Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15216Fiche technique46976 caractères46976
Temps de lecture estimé : 28 mn
16/10/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  De soubrette docile, Charlotte va progressivement devenir une chienne obscène qui ne demande qu'une chose : être dressée...
Critères:  ff fplusag jeunes fsoumise fdomine exhib noculotte fmast sm attache confession -initiatiq -initff -fsoumisaf
Auteur : Skya69

Série : L'éducation de Charlotte

Chapitre 03 / 10
Le début d'une nouvelle vie

Résumé de l’épisode précédent : Charlotte est une charmante demoiselle qui a quinze ans de moins que moi. Je l’entraîne progressivement dans un délicieux mais sévère rapport de domination qui va bientôt basculer vers une véritable relation qui dépassera mes espérances…





Il s’est écoulé plus de deux ans depuis ma dernière apparition ici sur le site Revebebe.


Je suis désolée de ne pas vous avoir tenu informés plus tôt mais tout s’est un peu accéléré avec Charlotte (dans le bon sens, et encore aujourd’hui tout va bien, merci à ceux qui s’en seraient préoccupés), et je vous avoue que j’ai été très accaparée.


J’ai préféré vivre ma vie à fond, sans obligatoirement prendre le temps de la raconter. Mais j’ai un petit peu plus de temps en ce moment, et j’ai retrouvé la motivation de vous faire partager tout cela… Je ne me souviens pas de tout, et j’ai un peu romancé, même si quelques photos, et des notes que j’avais prises au fil de l’eau m’ont un peu rafraîchi la mémoire…


Et je prierais les lecteurs qui pensent que je suis un homme de garder pour eux leurs commentaires désobligeants. Vous êtes libres de penser ce que vous voulez, mais je vous remercie de ne pas être déplaisants.








Le mois de juin est synonyme de casse-tête pour se loger pour les étudiants qui ne peuvent pas rentrer chez leurs parents et dont les finances sont fragiles… Exactement le cas de ma petite Charlotte…


J’ai laissé passer encore une ou deux semaines pour qu’elle s’habitue aux inspections systématiques avant qu’elle ne mette son uniforme et avant qu’elle ne parte de chez moi… Elle venait toujours deux fois par semaine et je m’arrangeais pour être toujours présente pendant ses trois heures de ménage. Ça me permettait de lui prodiguer quelques conseils sur son comportement, et toujours de me faire servir par ma petite soubrette en uniforme, toujours beaucoup trop ronde (elle avait peut-être pris encore un peu plus de poids) et vulgaire, mais parfaitement à mon goût…


Au début du mois de juin, un jour qu’elle faisait son ménage soigneusement, appliquée qu’elle était à épousseter mes meubles, penchée sur la commode ce qui me garantissait un point de vue imprenable sur sa jupe qui mettait parfaitement son cul en valeur, je lui ai demandé de s’interrompre quelques minutes…


Elle s’est approchée de moi, debout, alors que j’étais assise dans le canapé, et a gardé ses mains sagement croisées devant elle sur ses grosses cuisses à peine dissimulées par sa jupe…



Un petit fauteuil assez bas se trouvait juste à côté d’elle, ce qui l’obligerait à avoir les genoux très hauts par rapport à la position de son corps et peut-être me donnerait la chance d’apercevoir le haut de ses cuisses ou même plus…


En s’asseyant, elle a bien évidemment croisé les cuisses ; toute autre position aurait été d’une impudeur et d’une indécence qu’elle n’était pas encore prête à assumer spontanément…


Je feignis de ne pas m’en rendre compte, et je continuai :



Je laissais un grand blanc dans la conversation après ces quelques mots pour voir comment elle réagissait, et si cette affirmation de son asservissement et de sa docilité allait la choquer… Manifestement trop heureuse de cette proposition d’emménagement, elle a acquiescé, montrant que c’était parfaitement logique dans sa tête… Je n’en attendais pas moins de cette petite truie, folle amoureuse de moi et incapable de me dire non…



Le verbe dresser, autrement plus fort qu’éduquer, était évidemment employé à dessein, pour continuer à la préparer psychologiquement à sa nouvelle vie…



