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Temps de lecture estimé : 15 mn
19/10/12
Résumé:  Severin est un jeune homme curieux. Il a trouvé un job de formateur dans un établissement pour adultes. Il se voit confronté à différentes femmes et leurs différents goûts pour la discipline.
Critères:  fh inconnu profélève travail fsoumise hsoumis fdomine hdomine soubrette humilié(e) sm fouetfesse conte -initiatiq -bourge -dominatio
Auteur : Satoch            Envoi mini-message

Série : Severin « éducateur »

Chapitre 05 / 05
Severin philosophe

Résumé : Severin est depuis quelques jours dans la maison de la famille de son élève. Il a dû en passer par les caprices de la mère puis par ceux de la soubrette.








5 – Severin philosophe




Au matin, les émotions de la nuit sont toujours saillantes sur Severin. Le bas enveloppe toujours doucement le sexe bien sûr dressé du jeune mâle. Il le retire le plus délicatement possible, de peur que le moindre frôlement ne vienne à bout de son héroïque résistance.


Il se rue sous la douche, étrangement troublé par sa propre attitude : il s’est docilement plié à la perverse exigence de la soubrette de ne pas se caresser. Il serait presque ridiculement fier d’avoir su résister à la tentation, démultipliée par l’avalanche ininterrompue d’images de la tentatrice qui l’a submergé toute la nuit.


Mais nul triomphe de la vertu ici : c’est bien le vice qui lui a donné la force de prolonger le jeu. Il doit tourner franchement le robinet vers l’eau froide pour avoir raison de sa raideur et pouvoir ouvrir une brèche à travers la turpitude dans laquelle il se repaît sans vergogne.


Il descend prendre le petit déjeuner, forçant à dure peine son esprit à se consacrer à la préparation de son prochain cours. C’est pourquoi c’est bien avec soulagement qu’il voit M. Hill dans la cuisine, occupé à prendre son café devant son journal, seul.



Severin croit voir son hôte rougir un instant.



C’est Christiane qui surgit, un panier de linge dans les bras. Elle a troqué la classique robe noire et tablier blanc pour une blouse blanche, descendant à mi-cuisses, seuls cinq boutons sur dix étant passés, le bas et le haut ayant été « oubliés ». Un instant rassuré que l’intervention de la soubrette ait opportunément rattrapé sa maladresse, Severin découvre un bas noir mis en évidence, tout en haut du tas de vêtements. Le regard de Christiane vient capter celui de Severin, qui découvre son sourire mutin.


M. Hill se lève comme un ressort.



Christiane pose son panier sur la table et se penche vers Severin. Cela permet à celui-ci, toujours aussi observateur, d’identifier deux des cinq boutons non utilisés. Elle lui murmure :



Le souffle, la voix qui prend des intonations chaudes, les images qui déferlent à nouveau, cette fois-ci avec ce bas, qu’il imagine blotti entre les cuisses de la jeune femme…



Et elle reste là, les bras croisés, le sourire aux lèvres, attendant manifestement que Severin se lève, gêné et honteux de devoir exhiber son pantalon déformé par sa nouvelle érection.



Il se tourne, non sans avoir une dernière fois jeté un regard avide sur le décolleté de la jeune femme. Son sexe se redresse à nouveau, mais au point où il en est…




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Pendant que Severin est occupé à faire circuler le sang dans les diverses parties de son corps, M. Hill est arrivé dans son havre, son bureau de Directeur des Ressources Humaines de ce grand groupe industriel. Ici, il est dans son domaine. Il est craint, et il aime ça.


De plus, sa journée débute par un rendez-vous un peu insolite. La mère, ou plutôt, belle-mère d’un jeune stagiaire qui a, selon plusieurs de ses employées, eu une attitude déplacée.


Il aurait pu se contenter de mettre un terme au contrat de ce garçon, mais il connaît le père et l’occasion pourrait être trop belle. Il préfère régler le problème personnellement.


