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Temps de lecture estimé : 14 mn
02/11/12
Résumé:  Mes vacances tournent mal... Je me retrouve seul, au bord d'une route, sans papiers, dans un pays dont je ne connais pas la langue. Une femme s'arrête !... Ma vie sera définitivement différente.
Critères:  fh inconnu voyage hsoumis fdomine humilié(e) noculotte odeurs pied chaussures cunnilingu anulingus aliments -occasion -hsoumisaf
Auteur : Lord Viking

Série : Nouvelle vie

Chapitre 01
Une grande cuisinière

Mais qu’est-ce qui m’a pris d’avoir voulu aider cette fille ?


J’avais enfin pu me payer des vacances à l’étranger, je comptais bien en profiter, après près de deux ans de travail acharné pour mes études… Au lieu de ça, je me retrouve là, sur le bord d’une route départementale déserte, humide et boueuse, sous la pluie, les vêtements déchirés et couverts de boue et le corps contusionné et plein d’hématomes…


J’ai voulu aider cette fille. Je ne la connaissais même pas. Elle semblait en difficulté, avec deux hommes qui la brutalisaient. J’ai voulu m’interposer, et j’ai dû me prendre un mauvais coup sur la tête. Tout est devenu noir…


À mon réveil, j’étais dans un fossé, plein d’eau et de boue. Je me suis relevé avec difficultés, le corps endolori. J’ai constaté que je n’avais plus mes papiers. À perte de vue, aucune habitation ou autre trace de vie humaine… Je me décidai à longer le fossé dans lequel on m’avait laissé. Au bout de longues et douloureuses minutes de marche sous la pluie, j’atteignis enfin la route, le long de laquelle je marche maintenant.


Voilà maintenant au moins une heure que je marche et la nuit commence à tomber. Je n’ai compté que trois véhicules qui m’ont croisé ou dépassé. Aucun ne s’est arrêté, malgré mes grands gestes.


Je continue donc à marcher, dans la pénombre, sans savoir vraiment où je me dirige, je commence à désespérer, quand soudain le halo blancs des phares d’une voiture apparaît dans mon dos. Je me retourne et fais des grands signes, aveuglé par la puissance des phares de la voiture. Un mauvais pressentiment me parcours… Je m’agite de plus en plus, mais en vain, la voiture ne semble pas ralentir… Je me décide à me jeter sur le bord de la route. Elle passe à quelques centimètres de moi, en m’aspergeant d’eau et de boue.


Je vois maintenant ses feux. Elle s’est arrêtée et semble attendre, à quelques dizaines de mètres.


En m’approchant, je constate qu’il s’agit d’une grosse berline, de couleur sombre, peut-être une Audi A6. Je continue à avancer, jusqu’à me retrouver à la hauteur de la portière conducteur. La vitre s’ouvre de quelques centimètres, une voix féminine se fait entendre. Elle parle un langage que je ne comprends pas. Je tente un peu d’anglais « Please, help me ! », mais mon interlocutrice continue à me parler dans sa langue. Elle semble s’énerver, puis enfin s’arrête. Je reste interdit, sans savoir que faire… Elle m’ouvre enfin la portière côté passager. Je comprends que je peux enfin monter dans la voiture. Je fais le tour par l’arrière, et, les jambes tremblantes, m’assois sur le siège en cuir. À la lumière du plafonnier, je distingue enfin mon interlocutrice. Il s’agit d’une femme brune, d’une quarantaine d’années, peut-être un peu plus. Elle est habillée de façon très élégante, assez stricte, avec un tailleur sombre, que j’imagine fait sur mesure, qui s’arrête à mi-cuisse. L’imposante console centrale m’empêche de voir plus bas.


Elle me regarde avec insistance, jusqu’à ce que je ferme la portière, et démarre en trombe.


