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n° 15246Fiche technique40081 caractères40081
Temps de lecture estimé : 24 mn
02/11/12
Résumé:  Un couple s'éloigne. Ils comptent sur des vacances pour se retrouver. Elle aime le hammam, pas lui. Et pourtant la fin sera heureuse.
Critères:  ffh 2couples couplus vacances sauna voir fellation 69 préservati fdanus échange -couple+f -entrecoup
Auteur : RobertAnne62
Espace fermé. Horizon dégagé.

Bonjour,


Je m’appelle Mathilde. Ce n’est pas mon histoire que je veux vous raconter mais celle de Johanna et David, un couple d’amis dont j’ai fait la connaissance cette année. J’ai changé leurs prénoms pour ne pas les mettre en difficulté si on les reconnaissait.

Ils ont la quarantaine, mariés, sans enfant, parisiens et fiers de l’être. Mais leur couple est en perdition. Non, pas de tierce personne, amant ou maîtresse, mais plutôt une sorte de lassitude, d’usure de couple. Trop de travail, de sorties, d’amis. Tous deux sont conscients de cette faille qui se crée entre eux mais ne savent pas quoi faire. Même le sexe devient routine. Finies les soirées de baise ou ils jouaient comme des ados à tester de nouvelles sensations.


Ils ont décidé de se donner une nouvelle chance, en prenant des congés en amoureux, dans cette seconde moitié de septembre. C’est elle qui a fait les réservations. D’abord quelques jours de rando dans le Gard. Plutôt décevants, si ce n’est ce début d’après-midi où, alors qu’ils somnolent, bien calés à l’ombre de rochers, ils entendent une moto qui s’arrête à quelques mètres d’eux. Deux jeunes en descendent. Ils ne remarquent pas mes amis dans l’ombre, trop occupés à s’embrasser. Quelques minutes plus tard ils sont allongés sur une couverture, nus. Déjà le sexe du garçon entre dans la fille et quelques va-et-vient plus tard, il ressort, ayant craché son sperme dans le préservatif. S’il a joui, il est évident que tout cela a été trop rapide pour que la fille ait été satisfaite.


Alors qu’il roule sur le côté, bêtement fier de sa prestation, elle se relève, manifestement bien décidée à prendre son plaisir en main. Elle enlève la capote, essuie le sexe du garçon avec un kleenex avant de le prendre en bouche pour lui redonner de la vigueur. Très vite la queue se dresse et c’est sur elle qu’elle vient s’empaler avec un plaisir non retenu, pendant qu’elle se caresse le clito d’une main et un sein de l’autre. Le garçon n’est qu’un sexe sur lequel elle se baise, doucement, à son rythme, alternant les petits coups de reins pour qu’il frotte toute la surface de son vagin avec les amples mouvements de montée et descente. Manifestement cette fille est une amoureuse et le garçon ne la mérite pas. Il a intérêt à faire des progrès s’il veut la garder. Enfin, ils finissent leur petite affaire, laissant mes amis bien chauds et c’est Johanna qui a reproduit la scène à laquelle ils venaient d’assister. De leurs confidences, je sais qu’à ce moment ils avaient retrouvé leur parfaite entente. Mais cela na pas duré.


Deux jours plus tard, ils changent de lieu et d’hôtel pour aller dans les gorges du Tarn. Mon amie avait réservé dans cet hôtel, car il proposait une salle de détente avec hammam, douches, jacuzzi, etc. David n’est pas friand de cette activité, aussi elle descend seule après une longue balade. La patronne lui a dit qu’ils étaient deux couples seulement à en demander l’usage en cette fin de saison.


Donc elle s’installe dans le hammam, laissant son corps s’habituer à la brûlure de cet air chargé d’humidité. Elle commence à se décontracter mais la porte s’ouvre, laissant le passage à un couple, certainement celui dont on lui avait parlé. Ils la saluent. Manifestement ce ne sont pas des Français. Ils s’installent. Passent quelques minutes, puis ils se parlent. Johanna pense " Suédois ou Hollandais". La femme se tourne vers elle et lui demande :



Et elle continue.



Mon amie n’est pas prude et ils ont raison, le tissu empêche la peau de respirer et d’évacuer les toxines. Elle donne son accord et la minute d’après tous trois ont repris leurs places, nus comme au jour de la naissance. Enfin pas tout à fait car elle constate que le couple est légèrement bronzé sur tout le corps. Manifestement des adeptes du naturisme. Comme elle ne veut pas être indiscrète elle ferme les yeux et se cale confortablement pour profiter de l’instant.


