Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15275Fiche technique9216 caractères9216
Temps de lecture estimé : 6 mn
12/11/12
Résumé:  Un rendez-vous dans un salon de thé qui se prolonge dans une chambre d'hôtel.
Critères:  fh hotel voir hmast fellation cunnilingu pénétratio tutu -amourpass
Auteur : SensationsX            Envoi mini-message
Au salon de thé

Lui


J’avais envie d’un petit coucou coquin… d’imaginer ce moment dans ce salon de thé. Nous savons pourquoi nous sommes là… attablés en train de boire un thé qui ne va pas rester chaud longtemps, la chaleur se transmettant très vite à certaines parties de notre corps…


Tu es arrivée vêtue en jupe… assez courte pour la saison… elle est noire et légèrement fendue… mais ne me laisse pas voir si tu portes des bas ou des collants et, si ce sont des bas, s’ils sont autofixants ou pas… Qu’importe j’espère le savoir bientôt…


Tes jambes galbées de gris foncé, opaques, se terminent par des escarpins noirs à brides à petit talon. En haut, tu as opté pour un chemisier blanc très chic. Une fine ceinture rouge complète ta jolie taille de guêpe et dans tes cheveux un serre-tête assorti permet de mettre un peu de couleur dans ce monde de brutes…




Elle


Tu te lèves, on s’embrasse, je m’assieds, tu poses ton regard sur mes jambes que je croise et décroise, tu poses ta main sur la mienne, on se regarde dans les yeux d’un regard malicieux, je prends ta main et la pose sur une de mes jambes, tu souris, tu la caresses légèrement puis nos bouches se rapprochent, le baiser en premier lieu léger devient plus appuyé, nos respirations s’accélèrent, je fais des efforts pour ne pas gémir, tu te retires et tu me souffles à l’oreille d’aller aux toilettes retirer ma culotte… Je reviens et je mets discrètement ma culotte dans une de tes poches de ta veste. Tu te lèves et vas aux toilettes… Lorsque tu te rassois près de moi, nous nous embrassons à nouveau, tu glisses dans ma main ma culotte souillée, et tu me demandes si j’ai envie de la remettre, je ne me fais pas prier, je l’avais tellement fantasmé ce fantasme…




Lui


Je t’imagine en train de remettre cette culotte que j’ai portée à ma bouche et humée quelques minutes auparavant. J’avais été troublé par ces odeurs féminines qui ne m’étaient pas totalement familières… et cela m’avait terriblement excité. J’avais sorti ma queue et en effectuant de légers va-et-vient, j’avais inondé de ma semence l’entrecuisse de cette culotte de dentelles noires… De noires dentelles, elle était passée à noire avec un joli coulis blanc… Tout ceci m’avait mis dans un sacré état et je crois que ta surprise allait être de taille quand tu te sentirais happée par ce jus blanchâtre et collant qui avait souillé une partie de ton intimité…

Je profite de ton absence pour laisser un mot que tu trouverais sur ta table lors de ton retour des toilettes… Je paye l’addition et je m’éclipse…


À ton retour tu ouvres le petit mot plié en quatre sur la table…


 »J’ai très envie de te bouffer la chatte. Je l’ai sentie si humide en humant ton entrecuisse… Rendez-vous au 25 rue Stephen P. Ch. 223 »




Elle


Je prends le chemin de la rue Stephen, j’ai une envie incroyable de porter ma main dans ma culotte, ta semence m’indispose et me mets en même temps dans un grand état d’excitation, c’est tiède, ça me colle. Je frappe à ta porte, tu m’ouvres, je n’ai pas le temps de déposer mon sac à main que tu me plaques contre le mur, ta bouche se pose sur la mienne, nos langues se cherchent, se caressent, tendrement, fougueusement.


Tes mains se posent sur mes seins qui pointent sous mon chemisier, ta main descend et va sur mes cuisses en remontant tout doucement à la lisière de mes bas, puis tu te diriges, tu remontes encore plus haut, tu caresses mon sexe à travers ma culotte souillée de ton jus.


Je porte ma main sur ton sexe, je sens ta bite toute dure sous ton pantalon, je caresse cette protubérance. Puis mon excitation poussée à l’extrême, je retire ma bouche de la tienne, passe ma langue sur ton cou, je déboutonne ta chemise, je m’agenouille, ma langue et mes mains vont de ton torse jusqu’à ton ventre.