Sous le coup de l’émotion, je ne sais quoi lui dire. De toute façon, elle ne semble pas comprendre l’anglais, encore moins le français. Le trajet se fait donc en silence. L’Audi roule à vive allure sur la petite route détrempée, malgré les ornières et la boue On ne croise presqu’aucune voiture. Au bout d’une vingtaine de minutes, la voiture ralentit fortement, et s’engage sur la droite, dans une allée bordée d’arbres.


Des lumières s’allument, un portail s’ouvre. Je pense que nous arrivons à destination. Nous franchissons le portail et nous nous engageons dans une descente qui mène en sous-sol. La porte s’ouvre, de nouvelles lumières s’allument. La voiture s’arrête enfin, au fond du garage. J’ouvre ma portière et me lève. Mon interlocutrice m’adresse la parole, d’un ton ferme, en m’indiquant un torchon croché au mur, près de moi. Je l’agrippe et lui tend, mais elle ne le prend pas. Elle m’invective dans son langage. Madame a apparemment peu de patience… Je comprends enfin ce qu’il faut que je fasse avec ce torchon : nettoyer le siège en cuir, que j’avais souillé avec la boue qui recouvrait mes vêtements. Pendant que je m’active, elle me regarde, les bras sur les hanches, comme si je n’allais pas assez vite. Je me rends compte qu’elle est grande, et surtout très bien foutue. Jolie poitrine, fesses rebondies, jambes musclées et peau impeccable… Elle est perchée sur des escarpins en cuir, qu’elle porte vraisemblablement pieds nus, et qui laissent juste apercevoir la naissance des orteils.


Ma besogne terminée, nous montons les escaliers qui mènent à l’étage du dessus, avant qu’elle ne me barre le passage, en me faisant un signe de la main. Je comprends qu’il faut que je me déshabille : il est hors de question que je salisse l’intérieur de la maison. C’est donc en slip, mes vêtements (plutôt ce qu’il en reste) et chaussures à la main, que je pénètre à l’intérieur de sa demeure. Mon hôtesse m’ouvre une porte, m’invitant à entrer dans une petite pièce, qui se révèle être une salle de bain, équipée d’un superbe douche à l’italienne. Enfin, je vais pouvoir me laver ! La porte se referme, me voilà seul.


Je dépose mes vêtements au sol, et m’apprête à fermer le verrou. Je constate que la porte n’en est pas équipée, il va falloir laisser la porte ouverte, tant pis… J’enlève mes sous-vêtements et entre sous la douche. Je fais couler l’eau chaude sur mes cheveux et mon corps. Quel bonheur après la journée pourrie que je viens de passer ! Je n’ai pas le temps de trop en profiter, très vite, la porte s’ouvre. La femme entre dans la salle de bain, en m’ignorant complètement. Elle s’empare de mes vêtements pour les fourrer dans un grand sac plastique. Elle sort avec le sac, je pense qu’elle va me laver mes fringues.


J’arrête l’eau, et entreprends alors de me savonner. C’est alors que mon hôtesse entre de nouveau dans la salle de bain, avec une serviette de bain à la main. Elle me lance quelques phrases incompréhensibles. Je ne comprends pas tout de suite ce qu’elle veut. Elle reste là, avec la serviette, en tapant du pied avec l’un de ses escarpins, l’air impatient. Je comprends vite que c’est moi, qu’elle attend… je me rince aussi vite que je peux, et tends la main pour attraper la serviette, dissimulant mon corps derrière la paroi de douche en verre semi-transparent.