Pas un bruit, pas un mouvement, juste le chuintement de l’air humide sur les pierres brulantes. Elle ouvre les yeux et son regard croise celui de l’homme qui semble d’un seul coup mal à l’aise. Il bouge mais elle a le temps de voir qu’il montre une énorme érection avant qu’une serviette ne cache le sexe. Enfin, cache n’est pas le bon verbe, car la verge érigée fait comme un poteau de cirque retenant le tissu éponge. L’homme, tout en grommelant quelques mots à sa femme, sort du hammam pour essayer de calmer son ardeur. La femme restée seule avec Johanna rit de bon cœur et, comme mon amie ne fait pas de scandale, lui dit.



Tout en terminant sa phrase son regard insiste vers le sexe de Johanna. Mon amie apprécie le compliment sur sa beauté qui est capable d’inspirer un si bel émoi. Quant à sa nudité, la femme fait allusion à son épilation totale, justement renouvelée avant le départ de Paris. C’est vrai que rien n’arrête le regard et elle réalise maintenant que l’homme assis en face d’elle devait avoir une belle vue sur son intimité.


Elle rassure sa voisine, lui faisant comprendre qu’elle prend cet incident plus comme un hommage qu’une indélicatesse vulgaire. Lorsque le mari revient, manifestement calmé, elle remarque que, même au repos, l’objet reste de belle taille. Ils échangent quelques mots et Johanna les salue avant de partir. Lorsque David lui demande si tout s’est bien passé, elle lui signale juste qu’un couple était présent, mais ne lui parle pas de ce petit incident.


Le lendemain, après une longue rando, elle redescend, toujours seule, au hammam. Cette fois, elle se met tout de suite à l’aise et lorsque le couple arrive, ils s’installent comme la veille, bavardant de choses et d’autres dans un français quelquefois approximatif. Mais les même causes produisant les mêmes effets, le sexe de l’homme prend vie et rapidement se montre aux yeux de tous dans une forme développée. Johanna, bien sûr ne peut pas ne pas le voir, mais elle ne dit rien, au contraire elle le regarde, surprise de la taille du sexe gonflé uniquement par sa présence. La femme qui comprend que ce spectacle ne l’effarouche pas, lui parle :



C’est vrai que Johanna se sent bien petite face à ce couple plus massif, bien que non dépourvu de grâce. Mais la femme joint le geste à la parole et ses mains viennent effleurer ses épaules et sa poitrine. Puis, ce qui n’est au début que contact se transforme petit à petit en caresses. Elle ne refuse pas ces attouchements, comme si c’était naturel. La minute suivante, des lèvres se pressent contre sa chatte pendant que les mains continuent de jouer avec ses seins qu’elle sent gonfler par le plaisir. Elle comprend qu’inconsciemment c’est ce qu’elle recherchait en venant aujourd’hui. Elle se laisse emporter pas ses sensations.


Pour la première fois, une femme la caresse. Pour la première fois, une langue féminine joue avec son bouton et avec une partition encore inconnue. C’est bon. Ses yeux glissent de sa chatte au sexe que l’homme masturbe lentement. Il bouge, vient s’assoir à son côté et lui offre sa belle queue, raide, fièrement dressée. Elle ne se pose pas de questions et c’est naturellement que sa main vient saisir la base de la hampe. C’est à ce moment-là qu’elle réalise vraiment la taille de la bite tendue. Rien à voir avec celle de son mari, qui pourtant lui suffit largement. Rien à voir avec toutes celles qu’elle a connues avant son mariage. Non, sans atteindre la taille des monstres que l’on peut voir sur le net, car il lui arrive de fantasmer sans risque, elle en impose. C’est avec plaisir qu’elle le masturbe, ajoutant par moment son autre main pour soupeser les couilles qui sont en proportion.


