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Temps de lecture estimé : 12 mn
06/11/12
Résumé:  Suite de l'initiation...
Critères:  fh hplusag fplusag profélève médical voir fellation pénétratio fsodo attache -sm -voyeuract
Auteur : Johan01      Envoi mini-message

Série : Une initiation

Chapitre 02
La visite

Dans le premier épisode : Une jeune étudiante infirmière rencontre sa tutrice sur son lieu de stage. Une relation extra-professionnelle se tisse, pleine de promesses.








Si je m’étais attendue à ça. Faut que je te raconte, petit journal. Mais faut que j’arrive à tout remettre en ordre.


J’ai débarqué chez eux à la bourre. Ce P… de bus n’avançait pas. Ils habitent au dernier étage d’une tour. Je sonne et là, surprise, c’est son mari qui m’ouvre. J’ai dû tirer une de ces tronches ! Il me fait entrer, me fait la bise, limite amusé de me voir comme ça. Elle arrive à ce moment-là, amusée elle aussi. Toujours ces petites robes de folie.


Ils m’ont fait visiter leur appart. Y’a une vue de dingue. Ils l’ont pas mal retapé et c’est vrai qu’il est trop beau. Pas tape à l’œil, sobre, avec juste la déco qui va bien.


On a pris l’apéro sur la terrasse, au soleil, sous le store. On était trop bien. On a parlé de tout et de rien. De l’école encore une fois, des profs qu’ils avaient eus et qui y étaient encore. Ils étaient morts de rire quand je leur ai dit que Milano avait fait son coming-out l’année dernière. Du coup on a parlé de Bertin et re-rigolade quand je leur ai dit qu’il sortait avec Franck, un élève de deuxième année.


Jean m’a servi un apéro corsé, mais finalement c’était pas un mal, ça m’a bien détendue. À un moment ils se sont regardés et là, Maryline a attaqué :



Et là, morte de honte devant leurs quatre yeux, je me suis exécutée. Maryline avait un ton froid, sec, que je ne lui connaissais pas mais qui me transcendait. Elle était comme détachée en me donnant les ordres :



Me voici en sous-vêtements devant eux. Lui sirote tranquillement son verre, ne perdant rien de la situation. Elle a les yeux qui brillent, les jambes croisées, la robe qui remonte sur ses jambes. C’est comme si j’étais en maillot sur la plage mais je sais au fond de moi que ce n’est pas le cas. Heureusement que j’ai investi dans cet ensemble. J’aurai eu trop honte avec ma culotte en coton.



Je défais maladroitement mon soutif. Je l’enlève. Je sais pas quoi faire de mes bras. Je voudrais cacher mes seins et au moment où je commence le mouvement, elle m’ordonne de me tourner et d’enlever le bas. Je m’exécute, me tourne, attrape les bords de mon slip et le descends. Je sais pas trop comment le faire élégamment et du coup je me penche en avant pour le retirer, me rendant compte à ce moment que je leur montre mon cul dans toute sa splendeur. Morte de honte, je me redresse d’un bond.



Je me retourne. Je n’ose pas les regarder. Instinctivement je veux me cacher avec mes mains. Un rappel à l’ordre de Jean m’en empêche. Pour une fois qu’il parle, ça me refroidit d’un coup. Puis la suite…



Je suis toujours nue, debout, mal à l’aise tandis que Maryline se lève et défait lentement la fermeture éclair du dos de sa robe. Puis tout en me regardant avec un air de défi, tout en se tournant lentement vers Jean, elle fait glisser sa robe à ses pieds. Elle n’a plus rien sur elle, elle était nue sous cette petite robe. Je suis subjuguée. J’ai le souffle coupé quand je tombe sur sa toison. Un petit cœur est dessiné avec ses poils et il est rouge vif. Je me sens con avec ma touffe à peine égalisée. Lorsqu’elle se tourne de dos par rapport à moi, je ne peux m’empêcher de jeter un œil à la fin de son tatouage. La quatrième patte de la salamandre est bien là, sur la peau un peu plus claire, par contre la queue se perd encore plus bas, entre ses fesses. Impossible de la voir.


Elle s’agenouille devant son mari, l’embrasse langoureusement. Elle défait un à un les boutons de sa chemise et lui embrasse le torse à chaque fois. La voilà qui s’attaque maintenant à son pantalon. Je ne respire plus alors qu’elle défait un à un les boutons. Un sexe dur jaillit. C’est donc à ça que ça ressemble en vrai. Visiblement lui non plus ne portait rien en dessous. Elle le met à nu, envoie ses vêtements un peu plus loin.