Ce n’est pas comme ça qu’elle imagine les choses. Au lieu de me donner la serviette, elle m’attrape la main, et me tire hors de la douche, sur le tapis de bain. Elle me dévisage quelques instants, observe mon corps contusionné, en passant ses doigts sur mes hématomes. Je ne sais pas quoi faire, je tente de cacher mon sexe avec mes mains, je me sens petit, très petit sous le regard inquisiteur de cette femme. J’ai l’impression d’être un enfant qui se fait réprimander par sa mère après s’être battu dans la cours de récréation. Elle continue son inventaire en me retournant. Elle passe ses doigts sur mes fesses… J’ai des hématomes là, aussi ? Je sens ses ongles frôler mon anus, ce qui me fait tressaillir. Elle se met à rire, tout en continuant à se frayer un passage avec ses doigts. Elle saisit mes testicules par derrière, les soupèse, les caresse et les serre légèrement entre ses doigts. Elle continue d’avancer. Elle a maintenant pris mon sexe en main, et le tâte, comme pour tester en quelle matière il est fait. Elle va jusqu’au bout, et pince légèrement mon gland entre ses doigts. Elle commente ses gestes dans son langage en riant. J’étais pétrifié, mais commençais à bander sérieusement.


Elle me lâche enfin, et entreprend de m’essuyer avec la serviette. Elle commence par les cheveux, puis descend sur mes épaules et mon torse. Elle insiste particulièrement sur mon sexe : elle le saisit avec la serviette à sa base, et remonte doucement vers le gland, plusieurs fois d’affilée. Mon érection s’affirme… Elle continue comme si de rien n’était. Elle arrête enfin, pose la serviette sur mon épaule et sort de la pièce en disant quelque chose.


Me voilà nu comme un ver au milieu de la salle de bains, le sexe tendu, avec une unique et minuscule serviette détrempée pour me couvrir le corps… Je réfléchis. Je ne sais pas quoi faire. Je n’ai aucune idée de quelle heure il est, mais il fait maintenant complètement nuit. J’attends quelques minutes, sans savoir quoi, puis me décide à sortir de la salle de bain, en maintenant comme je pouvais la petite serviette autour de ma taille afin de masquer les détails de mon anatomie.


La lumière me guide vers une cuisine, ouverte sur une salle à manger, où je découvre la maîtresse de maison qui s’affaire devant la table de cuisson où une casserole fume. Elle se retourne, et m’indique d’un doigt une petite table, un cube de bois devrais-je dire, d’un demi-mètre de haut, où une assiette et des couverts sont dressés. C’est à ce moment-là que je ressens à quel point j’ai faim !


Il n’y a pas de chaises, je m’assois donc sur le tapis devant la petite table, en tailleur, la petite serviette cachant tant bien que mal mes parties intime. La petite table est placée derrière le bar qui sépare la cuisine de la salle, à proximité immédiate de trois hauts tabourets, munis de barres circulaires repose-pied.


Mon hôtesse prend mon assiette pour me la ramener, quelques secondes plus tard, pleine de pâtes (des tortis) en m’adressant quelques mots incompréhensibles. Je bredouille un petit « Thank you very much ».


Elle s’installe ensuite sur le grand tabouret, juste devant ma petite table. Ma tête est à quelques centimètres seulement de ses genoux. En levant à peine les yeux, je pourrais presque voir son entrejambe. Porte-t-elle une culotte ?


Cette pensée me fait rougir, je baisse immédiatement la tête, et me concentre sur mon assiette de tortis. Je commence à les ingurgiter goulûment. Les pâtes sont fades, très fades même, et un peu trop cuites. Aucune sauce, pas de beurre, ni crème pour les agrémenter. Mais j’ai faim, donc je les mange. Mon hôtesse se met soudain à parler tout haut. Je sursaute. Je lève la tête vers son visage : elle a son téléphone à l’oreille, visiblement en communication avec quelqu’un.


Absorbée dans sa conversation et m’ignorant complètement, elle se tourne vers la droite, accoudée au bar, et passe sa cheville gauche sous sa cuisse droite, dévoilant la semelle et le talon usé de son escarpin, à quelques petits centimètres seulement de mon visage, et au-dessus de mon assiette. Cette vision, loin de me déplaire, me procure une certaine excitation. Et ce n’est que le début… Pendant qu’elle continue sa conversation, elle entame des mouvements de balancier et de rotation avec sa cheville. L’escarpin danse maintenant, juste sous mes yeux. J’ai toute les peines du monde à me concentrer sur mon repas et surtout à contenir l’érection qui se profile sous ma petite serviette de bain.


