Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15239Fiche technique29121 caractères29121
Temps de lecture estimé : 17 mn
29/10/12
Résumé:  Un couple lesbien désire un enfant.
Critères:  ffh collègues fépilée pénétratio québec -hff
Auteur : MarkTen      Envoi mini-message
Géniteur !




J’entre au poste, mon quart de travail se termine. Je croise deux policières qui prennent la relève, un bonjour de ma part et je récolte deux jolis sourires. Je dépose mon rapport d’activités sur le bureau du sergent et je file au vestiaire. Dix minutes plus tard, je roule en direction de chez moi. Un petit coup de sirène attire mon attention, un véhicule de police derrière moi. Je laisse le passage, l’auto patrouille se range aussi en bordure, une policière descend, je reconnais les deux policières qui m’ont souri tantôt.



Je suis intrigué, souvent de jeunes agents me consultent, mais là, j’ai aucune idée, je la rejoins.



Sans dire un mot de plus, elle retourne à son véhicule et démarre. Stupéfait, je reprends la route. Il m’est arrivé que des filles demandent directement pour coucher mais géniteur, c’est une première. Je me doutais bien que Paule était lesbienne, elle veut un enfant d’accord. Pourquoi moi, il y a l’insémination. Oui c’est ça, elle veut que je donne du sperme. J’ai aucune idée du comment cela se passe. Aussi bien attendre son appel.


Paule devrait appeler bientôt, si elle a choisi de m’aborder ailleurs qu’au poste, c’est qu’elle veut garder le secret, faire un appel du poste n’est pas une bonne idée. Le téléphone sonne.



Le lendemain, dans mon courrier personnel, je trouve une enveloppe, seulement mon matricule est inscrit. J’ouvre : un rendez-vous à la fin de mon service, il y a une adresse, signé : nous t’attendons. La journée terminée, je me dirige à l’adresse indiquée, un pub pour lesbiennes. Elles auraient pu choisir un autre endroit. J’entre, que des femmes, normal, je ne me sens pas très à ma place. Une main se lève, c’est Paule et Sonia, ce qui ne me surprend pas trop.



Paule et Sonia sourient, je commande une bière pour me donner de l’assurance. Sonia fait la remarque que je n’ai pas l’air surpris de les voir ensemble. Je réponds que j’avais deviné depuis longtemps pour elle, tandis que je n’avais que des doutes concernant Paule. Cette dernière, souligne que ma discrétion est un des critères en ma faveur. Je mentionne que je ne connais rien à l’insémination et que je veux connaître le fonctionnement. Sonia répond que je suis dans l’erreur car elles veulent la méthode naturelle. Je m’étouffe avec la gorgée de bière, les deux filles rient de bon cœur de l’effet de surprise.


Marc — Tu veux dire que, je dois…,

Paule — Ben oui, le monsieur rentre dans la madame.

Sonia — Vite fait, et c’est terminé.

Marc — Holà, vos expériences sont probablement avec des ados éjaculateurs précoces.

Paule — C’est différent, plus vieux ?

Marc — Avec la maturité, on apprend à honorer le corps d’une femme comme toi.

Sonia — Qu’est ce qui te fait dire qu’il s’agit de Paule.

Marc — Ma chère Sonia, il est écrit sur ton front que jamais tu accepteras d’être sous un homme, dessus peut-être mais jamais en-dessous.


Nous rions tous de ma dernière remarque. Sonia dit que c’est aussi parce que je devine bien les gens qu’elles m’ont choisi. Je demande quel était leur plan de match. Un motel, bing-bang, merci, explique Paule, je serai là, ajoute Sonia.


Marc — Un voyeur, en plus, ce n’est pas sérieux les filles, pas en cinq minutes, pas une vide-couille.

Sonia — Je ne suis pas voyeur, c’est pour la rassurer.

Paule — Je suis déçue que tu refuses.

Marc — Je n’ai pas encore dit non, on ne repousse pas des jolies filles du revers de la main.


Je réfléchis, il doit bien y avoir un moyen de rendre ça intéressant, les caresses, que ce soit un gars ou une fille, les yeux fermés en pensant à quelqu’un d’autre, peut-être.