Plaisir d’être caressée, plaisir de caresser. Un homme, deux femmes. Il bouge, tend son ventre en avant. Un cri. Elle sent qu’il va venir. La femme aussi comprend. Elle se précipite pour le prendre dans sa bouche, ses mains prenant la suite des siennes. Le sperme qui jaillit. Des coulures marquent la commissure des lèvres. Tout cela lui rappelle ses propres fellations et le plaisir de sucer et d’avaler sous les yeux de son mari cette crème à la fois aigre et onctueuse. Elle se souvient de leurs jeux, variant les mets pour essayer de jouer sur le goût du sperme. Un autre temps. Une autre époque. Pourquoi avoir laissé…



C’est ce que lui dit la femme après avoir parfaitement nettoyée la queue de son homme et de replonger entre ses cuisses. Maintenant c’est le couple qui joue avec elle. Une bouche, une langue, deux lèvres, quatre mains et c’est la jouissance qui vient. Grandiose. Pas inattendue. Non. Piqure de rappel de ce qu’elle ressentait avant. Oui, avant. Avant cette lassitude dans son couple. Pourquoi… ?


Lorsqu’elle ouvre la porte de la chambre elle trouve son mari en maillot de bain qui s’apprête à venir la rejoindre. Trop tard. Heureusement qu’il n’est pas venu à l’improviste.



Il ment. En réalité il est allé à la salle dans l’idée de tenir compagnie à sa femme et partager ce qu’elle nomme un moment extraordinaire et ressourçant. Mais, alors qu’il allait ouvrir la porte du hammam, il a aperçu un homme, par la petite lucarne partiellement recouverte de buée. Mais il voit suffisamment bien pour remarquer que l’homme est nu, en érection, qu’il entretient par un lent mouvement de la main, le regard fixé devant lui. Il le reconnaît car il l’avait remarqué au restaurant et surtout sortant, avec sa compagne, de sa voiture. Il est la représentation de l’homme fort, grand, musclé, tel que l’imagination se fait d’un géant blond nordique, prêts à ravager des régions prospères à bord de son bateau. Sa femme semble taillée dans le même bois, en plus féminin, plus enveloppée, des rondeurs qui donnent des envies de palper, de caresser.


À propos de femmes, il les découvre toutes les deux dans un doux arrangement. La sienne d’abord, assise langoureusement, offerte, presque écartelée par l’autre qui, agenouillée, est manifestement en train de la lécher, la tête enfouie entre les cuisses qu’elle pousse de ses mains. La cloison étouffe les bruits et le silence fait que ce spectacle qui pourrait être violent pour un mari surpris, est presque irréel. Les mouvements sont lents, les gestes mesurés. Même la main qui branle doucement la queue raide ne choque pas. Il regarde un long moment. Seule sa femme donne l’impression de plaisir qui monte. Ses lèvres semblent parler, mais il n’entend rien. Il imagine des « c’est bon » des « encore » qui allument un feu dans ses reins.


Un mouvement. L’homme se déplace. Il vient s’assoir a côté de Johanna qui ressent sa présence. Sa main vient remplacer celle de l’homme et maintenant il peut voir que tout est grand chez lui. La main fine de son épouse peine à faire le tour du mandrin et deux mains l’une sur l’autre ne recouvriraient pas la verge. Pour l’instant la menotte s’active à le branler, tirant la peau de haut en bas, couvrant et dégageant le gland dans le même mouvement. L’homme apprécie et son visage montre des signes de plaisir. Il crie. La porte épaisse laisse filtrer son avertissement. Sa femme abandonne la sienne et se précipite. Sa bouche couvre le gland, une main prend la place de celle de Johanna, l’autre presse les couilles. Un rictus, un coup de reins, une pulsation indiquent que le sperme arrive. S’il est en proportion de l’objet, l’inondation menace. Mais la femme tient bon. Jamais elle ne se détache du gland, même si on voit que des flots frappent sa gorge au risque de l’étouffer. L’habitude certainement, mais seuls quelques filets de liquide s’échappent des lèvres, bien vite rappelés à l’ordre par une langue gourmande.


Voilà, la source est tarie. La femme abandonne la queue pompée et drainée de tout liquide. Elle parle maintenant à Johanna mais il ne l’entend pas. Aussitôt elle revient s’occuper d’elle, le visage entre ses cuisses. L’homme caresse la poitrine et les seins disparaissent dans ses battoirs. Seuls par instant les tétons apparaissent entre les doigts qui paraissent gauches mais ont manifestement l’expérience car, conjugués aux caresses de la femme qui suce, Johanna vibre et de sa bouche semble sortir des cris de jouissance.