La dame est arrivée. Vêtue avec élégance d’un tailleur de couleur pastel, saumon, les cheveux relevés en chignon et chaussée de hauts escarpins, elle se présente à la secrétaire. Une femme d’une cinquantaine d’années, qui la fait asseoir dans un coin de son bureau, lui demandant de patienter. Un peu nerveuse et gênée par le silence de la pièce, elle croise et décroise ses longues jambes puis rougit en surprenant le regard de la secrétaire qui est venu se poser sur ses cuisses découvertes par la jupe. La façon qu’elle a de regarder, amusée, ses longues jambes tient plus de l’évaluation que de l’admiration… Enfin la porte s’ouvre.


La secrétaire invite Mme Mounier à rentrer. Elle se lève, lisse d’un geste sa jupe droite et pénètre dans le bureau.


Elle est accueillie par ce M. Hill, dont son mari lui a parlé avec une once de mépris, mais qu’elle trouve plutôt séduisant, assis derrière son bureau. Elle est un peu surprise par la taille de la pièce, et par l’attitude de cet homme qui la détaille sans gêne pendant qu’elle s’approche de lui. Ce genre de situation n’est pas pour lui déplaire d’habitude : elle connaît bien les hommes et l’effet que sa silhouette, notamment dans ce tailleur, produit sur eux. Et elle aime leur trouble. Mais ici, c’est elle qui est gênée et qui reste immobile une fois arrivée devant ce bureau. Elle en regretterait presque d’avoir mis cette jupe un peu trop moulante, ces escarpins aux talons hauts qui ont fait se retourner les hommes dans la rue.


M. Hill est installé sur son fauteuil, les deux coudes appuyés sur les accoudoirs en l’observant, un demi-sourire sur les lèvres.



Le seul siège disponible est une chaise disposée presque au milieu de la pièce. Mme Mounier y prend place. Elle va croiser ses jambes, mais se rappelant le regard de la secrétaire, elle se ravise. Encore une fois, elle se demande ce qui lui arrive : l’idée de jouer de ses jambes dans ce bureau, devant cet homme si sérieux serait d’habitude une tentation qu’elle ne réprimerait pas. Elle reste pourtant les genoux sagement serrés.



Mme Mounier est un peu surprise par le ton de cet homme. Mais elle se baisse, regrettant aussitôt de n’avoir pas enfilé de corsage par-dessus la délicieuse guêpière aux bords de dentelle saumon que ne couvre que sa veste de tailleur, sachant pertinemment qu’elle va offrir une vue de rêve à cet inconnu.


Elle ouvre la sacoche et en sort une culotte en dentelle noire affriolante et… une cravache. Elle reste interdite, avec les deux objets dans les mains, ne sachant lequel est le plus gênant dans ce bureau.



Elle essaie de sourire, mais la situation lui échappe. Le contact de la cravache provoque un étrange frisson en elle. De plus, la culotte lui est familière.


M. Hill s’est levé et est venu prendre la cravache des mains de son invitée, délicatement. Il est tranquillement retourné s’asseoir, et joue désormais avec l’objet incongru tout en continuant à observer Mme Mounier, pour le moins gênée.



Il se lève à nouveau et s’approche d’elle.



La femme reste bouche bée, mais ne peut toutefois réprimer un certain trouble à l’idée de ce grand garçon, la verge à la main, cette culotte, sa culotte, comme outil de son plaisir.


Le directeur se baisse vers elle et lui dit à l’oreille :



Elle sent son visage rougir. Cette sensation d’être devinée, lue à livre ouvert par un inconnu.



Elle n’ose pas affronter son regard en s’entendant dire cela. Il redresse doucement son menton.



Elle voit son regard sur sa poitrine, profondément décolletée, sur ses cuisses, trop découvertes. Elle sent son corps plein de fourmillements, elle se sent soudain molle. Mme Mounier cherche à se reprendre, à retrouver le contrôle d’une situation qui la trouble beaucoup trop. Sa fierté la pousse à vouloir se lever et quitter ce bureau, mais son ventre lui dit le contraire.


Il se recule et continue à l’observer.



Le regard de l’homme la parcourt à nouveau. Un regard qu’elle n’aurait pas toléré habituellement, elle serre les cuisses, gênée.