J’ai saisi cette occasion pour faire semblant de m’apercevoir qu’elle avait les cuisses croisées et lui ai donné une grande claque sonore sur le dessus de sa cuisse découverte…



Entre temps, elle avait décroisé ses cuisses précipitamment, sa jupe remontait maintenant très haut sur ses cuisses (aussi à cause de l’assise trop basse du fauteuil)… Encore sous le coup de la surprise, elle n’avait même pas pensé à garder ses cuisses serrées, et sans qu’elles soient vraiment écartées, j’apercevais distinctement la culotte blanche de jeune fille bien sage qui allait si bien avec son uniforme…



Elle s’est levée, pensive et un peu inquiète, sans même remarquer mon regard fixé sur sa culotte. J’imaginais parfaitement les questions et les doutes qui devaient l’assaillir… Je savais qu’elle avait besoin d’autorité et de fermeté… Au lieu d’être gentille avec elle pour tenter de l’amadouer et emporter sa décision, j’avais en tête de lui donner un avant-goût de ce qui l’attendait pendant son dressage. Si je ne m’étais pas trompée sur son compte, ce qui aurait fait fuir n’importe quelle fille de son âge devait lui donner d’agréables sensations…


Je la surveillais du coin de l’œil pendant qu’elle passait l’aspirateur autour de la table basse et elle m’a très vite donné une occasion de lui donner ce fameux « avant-goût ».


D’un ton très sec :



Après l’avoir longuement toisée de bas en haut dans un silence manifestement oppressant pour elle, j’ai pris le temps d’admirer ses grosses mamelles obscènes à travers sa blouse, puis ses cuisses nues et sa jupe bien trop courte… Après cet examen interminable (elle commençait à se dandiner d’une jambe sur l’autre, ne sachant plus comment se tenir), j’ai posé ma main sur sa nuque dans un geste tendre et d’un ton maternel :



Sans qu’elle s’en rende compte j’avais posé derrière la table basse un paillasson épais et rugueux de 60 cm de long.



J’avais lâché les trois derniers mots d’un ton froid, comme si ça allait de soi. Ma petite Charlotte a sursauté comme si elle venait de voir le monstre du Loch Ness, à tel point que j’ai distinctement vu ses seins se balader dans son soutien-gorge, pour mon plus grand plaisir bien sûr ! Elle avait manifestement l’air totalement paniquée, et à ce moment précis, son adorable petite chatte n’était sûrement plus du tout humide…



D’un ton sec :



Docile et comme sonnée, déjà soumise, elle est retournée à son aspirateur, la tête basse. Sa démarche n’était pas très assurée et j’ai cru qu’elle allait devoir s’asseoir, mais elle a finalement surmonté son trouble. Sans lui adresser un regard j’ai quitté l’appartement, j’avais quelques formalités à régler pour préparer la future vie de Charlotte…




Deux heures plus tard, le moment fatidique était arrivé et elle avait tellement peur d’affronter mon regard qu’elle aurait pu continuer à faire le ménage toute la nuit si je ne m’étais pas approchée d’elle.


Incapable de me regarder, elle s’obstinait à nettoyer le miroir de l’entrée, un chiffon à la main, en me tournant le dos. J’ai doucement posé ma main dans son dos et d’une voix tendre :



Sans attendre sa réponse, je me suis assise, très droite, l’air sévère, pendant que Charlotte faisait mine de s’asseoir face à moi.



Trente secondes, puis une minute de silence…



De gros sanglots ont commencé à rouler sur ses joues et je brûlais d’envie de la prendre dans mes bras pour la consoler…



Je ne m’attendais pas à ce que d’un seul coup elle avoue qu’elle avait besoin de moi, son état de chienne, et qu’elle aille jusqu’à me supplier de la dresser, mais j’étais évidemment ravie… Toute tremblotante, ses sanglots soulevaient ses grosses mamelles comprimées et serrées dans sa tunique trop étroite pour elle, elle est venue s’asseoir à côté de moi sur l’accoudoir. J’ai commencé à passer ma main dans ses cheveux, sa tête sur mon épaule…



À son retour, je tenais à la main un contrat de dressage, et je m’étais moi aussi remise de mes émotions, toute émoustillée par ma petite Charlotte docile, fragile et en larmes…



Elle avait retrouvé un ton gai, elle était manifestement toute contente…



Rebelote, avalanche de pleurs, la demoiselle s’effondre sur le tapis et menace de tremper entièrement mon canapé sous ses larmes…





Le lendemain matin à huit heures, voulant me faire plaisir Charlotte était en uniforme, en train de mettre la table pour le petit déjeuner, les toasts dans le grille-pain et mon thé en train d’infuser.