Tout le monde se relâche. David n’ose plus maintenant interrompre ce moment. Il s’éclipse et attend sa femme dans la chambre, tout en mimant un départ pour la rejoindre. Voila en réalité l’état de tension ou il se trouve lorsque sa femme quitte son maillot pour s’enduire de crème hydratante. Il lui propose de l’aider mais la remarque inhabituelle et le son de sa voix font que Johanna comprend l’appel. Le maillot de David présente une bosse qui ne fait aucun doute sur ses intentions. Et cela lui convient. La séance ne l’a pas complètement satisfaite. Un feu brûle entre ses cuisses et étrangement sa première idée pour éteindre l’incendie est de s’agenouiller, de baisser ce slip si collant qui donne du fil à retordre et d’emboucher la verge libérée en notant au passage qu’une goutte de liquide perle déjà au méat.


À sa grande surprise il ne lui faut que quelques gorges profondes pour que David balance sa semence. Bien sûr elle est loin d’imaginer que la bite est au garde-à-vous depuis trente minutes par ses propres agissements. Peu importe, elle savoure la crème que la queue expulse en jets abondants et répétés. Les plaisirs simples sont les meilleurs, surtout si le regard du donateur croise celui de la donataire avec le petit regard pervers qui décuple le plaisir. C’est exprès qu’elle accentue ses mouvements des lèvres, de la langue qui recueille le sperme qui s’échappe. Et ce regard elle le veut provocateur, de pute, de salope qui pompe un homme pour lui vider les couilles. Elle sait que David aime ce côté caché de sa personnalité. Elle l’a oublié sur le chemin de la vie, de la bienséance, du bien pensant. Il jouit et c’est bon de le voir ainsi. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que son mari a joui si vite, excité par ce qu’il a vu, et qu’il lui suffit de fermer les yeux pour voir l’autre femme, aussi gourmande que la sienne, pomper le dard du mari.


C’est lui qui la relève et la couche pour lui rendre la pareille. Les doigts écartent la chatte, trouvant son intimité humide de sa jouissance avec le couple. Ils investissent aussi son petit trou qui s’ouvre pour les recevoir. Les lèvres pincent le clito déjà si sensible et après quelques minutes de ce jeu d’amour c’est un gland poussé par une hampe ragaillardie qui écarte les petites lèvres. C’est un terrain conquis, c’est un terrain connu que la bite envahit. Mais c’est avec une ardeur renouvelée qu’il la baise. Elle n’est qu’un jouet dans ses mains et il la fait mettre en levrette. Sa bite semble grandir à chaque mouvement. Elle rentre toujours plus grosse, plus raide qu’elle n’est sortie du vagin. Les couilles frappent les fesses à chaque fois et chaque fois le sexe glisse de plus en plus facilement dans le conduit ouvert, dilaté et humide de plaisir. Il ressort et, dans un mouvement sec, envahit l’anus que les doigts ont continué de préparer.


Le cri qui sort de la gorge de Johanna est comme une expiration de l’air poussé par le gland dans le conduit bien plus étroit et serré. Ce n’est pas de la brutalité mais une envie irrépressible de marquer son territoire, encore réservé au mari, mais pour combien de temps. Il est chez lui. C’est lui qui l’a déflorée par le cul. C’est lui qui lui a fait connaître sa première jouissance avec un mandrin vivant dans les fesses. Elle ne résiste pas. Au contraire elle aide à la possession, se cambre, pousse vers plus de profondeur. Ses mains écartent la raie et si elles pouvaient, ouvriraient encore plus le sillon. Dix, vingt, cent va-et-vient. Enfin il lâche sa semence dans le conduit étroit sans arrêter la possession. Le bruit se transforme, plus humide, plus gras du bâton qui glisse facilement. C’est ce bruit et tout ce qu’il sous-entend qui sert de déclencheur à la jouissance de Johanna. Il l’écrase de tout son poids mais des baisers dans la nuque sont un remerciement pour cet instant d’extase retrouvée.


Avant le repas David va au bar et rencontre l’homme seul en train de boire un verre. Ils se saluent et naturellement David se présente comme le mari de Johanna :



L’homme s’appelle "Har" et sa femme "Betje". Har lui demande :



David est embarrassé, il ne sait pas quoi répondre. Il ne veut pas passer pour un voyeur, mais comment expliquer que c’est la première fois ?



Sur ces propos, Betje arrive. Son mari lui explique, en hollandais, enfin c’est ce que croit comprendre David, par les regards et les sourires qu’elle lui jette.



Et ils se quittent. David me dira que le lendemain Johanna qui, d’habitude se traîne toujours un peu lorsque les chemins montent, a fait preuve d’un courage inhabituel et que dès son retour à l’hôtel elle s’est précipitée au spa. Lui prétexte de vouloir se reposer dans la chambre, mais en réalité il attend pour la suivre quelques minutes plus tard.