Après un long moment où il l’observe, se délectant semble-t-il de son trouble, de son envie de quitter la pièce tout autant que d’y rester :



Elle relève la tête, surprise, puis après un moment d’hésitation, murmure :



La réponse fuse, sèchement :



Elle tressaille, choquée par l’audace de cet homme, lui poser une telle question. Son visage empourpré, elle le fixe longuement en cherchant à comprendre, mais elle finit par hocher la tête en baissant les yeux :



Nouveau silence puis sa voix, cassante :



Ses jambes se dérobent, son sang se glace, pétrifiée par cet ordre incongru, mais dans un sursaut d’orgueil, elle se redresse et se lève de la chaise. Reprenant son assurance habituelle, elle lui lance :



Mais elle reste pourtant là, debout devant son bureau, comme défiant cet homme qui a même osé lui parler ainsi, à elle.


Il sourit en admirant sa silhouette, bien campée sur ses jambes.



Le sourire entendu de la secrétaire l’observant dans la salle d’attente lui revient en mémoire et prend tout son sens. Il n’est pas question que cette femme prenne part à ce… cette folie. Et puis, oui, les images évoquées par le directeur, celles de son beau-fils, ses fesses fermes et nues, sa verge dressée qu’elle a entrevue en le surprenant par mégarde dans la salle de bains. Tout cela ne fait qu’augmenter la douce chaleur que la voix de cet homme ne cesse de faire naître en elle.


Des flashes apparaissent malgré elle devant ses yeux, d’elle, courbée sur ce bureau, troussée et possédée par cet homme, ces mains amples enserrant ses hanches pendant qu’il s’enfonce en elle… Mais non, pas ainsi.


Il s’est levé et s’approche de la femme. D’un geste lent, il passe la mèche de la cravache le long de ses jambes, les frôlant. Elle ne bouge pas, les yeux posés sur ceux de l’homme. La mèche remonte doucement, atteignant le bord de la jupe. Il tapote doucement sur ses cuisses, elle se plie à cet ordre muet et écarte doucement les jambes en fermant les yeux.



Il se recule un peu, appuyé sur le bord du bureau.


Elle jette un bref regard derrière elle pour s’assurer que la secrétaire n’est pas entrée. Elle souffle comme pour reprendre un peu le contrôle de la situation, jouant la femme qui satisfait aux caprices du mâle pervers.


Il l’observe, pendant qu’elle se tortille dans sa jupe droite pour ôter sa culotte. Penchée ainsi en avant, il n’ignore rien de son généreux décolleté que ses mouvements mettent davantage encore en valeur. Elle essaie maladroitement de ne pas remonter trop haut la jupe, ce qui ne fait qu’augmenter ses délicieux tortillements et prolonger la durée de cet exercice honteux.


La culotte apparaît enfin, glissant sur ses jambes. Elle les soulève l’une après l’autre et garde la culotte dissimulée dans sa main, le regard baissé, la respiration accélérée. Est-ce l’effort ou bien cette terrible sensation d’excitation, en tout cas, cela aussi ne fait qu’augmenter son propre plaisir à la contempler.


La tête baissée, debout, le chignon toujours impeccable, mais la veste du tailleur un peu trop écartée, la gorge que sa respiration fait gonfler, la jupe droite moulante qu’elle s’efforce encore de lisser, plantée sur ses escarpins à talons aiguilles.



Sans lever les yeux, elle brandit la culotte qu’elle vient d’ôter. Une magnifique culotte, qui pour être moins échancrée que le slip brésilien, n’en est pas moins indécente par ses arabesques de dentelle.



Elle est debout devant le bureau, les sens en feu. Elle jette un regard perdu vers ses culottes, redoutant ce que les récupérer va lui coûter. Elle se penche, prête à saisir les culottes, mais aussitôt, la piqûre de la cravache lui fouette les fesses. La femme sursaute en poussant un cri de douleur, et de stupeur.



Il pousse son avantage et la force à se cambrer davantage en tapotant ses reins de la cravache, dont elle connaît maintenant le pouvoir. L’excitation est toujours là, à son grand désarroi, mais accompagnée maintenant d’une certaine peur. Tout cela ne fait qu’augmenter ses frémissements.