Je présente la chose sous l’angle d’une expérience sexuelle, Paule devrait être capable de donner et recevoir des caresses, au lieu de recevoir un bâton de plastique, ce sera un bâton de chair, Sonia pourra surveiller et peut être prendre son pied par le spectacle. Immédiatement, sans réfléchir et en cœur, elles répondent :



Marc — Diable, je suis tombé en plein dans votre fantasme ?

Sonia — Nous savions que tu finirais par deviner.

Paule — Une pierre, deux coups, fantasme et bébé.

Sonia — Surtout, ne le prend pas mal, n’importe quel gars aurait dit oui pour coucher avec une lesbienne, on n’aurait même pas eu besoin de parler du bébé.

Paule — Juste le fait que tu acceptes de discuter avec nous en pensant qu’il s’agissait d’insémination, tout ce que tu as dit sur les vides-couilles, nous a démontré que tu respectes les femmes.


Je souris, j’ai tout même l’impression d’avoir passé un examen. Je ne peux pas les blâmer de prendre des précautions. Nous avons discuté de la meilleure date, ce sera un souper chez elles. J’ai juste demandé qu’elles soient un peu provocantes dans leur tenue vestimentaire. Je suis resté un peu avec elles, lorsque je suis parti, chacune m’a fait la bise sur les lèvres, ce qui m’a surpris venant de Sonia.


Quelques jours plus tard, Paule me confirme la date et me demande d’arriver vers 15 h afin que l’on ait le temps de faire un peu plus connaissance. Cela fait bien mon affaire car je pourrai m’intéresser aux filles, pas seulement à la couchette, et l’ambiance aura le temps de se réchauffer.


Un peu nerveux, je sonne, Sonia ouvre, rejointe immédiatement par Paule. Je leur présente un petit bouquet de fleurs à chacune. Paule me remercie chaleureusement tandis que Sonia surprise, se raidit. Nous passons au salon, Sonia m’indique le fauteuil, elle prend place à côté de Paule sur le divan. J’ai eu le temps de les détailler en arrivant, Sonia est une belle femme aux cheveux courts blonds, des yeux bleus perçant qui sont toujours défiants lorsqu’elle regarde un homme. Elle porte une jupe une peu longue et une blouse sagement fermée, je constate avec surprise que sa poitrine semble aussi grosse que sa consœur. Paule est aussi très jolie, elle est femme, cheveux aux épaules, yeux bruns, elle aussi porte jupe et blouse mais est beaucoup plus à l’aise. La jupe plus courte dévoile une partie de ses cuisses, tandis que le décolleté montre la naissance des seins.


Paule revient de la cuisine avec trois petits verres, les distribue. Lorsqu’elle me donne le mien, elle mentionne que ce liquide a la réputation d’être aphrodisiaque et énergétique, qu’il doit être pris d’un coup. Souriante, elle vide le sien en même temps que moi, j’ai l’impression que l’on vient de trinquer pour ce qui arrivera plus tard. Sonia demande si j’ai des questions au sujet des lesbiennes, elle aborde toujours les sujets directement. De questions en réponses, tous les trois nous échangeons sur les différences entre les couples hétéros et homos.


La discussion est animée, et dure jusqu’au souper. J’ai remarqué plusieurs fois que Sonia a tendance à relâcher ses genoux me laissant voir un peu de ses cuisses, à chaque fois qu’elle surprend mon regard, elle rougit en refermant celles-ci. Souvent, les filles posaient leurs yeux sur mon entrejambe, j’avais l’impression qu’elles se demandaient ce qui pouvait bien se cacher à cet endroit. Finalement nous passons à table, Depuis mon arrivée, je complimente les filles, jouant au séducteur. Paule apprécie tandis que Sonia se crispe à chaque fois. Je décide d’en avoir le cœur net.


Marc — Dis-moi Sonia, pourquoi ça te dérange lorsque je te complimente.

Paule — Elle frustre lorsque les hommes la regardent.

Sonia — Ils n’ont qu’une idée en tête.

Marc — Quand tu es en érection devant deux jolies femmes, c’est difficile de penser à autre chose.


