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n° 15244Fiche technique12650 caractères12650
Temps de lecture estimé : 8 mn
01/11/12
Résumé:  L'éducation d'un mari jaloux qui bascule dans le candaulisme.
Critères:  fhh hplusag sauna exhib fellation confession -couple+h
Auteur : Cooldu78      
Exhibition, jouissance et candaulisme

Couple de 38 ans, mariés depuis 15 ans, normaux, pas laids, pas beaux mais avec du charme. Elle, tantôt blonde, tantôt brune, attire les regards et vous comprendrez pourquoi. C’est le mari qui écrit, et j’ai longtemps hésité à m’exprimer de peur, quelque part, d’une certaine moquerie.


Comme tous les couples, jeunes mariés les câlins étaient assez rapprochés puis, au fil des ans, l’habitude aidant, ils se firent moins nombreux. Elle avait une manie de toujours un peu se montrer, me faisant souvent lui dire :



À la plage c’était pareil, du "une pièce" elle est rapidement passée au deux pièces puis au bikini pour finir en string topless. Quelque part ça m’énervait, d’autre part j’étais assez fier et dirais-je même, excité.


Mais malgré ces moments agréables les rapports devenaient de moins en moins fréquents, ce n’est pas qu’il ne se passait rien mais il n’y avait plus de pénétrations. Elle prenait plaisir à me masturber ou mieux encore à me faire des fellations sans commune mesure ; mais que de très très rares pénétrations. Il fallait parler. Elle m’avoua prendre plus de plaisir à me faire une fellation plutôt que d’être pénétrée, et même que sentir monter l’éjaculation lui procurait une jouissance extrême.


Je ne suis pas en train de faire un remake du film Gorge profonde des années 70, mais le fait est là ; elle prenait réellement un plaisir particulier à dominer l’éjaculation. En fait, bénéficiant d’un tel traitement je n’avais jamais été plus loin pour comprendre qu’elle jouissait au mieux de cette façon-là ; puis insistai maladroitement en lui demandant : Pourquoi pas de pénétration ? Elle se fâcha soudain et se mit à pleurer :



Aïe ! Après autant de temps de vie commune, comment n’avais-je pas compris ? Quelle "baffe", la nuit allait peut-être porter conseil. Tout un tas de "films" tournaient dans ma tête et je dus admettre que ces petites excitations que j’avais de temps en temps suite à ses exhibes devaient devenir maintenant siennes et miennes, je devenais candauliste.


Allez c’était parti, en me disant quelque part que peut-être beaucoup d’hommes aimeraient être à ma place ; notre couple était solide et ces aventures ne pouvaient apporter que du piquant à la vie de tous les jours.


Quels scénarios choisir ? (c’est bien ainsi que ça s’écrit et non scénarii.)

Quelques recherches sur REVEBEBE :



En fait il y a à boire et à manger sur ce genre de sites, plus de fantasmeurs que de réels libertins. Sauf peut-être cette annonce :


Homme 58 ans à la retraite, sait recevoir dans milieu raffiné. Recherche plus exhib des femmes que performances, etc.


Je ne dis rien à la belle et contactai ce monsieur. Pierre, pour ne pas le citer, semblait être un homme sympathique, parlant avec des phrases posées et réfléchies ; à ma demande il m’envoya sa photo. Celle-ci faisait apparaitre un bel homme, pas trop enrobé et à la chevelure quelque peu grisonnante.


Après quelques messages "d’approche" nous finîmes par échanger nos numéros de portable. En quelques mots je lui expliquai la situation, précisant bien que c’était une "première" et que le plus tenté des deux était plutôt elle que moi, ne sachant pas comment j’allais réagir devant cette situation toute nouvelle pour moi.



Fallait reconnaitre qu’il n’avait pas tort, mon attitude était plutôt ridicule, il fallait que je me reprenne.



C’était une bonne idée et ce qui avait été pensé fut fait.


OOO



Le vendredi en question arriva et j’étais impatient de voir comment elle allait s’habiller. Ce début septembre étant assez sympathique, j’eus la réponse de visu, petite jupe noire assez courte et ample, chemisier blanc, non transparent mais laissant comprendre qu’il n’y avait rien en dessous, petit pull avec une capuche et des chaussures à la grecque, presque sans talon avec des lanières remontant sur ses chevilles.