Elle va parler, protester, mais le regard du directeur ne lui laisse aucun doute sur sa réaction. Et puis, le désir est toujours là, malgré elle, à lui dévorer le creux des reins.


Elle se penche légèrement, saisit les bords de la jupe et la retrousse, beaucoup plus lentement qu’elle ne le voudrait. Elle est obligée de se tortiller, mais enfin, la croupe nue apparaît, encore plus blanche et offerte, encadrée par les bas, les jarretelles et la jupe de son tailleur troussée.

Il ne peut réprimer une érection, qu’il essaie malgré tout de cacher. Elle essaie elle aussi de masquer son sexe de ses deux mains jointes. Il se place devant elle et sans un mot, tapote doucement ses mains du bout de la cravache. Elle les écarte aussitôt.



Elle obéit, comme si sa soudaine et plus franche nudité devant cet inconnu lui ôtait déjà toute force. L’air frais du bureau balaye ses fesses, accentuant ses sensations. La veste de tailleur est encore plus écartée, dévoilant toujours plus de la guêpière, de sa poitrine, mais le chignon est lui toujours là, étrange et délicieux contraste avec son ventre nu face à lui.



Il lui fait doucement écarter davantage les cuisses. Elle garde la tête haute, se mordant les lèvres (pour ne pas gémir ?), sa poitrine se gonfle sous l’émotion, mais les cuisses s’écartent légèrement. Il continue à la caresser du bout de la cravache.



Il la fouille plus franchement, tapotant ses lèvres de la mèche de la cravache.



Il cingle doucement l’intérieur des cuisses, elle obéit à l’ordre muet et écarte un peu plus les jambes. Il s’approche, la bouche à quelques centimètres de son oreille, il murmure :



Elle se cabre un instant.



Il approche la main de son ventre et y glisse le majeur. Elle esquisse un geste de recul, surprise, choquée par cette intrusion, mais son autre main plaquée sur ses fesses la maintient en place. Le doigt se fraie un chemin en elle sans peine, il est même aspiré. Tout en continuant à murmurer à son oreille, il pose son index au bord de ses lèvres et flatte doucement son bouton. Le majeur caresse lentement l’intérieur. Elle ferme les yeux mais une claque sèche sur la croupe nue les lui fait rouvrir.



Il la fouille plus franchement, une main toujours ferme sur ses fesses nues, son souffle s’accélère, il regrette un instant que la guêpière lui cache les pointes des seins. Une goutte de sueur vient perler derrière son oreille, il est tenté de la recueillir du bout de la langue sur sa nuque, mais il la veut attentive à sa seule main et ces doigts qui la caressent, tournent et s’enfoncent en elle.


Le regard de M. Hill est maintenant plongé dans celui de son invitée, perdu, noyé ; elle résiste aux sensations qui montent en elle, son amour propre, ou un reste d’arrogance. Mais sa docilité sous les doigts de l’homme ne laisse aucun doute sur l’issue du combat.


Elle tremble sur ses jambes, se fait plus lourde contre sa main, son bassin épousant les mouvements de ses doigts… Et puis, il se retire, retourne à son bureau pour y griffonner une note.


Il ne lève même pas les yeux vers elle, toujours troussée, ventre et fesses nus, jambes légèrement écartées, les mains docilement jointes sur les reins, et le regard… ce regard gorgé de désir et de frustration, d’incompréhension aussi ; quoi, elle ne s’abandonne pas si facilement à un mâle pour qu’il la laisse pantelante, sans même la « finir »… !



La voix qui lui murmurait des horreurs à l’oreille est de nouveau froide et cassante et la ramène à la réalité, celle de ce bureau, celle de sa tenue, de son état… Elle fait glisser sa jupe, la lisse nerveusement sur ses cuisses, une main remet en place sa coiffure, remettant une mèche de cheveux échappée du chignon. Ses jambes sont encore en coton lorsque qu’elle prend le mot posé au bord du bureau. Il est déjà plongé dans un dossier et ne lève même pas les yeux pour lui donner congé.



Le rouge encore aux joues, une envie furieuse de se caresser pour calmer ce feu qui n’a toujours pas quitté son ventre, elle balbutie sans même oser protester devant cette promesse d’une nouvelle humiliation et sort de la pièce.




