n° 15238 | Fiche technique | 21238 caractères | 21238Temps de lecture estimé : 12 mn | 29/10/12 |
Résumé: Grâce au concours d'un ascenseur récalcitrant, le contrôle fiscal prend une tournure inattendue. | ||||
Critères: fh hplusag inconnu ascenseur voir exhib fellation cunnilingu pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Fantasio |
Jacques Bertier observait la jeune femme qui se tenait devant lui, et dans ses yeux on pouvait voir briller l’excitation du chasseur convoitant sa proie. Malgré ses cinquante ans bien tassés, il n’avait rien perdu de sa passion pour les charmes de la gent féminine et, en chasseur avisé, il savait reconnaître au premier regard les biches ingénues ne demandant qu’à tomber dans ses filets.
Le fait que Brigitte Dubois se soit présentée dans les locaux de sa PME pour effectuer un contrôle fiscal ne changeait rien à l’affaire et, tout en faisant mine de s’intéresser à l’exposé de la jeune femme, il étudiait en spécialiste le superbe animal qu’il rêvait de capturer. Elle avait une trentaine d’années, soit vingt de moins que lui, mais ce n’était pas ça qui allait l’arrêter. Comme tout chasseur qui se respecte, il était plutôt sûr de son coup de fusil, autant que de son physique de troisième ligne. Son abondante crinière blanche et ses profonds yeux bleus constituaient des armes redoutables auxquelles de nombreuses femmes avaient déjà succombé. Et il était convaincu que Brigitte Dubois finirait par rejoindre son tableau de chasse.
Pour l’instant, elle faisait tout pour être fidèle à sa fonction, affichant une allure et un discours d’une froideur et d’une raideur toutes administratives. Mais malgré son tailleur strict et sévère, elle ne pouvait pas dissimuler grand-chose aux yeux aguerris de Bertier, ni l’enivrante rondeur de ses fesses délicieusement moulées dans une jupe grise s’arrêtant juste au-dessus du genou, ni la généreuse poitrine qui déformait un chemisier blanc boutonné jusqu’au cou. Et si elle s’efforçait d’afficher un visage impassible derrière de larges lunettes à monture d’écaille et ses cheveux châtains réunis dans un petit chignon un peu daté, son interlocuteur devinait que sous cette raideur de fonctionnaire sommeillait un volcan de sensualité qu’il lui tardait de réveiller. Tandis qu’elle évoquait ses bilans financiers, il imaginait la charmante inspectrice dans le plus simple appareil, prête à livrer ses seins juteux et fermes, son adorable cul et sa chatte frémissante à une inspection au moins aussi minutieuse que celle qu’elle envisageait d’accorder à ses comptes.
Il n’avait pas pu s’empêcher de sourire en s’excusant avec une pointe d’ironie. L’espace d’une brève seconde, les joues de la jeune femme s’étaient colorées, pour le plus grand plaisir de Jacques Bertier qui voyait avec délice comment le vernis d’autorité de la jeune contrôleuse commençait à se craqueler.
En fin de matinée, il lui avait proposé de partager un sandwich au snack du coin mais, comme il s’y attendait, elle avait refusé plutôt sèchement. Mais un bon chasseur est un chasseur patient, et Jacques Bertier était un bon chasseur. Il attendait le bon moment pour lancer son attaque et ce moment arriva en début de soirée.
De toute la journée, Brigitte Dubois n’avait quitté son bureau que pour demander des dossiers à Solange, la secrétaire, et pour se rendre aux toilettes. À chaque fois, elle était passée devant la porte grande ouverte du bureau de Bertier, ignorant tout à la fois son sourire poli et les regards visiblement admiratifs qu’il portait sur son appétissante anatomie. Vers vingt heures, elle avait fait une dernière apparition, s’arrêtant devant le bureau du directeur.
Elle l’avait fusillé du regard avant de quitter le bureau et il l’avait suivie discrètement jusqu’à la voir disparaître dans la cabine de l’ascenseur. C’était un vieil ascenseur avec une cabine en bois et en acier, fermée par une grille coulissante et qui s’élevait en centre d’une structure en fer forgé traversant les trois étages de l’immeuble cossu abritant les locaux de la PME et les appartements de leur directeur. Il avait attendu qu’elle s’approche du rez-de-chaussée pour entrouvrir discrètement la grille du deuxième étage, immobilisant brusquement la cabine à deux mètres du sol, puis il était parti se réfugier dans son bureau, attendant avec excitation la suite de son plan machiavélique.