Pour ma part, j’avais choisi une jupe en soie unie rose pâle, descendant à mi-cuisses, relativement moulante et un haut blanc très fin, presque transparent, ouvert devant et retenu uniquement par des lacets sous la poitrine, noués assez lâches. Je pourrais difficilement sortir ainsi, mais une veste en daim, non boutonnée, donnerait l’impression que mes seins étaient libres en-dessous, sans être pour autant trop explicite.


Dernier petit détail : pas de sous-vêtements…


Le contrat signé était posé sur la commode. Charlotte avait manifestement enfin pris ses responsabilités, elle l’avait complètement accepté, sans se poser de questions, ni rechigner (il était quand même suffisamment flou et soft pour ne pas l’effrayer).


Nous n’en avons jamais reparlé depuis, le contrat dort au fond de mon armoire, signé, comme le sceau de cette relation improbable avec la plus belle esclave que je puisse rêver.


Une petite caresse tendre dans le dos, deux bises sur ses grosses joues roses et un grand sourire :



Charlotte était maintenant nue sous sa mini-jupe, la culotte à la main. C’est peu dire qu’elle était écarlate. Elle n’était pas au bord des larmes comme la veille, mais elle tremblait de honte et d’excitation mêlées.



Un grand silence, pendant lequel mademoiselle a honteusement fixé ses chaussures, tête baissée… Sans laisser transparaître ni dégoût ni excitation, j’ai lentement porté sa culotte au niveau de mon visage pour déceler d’éventuelles odeurs trahissant la libido de Charlotte.



D’un geste ferme sans être agressive, je l’ai attrapée par le bras, et je l’ai poussée en arrière. Elle avait oublié le sofa qui se trouvait juste derrière elle, et surprise de perdre l’équilibre, elle est tombée allongée sur cette espèce de méridienne qui n’attendait qu’elle… Bouche bée, elle est restée sans réaction pendant de longues secondes.



La petite chérie a commencé à glisser une main timide sous sa jupe, sans dévoiler son intimité. La gorge nouée, paralysée de honte, elle est restée figée pendant que je la fixais des yeux, soutenant son regard apeuré, la forçant à me regarder en face, imperturbable…



Mécaniquement, elle a glissé sa jupe le long de ses cuisses et l’a laissé tomber à terre, comme un robot, ne réalisant même plus ce qu’elle faisait. Reposant ses mains sur son pubis, elle a instinctivement serré ses cuisses et raidi ses jambes, droites comme la justice, allongée de tout son long. Mon regard fixe et autoritaire avait définitivement glacé la charmante petite oie blanche, et mes yeux ont glissé le long de son corps pour s’arrêter sur son sexe. Je distinguais à peine quelques poils presque transparents et le bas de ses fesses, le reste était pudiquement caché.


Elle était totalement immobile, la honte et le fait d’être nue lui donnait une chair de poule qu’elle avait bien du mal à contrôler. Je voyais distinctement la peau si fine de ses seins, parcourue par des frissons incontrôlables, et l’intérieur de ses cuisses tremblant très légèrement.


Sans dire un mot, toujours debout face à elle, j’ai attendu qu’elle se calme et j’ai pris un ton tendre et protecteur :



Toujours muette, elle a commencé à passer ses doigts entre ses poils. Elle a écarté ses grandes lèvres d’un geste hésitant et a glissé un doigt dans son sexe pendant que l’autre frottait maladroitement son clitoris. Son sexe avait l’air tendre et si chaud, j’aurais donné n’importe quoi pour y glisser la langue. Elle poursuivait timidement les va-et-vient, mais ses gestes restaient mécaniques. Elle essayait manifestement de se concentrer pour m’obéir, mais le cœur n’y était pas.