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À la résidence Hill, Severin rejoint son élève Florence Hill dans la bibliothèque, aménagée en salle de cours.


Le professeur pénètre dans la bibliothèque. Avec les « distractions » de la nuit, il n’a pas vraiment eu l’occasion de préparer son cours. Mais un premier coup d’œil vers son élève lui laisse penser qu’elle ne lui en tiendra pas rigueur.


La jeune femme a déjà échoué à son bac à deux reprises. Lorsqu’on la regarde, on peut imaginer que ses voisins de lycée puissent avoir rencontré des problèmes pour se concentrer sur leurs études.


Grande, de longs cheveux blonds bouclés, de longues jambes galbées qu’elle offre généreusement aux regards, de petits seins parfaitement ronds avec lesquels elle n’est pas plus cachottière.


Mais ce physique charmant se révèle encore plus impitoyable lorsque l’on découvre son séant. Sa croupe. Son merveilleux derrière. Il est bien sûr formé de deux globes ronds, ni trop fermes, ni trop lâches, de dimensions scientifiquement calculées pour remplir les mains d’un homme, ou du moins, le laissant suffisamment croire pour que la tentative s’impose.


Reste que cette jeune femme est aussi pourvue d’un esprit que l’on pourrait qualifier de particulièrement ludique. La combinaison des deux lui a assuré maints plaisirs. Mais, bizarrement, pas le succès au Bac.


À la voir minauder avec ses doigts le long de sa bouteille d’eau minérale, Severin se dit que plus d’un examinateur aurait aisément abjuré sa foi dans l’égalité des chances devant l’examen, si cette créature s’y était un tant soit peu appliquée. Mais non.


Il va donc falloir affronter cette Florence, qui se montre encore plus aguicheuse dans son habitat naturel.


En découvrant son élève, Severin s’est tout d’abord dit qu’elle avait finalement décidé de cesser ses déguisements d’allumeuse : un chemisier sagement boutonné, une queue de cheval, un maquillage sobre. Rien que de très sage et classique. Enfin, un moment de calme et de tempérance.


Vain espoir ! Dès que la jeune femme se lève pour lui apporter un devoir, il réalise l’étendue du calvaire qu’il va devoir endurer pendant cette matinée, surtout après la nuit qu’il a vécue. Si le haut était un modèle de vertu, le bas l’est beaucoup moins : une jupe plissée ultra-courte et de courtes bottines à hauts talons. Rien de plus, rien de moins.


Le petit air indifférent qu’elle arbore n’enlève rien à la douloureuse longueur de ses jambes, ni ne rend plus supportable le suave balancement des bords de la jupe sur ses reins.


Il décide de lutter, de lui donner un autre devoir, long et fastidieux et de se plonger dans la préparation du prochain cours. Si prochain cours il y a. En effet, le jeune homme est déboussolé.


Ces dernières semaines et encore plus ces derniers jours ont été particulièrement mouvementés pour un jeune homme plutôt habitué à des aventures exclusivement cérébrales. Il a constamment été poussé d’un côté à l’autre de sa libido par toutes ces femmes. Oh, il ne va pas s’en plaindre. Comment se plaindre de voir ses plus secrets fantasmes, ces scènes qu’il a maintes fois imaginées en caressant son sexe au fond de son lit, devenir réalité, de les vivre avec toutes ces créatures, aussi désirables que perverses…


Et puis, il se sent constamment ballotté. Même lorsqu’il lui est arrivé de tenir le martinet, ce sont elles qui l’ont voulu, elles qui lui ont dit comment le manier.


Elles ont toutes joué avec lui, sa pauvre libido, si facilement manipulable. Comme si ces années de frustration l’avaient mis en condition pour accepter tous les jeux, toutes les humiliations que ces femmes décideraient de lui faire subir.


Pourquoi faut-il que la simple vue de certains attributs féminins ou même de certains vêtements suffisent à briser toute volonté en lui ?


Enfin, peut-être devrait-il simplement cesser de réfléchir à ces considérations et accepter ses faiblesses, où qu’elles le mènent, et dans quelque situation scabreuse que ce soit.




Fin