Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
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Temps de lecture estimé : 13 mn
14/10/12
Résumé:  Rencontre improbable entre un gendre et ses beaux-parents.
Critères:  #romantisme fh fplusag extracon alliance cérébral fellation cunnilingu
Auteur : Helwig  (Une aventure vécue d'un gendre avec ses beaux-parents.)
Une aventure étonnante

Mes beaux-parents ont transformé ma vie.


Par mesure de discrétion, j’ai tenu à changer les prénoms des personnes citées dans cette curieuse aventure. La vie est parfois surprenante. Les personnes qui vous entourent, que vous pensiez bien connaître peuvent un jour vous surprendre. C’est ce qui m’est arrivé il y a quelques années.

J’ai cependant hésité longtemps avant de me confier sur un site d’histoires incroyables ou érotiques. En découvrant « Revebebe », je me suis dit : pourquoi ne pas partager ma mésaventure avec d’autres personnes. Peut-être que certains se reconnaîtront à travers cette narration. Ce qu’il faut savoir, c’est que cette histoire qui a commencé il y a quelques années avec mes beaux-parents, perdure à ce jour. Je ne regrette rien, bien au contraire, même si une « soi-disant » morale me condamnerait.


Je m’appelle Alain, j’ai à présent 42 ans. Bien dans ma peau, bien dans ma vie. Je suis marié, et avec ma compagne tout se passe à peu près bien, quoi que… Au lit, c’est une autre histoire. Nous ne faisons pas souvent l’amour, parce qu’elle « tombe » de fatigue tous les soirs. Les seuls moments où nous arrivons à profiter l’un de l’autre, c’est pendant les vacances. Rien de très « folichon » mais vous allez voir que ce qui va suivre va « combler un manque » et bouleverser quelque peu ma vie.


C’était le matin d’une journée où j’étais en RTT. Je reçois un coup de téléphone de mon beau-père :



En une demi-heure, je suis rendu chez mes beaux-parents. Ils avaient sans doute entendu le bruit du moteur de mon auto, car la porte d’entrée s’ouvre aussitôt.

Nous nous faisons la bise et je pénètre dans le hall d’entrée.



Ma belle-maman est là devant sa cuisinière à préparer le repas du midi. Je lui fais la bise et la complimente sur le fumet dégagé par sa préparation.



Je suis quelque peu surpris pendant quelques instants mais en regardant mon beau-père, je comprends qu’elle n’est pas au courant de la conversation qu’il a eue avec moi au téléphone tout à l’heure.


Nous nous installons autour de la table de la cuisine, Juliette, ma belle maman, sert à chacun, une tasse de café. Nous parlons de choses et d’autres puis Raymond, mon beau-père, me demande de le suivre dans son atelier. Dans le sous-sol, Raymond me fait face, me précisant tout de suite que ce qui va se dire maintenant ne doit surtout pas sortir de ce lieu, ni être ébruité. Je suis très intrigué par tout ce mystère, que veut-il me dire ou me confier ?



Je suis là, devant lui, à l’écouter mais ni tenant plus, je lui demande ce que je viens voir dans tout ça.



Je reste complètement anéanti, surpris par une telle demande. Je pouvais m’attendre à tout mais là, je n’en reviens pas.



En retournant dans la cuisine, Juliette ma belle-maman était toujours affairée à la préparation de son repas. Elle se tourna vers moi et d’un large sourire, me demande :



Je m’exécute aussitôt mais tout en plaçant les assiettes, verres, fourchettes, couteaux, je ne peux m’empêcher de penser à tout ce que m’a dit mon beau-père il y quelques instants. J’ai l’impression d’avoir rêvé. Suis-je dans un monde virtuel, ai-je tout inventé ? Suis-je suffisamment obsédé par ma belle-mère, pour inventer de pareilles histoires ?


À table, la réalité me fait face. Juliette est assise devant moi et me dévisage. Je suis terriblement gêné, une telle situation ne m’est encore jamais arrivée. En s’adressant à moi.



Elle me dévisage à nouveau et me demande aussitôt :



Surpris par le côté direct de la question, je bafouille un « si » inaudible.



Me voyant quelque peu dubitatif, elle me sert un verre de vin et me prend aussitôt la main :



Je les regarde tous les deux, leur confirmant mon accord par un signe de tête.