Relevant d’un geste sec ma jupe autour de ma taille, je lui dévoilai brusquement mon sexe intégralement épilé, aussi lisse et doux que le jour de ma naissance.



J’ai cru que Charlotte allait avoir une attaque, elle a bien failli tomber du sofa ! La première surprise passée, elle a ouvert des yeux ronds comme des billes et sans que je ne lui demande rien, ses doigts ont instantanément trouvé le chemin de sa chatte qui s’est mise presque immédiatement à briller d’humidité.


Elle était complètement transformée ! D’une masturbation froide et mécanique, elle est passée en quelques secondes à un bel enthousiasme… Plongeant avec délices son majeur au fond de sa chatte, elle le ressortait tout doucement en massant l’intérieur de ses petites lèvres sans aucune pudeur. Je voyais parfaitement l’intérieur de son sexe, rose et luisant, à la fois si adulte et si juvénile en même temps…


Son autre main frottait vigoureusement le clitoris, passant de temps en temps à ses jolis tétons qui réclamaient eux aussi qu’on s’occupe d’eux sous la blouse.


Spectatrice, je n’ai plus dit un mot, profitant du spectacle. Au bout de quelques minutes, voyant qu’elle n’était peut-être pas encore suffisamment impudique et docile pour jouir devant moi, j’ai rabaissé ma jupe, je me suis approchée d’elle et je lui ai pris la main :



Après un petit détour par la case pipi, comme si de rien n’était, j’ai pris mon sac à main et en route pour refaire sa garde-robe !


Elle a bien tenté de négocier pour remettre au moins sa culotte, mais j’ai prétendu qu’elle avait dû glisser sous le canapé et qu’on n’avait pas le temps de la chercher.




En route pour le métro et au bout de cinq minutes je papotais comme si on était copines du temps qu’il faisait, des mérites comparés de Zara et H&M et de l’avantage d’habiter près du métro.


À peine arrivées sur le quai, nous étions seules en milieu de matinée, j’ai recommencé à jouer avec sa pudeur et ses fantasmes :



Elle est devenue rouge comme une pivoine, et hésitait entre l’envie de la remettre, et la honte de faire ça sur un quai, même désert…



D’un geste furtif, j’ai baissé ma jupe aux genoux, pour la remonter aussi vite, la laissant constater que je disais vrai…


J’ai négligemment balancé sa culotte dans une poubelle pleine de mégots, de bouteilles de bière à moitié pleines et de bananes écrasées. J’ai de nouveau cru qu’elle allait avoir une attaque, mais ça commençait à faire trop d’émotions pour une seule journée, et elle a docilement baissé la tête. Quelques secondes plus tard, nous montions dans le métro…


Je l’ai rapidement « briefée » dans le métro pour lui faire comprendre que sauf contrordre de ma part, quand nous serions ensemble en public, le plus simple était qu’elle se comporte comme si elle était ma fille, sans utiliser de termes explicites (« maman » ou « ma mère »), et que je ferais pareil… C’est quand même plus simple que de parler d’une soubrette en cours d’éducation…


Cette journée de shopping ensemble (minishorts ultra-courts mettant bien en valeur ces grosses cuisses blanches, jupes légères et à moitié transparentes se soulevant au moindre souffle, top moulants ultra-décolletés et corsages cintrés sous les seins exagérant l’exubérance de sa poitrine) a été l’occasion de tester son goût pour l’humiliation et la soumission en public. Sans compter que ma petite Charlotte a passé toute la journée en uniforme de bonne…


Avant d’entrer dans chaque magasin, je lui demandais de se concentrer sur un rayon (mini-jupes, corsages etc.) avec quelques consignes précises, et ensuite je me suis régalée à faire des commentaires désobligeants ou trop flatteurs, systématiquement devant des jolies vendeuses pour faire rougir ma petite Charlotte…


Lorsqu’elle a commencé à demander des jupes légères au-dessus du genou en taille 44, je l’ai regardée dans les yeux, et devant une charmante vendeuse toute fine, j’ai lâché à voix haute :



Dans le magasin suivant, lors d’une séance d’essayage de hauts rose bonbon bien moulants et bien décolletés, devant une vendeuse BCBG d’une trentaine d’années :



