre mes genoux.
Je m’en vais chercher le tube de Biafine puis reviens pour lui masser doucement les fesse avec.
Elle éclate en sanglots. Je n’ajoute rien. J’ouvre le tube et entame le soin de son postérieur. Force m’est de constater que celui-ci s’est arrondi depuis ces quatre années. C’est maintenant un derrière de femme faite, et bien faite. Je masse doucement ces rondeurs fermes et tendres à la fois. Elle se laisse faire en soupirant et reniflant en même temps. Puis je la prends sur mes genoux pour un gros câlin. Je sais qu’elle me graisse mon jeans et me mouille de pleurs mon col de chemise ; tant pis, faut ce qu’il faut si je veux conserver sa confiance, même si je sais bien qu’il y a une part de comédie dans son comportement.
Elle opine du chef dans mon cou pour acquiescer. La suite des évènements montrera qu’elle respecte notre accord. Je la verrai souvent en jeans - avec un string ? Plus rarement en jupe, mais alors pudiquement - ou prudemment ? munie d’une culotte enveloppante, que je m’empresse de baisser lors des petites fessées qu’elle réclame de loin en loin.
Coup de téléphone de Marie-Thérèse, qui me demande si elle peut venir me voir. Je suis en train de bricoler sur ma bagnole, mais rien de très urgent, aussi je lui dis que ça me ferait vraiment plaisir. Quelques minutes après je lui ouvre ma porte, on s’embrasse chastement puis nous voilà installés au salon, un verre à la main. Après une banalité ou deux, elle en vient à l’objet de sa visite :
Elle est rouge comme une pivoine. Elle tente de s’expliquer mais cela lui coute visiblement :
Je reste comme un con, interdit, essayant de comprendre ce qu’elle vient d’exprimer et qui, pourtant est bien clair : elle envie sa fille qui vient me voir pour recevoir une fessée. Un long silence pénible s’est installé ; je finis par me décider, me lève et vais m’installer à sa hauteur, à genoux devant Marithé, qui cache son visage dans ses mains.
Je me redresse, et, debout, je me compose un visage sévère, la voix froide et coupante :
Elle ôte enfin ses mains de ses yeux et se lève, elle est rouge, elle a pleuré de honte. Je la prends par la main et l’emmène dans ma chambre. Je m’assois au pied du lit, au coin, et l’attire sur mes cuisses de telle sorte que le haut de son corps repose sur le lit, à ma gauche. Elle porte une ample robe de toile dont je relève la jupe. Sa petite culotte est une adorable et ridicule chose de voile et de dentelles qui laisse nues la moitié de ses fesses. Je la lui laisse en place, pour l’instant, afin que le sentiment de honte s’installe bien, et je commence à fesser, sans violence. Après une douzaine de claques molles je baisse la culotte.
Elle a esquissé le geste de m’en empêcher et j’ai grondé « voulez-vous ! », elle a alors vivement retiré sa main, se résignant à subir la suite. Je descends la culotte sur les mollets, puis j’entame une franche fessée, alternant chaque globe, variant la cadence, redoublant ou même triplant sur la même fesse avant d’en faire autant sur sa jumelle. Le magnifique postérieur de ma belle-sœur passe du blanc au rose puis au rouge timide avant d’être bientôt rouge éclatant. Nous en sommes à quarante claques environ, à chaque impact son derrière fait un bond, elle me montre son abricot luisant, elle crie « aie ! » et sa voix qui tremble indique qu’elle n’est plus très loin des larmes. De fait, dix claques de plus et ce sont les gros sanglots. Je m’arrête aussitôt. Je caresse tendrement ce malheureux derrière corrigé :
Je la relève et la recouche sur le ventre afin d’aller chercher la crème apaisante, puis de retour je pommade les fesses très rouges.
Je la débarrasse de ses chaussures, puis de sa culotte ; elle se laisse faire comme un bébé. Je l’accompagne à la salle de bains avec cabinet d’aisance, je lui laisse une serviette et un gant propres.
On se retrouve au salon devant un bon café chaud. Elle a enfilé mon peignoir blanc en éponge bien trop grand pour elle, elle s’est baigné le visage, elle n’a plus de maquillage et ça lui refait une jeunesse.
Son visage s’est encore empourpré en disant cela. Je me lève aussitôt et l’entraîne vers la chambre. En deux temps trois mouvements je suis à poil, elle est assise sur le lit et m’a contemplé faire mon strip-tease.
Je lui ôte délicatement le peignoir qui l’enveloppe. Elle a une superbe poitrine, un peu affaissée bien sûr mais de proportions parfaites et je ne peux résister à la caresser tout de suite, tout en embrassant goulûment la dame, qui me rend mon baiser avec fougue. Je vais ensuite lécher et mordiller ses tétons, du temps que ma main droite est partie caresser le ventre rond puis chatouiller la toison pubienne frisotée. Le majeur, parti en reconnaissance, a trouvé la fente, humide, onctueuse, en un mot accueillante, et son irruption fait gémir la dame. Je me déplace à ses pieds, m’installe entre ses cuisses afin de dire bonjour poliment à son bijou, que ma langue découvre dans sa cachette et qui répond à notre salut avec enthousiasme et un râle de sa maitresse.
C’est maintenant un dialogue vibrant entre le petit monsieur à sa fenêtre et ma langue curieuse, alors que mes doigts sont partis faire de la spéléo et voient arriver un cours d’eau. Non, renseignements pris, ce n’est pas de l’eau mais du sirop. Nous excusant auprès de clito, urgence dégâts des eaux, enfin de sirop, mes lèvres s’en vont rapidement vers d’autres étancher ce petit tsunami. Mais il en vient d’autres et il faut démarrer une station de pompage continu. Une fois le péril écarté, je lève les yeux vers ma maitresse qui arbore un large sourire épuisé plein d’éloquence, du genre « un peu de calme me ferait du bien ».
Je sais comment la réveiller : je glisse un doigt entre ses fesses jusqu’à son entrée des artistes, elle ne manque pas de sursauter en criant « non, pas par là ». J’ôte mon doigt aussitôt mais c’est pour lui relever les cuisses et mettre plusieurs coups de langue baveuse au bon endroit, puis introduire une phalange sans difficulté. Elle se met à geindre :
Je la laisse dire, agite doucement mon doigt dans son petit trou, tout en reprenant la conversation avec monsieur bijou, qui justement s’ennuyait et elle sursaute en poussant de nouveau un râle profond. C’est à cet instant que je me dresse et invite mon ambassadeur à présenter ses lettres de créance, doucement, avec la ferme intention de se faire une place dans cette contrée sans bousculer les usages. Je suis reçu avec les honneurs, les grandes orgues battent la chamade, nous accompagnant au septième ciel.