Après le dessert, nous passons dans le salon afin d’y boire le café. Juliette s’est excusée afin de s’absenter quelques instants. Je me trouve en face à face avec Raymond, mon beau-père installés confortablement dans des fauteuils.



Sur ces entrefaites, une femme transformée apparaît devant nous. Juliette était partie se changer. Elle porte sur elle une robe noire, très sobre qui l’amincit. Je vois qu’elle a mis des collants ou des bas noirs aux motifs irisés qui se terminent par des escarpins assortis à l’ensemble. Sa bouche porte la trace d’un léger rouge à lèvres. Elle s’est parfumée, car la fragrance qu’elle dégage nous enveloppe aussitôt. Je trouve ce parfum très subtil.



Je me lève, regarde mon beau-père qui me fait signe d’y aller. Juliette me prend la main et m’entraîne en direction de leur chambre. Je suis un peu paniqué mais j’essaie de ne pas trop le faire paraître. La porte se referme et ses deux bras m’enlacent aussitôt.



Ses lèvres se posent aussitôt sur les miennes, nos langues se rencontrent dans ce premier contact amoureux. Elle semble déchaînée. Sa langue tournoie à une telle vitesse que j’ai du mal à respirer.



Mes mains s’exécutent aussitôt, glissant et allant à la rencontre de son corps. La pression de sa poitrine me provoque très rapidement une forte érection. Je reste plaqué contre elle et les ondulations produites par son bassin ne tardent pas à faire leur effet. Mon désir est au maximum. J’ai vraiment à présent envie de la baiser, de jouir de son corps. Tous les tabous se sont envolés. Ses doigts s’affairent sur les boutons de ma chemise. Un à un, ils se défont, laissant apparaître mon torse. Elle s’empresse d’embrasser la moindre parcelle mise à nu. Ma ceinture de pantalon suit aussitôt, et en quelques secondes, je me retrouve en caleçon devant elle. J’essaie de la dévêtir mais ce n’est pas évident car elle semble déchaînée sur mon corps. Enfin, après de multiples efforts, sa robe finit par tomber à ses pieds.


J’ai contre moi, une femme en soutien-gorge et slip. Ma foi, je ne suis pas déçu, elle est encore très belle pour ses 58 ans. Dire que ça fait des années que je fantasme sur elle, que je me masturbe quelques fois en pensant à elle, mon rêve devient réalité, je n’arrive encore pas à y croire. Le temps l’a magnifiquement bien préservée, bon sang, qu’elle est bandante !… Le soutif a l’air bien rempli. Je me suis souvent demandé quelles pouvaient être ses mensurations mammaires : 95 C ou D ?… Là, j’étais aux premières loges, pouvant palper, toucher, pétrir ses gros obus à travers le soutien-gorge. Après quelques difficultés pour enlever ce rempart de tissu, deux magnifiques globes de chair m’apparaissent. Ouah ! Qu’ils sont beaux et désirables. Je m’empresse aussitôt de les goûter, les lécher, les pétrir. Ses aréoles sont assez larges et foncées. Ses bouts de seins sont relativement gros, comme je les aime. Je les aspire, les mordille, les faisant rouler autour de ma langue. Elle a vraiment de très beaux « nibards » qui malgré les années se tiennent encore très bien. Mon sexe commençait vraiment à me faire mal. Mon érection était au paroxysme et le gland butait contre la ceinture de mon caleçon provoquant un début d’irritation.



Elle s’agenouilla et de ses deux mains, fit glisser ce rempart de tissu. Comme dans ces boîtes magiques où l’on voit la marionnette d’un petit clown sortant de sa boîte en exécutant un léger balancier, mon sexe gonflé par le désir lui atterrit sur le visage, semblant la défier.



Elle semble fascinée quelques instants par cette colonne dressée devant elle. Quelques secondes plus tard, ses lèvres, sa bouche absorbent aussitôt le gland puis une partie de la tige. C’était divin, incroyable, et terriblement tabou de la voir s’affairer ainsi. Elle s’y prenait merveilleusement bien. Sa langue glissait le long de ma tige, passait sous les bourses puis elle m’absorbait à nouveau. J’avais vraiment peur de ne pas pouvoir tenir très longtemps avec un tel régime. Elle me lécha à nouveau les couilles tout en me masturbant. Elle me fixait d’un regard intense, plein de désir. Cette situation était terriblement excitante. Bon sang, qu’elle est bandante cette femme !… Comment rester insensible avec un tel traitement ?