Et pour finir, alors qu’elle sortait d’une cabine d’essayage avec un minishort en jean ultra-ultra mini en demandant à une vendeuse qui lui ressemblait un peu (une vingtaine d’années, blonde, trop ronde mais sexy) si elle n’avait pas des modèles un tout petit peu plus longs :



Et ainsi de suite… Ma petite Charlotte n’a pas arrêté de rougir de la journée, et quand on est sorties du dernier magasin, elle a commencé à faire demi-tour :



Arrivée chez moi, j’ai renvoyé Charlotte à son rôle de bonniche, rangement de l’appartement, préparation du repas et dîner. Elle avait commencé à prendre de bonnes habitudes, comme de manger seule sur la table de la cuisine pendant qu’elle préparait mon repas, ou se tenir debout à côté de moi pendant que je mangeais pour me servir et accessoirement me faire la conversation…


Une vraie dame de compagnie en somme !


J’ai prétexté une longue journée pour aller me coucher et l’expédier au lit illico.


Au bout d’une dizaine de minutes je l’ai entendue se coucher et je me suis relevée pour faire irruption sans frapper dans sa chambre.


Sa chambre était pour le moins modeste, un lit d’enfant (lit en fer forgé genre magasin BUT, 190 cm par 90 cm, des barreaux à la tête du lit et au pied, juste quatre montants et un sommier à lattes), des draps roses, une commode et une armoire de la même collection que le lit, une petite chaise et moquette au sol.


Elle venait de se coucher, pudiquement recouverte par le drap, apparemment calme et sage… Les mains posées sur le ventre, elle n’osait pas bouger…


Je me suis assise doucement sur le lit :



Une ombre est passée dans son regard, mais elle ne saisissait manifestement pas complètement la portée de mes paroles.



D’un geste sec, j’ai attrapé son drap et je l’ai jeté dans un coin de la chambre sans qu’elle puisse réagir.



Elle s’était à moitié redressée pour s’adosser au mur, toujours si pudique, les jambes croisées et à moitié tournée de manière à ne pas trop exhiber ses seins.


Avec tendresse, je me suis rapprochée d’elle et j’ai posé ma main sur son épaule, juste au-dessus de sa poitrine nue…



Sans attendre la réponse, je lui ai écarté les cuisses d’un geste tendre et maternel, en caressant la peau si douce qui se trouve à l’intérieur des cuisses, au-dessus du genou.


Calmement et comme si c’était parfaitement banal, j’ai glissé mon majeur en elle en murmurant des petits mots gentils.



Je me suis volontairement mise à parler très lentement, pour justifier de continuer mes va-et-vient entre les lèvres de son sexe tant que l’« examen » n’était pas terminé.



Il s’était écoulé au moins une minute, comme au ralenti, dans un monde hors du temps. Quand j’ai retiré délicatement mon doigt, sa chatte était naturellement trempée et j’ai fait comme si de rien n’était…



Au moment où j’allai sortir de la chambre, je me suis retournée, comme si j’avais une arrière-pensée. Je voyais distinctement son clitoris bien excité par mes caresses, j’ai ignoré son excitation et je me suis rassise à côté d’elle.



Pendant une fraction de seconde, elle a détourné le regard en cherchant une échappatoire, cherchant bien sûr à ne surtout pas laisser transparaître son trouble, mais elle a continué à se trahir avec un imperceptible bégaiement…



Quelques sanglots perceptibles dans sa voix…



Je me suis rapprochée d’elle et je l’ai prise dans mes bras, lui caressant les cheveux et les épaules.



Deux minutes plus tard, je suis revenue avec deux paires de menottes en cuir, moins inconfortables que des menottes en métal mais tout aussi solides, avec de vraies clefs…


Sans un mot, je l’ai doucement forcée à s’allonger sur le dos, les bras et les jambes en croix, les menottes aux poignets et aux chevilles, rattachées aux barreaux du lit…


Je lui ai souhaité une bonne nuit après un baiser sur le front, et j’ai laissé ma petite puce dans le noir, dans une position pour le moins obscène…


Pour la faire cogiter avant de s’endormir, j’ai lâché d’un ton énigmatique avant de sortir de la pièce :