n° 15214 | Fiche technique | 14284 caractères | 14284Temps de lecture estimé : 9 mn | 13/10/12 |
Résumé: L'après une soirée privée de la Fashion Week... | ||||
Critères: ff couleurs asie fépilée collection voir ffontaine cunnilingu fist fdanus -totalsexe | ||||
Auteur : Jeff 2 (Jeff) |
Pour certains et surtout pour certaines, me direz-vous, quelle chance d’avoir pu obtenir des invitations pour assister aux défilés de mode à Paris ! C’est ce que les medias et les « fashionistas » appellent aujourd’hui, la « Fashion Week ». C’est vrai, c’est sympa, un peu fou, mais sympa. Et intérieurement j’exultais en pensant aux belles plantes, à toutes ces beautés que j’allais pouvoir voir, approcher et pourquoi pas draguer. Sans compter ce que les super spécialistes nomment les « after »… les soirées privées qui suivent les défilés.
Voilà comment je me suis retrouvé embarqué dans une de ces soirées, où le nombre des « people » était aussi important que celui des mannequins. Les unes fêtant la réussite de leur défilé, les autres se réjouissant d’être ensemble et faire la fête. Autour de ce « petit » monde, tournoyait une foultitude de photographes et cameramen sans compter les attachés de presse. L’ambiance y était à la fois chaude et détendue et l’on sentait bien que le stress se déchargeait au fur et à mesure que les bouteilles d’alcool se vidaient.
Dans un coin du bar, je me retrouvai entouré d’une nuée de très belles jeunes femmes, au point que mes yeux ne savaient plus trop où ni qui regarder. Il y avait de tout… une blonde platine, une brune hispanique, une Black des Caraïbes et une d’Afrique. Il y avait aussi deux Chinoises et une Japonaise. Le sabir qu’elles parlaient était incompréhensible au commun des mortels mais l’alcool aidant, tout le monde arrivait à se comprendre. Miracle des lieux. Miracle de l’instant. Bref, intérieurement, je me frottais les mains et me pourléchais les babines en pensant que cela serait bien le diable si je n’arrivais pas à embarquer, pour une nuit tumultueuse, une, voire deux de ces créatures. Avec l’heure qui avançait, le « dance-floor » se vidait petit à petit, les verres et les bouteilles aussi. Quelques photographes résistaient encore, quelques starlettes en mal de publicité aussi, et bien entendu, la poignée des jeunes mannequins qui m’entouraient.
Tard, bien plus tard, je me retrouvai dans la rue à héler un taxi avec – ne soyez pas si jaloux – deux sublimes filles à mes côtés, enfin une dans chaque bras. La blonde, d’origine ukrainienne. Une vraie brindille. Des jambes qui ne se terminent jamais, une taille de guêpe, des seins (ce qui devient rare dans cette profession) suffisant pour remplir la main d’un honnête homme. Toute la soirée elle n’avait pas cessé de me charmer avec son sourire enjôleur, ses yeux verts et son nez mutin. Dans l’autre bras, le contraste, la jeune japonaise. Cheveux noirs, yeux en amandes très fendus qui ne laissaient voir qu’un semblant de pupille, noire. Toute menue, presque plate comme une limande, mais tout aussi en jambe que l’Ukrainienne. Elle se nommait Sheisha tandis que l’Ukrainienne clamait un peu trop fort qu’elle s’appelait Valentina. Bref, de quoi finir en beauté cette soirée et ce week-end. Et ce d’autant plus que ni Sheisha ni Valentina n’avaient d’engagements pour le lendemain.
Dans le taxi qui me ramenait vers chez moi, je les initiai au jeu du « bisou feu rouge ». Une invention de mec en mal d’introduction à la drague et qui consiste à poser ses lèvres sur celles de sa (ou ses) compagne (s) lors du passage de chaque feu tricolore. Et à Paris, c’est fou ce qu’il peut y en avoir, des feux tricolores ! Sheisha riait avec retenue, Valentina avec plus d’exubérance et les filles finirent par s’embrasser toutes les deux. De temps à autre, je croisais le regard du chauffeur dans son rétroviseur qui jetait des regards concupiscents vers nous mais – par discrétion – ne disait rien et à son regard, je pouvais comprendre qu’il n’en pensait pas moins…
À peine avait-on posé le pied dans l’appartement que les deux filles se précipitaient sur les quelques bouteilles du bar et à grande rasades, à même le goulot de la bouteille, finissaient de s’enivrer. Puis, en riant aux éclats malgré mes « Chut ! », elles entamèrent une sorte de bataille de polochons avec les cousins. Après deux ou trois coups, telles de grandes gamines, elles s’affalèrent sur le sofa et joignant leurs bouches, elles échangèrent un long et tendre baiser.
