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n° 15273Fiche technique12590 caractères12590
Temps de lecture estimé : 8 mn
12/11/12
Résumé:  Kris et son beau-père rangent le cellier.
Critères:  fh hplusag extracon cocus alliance voir exhib intermast fellation -voyeuract
Auteur : Kristal      Envoi mini-message
Ah ! Les histoires de famille !

Habituellement, Kris et moi sommes très complices au sein de nos jeux. Nous nous surprenons parfois mutuellement, pour notre plus grand plaisir. Nous ne nous cachons jamais rien et d’ailleurs, souvent, nos aveux mutuels sont une source de moments intenses. Pourtant…


Ma chère et tendre épouse vient de rompre nos conventions, ce dans des conditions quelque peu… inhabituelles. Il se trouve cependant qu’à son insu, j’ai assisté à cet incident. Je ne lui en ferai jamais reproche car, tout compte fait, j’ai vécu à cette occasion quelques instants très excitants aussi.


Il faut tout de même que je vous présente les protagonistes de ce charmant fait divers. La mère de Kris est veuve. Âgée de 69 ans, elle vit depuis plusieurs années avec un homme un peu plus jeune qu’elle. Mario est retraité, il porte ses 65 ans avec une certaine prestance. Italien d’origine, taillé dans le roc, il dégage une impression de puissance, de virilité indéniable. Nous nous entendons très bien tous les quatre, ma belle-mère est sympathique, encore jolie et attirante malgré un léger surpoids. Ils viennent régulièrement passer quelques jours chez nous et nos relations sont chaleureuses.


À la maison, il n’est pas question d’adopter le nœud papillon ou la robe de soirée… Les tenues très décontractées sont de rigueur. Il n’est donc pas rare que nous nous retrouvions tous en peignoir pour le petit déjeuner par exemple ou bien que nous traînions à la maison avec un vieux tee-shirt sur le dos. Kris affectionne plus particulièrement une vieille robe en jean, toute boutonnée devant et qu’elle enfile pour vaquer aux menus travaux de la maison. J’adore cette robe car, même s’il elle ne ressemble plus à grand-chose, elle laisse souvent entrevoir les charmes de mon épouse adorée… Je ne vous ferai pas le descriptif détaillé de ses charmes, l’ayant déjà fait à maintes reprises lors de nos récits précédents. Kris a tout ce qu’il faut, là où il le faut. Elle le sait, en use et en abuse car elle adore attirer l’attention, se sentir épiée, admirée, désirée…


Il y a quelques jours, au petit déjeuner, nous organisons la journée. Kris décide de ranger les étagères du cellier contigu au garage. Mario lui propose de l’aider car je dois emmener ma belle-mère chez le coiffeur, faire quelques courses et la ramener à la maison pour le déjeuner. Kris porte pour la circonstance son éternelle petite robe dont elle a négligé de fermer tous les boutons. Je suis le premier à profiter de la vision d’un sein nu qui se dévoile dans les replis du tissu, d’une cuisse largement découverte entre les pans de sa robe… (Vulgairement parlant, je la trouve… bandante !)


Tout en dévorant mon croissant, je souris car je viens de surprendre les regards de mon beau-père qui, le nez dans son bol de café, ne perd rien du spectacle. J’ai l’impression qu’il échangerait volontiers son croissant contre un bout de chair fraîche ! Amusé par cette situation, je termine mon déjeuner de très bonne humeur et saute sous la douche. Belle-maman est prête lorsque je redescends. Nous partons après avoir tous deux fait un petit bisou à nos conjoints respectifs !


Je dépose ma chère belle-mère chez le coiffeur et me dirige vers le centre commercial. À peine à la caisse, mon portable vibre dans ma poche ! Belle-maman m’annonce qu’elle n’aura terminé que dans un peu plus de deux heures… Que faire ? Je ne vais tout de même pas poireauter tout ce temps en ville ! Allez, je rentre à la maison, je reviendrai la chercher.


De retour chez nous, je ne rentre pas la voiture au garage et prends le temps d’allumer une cigarette sur la terrasse. (Eh oui ! Défense de fumer, aussi chez nous !) Il fait bon en cette matinée d’automne, la grande baie vitrée est ouverte. Dans mon axe de vision alors que je regarde vers l’intérieur, j’aperçois la porte du cellier ouverte, Kris et Mario affairés à ranger, me tournant le dos. Kris est juchée sur un escabeau et passe un carton à son beau-père. Il s’en saisit, le pose au sol, se redresse lentement puis pose les mains sur les côtés de l’escabeau comme pour le maintenir en cas de chute.


Il a le visage à hauteur des genoux de mon épouse… Il se penche à nouveau légèrement. Je suis sûr qu’il est en train de savourer le spectacle que Kris lui offre innocemment ! Après tout, il n’a pas tort, je ferais la même chose ! Tout ceci m’amuse et je décide de reculer un peu en restant discret. (Sait-on jamais…) Kris pivote légèrement sur la plus haute marche de l’escabeau, Mario fait un pas de côté et se retrouve face à elle. Il a maintenant sous les yeux les cuisses de mon épouse largement dévoilées par le tissu mal fermé.