Simultanément, les filles se sont penchées afin de vérifier. Je réalise que normalement, je ne serais pas dans cet état, en fait, pas aussi dur et gonflé à ce point. Le commentaire de Paule revient en mémoire :

Aphrodisiaque et énergétique.


Marc — Vous allez devoir assurer les filles, vous avez mis le feu.


Rougissantes, elles n’osent pas répondre.


Marc — Le plan de match est-il changé ? Moi je suis prêt pour deux.

Sonia — Je n’en veux pas d’homme, j’aime Paule.

Paule — Je t’aime, Sonia.

Marc — Moi, je vous aime toutes les deux.

Sonia — Quoi ?


Je souris, je sens Sonia déstabilisée. Paule se dirige vers Sonia, la fait lever, relève la jupe à mi-cuisses, défait les premiers boutons de la blouse, Sonia proteste mais se fait imposer le silence. Je constate que Paule veut pousser sa conjointe vers moi.


Paule — Elle est belle, ma Sonia, tu ne trouves pas Marc ?

Marc — Excitante, c’est frustrant pour moi de savoir que je ne peux pas toucher.


Paule embrasse Sonia à pleine bouche, posant sa main sur un sein. Je regarde fasciné, c’est la première fois que je vois deux femmes échanger un tel baiser.


Paule — Ça t’a dérangé Marc ?

Marc — J’étais fasciné, il y avait tellement de douceur.

Paule — Sonia aimerait bien essayer avec toi.

Sonia — Non !

Marc — Tu la défies ? Moi je peux t’embrasser ?


Paule s’approche, je reste assis ne sachant comment réagir, elle se penche sur moi, pose ses lèvres sur le miennes, ouvre la bouche, sa langue vient chercher la mienne. Instinctivement, je dépose ma main sur sa hanche, elle a un léger frisson, sa main se pose sur ma poitrine massant doucement mon sein. J’ose caresser la fesse, elle vient me masser au travers du pantalon. Elle cesse le baiser, murmure :



Elle m’entraîne vers la chambre, Sonia suit de près dans son rôle de voyeur. Je l’enlace, l’embrasse, elle est douce, non réticente, déboutonne la blouse, elle l’enlève, je fais courir mes lèvres dans son cou. Elle me caresse le dos puis les fesses, pousse mon pubis sur le sien, se frotte doucement sur ma tige, elle ouvre ma chemise, passe ses mains sur mon torse. Je jette un coup d’œil du côté de Sonia, elle, a un regard lubrique mais se tient à distance.


Paule défait la ceinture, fait tomber le pantalon sur mes chevilles, plonge ses mains dans mon caleçon afin de saisir mes fesses à pleines mains. Je fais tomber sa jupe, elle porte un string, mes mains passent des fesses aux cuisses, remontent sur le dos. Je détache le soutien-gorge, aussitôt Sonia vient poser ses mains sur les seins de Paule, comme pour protéger ce qui lui appartient, elle me regarde avec défi. Je pose mes mains sur celles de Sonia, je l’oblige ainsi à caresser. Surprise sur le coup, elle finit par me sourire. Paule tente d’enlever le soutien, je l’aide à s’en débarrasser, tandis que j’embrasse Paule, Sonia lui lèche le cou.


Je caresse le dos de Paule, du dos des mains je frôle les seins de Sonia qui ferme les yeux en acceptant cette caresse. Paule a saisi ma tige d’une main tandis que de l’autre elle malaxe une fesse de Sonia. Je suis excité par la situation, moi et Paule face à face, tandis qu’elle découvre le toucher de mon pénis, chacun porte encore culotte et slip. Sonia, collée sur le dos de sa compagne, joue avec les mamelons de celle-ci tandis que, de façon détournée, je lui caresse les seins par-dessus ses vêtements.


Paule me pousse vers le lit, elle enjambe la jupe, les escarpins quittent ses pieds, elle me fait asseoir sur le rebord du lit, rapidement souliers, bas, pantalon sont envoyés dans un coin. Paule saisit Sonia, tente de lui enlever sa blouse, la seconde résiste, elle l’embrasse. Là, Sonia se laisse faire, elle se retrouve n’ayant que culotte et soutien-gorge. Je constate que toutes deux possèdent un beau corps, l’une n’ayant rien à envier à l’autre.