Johanna attend dans le hammam. Elle est à la fois impatiente, inquiète et se sent coupable de ce que son imagination lui fait faire. Le couple arrive. Ils bavardent un moment mais chacun connait la raison de leur présence. C’est même elle qui prend une initiative qu’elle a maintes fois répétée dans sa tête pendant la rando. Elle ose tendre une main pour caresser la poitrine de la femme tout en disant :



Elle a conscience que la question est puérile, mais elle n’a rien trouvé d’autre pour justifier son geste. Il lui faut un prétexte pour commencer. La femme ne répond même pas. Elle se redresse pour se rapprocher et favoriser le contact. David assiste dès les premiers attouchements et voit son épouse se transformer en amoureuse de femme. Bien sûr, il imagine qu’une femme sait naturellement ce qu’une autre femme attend, de la même façon que lui saurait comment jouer avec le sexe d’un homme. Non, jamais, dans une autre vie, peut-être. Johanna s’agenouille entre les cuisses de sa partenaire et plonge dans son intimité uniquement protégée par un duvet blond.


Un regard à l’homme. Il bande déjà. Le trio est idéalement placé pour que David puisse suivre. La femme à gauche, Johanna à genoux, de profil et l’homme à droite, juste dans l’axe des femmes. D’ailleurs l’homme caresse les fesses de Johanna, ses mains disparaissant par moment entre les cuisses. Le petit jeu dure un moment, mais maintenant il utilise sa verge dure pour taper sur les fesses et même la frotter dans le sillon. Dommage que la porte empêche d’entendre. Mais il se produit quelque chose qu’intuitivement David redoutait. L’homme recouvre sa queue d’une capote.


Son ventre se noue, sa respiration s’accélère. Le moment attendu mais redouté arrive. Il ne sait pas ce qu’il veut. Voir sa femme se faire prendre par un autre. Mais alors elle le trompe. Jusqu’à maintenant il considère les caresses érotiques, sexuelles, comme des jeux entre adultes consentants. Mais plus… Sa main se porte sur la poignée de porte. Entrer ? Interrompre ? Il hésite, mais pendant ce temps l’homme se place. Son gland est en position. D’une poussée il va entrer.


Non. Johanna refuse. Elle abandonne un instant ses caresses pour redresser la tête et certainement parler. En tout cas, l’homme n’insiste pas. David est soulagé. Il sait maintenant qu’il n’aurait pas supporté. Ah, la complexité des émotions et des fantasmes ! Le trio bouge. Johanna fait déplacer Betje à quatre pattes sur la banquette et après avoir fait sauter la capote du sexe de Har, elle le positionne pour que le mari baise sa femme.


Un instant David imagine la déception de l’homme qui avait d’autres projets. Les mains de Johanna se glissent partout pour caresser, qui un sein, qui une couille, qui la queue et les deux amants semblent apprécier. Pour la seconde fois sous les yeux de mes amis, l’homme éjacule et cette fois c’est la vulve de Betje qui reçoit sa semence. La femme présente une serviette pour éviter que le foutre ne coule sur la banquette.


Quelques minutes plus tard ils sortent et Johanna reste seule. Elle est heureuse de ce qu’elle a fait, mais aussi de ce qu’elle n’a pas fait. Pour elle c’est une victoire de ne pas avoir cédé à Har et son sexe si beau, si long et si tentant. Elle est fière d’avoir contrôlé le couple pour l’aider dans son plaisir. Mais son corps, lui, n’est pas satisfait. La chaleur du hammam n’est rien comparée au feu qui brûle en elle. Il faut éteindre l’incendie. Elle est assise, les deux pieds sur la banquette, les cuisses outrageusement ouvertes et d’une main se caresse la chatte, l’anus. Les doigts entrent sans résistance dans ces recoins chauds et humides. Elle se branle avec violence. Ses tétons implorent. Elle les presse, les tord, les tire. Entièrement concentrée sur son plaisir, elle n’a pas entendu la porte s’ouvrir et même si elle a conscience d’une présence elle pense que le couple est revenu. Des lèvres effleurent les siennes. Elle ouvre les yeux. C’est David, nu, le sexe tendu qui est devant elle. Elle ne se pose même pas la question et c’est naturellement qu’elle avance pour le prendre entre ses lèvres.


