Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15234Fiche technique39165 caractères39165
Temps de lecture estimé : 22 mn
25/10/12
Résumé:  Essais de jouets et dérapage vers le corps à corps.
Critères:  ffh extracon vengeance exhib intermast fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo hgode jouet -extraconj -hff
Auteur : Veilleur

Série : Le marchand d'illusions

Chapitre 02 / 02
Le marchand d'illusions 2

– Le marchand d’illusions 2 –




Surprise ! Marie et Julie ramènent un inconnu à la maison. Ce Grégoire promet de les embaucher pour vendre de la lingerie fine et des jouets sexuels. Il leur propose de tout essayer. Julie fonce, Marie tergiverse. De la cuisine, Aimé et Jean suivent le manège. Grégoire compte baiser les deux proies. Y parviendra-t-il ?








Grégoire ne se tient pas pour battu.



Julie désespère :



Derrière le passe-plat, j’ai du mal à saisir la portée de cette dernière remarque. Aimé commence à se demander à quelle sauce Marie sera servie avec le mystérieux contenu de la valise fermée. Mais j’approuve Marie : la culotte tombe, Julie fait face, assise sur une serviette de bain, écarte ses cuisses pour offrir son abricot à la pénétration du gode et surtout m’offre de façon tout à fait satisfaisante le spectacle divin de son sexe au bord de l’éclosion, aux lèvres pleines sur le point de s’ouvrir, de se donner pour recevoir. Un jouet, bof, ça ne compte pas. Est-ce que cela peut vraiment la faire jouir ? C’est purement mécanique, il n’y a pas de sentiment, pas d’émotion. Sa façon d’appuyer ses talons sur le bord des coussins dévoile aussi l’étoile sombre de son anus. Tout ce qu’elle m’a caché jusqu’à ce jour s’étale sous mes yeux. Les autres en voient autant, elle se laisse scruter par Grégoire et mon copain Aimé ne se prive pas du spectacle mais sourit attendri. Dire qu’elle me préfère ce truc, c’est incroyable. Enfin, s’il suffit de cette expérience pour trouver un bon emploi, je vais regretter d’être un garçon.



Vierge ? Dire que je l’ai crue quand elle prétendait me conserver le privilège de sa défloration. Ce serait, affirmait-elle, un don parfait, complet, la preuve d’un amour fou.



Julie s’impatiente :



Voilà à quoi rimait tout son baratin. Il s’impose à la place de Marie et se précipite au pied du canapé, à genoux devant le jeune ventre vibrant d’impatience dans l’attente de la pénétration de l’engin.



C’est fait, il dépose un long baiser de salutation sur les chairs de Julie qui tressaille sous l’attaque inattendue, mais attend innocemment la suite.



Jean, c’est moi et je commence à être de moins en moins ravi dans ma cachette. Le type a embrassé le sexe, une fois, deux fois, y prend goût et sait comment continuer.



Revirement pour prolonger l’attouchement, il y a deux secondes les chairs étaient bien lubrifiées. Mais l’impatiente Julie ne relève pas la contradiction. Ce type n’est pas clair.



Et à son habitude Grégoire n’attend pas la fin de la réponse. Sa tête plonge sur le pubis puis s’engouffre entre les jambes et sa langue pointe entre les lèvres, se promène avec vivacité du clitoris à la rose du cul, lèche et fait sursauter le ventre qui se tend vers l’assaillant. À cette allure et en faisant durer aussi longtemps, il va déchaîner un torrent de cyprine. Julie se met aussitôt à manifester d’une voix gutturale les tourments de ses sens ainsi bouleversés, ses mains s’abattent sur le crâne de Grégoire et pressent le visage sur son sexe. La face inondée, il parvient à se dégager et juge le moment venu d’introduire le simulacre de pénis impressionnant. Elle s’ouvre à deux mains, je vois briller les chairs rouges du sexe béant. La tête de l’engin se pose, cache le trou. Par poussées et retraits dosés avec art, Grégoire fait entrer une partie de la tige. Julie la reçoit avec des gémissements dus à l’effort de dilatation de son conduit. C’est que la longue tige en raison de son diamètre force le passage.