La sonnerie de l’alarme n’avait pas tardé à retentir dans l’immeuble désert. Trois longues minutes plus tard, Bertier avait fait son apparition dans la cage d’escalier.
Après avoir descendu les deux étages en essayant de se retenir de rire, il s’était arrêté à hauteur de la cabine, s’efforçant de prendre un air désolé autant qu’embêté.
Elle était visiblement inquiète et cela la rendait encore plus attirante. Debout au pied de la colonne d’acier, Jacques Bertier regardait la charmante contrôleuse des impôts qui trépignait d’impatience en lui ordonnant de trouver une solution.
D’où il était, il pouvait tout à loisir laisser son regard se glisser entre les grilles de la cage d’acier et remonter le long des jambes gainées de nylon noir. Il ne discernait pas grand-chose, mais pour l’instant il se contentait d’imaginer le captivant trésor qui se dissimulait dans la pénombre de ses cuisses.
Elle s’était agenouillée avant de s’allonger sur le sol de la cabine et de passer sa tête sous l’encadrement de fer forgé.
Son chignon était défait et ses boucles brunes encadraient un visage brillant d’angoisse autant que d’excitation. Tout en feignant de téléphoner sans succès au réparateur, Jacques Bertier utilisait son portable pour prendre des photos de sa proie, tombée dans le piège qu’il avait élaboré pour elle.
Après avoir hésité de longues secondes, demandant s’il n’avait pas une meilleure idée, elle avait fini par lui passer ses escarpins à talon avant de se retourner pour glisser ses pieds enveloppés de nylon dans l’étroite chatière. Bertier continuait à photographier les jambes noires qui s’avançaient entre les torsades d’acier, attendant le moment où la jupe commencerait à remonter jusqu’au sommet des cuisses tandis qu’elle les faisait glisser hors de la cabine.
Elle s’était arrêtée, la jupe remontée jusqu’au sommet d’une magnifique paire de fesses, emballées dans des collants de nylon noir. Elle savait qu’il avait raison, mais de là à se désaper devant un contribuable soumis à un contrôle fiscal, il y avait de la marge.
Elle s’était déshabillée sans daigner lui prêter la moindre attention. Pliant une à une ses affaires sur la banquette de bois avant de se retrouver en collant et en soutien-gorge. Un soutien-gorge blanc, plutôt sage, qui mettait néanmoins en valeur les appétissantes rondeurs d’une superbe paire de seins. Son cul n’en était pas moins admirable, délicieusement moulé dans son écrin de nylon noir derrière lequel on devinait une petite culotte de dentelle blanche.
Bertier ne perdait rien du spectacle, continuant à mitrailler discrètement la jeune femme au moyen de son portable, tandis qu’il sentait avec délice son sang battre contre ses tempes et sa queue frémir d’impatience dans la prison de son slip.
Elle l’avait fusillé du regard, tout en étant parfaitement consciente qu’il tenait son sort entre ses mains et ses bras musclés. Elle avait donc repris sa position, laissant pendre ses jambes hors de la cabine, jusqu’à ce que ses fesses se retrouvent coincées sous l’encadrement d’acier de la porte et son con écrasé contre le rebord de la cabine.
La chasse est souvent une question de chance et lorsque la jeune femme avait poussé un petit cri de surprise, Bertier avait compris que la chance était une nouvelle fois de son côté.
Une vis opportunément placée sous l’encadrement venait de déchirer le collant qui s’était ouvert comme un fruit mûr pour révéler l’éclat pâle et brillant d’une magnifique paire de fesses. Mais la vis malicieuse ne s’était pas arrêtée en si bon chemin, elle avait choisi d’accrocher en même temps l’élastique de la petite culotte de coton blanc qui s’était enfoncée brusquement entre les fesses et entre les lèvres de son con qui apparaissait sur le rebord de la cabine, à quelques centimètres à peine du visage ravi de Bertier.