Lorsque le couple sort, David attend devant la porte. Il n’est plus nécessaire de se cacher, au contraire, il a pris sa décision et tout en les félicitant il leur propose de manger ensemble tout à l’heure. Au moment d’entrer, un regard par le hublot lui fait découvrir Johanna dans une pause d’un érotisme torride. Il entre le plus discrètement possible et elle ne remarque pas sa présence. Le spectacle est si fort, si sexe, que sa verge reprend sa position dressée, un instant abandonnée pendant le bavardage avec le couple. C’est à ce moment que sa femme le voit et qu’elle embouche sa queue.


Le reste est d’une sexualité si torride que Har et Betje, qui à leur tour, regardent par le hublot, ne peuvent s’empêcher de regretter la frilosité de mes amis pour le partage. Johanna reçoit la semence de son mari au même moment où son propre plaisir la fait monter si haut que plus rien ne compte. C’est abondant, goûteux mais un instant elle se dit que celui de Har est certainement plus généreux avec les couilles qu’il a. Mais c’est bon et il ne faut pas gâcher son plaisir.


Le temps de reprendre son souffle et David attaque :



Il ne lui laisse pas le temps de répondre et poursuit :



Elle le regarde, interloquée, ne sachant pas comment elle doit prendre ses remarques. Il continue :



Elle ne peut que s’excuser, enfin c’est ce qui lui vient à l’esprit.



Soudain, tous deux découvrent qu’ils avaient oublié de prendre soin de leur amour. C’est paradoxal mais cette aventure vient leur rappeler combien ils s’aimaient et combien ils s’aiment encore. C’est un grand moment de tendresse qu’ils vivent.


Une fois revenu à leur chambre, alors qu’ils se préparent pour le diner, David prévient Johanna.



David, insiste, il veut soumettre son idée, pour voir la réaction de Johanna.



Elle ne répond pas. C’est un aveu. Il pense qu’elle ne refuserait pas. Il faut voir.


Le repas est agréable, les convives sympathiques. Ils vont se séparer pour la nuit.



Le ciel lui tombe sur la tête mais il n’est pas le seul à être atterré par cette nouvelle. Le regard de Johanna montre un vrai désarroi, preuve qu’elle fantasmait déjà sur la suite de cette aventure. Il a une idée.



En effet, il est de retour avec une bouteille de champagne, quatre coupes et il montre fièrement des clés.



Il les entraine au sous-sol, ouvre la porte du spa et annonce :



Quelques minutes plus tard, il se félicite de son choix. Dans cette pièce, tout le monde trouve naturel de se mettre nu et ils dégustent la bouteille millésimée, confortablement installés sur les sofas. Naturellement, chaque femme s’est assise avec le mari de l’autre. Betje a compris que David veut d’abord être spectateur du couple qui se forme devant ses yeux. Il a même la délicatesse de diminuer le plus possible l’éclairage pour que Johanna se sente seule dans cette pénombre propice. Seule, enfin, pas vraiment. Oui, seule mais avec Har qui déjà promène ses mains sur son corps.


Betje ne peut s’empêcher de souffler dans l’oreille de David que son mari fantasmait sur Johanna et d’ailleurs il est déjà en érection. Il s’allonge sur le sol, entrainant sa complice pour la placer sur lui en 69. Chacun a maintenant sous les yeux l’objet de son désir et immédiatement ils s’emploient aux caresses préliminaires. Johanna écrase le visage de son amant sous la pression de sa chatte alors qu’elle le lèche. C’est tout ce qu’elle peut faire. Si, peut-être le gland entre ses lèvres, lécher la hampe qui semble sans fin, gober les bourses. Il la cajole pendant ce temps, essaye d’oublier sa queue qui gonfle encore pour lécher, respirer sa fente, son sillon, même son petit trou qu’elle a parfumé ou nettoyé avec un savon qui embaume.


De temps en temps Johanna jette un regard vers son mari qui, à chaque fois, lui sourit pour montrer son accord. De son côté, il n’est pas tout à fait inactif. Betje et lui se découvrent, surtout Betje car David a déjà eu l’occasion de profiter de la plastique plantureuse de la femme dans le hammam. Leurs mains s’égarent entre les cuisses et la queue de David montre une raideur bien encourageante.