Content d’avoir lancé l’automate, Grégoire se relève, se déplace, retire le mini soutien-gorge et caresse les seins si mignons de Julie. Et Julie est aux anges, sourit, approuve les caresses et se met à haleter. C’est parti, je la vois tordue de plaisir s’allonger sur le canapé et commenter, en phrases hachées par la montée de la volupté, les sensations violentes qui la traversent. Les sons perdent leur signification, se transforment en onomatopées étranges. Levant la tête Grégoire rencontre le regard de Marie, se souvient qu’il doit lui imposer de jouer à son tour avec le contenu de la dernière valise.



Il ouvre et déballe.



Grégoire avance vers Marie, le majeur en crochet, pour préciser ses intentions.


Aimé cette fois bout de rage. Je le calme. Julie sauve Marie de cette situation périlleuse pour son couple, elle appelle :



Avant d’arriver au canapé Grégoire laisse tomber son pantalon et son slip « éminence » et laisse apparaître un éminent sceptre congestionné, sans doute à l’étroit dans son sous-vêtement depuis le début des essayages et des photos. Son visage se détend et, rayonnant, il vient présenter sa queue aux belles dimensions sur laquelle le vagin de Julie devra pourtant se contracter après le passage du super gode dans sa cramouille défoncée.


La machine a préparé le corps de la femme et Grégoire recueillera les fruits de cette préparation.



Marie souffle, grâce à Julie elle vient d’obtenir un sursis. Mais Grégoire veille, se retourne et articule :



Elle devra y passer. Si elle recule ce sera pour mieux sauter ou se faire sauter. Elle envisage avec crainte le moment où, travaillée par le vibromasseur de son siège gonflable, après Julie et comme Julie, elle réclamera la lance à incendie de Grégoire pour calmer ses sens. Elle hoche la tête, pas tout à fait enthousiaste. Puisqu’elle devra y passer si elle veut gagner beaucoup d‘argent pour son Aimé chéri, elle se résout à enjamber le demi-cylindre et s’accroupit sur la protubérance en forme de phallus. Elle se penche pour viser et quand ses lèvres entrent en contact elle se ravise :



Grégoire emprisonné dans la bouche dévoreuse de Julie admet ce départ. Il a mieux à faire que de batailler avec Marie. Elle se soumettra, alléchée comme Julie par la promesse d’embauche. Et cette nana-là lui mangera aussi la queue avant de se faire emmancher par sa bite chaude. De toute façon il n’a qu’une queue et ne peut baiser qu’une nénette à la fois. Il s’abandonne donc aux travaux d’approche très habiles de la plus jeune. Julie suce divinement bien et branle en même temps la lance réclamée. Encore un peu et Grégoire lui enfoncera son gourdin dans la fournaise ; il faut battre le fer quand il est chaud, et tamponner un vagin lorsqu’il bout. J’ai compris désormais quel rôle Julie m’a attribué. En attendant de se faire mettre par-devant et par derrière si elle le souhaite par Grégoire, son futur patron, elle se met le doigt dans l’œil, je ne lui offrirai pas la bague de fiançailles et je ne demanderai pas sa main. Je n’ai donc aucune raison de voler au secours d’une fille qui supplie un étranger juste rencontré de la pénétrer. Le hasard m’a rendu service en m’éclairant sur sa conduite, le hasard m’a mis en position de voyeur : je regarde, j’observe attentivement, je suis un cours pratique d’éducation sexuelle.


La porte de la cuisine s’ouvre, entre Marie qui roule des yeux. Aimé un index en travers de la bouche lui fait signe de se taire. Elle sort de son état de surprise intense et murmure.