Mon hôtesse continue de m’ignorer, elle regarde dans le vide, en continuant sa conversation téléphonique. Ses mouvements de pieds vont au rythme de ses paroles, tantôt lents, tantôt plus rapides. Au fur et à mesure, son pied sort de la chaussure, au niveau du talon. Je peux maintenant voir la plante douce de ses pieds, légèrement plus colorée sur les points d’appui. L’escarpin se balance maintenant en équilibre sur ses orteils, derniers éléments de son pied qui me sont encore inconnus. Je suis comme hypnotisé par ces mouvements pendulaires. Un parfum subtil, assez corsé, mélange de vieux cuir et de transpiration, atteint mes narines. Je ne peux désormais plus contenir mon érection, et j’ai du mal à déglutir…


Un mouvement un peu plus brusque de sa jambe fait presque chuter l’escarpin, qui ne se retrouve plus pendu que par ses deux gros orteils, toujours juste au-dessus de mes pâtes, et pour mon plus grand plaisir devant mon nez. Les effluves sont maintenant bien nets, et je trouve que ça compense tout à fait la fadeur des tortis. Je me délecte comme je peux de la vision de la plante de son pied, que je peux voir de très près, et respire à plein poumons la délicieuse odeur. J’essaye de ne pas perdre une miette de ce spectacle visuel et olfactif.


Son pied s’immobilise quelque instant. Elle tente de se rechausser d’une flexion des orteils, mais l’escarpin, déséquilibré, glisse et chute lourdement, tout droit dans mon assiette de pâtes, en en projetant quelques-unes sur la table.


Pas le moins du monde gênée, et en ignorant toujours ma présence, mon hôtesse, toujours en pleine conversation, se retourne vers moi, et de la pointe de ses pieds, dont les ongles sont recouverts d’un vernis sombre, redresse son escarpin, et entreprend de se rechausser… dans mon assiette !


Elle peine un peu, mais y arrive enfin. Elle relève son pied, enfin chaussé de l’escarpin, laissant sur place quelques pâtes écrasées. D’un revers de la main, elle détache celles qui sont restées collées sous sa semelle et son talon, en veillant à ce qu’elles rejoignent les autres, dans mon assiette.


Toujours face à moi, elle repose ses pieds sur la barre du tabouret prévue à cet effet, mais apparemment quelque chose la gêne. Continuant sa conversation, de sa main libre, elle se déchausse à nouveau. Lors de sa chute, quelques pâtes s’étaient introduites dans l’escarpin, et elle les a écrasées entre la plante de ses pieds et sa semelle. Elle rassemble les petits morceaux au niveau du talon, puis elle vide sa chaussure dans mon assiette. Enfin, les pâtes devraient être à mon goût !


Le téléphone d’une main, son escarpin de l’autre, son pied gauche, nu, est maintenant posé que le rebord de ma table, ses splendides orteils presque en contact avec mon assiette.


Elle me jette enfin un regard, et fronce les sourcils. Quelque chose lui déplaît… Avec son orteil, elle pointe les pâtes qui jonchaient la table. Avant que j’aie eu le temps de faire quoi que ce soit, elle en saisit une entre deux de ses orteils, qu’elle dirige ensuite vers ma bouche. Hypnotisé, sentant mon cœur battre la chamade, le sexe maintenant bien dur, j’avance mon visage, la bouche bien ouverte.


Toujours au téléphone, elle enfourne donc la torti dans ma bouche. Elle aurait pu juste la déposer, mais non, elle entre profondément ses trois plus grand orteils dans ma bouche. J’en profite pour y plaquer ma langue. Le goût salé de ses orteils est un régal, et la torti se révèle par le fait excellente ! Elle retire doucement son pied, puis plonge pêcher une nouvelle pâte, qu’elle saisit de la même manière, entre ses orteils, pour me la déposer profondément dans la bouche.


