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Séance dentaire inoubliable

Ne craignez plus votre dentiste !

Jean a depuis son enfance la phobie du dentiste, phobie partagée par de nombreuses personnes. Dans sa jeunesse, il avait échappé à leurs griffes, mais au prix de douleurs bien difficiles à évacuer, et par conséquent s’était retrouvé contraint et forcé, sur des fauteuils peu confortables et en ayant mal avant même d’ouvrir la bouche.

Le temps a passé, et Jean a pris l’habitude de séances plus apaisées. Mais il y a dix ans, il a rencontré Valérie, sur les conseils d’un ami, et est devenu fan de sa dentiste. À soixante ans passés, il est en pleine forme. Son 1,85 m dissimule un peu ses 95 kg, et une crinière blanche lui donne une bonne stature.

Valérie est mignonne, un petit format joliment proportionné, 1,60 m, 45 kg au maximum, une petite poitrine, souriante et efficace. Et puis elle a une piqûre magique qui efface la douleur et permet à Jean d’attendre sans crainte les séances.

Les dix ans passés les ont rapprochés, et ils se connaissent bien. La poignée de mains usuelle a été remplacé par une bise rituelle, et ils connaissent tout de leurs vies respectives, tout au moins de ce qui est avouable.

Cette année, les séances se sont succédé. Jean a une petite soixantaine, et a dû faire traiter quelques problèmes. Mais retrouver Valérie, sa quarantaine, sa blouse et son fauteuil-lit est un quasi moment de détente. Et puis, il y a des moments privilégiés. Lorsque Valérie traite la partie gauche du visage de Jean, celui-ci a le bonheur des seins de Valérie comme coussin. Un petit coussin, certes, jamais visible sous le tee-shirt et la blouse, et tenu par un léger soutien-gorge, mais l’idée même de ce contact réjouit Jean. Il se demande d’ailleurs quelques fois si Valérie ne cherche pas aussi ce contact, mais il n’a jamais osé essayer une approche.

Après quatre séances de travail, la séance de ce soir est un simple contrôle, et Valérie a proposé à Jean un rendez-vous tardif, à 18 h 30 pour faciliter la gestion de son agenda. Lorsqu’il arrive au cabinet, c’est Valérie elle-même qui l’accueille :

• — Bonsoir Jean, dit-elle en l’embrassant, nous sommes seuls ce soir, mon assistante a dû rentrer plus tôt ! Alors je fais aussi l’accueil ! Installez-vous, j’arrive.

Jean pousse la porte, pose sa veste et s’installe dans le fauteuil-lit. Il entend Valérie bouger dans une pièce voisine, et s’installe confortablement. Ce fauteuil est quasiment un lit lorsque Valérie l’ajuste à sa position de travail ! D’ailleurs, il plaisante souvent avec ses amis, en évoquant la jeune femme qu’il va retrouver, et qui va l’étendre sur un lit…

Dans la pièce voisine, une chambre de l’appartement, Valérie se prépare. À force de voir Jean, elle a fantasmé sur lui, et ce soir, elle a décidé de franchir le pas. Rapidement, elle pose sa blouse, enlève son tee-shirt et sa jupe, échange un soutien-gorge classique contre un modèle joliment transparent et remet la blouse dont elle ne ferme que quelques boutons. Rapidement, elle déplie un clic-clac, déjà préparé. Un peu de parfum pour effacer les odeurs médicales, et la voilà prête…

Elle entre dans sa salle. Quelques phrases rituelles, mais Jean a brutalement le souffle coupé. La Valérie qu’il voit n’est pas sa dentiste habituelle. Elle a bien la blouse, certes, mais pas de tee-shirt, quelques boutons ouverts, et un soutien-gorge bien visible qui ne cache pas grand-chose de ses petits seins. Et puis, sous la blouse, Jean devine en transparence un slip, mais pas de jupe…

Valérie commence comme à l’accoutumée par incliner le fauteuil, l’amenant pratiquement à l’horizontale. Elle est assise, près de la tête de Jean, qui a une vision permanente sur le slip transparent. Il voit les détails de ses lèvres… qui semblent l’appeler.