Sans cesser de jurer et de se lamenter, elle s’était mise à agiter les jambes et les fesses dans l’espoir de libérer la petite culotte et Jacques Bertier avait eu bien du mal à ne pas éclater de rire. Quelques secondes plus tard, l’élastique du slip avait cédé à son tour, libérant le triangle de coton blanc qui pendait autour de sa cuisse tout en restant encore profondément enfoncé entre les chairs brillantes de sa chatte et les sphères joufflues de son joli cul.
À présent, elle arrivait à poser les pieds sur les épaules de son hypocrite sauveur qui contemplait avec ravissement le superbe paysage s’offrant quelques centimètres au-dessus de lui. Il sentait le corps de la jeune femme trembler sur ses épaules, et il imaginait ce qui devait lui passer par la tête à l’idée de se retrouver le cul et le con à l’air juchée sur les épaules d’un parfait inconnu, encore prisonnière de ce maudit ascenseur.
Sans hésiter, Brigitte Dubois s’était débarrassée de son dernier vêtement. Elle aurait sans doute pu essayer de couvrir ses seins derrière les bonnets, mais elle n’en pouvait plus et n’aspirait qu’à sortir au plus vite de la cabine. Et c’est ce qu’elle parvint finalement à faire en faisant passer sa généreuse poitrine par-delà l’encadrement de la porte.
Elle était libre, se tenant à la cage d’acier, entièrement nue à l’exception des lambeaux des collants et de la petite culotte encore accrochée à ses jambes, le corps tremblant dressé sur les épaules de Jacques Bertier. Il l’avait aidée à rejoindre le sol, laissant ses mains se poser impudiquement sur ses fesses, regardant sa chatte brillante puis ses seins aux tétons dressés d’excitation passer juste devant son visage.
Tandis qu’elle éclatait en sanglot tout en se serrant contre son sauveur, il avait posé sa veste sur ses épaules pour lui permettre de dissimuler sa poitrine dénudée. Ses collants déchirés à mi-cuisse révélaient les rondeurs de son con, au cœur duquel s’accrochaient encore les pans de sa petite culotte.
Il l’avait précédée dans l’escalier malgré son envie de lui reluquer encore une fois les fesses. Mais, il était patient, et pour le moment il devait se comporter en gentleman, exclusivement préoccupé par le sort de sa malheureuse inspectrice. Dans l’appartement, il lui avait offert un peignoir qu’il l’avait aidée à enfiler tandis qu’elle se débarrassait de ses collants et de sa petite culotte déchirés. Puis il lui avait servi un grand verre de whisky.
Brigitte Dubois a avalé le verre de whisky presque d’un trait avant de se mettre à tousser violemment, peu habituée à l’intense brûlure au goût de tourbe du whisky pur malt. Elle lui avait malgré tout tendu son verre pour qu’il le lui remplisse une seconde fois. Une émotion intense continuait à lui agiter le corps.
La sévère contrôleuse des impôts avait cédé la place à une jeune femme fragile, tremblante d’émotion, qui n’avait ni la force ni l’envie de le contrarier. Il l’avait accompagnée jusqu’à la salle de bain, avant de la laisser seule, reprendre ses esprits et le contrôle de ses émotions. Son plan se déroulait à la perfection et il s’en sentait presque coupable. Mais la perspective de pouvoir bientôt profiter de ce corps magnifique qu’elle était sans doute en train de caresser sous la douche effaça presque aussitôt tout sentiment de culpabilité.
Lorsqu’elle était ressortie de la salle de bain, emballée dans sa sortie de bain en éponge, une serviette de bain nouée autour de la tête, Brigitte Dubois avait presque retrouvé le sourire, seule l’idée de sa récente exhibition continuait à occuper ses pensées, lui faisant monter le rouge aux joues et lui chatouillant l’entrejambe pour son plus grand inconfort à chaque fois que Jacques Bertier la regardait en souriant.
Elle avait dévoré l’omelette au fromage et la salade de tomates qu’il avait préparées pour eux, et avec l’aide de quelques verres de vin blanc, la jeune femme avait rapidement oublié son inconfort. Elle avait même ri aux éclats en se remémorant la scène de ses collants et sa petite culotte arrachés par les dents cruelles de la cage de fer forgé.