Elle continue ainsi, pour les six ou sept tortis qui se trouvaient sur la table. Je suis dans un état second, complètement sous le charme de cette situation insolite. La serviette ne parvient plus à dissimuler mon érection. Et elle continue sa conversation, comme si de rien n’était. Parle-t-elle de moi ? Je n’en sais rien…


En s’aidant de son pied, elle déchausse son second escarpin et le laisse choir au sol. Elle pose ses pieds, nus et parfumés, croisés au niveau de la cheville, sur la petite table, juste devant mon assiette. Tout en mangeant, je peux donc me délecter de la vision de ses magnifiques plantes, et compenser l’assaisonnement défaillant par ses effluves divins.


Enfin elle raccroche, et me regarde. Elle écarte un peu ses jambes, me laissant apercevoir son entre-jambes. Elle plonge l’un de ses pieds dans les pâtes restantes, pour en saisir autant que possible avec ses orteils. Elle finit de me donner à manger comme cela, jusqu’à la dernière torti. Finalement, c’est une très bonne cuisinière, car je n’ai jamais pris autant de plaisir en mangeant des pâtes !


C’est presque déçu que je constate que mon assiette est maintenant vide. Mon hôtesse l’enlève de la table et d’un doigt, me fait signe de m’y installer. Je m’exécute immédiatement, et m’assois donc sur le petit cube de bois, juste devant ses grandes jambes musclées. Elle retrousse un peu sa jupe, pour pouvoir les écarter sans gêne. J’ai juste le temps de constater qu’elle ne porte pas de culotte, qu’elle les enroule autour de mon cou, me plaquant le visage contre son sexe. Elle n’est quasiment plus assise sur le tabouret. Elle appuie de tout son poids sur ma tête. Je manque de tomber à la renverse, mais réussis à me retenir au bar. La pression sur mon visage est telle, que je ne peux quasiment plus respirer. Cela semble durer un temps très long, je crois même que je vais étouffer, quand enfin elle se relâche la pression et se recule légèrement. Je peux maintenant admirer son sexe, dont les lèvres commencent à s’humidifier et à s’ouvrir doucement. Une petite touffe de poils noirs, bien entretenue, surmonte l’ensemble.


Si j’avais eu droit à une douche, mon hôtesse n’en avait pas encore eu le loisir, et sa journée à dû être éprouvante. L’odeur qui se dégage est très forte, un peu acre, mélange d’urine et de transpiration. Ce n’est pas franchement désagréable, et je suis déjà très excité, je n’hésite donc pas à me rapprocher pour embrasser goulûment cette friandise, d’abord sur les côtés, dans les plis des cuisses, puis sur les lèvres. Je donne des petits coups de langue contre son clitoris, embrasse de nouveau ses lèvres. En quelque sorte, c’est mon dessert.


Ses mains se crispent sur mes cheveux. Ma langue s’active de plus belle. Je n’hésite plus à l’enfoncer profondément entre ses lèvres, puis dans son vagin. Mon hôtesse commence à se tendre, à donner des petits coups de reins au rythme de ma langue. Elle tire sur mes cheveux, mais la douleur provoquée ne fait qu’accentuer mon action. Elle m’appuie sur l’arrière du crâne pour que j’enfonce ma langue plus profondément.


L’odeur âcre du début à disparu. Son sexe a maintenant une saveur légèrement salée, délicieuse. Elle mouille beaucoup, mon visage est complètement trempé. J’avale ce que je peux.


Je la sens venir. Elle se crispe, serre ses jambes autour de mon cou, m‘empêchant de nouveau de reprendre mon souffle. Elle est soudain prise de petits spasmes orgasmiques. Je continue à la lécher copieusement et sens sur ma langue un jet de liquide chaud, toujours légèrement salé, mais un peu plus onctueux que précédemment : elle jouit sur ma langue.