Elle se releva d’un coup et m’entraîna vers le lit.



Elle se positionne à cheval sur mes jambes, reprenant de plus belle sa succion. Je suis complètement déconnecté, ne pensant qu’au plaisir, même si cette situation est tout bonnement incroyable. En l’espace de quelques secondes, je sens que la situation a changé. Il faut dire que j’ai fermé les yeux durant un laps de temps, dégustant ce petit moment qui m’est donné. Juliette vient de s’empaler sur ma tige. Un cri puissant sort de sa gorge. Elle semble être comblée, il faut dire que la nature m’a quelque peu gâté de ce côté-là. Je n’ai rien à faire, c’est elle qui mène les débats. Elle est déchaînée, j’ignorais tout de la sexualité de ma belle-maman. Elle devait en être privée depuis un bon bout de temps ou alors : quelle femme ! quel tempérament !…


Je comprends à présent la raison qui a poussé mon beau-père à lui trouver un amant. Elle monte et descend à un rythme d’enfer, semblant prendre beaucoup de plaisir à chaque va-et-vient. Je sens par moment mon sexe buter tout au fond d’elle. Sa jouissance arrive plus vite que prévue. De mon côté, je suis tellement absorbé par la vue de son corps que j’en oublie mon propre plaisir. Il faut dire que cette femme m’a énormément perturbé depuis que j’ai fait sa connaissance il y a quelques années. Je ne sais pas pourquoi je la désire tant. Suis-je normal ?…

Je suis encore dans mes pensées quand la voix mélodieuse de mon amante me fait revenir à la réalité :



La vue de son abricot tout luisant me donna une nouvelle vigueur. Elle était très peu poilue, sans doute prenait-elle soin de cette partie de son corps. Je m’enfonce en elle jusqu’à la garde. Pendant quelques secondes, je ne bouge plus, profitant de cet instant incroyable. Mon bassin à l’appel de ses petits à-coups, reprend le rythme de croisière qu’il est donné en de pareils instants. Je m’agrippe à ses hanches, commençant à prendre beaucoup de plaisirs. J’accélère le rythme de mes va-et-vient. Juliette a la tête enfoncée dans un oreiller, ses cris fusent mais fortement atténuée par le matelassage de ce dernier. Je sens qu’il ne me sera pas possible de tenir très longtemps à ce rythme. Il règne un tel climat d’érotisme dans ce lieu. Ma jouissance arrive beaucoup trop vite. Je me lâche, envoyant à l’intérieur de son corps, plusieurs salves bienfaitrices. Je reste en elle quelques secondes afin de récupérer de cette chevauchée fantastique. J’en profite pour lui caresser les seins qui par le phénomène de gravitation, semblent avoir pris davantage de volume.


Nous sommes tous les deux exténués mais dans un certain état d’extase. Nos corps se trouvent à présent allongés l’un contre l’autre. Elle m’avoue, ce jour-là qu’elle avait flashé sur moi dès le premier jour, mais son rôle de future belle-mère voulait qu’il n’en paraisse rien. Je lui avoue que, me concernant, c’était la même chose. Nous nous mettons alors à rigoler. Revenant d’un coup à ce que nous venions de vivre, Juliette m’avoue que ça faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas autant joui. Je lui confirme qu’en ce qui me concerne, c’était la même chose.



Je la complimente à mon tour, lui avouant que ça ne m’arrivait hélas pas souvent, sa fille n’étant pas très portée sur la chose.



Nous continuons à discuter cinq bonnes minutes puis nous nous rhabillons. Raymond est dans le salon, un livre à la main.



Je prends à nouveau un café en leur compagnie puis regagne mes « pénates » avec l’impression d’être sur un petit nuage.


À partir de ce jour-là, mes RTT furent bien remplies. Il n’était pas question de déplaire à mes beaux-parents, surtout à belle-maman !


D’autres détails croustillants de ces rencontres peuvent vous être narrés, si vous en faites la demande.


L’auteur