Elle avait rougi brusquement avant d’éclater de rire. S’il avait encore eu un doute quant au succès de sa chasse, celui-ci s’était envolé comme s’envolait le rire joyeux de la jeune femme visiblement excitée à l’idée qu’elle ait pu lui dévoiler volontairement son intimité la plus précieuse.
Il l’avait abandonnée quelques minutes à peine, pensive et souriante, avant de la retrouver allongée sur le ventre sur son large divan, le visage dissimulé entre ses bras repliés et le peignoir descendu sur sa croupe. Elle était vraiment magnifique et il avait dû se faire violence pour ne pas lancer tout de suite son ultime assaut. Mais il était patient et l’idée de caresser ce corps offert à ses mains expertes n’était pas pour lui déplaire.
Il avait d’abord désinfecté les éraflures qu’elle arborait au niveau des omoplates et du haut du dos, puis il avait descendu le peignoir pour dévoiler ses fesses qui présentaient elles aussi de petites écorchures sanglantes qu’il s’était appliqué à apaiser. Un délicieux frisson avait parcouru les chairs de Brigitte lorsque Bertier avait découvert les rondeurs brillantes de son cul dénudé et qu’il avait délicatement étendu du bout des doigts sa crème cicatrisante. Puis, lorsqu’il s’était mis à lui masser les épaules et le dos, les mains couvertes d’huiles essentielles, elle n’avait pu retenir un soupir profond et sensuel qui révélait son évident plaisir.
Il l’avait massée durant de longues minutes, écartant entièrement le peignoir pour s’occuper de ses cuisses, de ses mollets et, bien sûr, de ses fesses. Les soupirs s’étaient transformés en gémissements et le corps de Brigitte Dubois vibrait comme un instrument de musique sous les doigts habiles de Bertier. Il était temps de penser à l’assaut final mais il n’était pas un chasseur ordinaire. Il voulait que sa proie vienne elle-même quémander sa petite mort. Alors, il s’était arrêté, pour la regarder et attendre qu’elle vienne à lui.
Il avait attendu debout à côté du divan pendant une longue minute, avant qu’elle ne tourne son visage dans sa direction, un sourire extatique dessiné sur les lèvres et une flamme de désir dansant au fond de ses yeux. Elle avait avancé la main pour la poser sur l’entrejambe de Bertier et saisir le membre dressé qui déformait le pantalon de flanelle.
Elle avait sorti sa queue, visiblement ravie par la taille de l’engin et s’était mise à la sucer d’une bouche gourmande.
Voilà, la chasse était finie. Il n’y avait plus de chasseur ni de proie, mais seulement un couple qui s’apprêtait à s’offrir l’un à l’autre. Elle lui avait pompé la queue jusqu’à le forcer à se retirer avant l’issue fatale, puis il avait entrepris de lui dévorer la chatte avec autant d’ardeur qu’elle avait mise à déguster son gland. Elle avait une belle chatte aux grosses lèvres joufflues qui laissaient dépasser les dentelles de chair de ses petites lèvres. Un con de jouisseuse de toute évidence, qui réagissait au quart de tour lorsqu’il lui titillait le clito de ses vigoureux coups de langue.
Puis, enfin, il avait fini par la prendre sur le divan, jouant avec son corps comme avec celui d’une poupée gonflable qui ne se lassait pas de jouir quelle que soit la position dans laquelle il la prenait. Elle avait fait mine de résister quand, agenouillée sur le sofa et la croupe dressée, il avait posé son gland sur la rondelle fripée de son trou du cul. Mais son corps ne lui appartenait plus, il était bien trop excité pour offrir une quelconque résistance. Et, quand d’un brusque coup de reins, Jacques Bertier avait enfoncé près de la moitié de son imposant gourdin entre les reins de sa délicieuse inspectrice des impôts, celle-ci avait laissé échapper un râle profond, accompagné de puissants jets de liqueur qui étaient venus lui inonder le con et les cuisses.
Jacques Bertier n’a finalement jamais eu à subir le redressement fiscal que Brigitte Dubois s’était promis de lui infliger. Ce qui n’a pas empêché Mademoiselle l’Inspectrice de lui rendre régulièrement visite pour des contrôles de routine et s’occuper d’un redressement bien plus excitant.