Pourquoi sent-elle le besoin de se défendre ? Elle a subi bien des attouchements, était sur le point de s’empaler sur un vibromasseur, a chauffé Julie. Qui sait comment elle allait continuer ? Peut-elle s’en vanter devant son compagnon. Aimé revoit toutes ces scènes, reste muet, incapable de dire un mot pendant deux ou trois minutes durant lesquelles je lis sur le visage de Marie un profond désarroi. Elle vient de réaliser qu’Aimé ne saute pas de joie et ne la félicitera pas pour le spectacle offert ou pour la promesse d’embauche liée à un chantage sexuel. Si le futur patron est aussi familier avant l’embauche, que ne se permettra-t-il pas après la signature du contrat. Et des femmes qui se soumettent aussi facilement avant la présentation du contrat, résisteront-elles ensuite à ce séducteur qu’elles considèrent comme un bienfaiteur ?


Aimé a légitimement des doutes sur l’avenir de son couple. Tout allait si bien, Marie était un exemple de fidélité et de complicité, mais jusqu’où se laissera-t-elle entraîner par ce beau parleur ? Soudain elle réalise l’étendue des dégâts elle lit ces interrogations dans les yeux d’Aimé, elle craint le pire. Dehors, Grégoire bite en main s’apprête à visiter la grotte de Julie. Elle s’est agenouillée sur le canapé et tend sa croupe en creusant son dos, la tête calée de travers contre le dossier afin de voir venir le coup. Deux fortes mains tirent sur ses fesses pour offrir un accès facile à la tige du pompier.



Aimé soudain débite



Incrédule, mais angoissée, Marie répond à l’appel de Grégoire :



C’est un avertissement gratuit sur un ton égrillard. Elle oublie le siège gonflable et rejoint le couple.



À deux mains elle pousse sur les fesses poilues du gars, il s’enfonce dans le puits d’un seul trait, Julie hurle. De surprise, de bonheur ou de douleur ? Marie se glisse entre les jambes de l’homme, tournée vers nous, recule sur ses fesses, peu soucieuse de nous cacher son sexe, occupée à prendre en main le scrotum du bonhomme, à gratter la peau des bourses ou à presser les testicules. En même temps, à la renverse, elle envoie un index couvert de salive dans la rondelle du garçon d’abord, puis au prix de contorsions dans l’anus de ma fiancée perdue. Massages internes ou externes, elle augmente l’énervement de ces deux amants improvisés. Le type s’agite, emporté par des élans fous, Julie remue ses fesses, arrondit son dos ou creuse ses reins pour favoriser l’accueil du soc qui laboure son sexe. Quand Grégoire grogne et crie victoire, Marie le maintient au fond du vagin. L’éjaculation surprend Julie qui se révolte :



Elle est furieuse à la pensée d’une grossesse qui renverserait son projet de mariage avec moi.



La verge quitte le sexe pour tomber dans les doigts de Marie. Un liquide blanchâtre s’écoule, tombe dans les yeux de Marie. Celle-ci ne lâche pas le pénis mais le masturbe. Grégoire se réjouit de ce secours, reprend force, se laisse aller dans la bouche de Marie. Je connais la fougue de Julie lorsqu’elle



Par tous les moyens : Marie applique la consigne.



Grégoire n’osait pas en demander autant la première fois. Il peut se féliciter de l’arrivée de Marie. Et Marie tente d’arriver à ses fins en se livrant le moins possible. L’ardeur de Julie lui facilite la tâche, et c’est tant mieux. Elle administre des claques sur les fesses du représentant en lingerie et jouets sexuels. Dommage qu’elle n’ait pas vu de martinet dans les valises. Elle tape de bon cœur pour précipiter la prochaine éjaculation. Le bienheureux sodomite encouragé par les coups de l’une et les cris de douleur de l’autre va bon train dans les entrailles forcées, rabote joyeusement les parois des intestins. Il profite au maximum de cette aubaine.