Intérieurement, je jubilais. La fin de la nuit s’annonçait comme je les aime… chaudes, orgasmiques, torrides. Et le baiser durait. Rapidement, elles commencèrent à jouer avec leurs lèvres, leurs langues. Les yeux clos, leurs mains parcouraient le visage de l’autre, remontant une mèche de cheveux, les tirants en arrière pour embrasser plus goulûment. Mais rapidement les mains se sont activées dans le dos, sur les flancs, remontant vers les seins. Valentina s’empara de la main de Sheisha et la lui guida vers le bout de ses seins. De son autre main, la jeune japonaise descendit vers son entrejambe que Valentina ouvrit pour mieux accueillir sa jeune comparse.
Après quelques instants, un peu fatigué, la tête lourde, je décidai de profiter d’abord du spectacle et m’installai dans un fauteuil, juste en face de mes deux invitées.
En quelques secondes les deux filles furent déshabillées pour m’offrir une vue extraordinaire de la plastique de leurs corps.
Valentina, les seins en pomme, ronds avec leurs bouts très larges, un ventre légèrement bombé mais musclé, n’avait aucun poil. Son sexe était glabre. Pas rasé. Non, glabre. Elle devait se faire épiler et depuis longtemps pour donner cette impression de sexe enfantin. Sheisha, elle, avait réellement très peu de poitrine. Seuls les deux tétons bruns étaient marqués et faisaient office de seins. Son ventre extra plat présentait une touffe de poils très entretenus, taillés en une bande étroite qui laissait voir de lourdes lèvres brunes, nues, serrées et renflées.
Nues, les deux filles se frottaient le corps et se léchaient mutuellement au gré des parties qui se présentaient devant leur bouche, leur langue. Tout doucement, elles glissaient l’une au-dessus de l’autre pour finir en position de soixante-neuf. La tête enserrée dans les cuisses de l’une, l’autre s’agrippant alors à ses fesses pour mieux accéder à son sexe, les deux goulues s’administraient une fabuleuse montée de plaisir.
Presque en face de moi, j’avais en gros plan le sexe de Sheisha. Lèvres luisantes brunes, Valentina l’écartait au maximum pour aller le lécher dedans, aspirant au passage le clitoris, et dans ces moments-là, je voyais l’entrée rosâtre se contracter et relâcher son plaisir sous forme d’une liqueur sirupeuse blanchâtre. D’un doigt coquin et pervers, elle allait en cueillir un peu avant d’aller le frotter sur la rondelle qui palpitait au gré du plaisir qui montait dans son ventre. Après un long instant de cet exercice qui tendait mon sexe et m’excitait, Valentina poussa plus loin son doigt entre les fesses de Sheisha et entama une sodomie de plus en plus rapide et profonde de la Japonaise.
Sheisha avait cessé de lécher le sexe qui se présentait sous sa langue. Elle avait remonté ses fesses, et les abaissait de temps en temps. Elle se cambrait et feulait son plaisir. D’une main, elle maltraitait un de ses tétons en le pinçant et en lui tirant fortement dessus. Elle poussait de petits cris de souris. Elle ondulait des hanches, sa façon de marquer son contentement et réclamer – peut-être – plus de vigueur, plus de rapidité, plus de plaisir… Et Valentina sut comprendre, à demi-geste, les désirs de sa partenaire car elle passa, sous mes yeux écarquillés et qui ne perdaient rien de ce spectacle, d’un doigt à deux, puis trois puis quatre doigts dans les fesses de Sheisha qui lançait son cul en arrière et tendait sa croupe. Tout en continuant à pénétrer Sheisha, Valentina avait transformé sa bouche en ventouse et elle avait presque avalé le haut du sexe de Sheisha. De sa main libre, elle lui pistonnait l’entrée de son sexe qui coulait, giclait, trempait ses lèvres, son nez, son visage. Sheisha se trémoussait sous le plaisir qui montait et l’envahissait. Elle feulait de plaisir, poussant toujours plus loin ses fesses pour obtenir encore plus de sensations.
D’un coup d’un seul, Valentina, la main trempée, réussit à enfiler tous ses doigts jusqu’à la paume puis en tournant elle l’introduisit dans l’anus dilaté de la jeune Japonaise qui, sous la surprise, hurla avant de retomber le nez dans le sexe de sa partenaire et étouffer la fin de son cri entre ses cuisses. Valentina était en train de fister l’arrière-train de Sheisha et cette dernière semblait, après quelques secondes, plutôt heureuse de cette introduction. Avait-elle l’habitude ? Valentina, après avoir marqué un temps d’arrêt, reprit son savant mouvement de piston et de rotation. Elle n’avait pas décollé sa bouche du clitoris de Sheisha et continuait à aspirer voracement son sexe et les liqueurs qui s’en échappaient.