Sympa, mais qu’est-ce qui me prend, j’ai un début d’érection ! Ça ne va pas, non, c’est d’imaginer que l’autre allait la voir ainsi ? Dans la voiture je répétais notre arrivée, car en fait, nous ne nous étions jamais vus Pierre et moi, il fallait la jouer fine.


En fait, ça se passa plus que bien :



Échange de paroles banales…



Grosse baraque, ancien corps de ferme qu’il avait vraiment transformé, l’aspect extérieur cachant un bijou de déco moderne se mariant bien avec les pierres.


Apéro dinatoire, le Pierre dévorait mon épouse des yeux. Elle s’en était bien sûr rendu compte et, les coupes de champagne aidant, ses positions sur le canapé avaient permis depuis un bout de temps de faire constater à notre hôte la couleur de son string.


Je croyais que j’allais réagir autrement et j’osai même, en lui faisant un bisou tout en posant mon verre, défaire assez adroitement un bouton de son corsage qui permettait maintenant à l’ami Pierre d’avoir une vue fort agréable sur sa poitrine… il faut dire que nous en étions à presque la fin de la deuxième bouteille de champagne.


Discussion sur ce ceci, sur cela, jusqu’à :



Je passe les détails, sauf celui du corps de ferme principal qui devait être une ancienne grange à mon avis. Tropical, plantes exotiques, piscine, sauna, spa et accessoires de gym… un régal.



Elle me jeta un regard plein de questions… je fermai les yeux et lui fis un signe de tête… OK ! Son visage s’illumina, elle prit un peignoir et s’éclipsa. Pendant qu’elle était aux toilettes nous primes une douche Pierre et moi. Pas mal foutu encore le bonhomme, sexe un peu plus long que le mien, pas de complexe.


Nous nous installâmes dans le spa en attendant madame, un régal la température de l’eau ; ah, la voilà enfin, elle quitta son peignoir, s’assit sur le bord du spa, pivota, rentra la jambe droite, mais resta suffisamment de temps les jambes écartées pour que Pierre puisse avoir une vue plus que révélatrice. Il avait vu le "milieu" il allait maintenant découvrir l’arrière car elle se pencha vers moi pour m’embrasser et me dire :



Je bandais. Rien que d’avoir constaté ce que Pierre avait pu découvrir en moins d’une minute me faisait basculer dans le monde du candaulisme… C’était parti et je ne refusai donc pas la suite. Je répondis oui à sa question.



(Je l’avais prévenu : si ça se passe bien, un seul endroit à ne pas toucher,

le clitoris.)



Et elle joignit le geste à la parole en se levant. La légère différence de température lui faisait avoir une petite chair de poule fort agréable, tendant ses tétons… dégoulinante, elle était magnifique.


Caresses des seins, des jambes, du dos, il osa même un passage entre les deux fesses qui la fit frissonner.



Joignant le geste à la parole elle s’assit à côté de lui et l’usage de ses mains ne faisait aucun doute sur ce qu’elle faisait, les remous du spa m’interdisant d’en voir plus. Je suppose qu’elle devait lui faire ce que je me faisais tout seul, quel plaisir, je devenais maintenant vraiment candauliste, dommage que je n’y aie pas pensé avant.


La séance spa se termina et nous nous retrouvâmes sur le canapé, madame entre nous, impatiente de montrer à notre hôte ses talents buccaux. Assis l’un à côté de l’autre nous profitions tour à tour de ses "prestations", mais comme je devais m’y attendre ce fut lui qui bénéficia du bouquet final.



Ce moment ainsi décrit est bien sûr loin d’être un exploit, mais il fut partagé et apprécié. Nous nous revîmes évidemment et les situations furent diverses et variées avec des attouchements plus "indiscrets" de Pierre lors des massages improvisés dans nos soirées. Nous vivions une pleine complicité, merci à toi Pierre pour ta pédagogie, ces photos et petites vidéos que tu m’as laissé prendre, me rappelant maintenant plein de souvenirs.


Pierre a revendu sa propriété pour des raisons que je n’ai pas à citer. Pas grave, à notre tour de le recevoir quand les enfants ne sont pas là. Le cadre est différent et moins luxueux, mais l’ambiance de complicité est toujours là.


Voilà, Pierre, je l’ai écrit, à toi maintenant de le publier sur un site de ton choix (REVEBEBE m’a l’air l’idéal), moi je n’ose pas. Ridicule, peut-être, mais c’est comme ça.


À bientôt.