Il ne doute pas de traiter bientôt Marie comme cette petite dévergondée de Julie. Vraiment ces deux salopes ont le feu au cul, c’est une veine incroyable. Et crédules avec ça, les greluches ! Il va leur montrer ce qu’est un homme, un vrai. C’est du moins l’impression qu’il laisse en se calant confortablement au plus profond du trou à caca de la plus jeune. La face grimace, une nouvelle fois, il signale l’évacuation de sperme par un grognement et il devient raide et immobile, collé aux miches de la gamine. Il la remplit par tous les trous.


Cette fois Marie le laisse sortir.



Mais avec le temps, la chose devient plus laborieuse. Il lime, frotte les parois, cherche à toucher l’utérus, serre les nichons de la fille comme des poignées de maintien, lève ses fesses au plus haut pour frapper du plus loin, sur le parcours le plus long dans le tube rendu gluant et chaud par ses précédents dons de foutre. Il souffle fort, ralentit malgré lui la cadence, comme l’athlète qui ne sent plus ses jambes à la fin d’une longue course. Il peine, mais ne se dégonfle pas. Il gémit plus fort que sa proie, il cherche, pioche, se relance mais se sent vide.



Quand la fausse prude en aura-t-elle assez ? Dos contre le dossier, jambes pendantes, Grégoire s’assied, tend les bras. Marie avec un haut-le-cœur, c’est le prix à payer, se penche sur le rameau rabougri, le reprend en bouche et le masturbe vivement. Grégoire pour échapper à la honte de la panne la laisse brouter, sent heureusement renaître son désir. Marie fait un miracle, le gland ressort du prépuce.



Julie prend position, ses genoux reposent à l’extérieur des cuisses de l’homme, sa croupe s’abaisse. Marie tient d’une main ferme le pénis un peu mou jusqu’à sa disparition dans la moule affamée de l’amie et cette fois Julie lance la danse. Elle fait tourner ses hanches autour du bâton, monte et descend en vrille, force l’allure. Hélas elle perd le morceau. Mais Marie veille et sa main replace la chair molle entre les lèvres de la vulve. Julie roule sur la boule, ne monte plus pour la garder au chaud. Le travail dure, Julie gagne un orgasme en se démenant comme une diablesse, s’arrête puis reprend sa course au plaisir. Grégoire émet une ou deux giclées, juste de quoi mouiller l’entrée du vagin, puis demande une pause. Que Marie chevauche le siège gonflable pendant qu’il retrouve des forces. Le spectacle redressera sa queue, hélas un peu paresseuse aujourd’hui. Marie à son tour aura sa ration, foi de Grégoire. Le porte-monnaie est vide mais il prétend encore faire des dépenses.



Elle se passe une main à l’intérieur des cuisses, la regarde et déclare :



Personne ne s’étonnera de voir les femmes passer en cuisine : la porte de la cuisine s’ouvre, Julie entre à son tour, sans nous voir. Tête baissée elle contrôle du regard les gestes de ses mains occupées à lisser, à étaler et à mettre en ordre les bouclettes brunes de son pubis. Elle s’est lavée, les poils sont encore humides, les traces de sperme ont disparu. Son visage sourit sur un rêve intérieur lorsqu’elle lève les yeux et nous voit. Le choc est brutal, heureusement muet. Elle déglutit difficilement avant de dire d’une voix étranglée :



Elle se place dos au passe-plat, veut-elle nous empêcher de voir ce qui peut se passer de l’autre côté ? Juste avant son arrivée Marie remontait le moral de Grégoire et promettait de lui rendre toute sa virilité s’il acceptait de patienter. Tout à coup Julie prend conscience de sa nudité.



Sa voix retrouvée, elle parle fort, veut sans doute alarmer Marie et elle tente une parade à notre curiosité. Son avant-bras gauche barre les pointes meurtries de ses seins : Grégoire les a soumises à rude épreuve, pincées, frottées, sucées. Sa main droite cache imparfaitement la naissance de son sexe entre des cuisses qui se referment imperceptiblement.