Les amants bougent. Har extrait un préservatif de son pantalon et le tend à Johanna. C’est le moment décisif. Encore un regard vers son mari qui ne pipe mot. Elle déchire l’emballage, extrait le latex et le déroule sur la queue. Elle se place sur lui, guidant le gland vers sa chatte. Elle hésite encore, regarde à nouveau vers David qui hoche la tête. La permission est donnée. Le reste n’est que le plaisir de la découverte. Elle descend très doucement, craignant une douleur, quelque chose comme une seconde défloraison. Mais non, elle s’ouvre facilement et le membre fait son chemin dans le vagin, sans rencontrer de forte résistance. Tout au plus la sensation d’être pleine et c’est presqu’une surprise, lorsque ses fesses viennent au contact des cuisses de son amant.


Bien sûr, David a assisté au spectacle de ce membre qui entre dans l’intimité de sa femme. S’il avait craint cet instant, redoutant une montée de jalousie possessive, il est rassuré dès que le gland entre et c’est avec un plaisir non dissimulé qu’il voit la queue entière disparaitre. Son propre sexe vibre et semble devenir encore plus dur.


Betje de son côté est plus détachée. Elle a plus d’expérience et sait intuitivement qu’elle ne pourra profiter de son nouveau partenaire que plus tard, tellement il est concentré sur sa femme et son premier échange. Aussi elle quitte David pour s’approcher du couple enchâssé l’un à l’autre. Ses mains se glissent entre les corps pour caresser les deux amants. Mais bien vite elle les dirige entre le sillon de Johanna.


David suit les mouvements de Betje, les réactions des amants aux caresses et voit la femme qui, après avoir abondamment mouillé un doigt le dirige vers l’anus de Johanna. L’index pousse la corole du sphincter, joue un instant avec l’anneau serré, puis avance lentement dans le conduit.


Johanna est dans un autre monde. Réalité, fiction, fantasme, peu importe. Elle ne retient que le bon. Cette queue sur laquelle elle a rêvé ces derniers jours est en elle, la remplit totalement et, sans regarder, elle sait que David est à ses côtés. Adultère autorisé. Adultère organisé. Quoi de meilleur ? Quelqu’un joue avec son cul. Ce n’est pas David, il est trop loin et elle peut le voir. Les mains de Har sont sur ses seins et pressent les tétons. Alors, sa femme ? Mais oui, c’est elle qui la doigte. Elle sent bien maintenant le doigt la baiser en avançant, en tournant. Elle sent bien la salive que la femme crache dans le sillon pour faciliter le passage. Ce n’est pas mauvais. Surprenant plutôt. Bientôt, elle a de la difficulté pour identifier de quel endroit elle est prise. Si, tout de même, la queue est immobile, prisonnière de son vagin, alors que dans son cul c’est la sarabande. Le doigt, plutôt les doigts s’agitent, avancent, tournent, s’écartent dans le conduit.


David assiste, stupéfait, au jeu de Betje dans le cul de sa femme. Il est cependant rassuré par les petits soupirs de Johanna qui n’a pas l’air de se plaindre de ces caresses. Maintenant le trou du cul reste légèrement dilaté lorsque les doigts se retirent. Il pense un instant venir remplacer les doigts par sa verge, mais décide de ne pas forcer le destin. Plus tard, peut-être. Pour l’instant il préfère n’être que spectateur, surpris de sa propre impatience d’assister au spectacle de sa femme possédée par une autre queue que la sienne. La touche de vice apportée par Betje qui la sodomise en même temps fait monter encore plus la chaleur dans son ventre.


Johanna aussi est chaude. Elle croise le regard de son mari et lit dans ses yeux qu’il attend. Elle sait que maintenant c’est à elle de jouer. Oh oui, jouer avec cette queue qui la remplit. Monter. Descendre. Monter. Descendre. L’engin coulisse si bien qu’on pourrait le croire taillé pour elle. Les parois de son vagin le tètent, le pompent. C’est un vrai plaisir de sentir le gland venir buter au fond de sa matrice. Elle est maintenant dressée sur le pieu. Har a suivi le mouvement et ses mains pressent toujours ses seins. Mieux, maintenant elles pressent les tétons qu’elles font monter et descendre pour anticiper les mouvements de la cavalière, comme si ce simple contact rythmait les enfilades.


David est aux anges. Le spectacle l’excite. Betje, que les mouvements de Johanna ont chassée, revient vers lui. Elle se penche pour le sucer. Un soupir de satisfaction sort de ses lèvres lorsqu’il sent sa queue disparaitre dans la gorge de la femme, mais il ne détourne pas son regard des deux amants.