J’obtempère. Je me rapproche. Elle me regarde, longuement, puis approche sa tête de ce sexe et lentement le fait entrer dans sa bouche. Je dois être trempée. Jean a basculé sa tête en arrière et a fermé les yeux. Un profond soupir quand elle l’a glissé en elle. Je vois cette tête monter et descendre le long de ce pieu.


Jean me fait signe de m’asseoir sur un fauteuil à côté. Je la vois, elle, de profil, aller et venir. Je la vois utiliser sa bouche, s’aidant parfois de sa main. J’entends les bruits de succion, ses râles et gémissements à lui, les siens également. Il lui met la main sur sa nuque et la guide, lui pousse la tête comme pour entrer plus profondément en elle. Lorsqu’il enlève cette main, c’est elle-même qui descend lentement, en écartant les mâchoires. Ses lèvres touchent son ventre. Elle se redresse, reprend son souffle et recommence. Comment fait-elle ? Je suis trempée. C’est trop fort, trop beau, trop excitant. Je ne peux me retenir et je me caresse en les regardant. Je le vois attraper ses cheveux dans sa main et la faire monter et descendre selon son désir.


Ça doit bien faire trente minutes qu’elle lui fait ça quand, à un moment, il dit simplement « allez ». Il se bascule alors en arrière tandis qu’elle le prend avec sa main et sa bouche, qu’elle accélère le rythme. Il gémit de plus en plus et pousse un cri en se tendant. Je viens de voir un homme jouir devant moi. Là. Et dans la bouche de sa femme. En vrai. Devant mes yeux. Impossible de me retenir. Je me masturbe et je jouis d’un coup, en criant moi aussi. Ils se tournent vers moi en souriant. Je me sens mal à l’aise.



Je sais plus où me mettre. Ils me proposent de s’habiller. C’est avec joie que je le fais en même temps qu’eux. Une fois dans un accoutrement plus « normal » nous nous réinstallons dans les fauteuils. Un autre apéro plus tard, Jean part s’occuper du déjeuner. La discussion commence :



Jean est arrivé à ce moment-là avec les assiettes et nous avons mangé en blaguant. Jean m’a parlé de son boulot, je leur ai parlé de mes stages. Eux aussi sont passés par le service d’onco. On a parlé de Marianne, de Mélanie et des autres. Eux aussi s’y sont régalés. Comme quoi…


Après le café ils m’ont proposé « d’explorer la suite ». Nous sommes allés dans leur chambre et ils m’ont demandé de me déshabiller à nouveau avant de m’asseoir sur le fauteuil devant leur lit. J’y suis arrivée plus facilement. Ils se sont alors approchés de moi et je me suis rendu compte trop tard qu’elle avait récupéré des contentions à la réa. En un instant, je me suis trouvée poignets et chevilles attachés. Alors que je commençais à paniquer, ils m’ont expliqué qu’ils souhaitaient m’empêcher de me masturber. « Tu verras le bonheur qui peut résulter de la frustration ».


Je le vois se déshabiller devant moi. J’en manque pas une miette. Elle se place derrière moi, j’entends un bruit, une sensation. Elle prend mes cheveux et me tire la tête en arrière. Je lève les yeux vers elle, vois sa poitrine nue mais dans le même mouvement, je la sens glisser quelque chose dans ma bouche. Le temps que je comprenne ce qui se passe, me voilà avec une boule, un bâillon qui m’empêche d’émettre le moindre mot, à peine quelques bruits.


Il s’allonge sur le lit. J’ai une vue imprenable sur son entrejambe. Son sexe paraît encore plus imposant que tout à l’heure. Elle est toujours derrière moi. Elle me caresse doucement la tête avant de s’avancer vers le lit, de l’enjamber, de se frotter à lui. Incroyable, dans cette position impudique, j’ai une vue sur sa vulve, sur la queue du tatouage qui descend jusqu’à son trou… un trou caché ou plutôt mis en valeur par le rubis. Elle porte le rose, le truc le machin, là. Le Rosebud ! J’ai une bouffée de chaleur !