Les spasmes ralentissent, et je la sens se relâcher. Pour ne pas qu’elle tombe, je suis même obligé de la retenir. Je continue à me délecter de son délicieux liquide intime. Au bout de longues secondes, elle se recule et s’allonge presque complètement sur le bar. Elle dégage ses jambes de mon cou, les lève et les croise. Elle doit se reposer après tant d’émotions. Je me lève et lui soutiens les jambes, le visage toujours au contact de son corps. Elle replie les jambes sur son corps, et de ses bras, entoure ses genoux. C’est maintenant son anus, qui me fait face, bien ouvert et accueillant. Un léger filet de liquide blanchâtre, dernière trace de son orgasme, coule entre ses fesses, douces et luisantes de sueur… Toujours au comble de l’excitation, je ne peux résister à la tentation de lui embrasser frénétiquement les fesses, m’approchant progressivement de son petit trou, jusqu’à pouvoir y frotter ma langue.


Son muscle anal est complètement relâché, ma langue peut s’y introduire sans peine. À ma grande satisfaction, elle semble aimer ça, car elle se met à jouer avec : elle contracte et relâche successivement son muscle anal. Ma langue est donc tour à tour happée dans le petit trou, puis expulsée, avant d’être de nouveau avalée. Ce petit jeu dure de longs moments. Elle a passé ses jambes derrière ma tête, et s’amuse parfois à appuyer dessus, afin que ma langue la pénètre plus profondément.


Enfin, lassée par ces exercices, elle me repousse le visage d’un pied, et se redresse. Elle s’assoit sur le tabouret, me poussant violemment. Je tombe assis sur la petite table, un peu surpris. En fait, elle a décidé de s’occuper de moi. Ses deux pieds saisissent délicatement mon sexe en érection. Elle le caresse avec ses orteils, de la base jusqu’au gland. Ses orteils le pétrissent doucement, puis elle commence un mouvement de va-et-vient, d’abord doucement, mon pénis coincé entre ses pieds. Elle accélère le mouvement, et la pression devient plus forte, jusqu’à en devenir douloureuse.


La pression monte dans mon corps, et enfin, l’orgasme arrive. Il monte longuement, jusqu’à l’explosion de sperme sur ses divins pieds, avant de redescendre en saccades.


Elle s’arrête, regarde avec amusement ma verge décliner doucement, au rythme de mes battements cardiaques. Elle se lève enfin, rajuste la jupe de son tailleur, et s’éclipse dans la salle de bain.


C’est à ce moment précis que je commence à ressentir la fatigue et les douleurs de mes hématomes. Ma langue est toute engourdie et j’ai la bouche pâteuse.


J’attends sagement, l’esprit vide, toujours nu, et assis sur ma petite table, que mon hôtesse sorte de la douche.


Le temps passe, je n’ai aucune idée de l’heure qu’il est. Pour patienter, je lave mon assiette, mes couverts et la casserole. Je n’ai qu’une seule envie, me coucher.


Mon hôtesse sort de la salle de bains, habillée d’un peignoir très court qui met ses formes en valeur, une serviette sur la tête pour maintenir ses cheveux mouillés.


Je vais pour la suivre dans sa chambre, mais elle me barre son accès. Elle m’indique d’un doigt une autre porte, de l’autre côté.


C’est une petite pièce, sans fenêtre. À la lueur du couloir, je devine que le mur est tapissé d’étagères. Une odeur particulière, pas désagréable, parfume la pièce. Dans un premier temps, je ne comprends pas bien ce que je dois faire ici, jusqu’à ce que je me rende compte qu’un matelas est là, debout derrière la porte. Mon hôtesse ayant claqué la porte dans mon dos, je me retrouve dans le noir. Je fais tomber le matelas au sol, m’affale dessus, et m’endors presque immédiatement.




(à suivre)