Johanna voit aussi son mari se faire sucer et le spectacle l’excite encore plus… Maintenant elle se baise avec force et profondeur. La queue est longue et elle doit se lever sur ses genoux pour la faire sortir mais elle adore le moment où elle guide le gland contre son clito pour une caresse furtive avant de le faire disparaitre dans son intimité. Elle trouve même que le ballon du préservatif procure une sensation inconnue. Quel sensation aussi de venir buter sur les cuisses de son partenaire et au même moment sentir la queue buter au fond de sa matrice. La longueur est idéale. Plus aurait été douloureux. Non, c’est parfait, d’autant que la verge est raide C’est la preuve de l’excitation de son amant d’un jour. Elle n’a pas le souvenir de l’avoir remarquée si dure et tendue dans le hammam lorsqu’il honorait sa propre femme.


David voit bien que sa femme accélère et que sa jouissance va venir. Lui est au bord de cracher son jus et c’est au dernier moment qu’il se contrôle pour ne pas juter dans la gorge de Betje, même si ce n’est pas l’envie qui lui manque. Mais il faut rester clean. Elle comprend et la seconde suivante recouvre la queue de latex. David la fait placer en levrette et ainsi il peut continuer de mater sa femme. Sa bite glisse dans le vagin comme un doigt dans un pot de crème et il attaque aussitôt son va-et-vient.


Trop tard, Johanna jouit. Elle se lâche complètement et crie son plaisir dans un "Oui" continu, uniquement rythmé par ses derniers mouvements, comme si l’air de ses poumons était compressé par la verge qui entre et sort pour la dernière fois. David, qui défonce sa partenaire, se sent tellement excité par ce cri de plaisir que sa semence monte et qu’il éjacule par des jets puissants qui malheureusement s’écrasent dans la capote.


Mes amis m’ont dit que cette première baise s’est révélée si intense que la nuit a été très chaude. Les deux couples se sont séparés au petit matin après avoir exploré des plaisirs nouveaux, surtout pour mes amis.


Voila, vous vous demandez peut-être comment je connais cette histoire et surtout tous ces détails. Si vous avez encore cinq minutes je vous explique. Je suis la gérante de l’hôtel depuis un an, depuis que mon père est tombé malade et c’est moi qui ai fait installer le spa. Ma vie sexuelle est au ralenti, trop de travail, si ce n’est quelques parties avec des clients de passage. Je n’ai même pas le temps de profiter de mon installation, juste pour vérifier que tout est bien en marche.


Aujourd’hui je suis descendue après le coup de feu de midi, et tout est en ordre, sauf cette boîte sur la petite table. C’est une boîte de capotes et sa vue déclenche en moi une tension que je connais bien. Je me souviens de ces deux couples à qui j’ai servi le champagne et qui m’ont demandé de pouvoir profiter du spa la nuit dernière. Je sais très bien ce qui s’est passé ici et je les envie de pouvoir baiser à quatre alors que moi je fais ceinture. Mon imagination travaille et je peux les voir se mélanger, peut-être même deux hommes pour une femme. Je m’échauffe et je ne vois qu’une solution. Je referme la porte du spa à clé, ainsi personne ne pourra me déranger. Mes vêlements tombent au sol et je me glisse dans le bain bouillonnant. L’installateur m’avait parlé d’un réglage de certains jets qu’il appelait " le solitaire" et lorsque je me suis positionnée au bon endroit, j’ai tout de suite senti la pression sur ma chatte. Je me suis caressée un long moment, les yeux fermés pour imaginer les scènes torrides de la nuit et lorsque la jouissance est venue j’avais sous les yeux les deux couples enchevêtrés.


Mais en réalité, lorsque j’ai atterri et que j’ai vraiment ouvert les yeux c’est Johanna et David qui me regardaient. J’avais complètement oublié qu’ils avaient encore les clés de la veille. Tous deux étaient nus et David présentait une belle érection. Pas la peine de demander s’ils étaient là depuis longtemps. Personne ne parlait, genre round d’observation et la queue ne redescendait pas. Je ne sais pas ce qui m’a pris mais j’ai tendu la boite de capotes à Johanna en disant :



Elle m’a regardée comme si elle n’avait pas bien compris et je n’ai pas cillé lorsque son regard m’a posé la question muette. Alors elle a déchiré la pochette de protection et recouvert le sexe de son mari avec le latex. Et c’est elle aussi qui m’a préparée pour la possession.


Pendant le reste de leur séjour nous avons joué souvent et c’est ainsi qu’ils m’ont confié leur aventure.