Je la vois se frotter contre lui, coller son ventre contre le sien. Elle semble trempée, elle aussi. Elle se met à califourchon, je vois son sexe à l’entrée du sien et dans un soupir, elle s’empale sur lui. Il lui fait l’amour, là, devant moi. C’est donc à ça que ça ressemble. Elle monte et descend, parfois vite, parfois plus lentement. Elle gémit. Lui aussi. On dirait une communion entre eux deux. C’est beau. Je tire sur mes liens pour me caresser. J’en ai trop envie. Ils changent de position, se tournent d’un quart de tour sur le lit et se renversent. C’est maintenant lui qui est sur elle. Ils changeront encore et encore de position. Ça dure. C’est beau. Je l’envie de vivre ça. Je suis trempée comme jamais. J’essaie d’attirer leur attention pour qu’ils me délivrent, me laissent me caresser. Mais, soit ils n’entendent rien, soit ils ne veulent rien entendre, tout à ce qu’ils se font. Et elle jouit. Encore et encore, parfois dans ses yeux, parfois dans les miens, souvent le regard dans le vague.


Et puis, alors que je croyais avoir vu le pire ou le meilleur, elle se retire et se place à quatre pattes, dos à moi. J’ai une vue en gros plan sur son petit cul. Elle glisse la main, attrape le bijou et, lentement, en me regardant par en dessous, le retire peu à peu.


Elle se retourne, toujours à quatre pattes, se met face à moi. Il se passe un peu de gel sur son sexe, se positionne derrière elle. Ils me regardent tous les deux au moment où il s’enfonce lentement régulièrement en elle. Je suis pétrifiée. Elle est en train de se faire… enculer devant moi. Et elle semble y prendre du plaisir. C’est même elle qui pousse ses fesses vers lui, qui s’empale. C’est pas le truc moche que j’imaginais. Elle a pas l’air d’avoir mal. Au contraire ! Pourquoi les filles en ont-elles peur ? Pourquoi elles disent que c’est sale, qu’elles veulent pas ? C’est beau ce que je vois. Ça dure cinq, dix minutes peut-être, je sais pas. Soudain je le sens se tendre. Il l’agrippe aux hanches, accélère, force et dans un cri, il s’arrête, tendu, fiché en elle. Elle crie en même temps, se cambre puis s’écroule devant moi. Ils sont secoués de spasmes tous deux.


Au bout d’une petite minute, ils semblent reprendre vie. Ils me regardent, se regardent. Elle se redresse, il se baisse. Ils s’embrassent. Lentement, il se retire. Elle me regarde, mutine, descend du lit, et nous laisse dans la chambre. Je ne peux que remarquer le filet blanc qui s’écoule le long de sa cuisse. Ça devrait me dégoûter mais c’est plutôt le contraire. Il s’approche de moi et me détache, bâillon, chevilles puis poignets enfin. Je suis tout endolorie. Il me faut quelques instants avant que ma mâchoire retrouve ses mouvements, que le sang circule à nouveau dans mes extrémités.


Je suis trempée, subjuguée par ce que je viens de vivre, de voir. Je suis toujours vierge, certes, physiquement parlant. Mais j’ai l’impression d’être une « vétérane » par rapport aux filles. Est-ce que je pourrai un jour leur dire ? Leur dire ? Hors de question, en fait.


Le temps que je retrouve mes esprits ils sont là devant moi. Habillés à nouveau, complices. Toujours ce regard rieur lorsqu’ils se tournent vers moi. Mais pas moqueur, ni méchant. Je me sens en confiance avec eux.


Je me rhabille puis les rejoins au salon. Une tasse de thé conclut la journée. Jean doit partir pour le travail. Il donne une enveloppe à Maryline avant de me faire la bise et de filer. Je sens arriver une nouvelle grande discussion.



Elle me tendit l’enveloppe. Dedans, des photos imprimées sur des feuilles A4. Le visage est flouté, impossible de reconnaître les traits. Néanmoins je sais que c’est moi sur le canapé, en train de me masturber, moi sur le fauteuil jambes et vulve largement écartées. Je deviens rouge, mon cœur s’arrête de battre, je balbutie :



Voilà la fin de cette journée. J’ai déchiré et jeté les photos tout au long du trajet retour chez moi. Je ne suis pas inquiète à leur sujet. Je comprends leur méfiance tout en ayant confiance en eux. En rentrant, j’ai pris une douche plus longue que nécessaire et là je me suis caressée. J’ai joui à en avoir les jambes coupées, à genoux dans la douche, comme jamais je n’avais joui.