Sheisha lançait moins loin ses fesses mais elle avait entrepris d’aller torturer son autre sein en le tirant et le pinçant très fortement. Elle ahanait. Elle soufflait. Elle sifflait. Sa tête balançait de tous les côtés et ses cheveux courts faisaient comme une auréole autour de sa tête. Et Valentina, inlassablement, continuait sa besogne. Je voyais les muscles de Sheisha tressauter, se contracter et se délier au gré du plaisir qui l’habitait, qui montait en elle. Ces deux furies m’excitaient mais je sentais que je n’avais pas ma place dans leur duo. Alors, je restais à distance, me contentant de jouer les voyeurs, sortant mon sexe pour me masturber, doucement.
Dans un ultime soubresaut, Sheisha cria son plaisir et, les muscles totalement tétanisés, elle retomba lourdement sur le ventre et la poitrine de Valentina. Bien que son nez et sa bouche soient perdus dans le giron de la jeune Ukrainienne, je l’entendis siffler et tenter de calmer sa respiration. Pendant ce temps, Valentina, doucement, déculait sa main dans un terrible bruit de succion et d’air.
Sheisha ne resta pas anéantie par le plaisir très longtemps. Profitant de sa posture, elle n’avait que quelques centimètres pour écarter la vulve de Valentina et lui rendre son plaisir.
Ne voulant rien rater du spectacle, je me déplaçai pour obtenir le meilleur angle de vision. Presque dans l’axe des jambes de Valentina, j’avais une vision imprenable sur la langue rose et dure qui fouillait son sexe. Sheisha écartait les lèvres avec ses doigts. Deux fines lèvres ourlaient le sexe de l’Ukrainienne qui gémissait doucement sous les petits coups de langue. La jeune Japonaise semblait d’une lenteur exaspérante mais appliquée. Elle ne laissait aucun millimètre carré hors de ses caresses. Avec application, méticulosité, elle partait du mont de Vénus pour aller jusque sur le petit trou de Valentina. Au passage elle s’attardait longuement mais avec légèreté sur le clitoris, puis cherchait à pénétrer le méat urinaire, descendait avec une lenteur consommée sur l’entrée du sexe, sans oublier de suçoter les lèvres grandes et petites et jouait à la ventouse avec ses lèvres qu’elle pouvait pincer loin de sa frimousse. Agaçant Valentina, celle-ci ne cessait de gémir, de plus en plus fort, de rouler des hanches comme si elle signifiait à Sheisha d’aller plus loin, plus vite, plus fort. Puis les prémices de la jouissance arrivèrent, Sheisha s’aventura plus bas et, par petites touches, remonta des filets de plaisir qui s’écoulaient. Elle les suivit jusque sur le petit trou qu’elle vrilla de sa langue.
Ses doigts ne restèrent pas longtemps inactifs. Les mouillant consciencieusement les uns après les autres en les trempant le plus loin possible dans le sexe de Valentina, Sheisha s’ingénia à les introduire deux par deux, puis par trois puis par quatre dans le sexe lubrifié de l’Ukrainienne. À son tour, elle tentait de fister le sexe de Valentina. Sa main, plus fine, n’eut pas beaucoup de peine à rentrer dans le sexe trempé-mouillé. Rapidement elle se retrouva prise jusqu’au poignet. Cette « pénétrante » caresse eut pour effet de faire soulever avec une certaine violence les fesses de Valentina pour mieux accepter l’introduction de la main. Elle ne cessait de murmurer « Mama » et de se trémousser. Sa respiration déjà haletante devenait de plus en plus rauque et elle mugissait gravement son bonheur. En même temps, Sheisha avait transformé sa bouche en ventouse et je pouvais voir ses lèvres et son mont de Venus aspirés. Valentina criait, se contorsionnait, serrant la couverture du dessus du sofa, elle écartait ses jambes pour inciter Sheisha à aller encore plus loin en elle. Calée sur ses talons, les orteils tétanisés par le plaisir, Valentina se détendit d’un coup d’un seul en déchargeant un long jet de plaisir. Dans le même temps, presque en synchronisation, mon sexe éjaculait dans mes doigts.
Chacun, épuisé par les plaisirs, semblait anéanti. Personne n’osait bouger. Les filles, certainement par peur de faire repartir la machine à plaisir. Moi, frustré et en même temps heureux du beau spectacle auquel je venais d’assister. Par contentement, je fermai un instant les yeux, juste question de me repasser en boucle le spectacle qui hantait encore ma pupille.
La sonnerie était lancinante. Lointaine. Lancinante et persistante. Avec difficulté, j’ouvris un œil, puis deux… L’alarme de calendrier de mon Iphone me ramenait à la vie. J’étais avachi dans mon fauteuil club, braguette ouverte, sexe dehors. Le sofa était vide. D’un bond, je me suis redressé. Je traversai l’appartement jusqu’à la chambre, vide… La salle de bain ? Vide. Les deux filles avaient disparu. Seules de larges taches suspectes indiquaient que je n’avais pas rêvé.
Et la Fashion Week n’était pas finie…