Cette fois, j’en suis sûr, il profite largement de la situation, je le constate même depuis mon emplacement. Il porte un vieux jogging et, si mes yeux ne me trompent pas, il n’a rien dessous car, de profil maintenant, j’aperçois une protubérance véritablement indécente ! Il bande comme un cerf, le beau-père ! Kris lui passe un nouveau carton qui lui cache heureusement la vue de la déformation du pantalon de Mario. Elle descend de l’escabeau, se penche sur un carton ouvert. Mario en profite pour s’accroupir, masquant ainsi partiellement son érection. Hélas… ! Kris est maintenant penchée devant lui. Les cuisses ont disparu mais ce sont maintenant deux globes orgueilleux qui doivent se balancer sous ses yeux. Sincèrement, je le plains, connaissant moi aussi les effets des « négligences » de Kris.


Du coup, émoustillé par mes pensées, je recule un peu et allume une autre cigarette. Je vais rester discret encore un moment ! Le carton trié, Kris se redresse puis remonte sur l’escabeau.



En riant, Kris fait semblant de perdre l’équilibre. D’un seul geste, Mario pose les mains sur ses hanches, la soulève littéralement, la plaque de dos contre lui et la repose au sol, la maintenant contre son torse.



… et dont je vois les mains glisser un peu plus en avant pour ceinturer Kris qui se retrouve prisonnière des bras puissants de Mario. Dans cette position, elle ne peut ignorer l’état dans lequel il se trouve, ses reins collés sur la tige virile qui, à mon sens, n’a rien perdu de sa raideur précédente.



Les paroles de Kris ne semblent pas intimider Mario. Ils sont tous deux de profil par rapport à moi. Je vois distinctement les mains de Mario remonter le long de la robe de mon épouse, venir se plaquer sous sa poitrine puis, lentement, écarter le tissu, laissant jaillir deux seins gonflés dont les pointes sont déjà érigées. Du bout des doigts, il frôle sa peau avant d’emprisonner un globe offert, faisant gémir Kris. Elle ne proteste plus…


Abandonnée dans les bras musclés, elle bascule la tête en arrière, sur l’épaule de Mario. Cette fois, les mains de mon beau-père courent sur l’avant de la robe qui cède, découvrant totalement le corps frémissant de mon épouse. Je dois être aussi à l’étroit dans mon pantalon que Mario ! Lui profite de cet abandon féminin pour glisser une main jusque sur l’entrejambe de Kris tout en pétrissant un sein puis l’autre. Son bras s’agite, il est en train de caresser mon épouse qui ne peut retenir un cri lorsqu’elle jouit sous les doigts virils, tétanisée entre ses bras.


Elle reprend lentement ses esprits, Mario la soutenant toujours. Mon beau-père la fait pivoter vers lui, cherche ses lèvres qu’elle lui abandonne en un long baiser tout en caressant encore son dos, ses reins, ses fesses. Kris ne reste pas inactive, de ma cachette je la vois poser une main sur la bosse indécente qui orne encore le jogging de son partenaire.



Ils échangent un nouveau baiser puis Kris se laisse glisser entre les bras de Mario pour se retrouver à genoux, le visage à hauteur du mandrin énorme. Des deux mains elle tire lentement sur le tissu. C’est en effet un sexe monstrueux qui se dresse sous ses yeux. Tendu, raide comme un bâton, je vois de loin un gland plus gros qu’une prune surmonter une tige de chair épaisse, d’une longueur incroyable. Mon épouse reste béate, comme hypnotisée par ce pieu de chair hors normes. Elle tend la main, se saisit du mandrin frémissant et commence de lents va-et-vient, coulissant du gland jusque aux bourses velues. Cette fois, c’est Mario qui laisse échapper un long soupir, tendant le ventre en avant. Kris lève son visage vers son beau-père tout en continuant à flatter le pieu fièrement dressé.



Kris abaisse une nouvelle fois son visage, semble admirer le sexe dont sa main ne parvient pas à faire le tour puis se penche lentement. Ses lèvres frôlent le gland luisant, s’ourlent autour puis embouchent l’olisbos vivant qui s’enfonce doucement dans sa gorge. Quel spectacle infiniment érotique ! Mon épouse, le visage déformé par le manche palpitant qu’elle avale lentement, recrache, pour mieux l’engloutir encore… Je bande presque autant que Mario qui se laisse dévorer en gémissant de plus en plus fort !


Kris pompe le dard viril comme si sa vie en dépendait ! Elle a les mains sur les fesses de son beau-père, comme pour l’empêcher de lui échapper… Brusquement, il pousse un véritable cri, se tend comme un arc et explose longuement dans la gorge de mon amour. Kris a un hoquet, je la vois déglutir plusieurs fois, avalant les giclées de semence qui inondent son palais et sa gorge. Elle continue sa caresse un instant, laissant la tige énorme perdre un peu de sa virilité puis l’abandonne pour la caresser doucement du bout des doigts. Mario reprend ses esprits, Kris se relève. Ils échangent encore un baiser.



Je me suis éclipsé discrètement, refaisant le tour de la maison. J’ai ouvert bruyamment la porte d’entrée pour retrouver avec un grand sourire ma chère épouse et mon viril beau-père occupés à ranger le cellier sagement. Au fond de moi, je commençais déjà à échafauder des plans pour assister tout aussi discrètement à la suite des aventures coupables de mon amour…