Paule revient vers moi, me couche sur le lit. Lentement, elle saisit mon caleçon et commence à tirer dessus. Sonia s’approche, toutes deux ont le visage à moins de vingt centimètres. Elles donnent l’impression qu’elles sont sur le point de découvrir un objet rare. Lorsque la colonne de chair est libérée, elle bondit. Surprises, les filles lancent un cri en se reculant, la tige semble les fasciner, elles reviennent l’examiner de près. Je constate que ma queue est plus large et plus longue que d’habitude.


Sonia se mord la lèvre inférieure, tandis que Paule passe sa langue sur ses lèvres, hésitante. Paule passe ses doigts, étale la goutte au sommet, elle semble ne pas savoir quoi faire. Délicatement je place sa main et lui montre comment me masturber, elles regardent le gland qui apparaît et disparaît. Paule dit à Sonia de toucher, que c’est dur et doux à la fois. Sonia refuse, Paule lui saisit la main, la force à me caresser. Inquiète, Sonia demande si je vais gicler, je la rassure, qu’il faut que le mouvement soit beaucoup plus rapide. Paule fixe mes bourses qui suivent le rythme, elle les saisit trop rudement, je sursaute, toutes deux ont tout lâché. J’explique qu’elle vient de trouver la faiblesse de l’homme et qu’il faut être délicat à cet endroit.


La magie du moment est brisée, je tire Paule sur moi, je l’embrasse, elle répond avec vigueur, je passe mes mains sur toutes les parties de son corps qui sont accessibles. Je la sens détendue, je la fais rouler sous moi, elle me serre contre elle. Brisant le baiser, mes lèvres partent du cou vers les seins. Les pointes sont érigées, les mamelons sont de couleur brun clair, je suce le premier tandis que je palpe l’autre, j’inverse la caresse, les gémissements sont plus forts. Sonia vient s’asseoir sur le bord du lit, son attitude démontre un peu de jalousie. Je lui dis d’embrasser Paule, elle ne se fait prier, le baiser est ardent. Je pense que faire participer Sonia en respectant ses limites lui donnera l’impression d’avoir participé au bonheur de sa conjointe.


Je lèche le ventre qui sursaute ; délicatement, je saisis une main de Sonia et la place sur le sein de Paule, Sonia s’installe à plat ventre, joue avec les pointes. Je passe mes doigts sous le cordon du string, le descend lentement, découvre un joli coquillage sans poils. Tout en caressant les cuisses des lèvres, je fais disparaître le bout de tissu. Doucement, j’écarte les jambes qui ont une légère résistance, du bout de la langue je touche aux grandes lèvres, Paule s’écrie :



Sonia jette un coup d’œil, me sourit. J’y vais plus franchement, suçote les lèvres, passe la langue à l’intérieur, trouve la grotte, y pénètre, Paule ouvre largement les cuisses faisant tomber ma main sur une fesse de Sonia, celle-ci se crispe mais se relâche aussitôt.


Je laisse ma main en place, tandis que j’attaque le bouton de chair, Paule dit que c’est bon, elle gémit, J’ai commencé à malaxer la fesse de Sonia qui répond par un léger roulement. Paule tremble, sa main vient tirer sur ma tête, de l’autre elle force Sonia à s’occuper de ses seins tandis qu’elle souffle fort. Puis arrive l’orgasme, il est puissant. Je continue de la langue à jouer sur son clitoris, elle referme ses cuisses sur mes joues, elle ne cesse de répéter :



Sonia s’est retournée, caresse mes cheveux, se penche vers moi, murmure :



Je prends position au-dessus de Paule, doucement, lentement, je la pénètre, je ne veux rien brusquer. Je me supporte sur mes bras, elle regarde l’intromission en respirant à petits coups, Sonia ne manque rien du spectacle, elle se triture un sein par-dessus son soutien-gorge. Lorsque mes bourses touchent ses fesses, d’un léger mouvement de tête, Paule donne le signal.