Je fais le nigaud :



Cette fois elle a compris. Ses yeux sortent de leurs orbites, sa bouche reste ouverte, ses bras tombent le long de ses hanches. J’ajoute :



Aimé complète :



Je barre le chemin vers la porte.



Aimé se détourne pendant mes travaux pratiques.



Julie nage en pleine incertitude, mais soudain devient soumise. Elle espère le pardon et veut l’obtenir par une obéissance complète à mes souhaits. Elle a été prise en défaut, elle fait profil bas. Aimé nous précède. Je la suis et je l’arrête, je lui donne un baiser, long, savoureux. Surprise elle permet, répond avec élan. Mes mains englobent la poitrine puis au cours du déplacement j’éprouve hardiment la fermeté des muscles fessiers. Elle fait la chatte, je lui caresse le poil pubien au moment où nous entrons au salon. Grégoire encore nu, mais averti par notre conversation, penché en avant, ramasse ses habits épars. Nous voyons son cul : Aimé me regarde, nous sourions, nous nous sommes compris. Julie se jette dans les bras de Marie et se met à sangloter.



L’homme est beau joueur et se démonte difficilement.



Je frappe où ça fait mal, je constate la détumescence de son zizi, le désigne du doigt, il va se sentir humilié devant ces dames :



Julie m’enlace et m’embrasse ardemment en guise d’assentiment. Tout va bien. Croit-elle au miracle ?



Nous avons eu la même idée et entamons le ballet de trois hommes nus, deux mâles en érection déplacent un homme à la bite tournée vers ses pieds et l’amènent au-dessus du siège gonflé.



Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse : Grégoire incapable de se révolter en présence de deux hommes, grimace, demande grâce. Il n’a jamais mis sa rondelle sur ce vibromasseur. C’est fait pour les femmes, pas pour lui, proteste-t-il. Mais il avale inexorablement la tige si douce et plus il se contorsionne, plus l’engin disparaît dans son entre-fesses. Devant ces deux femmes plus d’une heure dominées par lui, il est humilié de devoir se donner en spectacle envahi par derrière. Ce truc va lui déchirer la peau du cul, geint-il. Aimé lance le mouvement et confie la commande au vendeur. Je commente :



Jamais je ne me suis senti aussi sûr de moi. Ma timidité s’est envolée. Médusée par mon autorité tranquille, Julie se fait humble et douce et m’accompagne vers la chambre à coucher de la maison.



J’examine longuement les lieux. Mes doigts touchent, pénètrent la grotte, découvrent coins et recoins, tâtent et s’enfoncent dans le marais rouge plus que rose. Parfois Julie sursaute et accuse Grégoire : il a trop longuement frotté son conduit, l’a saccagé et son vagin est irrité. Je dois surtout épargner aujourd’hui son clitoris douloureux. Elle n’a pas oublié son projet.



Je note l’inversion des propositions. Avant, elle exigeait la bague au doigt avant de faire l’amour avec moi. Il y a un énorme progrès. À moi de formuler des conditions.



Elle s’est lavée. Mais un liquide visqueux suinte et se répand dans le bas de sa vulve. Pour l’instant mon envie de la pénétrer s’évanouit à la vue de cet épanchement. Je n’ai aucun goût pour les orifices où Grégoire a foré pour écouler son sperme. Je me contenterai momentanément de tremper mon biscuit dans sa bouche.


Qu’elle me taille une pipe sera un signe de reddition. Après, j’aviserai. Ses mâchoires sont infatigables.


Grégoire a longuement expérimenté son siège gonflable. Il est resté longuement empalé. Finalement il a reconnu n’avoir aucun pouvoir pour embaucher du personnel. Ces valisettes, tombées du camion lui avaient valu de bonnes fortunes. Marie s’en veut de s’être laissé piéger. Julie ne décolère pas.


Quand j’ai rencontré Constance, la femme de Grégoire, je me suis dit qu’il ne la méritait pas. Elle est délicieuse, tellement mieux que Julie. J’ai tenu ma promesse de rendre au centuple… Constance a apprécié, nous nous aimons.




FIN