Valérie essaie de travailler comme d’habitude, mais très vite, la tête de Jean se retrouve appuyée sur ses seins. Et l’inévitable arrive, Jean se met à bander sans retenue. D’autant plus que les mouvements de Valérie ont fait bouger sa blouse et son slip est pratiquement contre ses doigts. Lorsque Valérie veut prendre un instrument, elle voit l’état de Jean, et ses doigts effleurent le pantalon, ce qui accentue encore la bandaison de Jean. Quelques allers et retours successif sur le plateau d’instruments, et à chaque fois, ses doigts caressent innocemment la queue bandée. Jean ne peut parler, car elle continue de travailler, mais il arrive à bouger un peu une main pour toucher ce corps qui semble s’offrir.

Valérie est très excitée. C’est la première fois qu’elle joue ce jeu avec un patient, et elle l’a choisi ! Bien sûr, elle a vu que Jean bandait ferme, mais a quand même voulu terminer son travail. Elle bouge encore un peu, et maintenant c’est la joue de Jean qui est caressée par son soutien-gorge. Les doigts de Jean ont réussi à atteindre sa peau, et elle sent la caresse espérée. Elle sourit et murmure « le traitement est terminé, vous pouvez bouger ». Jean sourit, tourne un peu la tête et ses lèvres se posent sur le soutien-gorge. Valérie se presse contre lui, et sa main commence à caresser le sexe de Jean à travers son pantalon. Il bande de plus en plus, et elle le libère. Pantalon ouvert, elle dégage sa queue du slip tendu. Jean à soixante ans bande toujours dur, son sexe est plutôt épais, et elle le branle sans retenue.

Le soutien-gorge arachnéen de Valérie n’a pas résisté aux doigts de Jean. Il a commencé par le caresser, a dégagé les seins des bonnets, avant de le dégrafer. Il lèche avidement ses petits seins. Les pointes sont dures sous sa langue et il caresse son corps offert. La blouse a sauté, la chemise de Jean est par terre, et Jean attire les lèvres de Valérie sur sa queue… Elle suce ce membre dressé, dur et épais. Jean peut alors lécher la chatte épilée de Valérie, déjà débordante de miel. Son clito est dressé, et Jean le suce, un doigt, puis deux dans le sexe de sa dentiste.

Ils parlent peu, leurs mots sont de tendresse et de désir… Valérie rejoint Jean sur le fauteuil, s’empale sur le sexe dressé, et c’est une cavalcade effrénée qui commence. Ils bougent, et voici Valérie appuyée sur le fauteuil… Jean lèche sa chatte avant de la pénétrer en levrette, tout en caressant aussi son petit trou, avant d’y glisser un doigt couvert de la mouille de Valérie. Le sexe de Jean va-et-vient, mais s’appuie aussi sur le petit trou de Valérie, qui semble prête. Jean prend la main de Valérie, elle prend sa queue et c’est elle qui guide Jean au fond de son cul. Jean masturbe son sexe en même temps pour la faire jouir. Valérie se redresse :

• — Chéri, viens à côté, il y a un lit pour nous deux.

Ils se séparent un instant, et enlacés, ils changent de pièce. Valérie attire Jean sur le clic-clac, reprenant sa queue en bouche… En 69, Jean lui rend la caresse, et replonge dans son miel. Les positions se succèdent, Valérie est déchaînée et crie son plaisir. Une dernière chevauchée, et Jean éjacule longuement au fond du ventre de sa dentiste.

C’est le moment tendresse, Valérie dans les bras de Jean, épanouie, heureuse, offerte à de nouvelles caresses. Leurs lèvres se joignent enfin !