Je commence par des va-et-vient lents, ferme les yeux, savoure cette grotte chaude, je gémis doucement, Paule me répond, elle caresse mes bras. Deux autres mains se posent sur mon dos, elles sont chaudes, elles se promènent du cou jusqu’aux reins. Je dis :



Les mains vont plus loin, osent pétrir mes fesses. Paule veut augmenter la cadence, je résiste, elle reprend le rythme, quelques secondes plus tard,



Pour moi c’est le signal, je vais plus rapidement, Paule suit l’allure, Sonia s’installe à côté pour observer, j’augmente encore la vitesse des coups de reins, Paule grogne fort, je grogne aussi, mes bras tremblent, je ne sais plus où elle en est, une chaleur part de mes couilles, monte le long du phallus, je me plante aussi profond que possible, Paule lance un cri, un long jet vient l’inonder, elle s’exclame :



Je n’ai pas la force de poursuivre. Je me couche entre les deux filles, Sonia observe mon visage, je la tire sur moi, elle veut se relever, je lui dis que j’ai besoin de sentir sa peau sur la mienne, sentir sa chaleur, elle cède, se place mieux, bouge un peu le bassin sur mon pieu. Elle murmure à mon oreille :



Je réponds :



Le souffle de Sonia sur mon cou me fait frissonner, je la sens sourire, elle souffle plus fort, je la serre plus contre moi. Paule apparaît au-dessus de Sonia, elle veut dégrafer le soutien, de la main je l’arrête, Sonia me remercie. J’ai une folle envie de lui faire l’amour, elle n’est pas prête pour ça.


Paule s’est allongée près de nous, elle parle à Sonia.


Paule — À te regarder, on dirait que c’est toi qui viens de faire l’amour avec Marc.

Sonia — Il avait besoin de tendresse.

Paule — Pas toi ? Je vois bien que tu t’excites sur lui.

Sonia — S’il te plaît, arrête ça, tu veux absolument que je couche avec lui.


Sonia roule sur moi, s’étend sur le dos à côté de moi, je suis déçu de perdre le contact de son corps, je tourne la tête et la regarde, je prends sa main, entrecroise mes doigts dans les siens, met un peu de pression, elle ferme les yeux, sourit.


Paule se déclare prête à recommencer, elle a trop aimé, je ne veux pas perdre le contact avec Sonia, je propose une position que beaucoup de femmes aiment car c’est elles qui décident du rythme. Paule accepte, je la fais s’installer à califourchon au-dessus de ma tige, lui dit de s’empaler. Sans plus d’instruction, elle s’active. Je tiens toujours la main de Sonia, elle me fixe, je plante mes yeux dans les siens, je donne des directives à Paule mais Sonia sait que c’est à elle que je m’adresse.


Marc — Ne vas pas trop vite, prends ton temps, appuie-toi sur mon pubis, ton clitoris va être caressé, roule des hanches, fait monter le plaisir doucement en toi, caresse tes seins, ne pense qu’à ton plaisir, choisis le moment de l’orgasme, je bouge seulement si tu le demandes.


Les yeux de Sonia brillent, j’ose poser la main sur sa chatte, la culotte est mouillée, je masse doucement l’objet que je désire tant, elle me fixe toujours, son souffle est court. Soudainement elle se dérobe, enlève sa culotte, prend ma tête à deux mains plaçant sa figure à quelques centimètres de la mienne, elle dit :



Aussitôt elle s’assoit sur ma figure. Je suis heureux, je peux la goûter. Paule se rend compte que Sonia me chevauche, elle lance :



Elle fouille la chatte sans poils avec l’énergie du désespoir. Rapidement, elle s’agite. Je lui saisis les seins, elle attrape mes mains, les repousse, je la saisis à la taille, ma langue pénètre le tunnel d’où s’écoule son plaisir, je titille le bourgeon de chair. Elle se déchaîne, prend le contrôle, m’oblige à la caresser là où elle veut. Je tente encore de saisir ses seins, je crois qu’elle va encore stopper mon geste, elle enlève son soutien et le lance avec force puis saisit ma tête à deux mains.



Son discours m’excite tellement que je gigote comme un poisson hors de l’eau, de grands coups de bassin rapides font crier Paule, mes mains sont partout en même temps sur le corps de Sonia qui m’étouffe avec son pubis écrasé sur ma figure.



Je crie dans le con de Sonia qui râle comme une malade, Paule qui répète :



Chacun exprime sa jouissance bruyamment.


Paule se laisse tomber sur le côté, je n’ai plus d’air, je soulève Sonia par les fesses, un énorme bruit de succion, l’air empli mes poumons, j’aspire à grandes bouffées. Sonia est toujours en extase, je la dépose sur mon torse, lui caresse une joue, elle recule lentement, lorsque ses fesses touchent ma queue elle s’empale sur moi, me défiant, elle dit :



En une fraction de seconde, elle change d’attitude, elle sourit puis m’embrasse, nos langues se joignent, se touchent, s’enlacent, lentement elle prend possession de ma bouche, mes mains se baladent sur son dos, ses fesses, le baiser est langoureux, je frisonne, câline sa joue, la retient lorsqu’elle veut s’échapper, la fait rouler sous moi.


Marc — Tu ne te sauveras pas comme ça. Je te veux depuis trop longtemps.

Sonia — Je ne jouirai pas.


Paule s’est approchée observant la scène sans intervenir. Sonia croise ses bras sous sa tête, se laisse molle. Je réfléchis, j’ai déjà éjaculé deux fois, leur foutu produit maintient mon érection, même si je ne gicle pas, je vais la faire grimper dans les rideaux, elle ne pourra pas résister à son corps. Je me penche à son oreille, chuchote :



Elle ne réagit pas, le défi a quitté ses yeux, elle est en attente, anxieuse, curieuse de cette première pénétration masculine, qu’elle a avoué avoir toujours refusée. J’ai bien senti qu’elle a apprivoisé la présence d’un homme, elle a accepté que je la touche, le contact de nos peaux. Assise sur ma bouche, elle s’est rebellée face à ses pulsions puis, par défi à elle-même, s’est empalée sur moi. Incapable de le demander avec des mots, son baiser a trahi son désir. En la couchant sous moi, toutes les barrières sont tombées. Sa position démontre qu’elle me laisse le champ libre, elle veut savoir si je peux la faire jouir.


Je veux l’attaquer sur ce qu’elle dit détester des hommes. Sans la prévenir, rapidement, je me retire, tire sur ses jambes jusqu’à ce que ses fesses soient sur le bord du lit, sans attendre, je replonge en elle d’un coup sec. Elle ne peut réprimer un « Ouah » retentissant.



Deux fois, je sors et entre d’un coup, à chaque charge elle crie. J’attrape les pointes de ses mamelons, les triture, les tire, les secoue, les pince. Son bassin commence à onduler.



Paule semble fascinée par la scène, elle est étendue à côté de Sonia et se caresse les seins. Je lui arrache à elle aussi un « ouah » en plantant un doigt au fond de sa chatte.



Sans ouvrir les yeux, Sonia la traite de salope. Je lime Sonia depuis un bon moment tandis que mon doigt fait pareil sur Paule. J’ai de la difficulté à croire ce que je vois. Paule vient triturer son bourgeon. Je saisis les mollets de Sonia, lève ses jambes en V, elle grimace, tente de retenir des gémissements.



Visiblement, Sonia est au bord de la jouissance, elle se malaxe les seins.



Mes paroles ont un effet certain car elle se mord la lèvre inférieure puis bouche ouverte, sa langue mouille ses lèvres.



Sonia n’en peut plus, elle tremble, crie sa jouissance, me traite de maudit cochon. Je n’arrête pas de la besogner, sa tête est un vrai métronome, d’autres orgasmes arrivent, Je suis en sueur, mon rythme cardiaque s’est emballé, je pilonne toujours, incapable d’arrêter le mouvement. Je vois Paule qui agite frénétiquement son doigt sur son clitoris, tandis que l’autre main, laboure sa chatte. Elle aussi est emportée dans sa débauche.


Je lâche les jambes de Sonia, elle les enroule dans mon dos, je me penche sur elle, nous forniquons comme des débauchés, simultanément nos corps se raidissent, j’inonde ce sexe qui reçoit le sperme pour la première fois. Sonia hurle qu’elle est au paradis.


Immobile, je regarde Sonia vivre son extase, son bassin bouge encore un peu. Elle ouvre les yeux, ils sont mouillés, elle me griffe le dos disant :