Arrivée au niveau de la ceinture, je dégrafe ton pantalon, j’y glisse main dans ton boxer, tout en faisant tournoyer ma langue dans ton bas-ventre, je sors ta queue « hummmm, elle a l’air d’être à mon goût », je la regarde, je te regarde avec un sourire, je la caresse tout en faisant tournoyer ma langue sur ton bas-ventre. Je sens ton excitation mais j’ai envie de te faire languir.


Je fais des petits bisous sur ton sexe déjà bien raide, je fais glisser mes lèvres humides sur ta verge, je passe si appétissant sur mon visage, sur mes lèvres, je la regarde encore avec des yeux gourmands. Je lèche légèrement ton gland, puis je descends le long de la hampe jusqu’à tes couilles. Je plaque ton sexe contre ton ventre, pendant que je lèche, suce, gobe une à une tes couilles, je te demande d’un air coquin si ça t’excite, tu me réponds que oui, je te demande si tu veux que je prenne les deux couilles dans ma bouche, et tu me dis que oui, d’une main je les rapproche l’une de l’autre et je les enfourne dans ma bouche, je joue avec pendant quelques instants avec ma langue. Pensant que je devais arrêter le supplice, je lèche à nouveau ta hampe jusqu’à aller sur ton gland tout humide, là ma langue tourne délicieusement autour en insistant sur cet endroit très sensible qu’est le frein, je tète ton gland, je le savoure.


Puis je repasse ma langue sur le reste de ton bâton pour bien l’humidifier jusqu’à tes couilles. Quand le tout est bien lubrifié, d’une main mes doigts effleurent légèrement tes couilles, de l’autre je te branle, tu soupires. Tu passes tes mains dans mes cheveux. D’un coup j’aspire tout ton sexe avidement dans ma bouche, je fais des va-et-vient avec mes lèvres que je serre davantage lorsque je passe au niveau de ton frein, en anneau sur ta verge, mon index et mon pouce suivent le mouvement. Je l’avale à chaque fois davantage, tu pousses ma tête, tu voudrais que je tienne plus ainsi mais ma tactique est toujours de faire languir, loooool !


Je suis toujours accroupie, je laisse ma main caresser mon sexe à travers ma culotte où doivent se mêler ma mouille avec ton sperme.


Tu sens que tu vas éjaculer, tu veux retarder ce moment, alors tu décides de t’occuper de moi…




Lui


Je retirai ta tête de ma queue… ce n’était pas que je n’appréciais pas, bien au contraire… il était plus que temps que je m’arrête car j’aurais lâché ma semence en poussant un gros râle bien satisfait.


Depuis que tu es entrée dans cette chambre, ma queue est redevenue toute raide. J’ai envie de toi, de te lécher de te dévorer, de te pénétrer. La façon, extrêmement salope que tu as eue de t’occuper de ma queue me fait bander plus que jamais.


Je te fais te relever et c’est mon tour de m’agenouiller. J’ai envie de retirer cette culotte de dentelles noires qui m’a bien excité… J’imagine comment tu t’es sentie honteuse et coupable mais je crois que cela t’excite aussi terriblement…


Je promène mes mains sur tes cuisses galbées de gris et j’approche ma tête de ton antre. Je te sens frémir à mesure que ma bouche se rapproche du morceau de tissu souillé de nos humeurs respectives…


Avec mes dents je fais soigneusement descendre l’étoffe de soie noire teintée de nos blancs respectifs… Je savais que tu viendrais habillée de façon si sexy… tu sais ce qui me plaît… décidément…


Je laisse pour le moment ta culotte en bas de tes jambes… j’aime cette façon de te laisser un peu prisonnière de ton plein gré…


Je te fais écarter les cuisses pour pouvoir goûter ton antre et laisser ma langue aller goûter tes saveurs intimes… L’exercice n’est pas facile car tu es toujours prisonnière de ta culotte… soigneusement laissée en bas…


Je caresse fougueusement tes jambes gainées de gris. L’opaque de celles-ci me rend fou… Je t’entends gémir de plus en plus… je sens que tu aimerais être fouillée plus en profondeur… mais moi justement je voudrais te faire languir comme tu m’as fait languir… J’ai envie de te sentir mouiller, perler, t’humidifier… Je veux avoir affaire à une chienne en chaleur qui a envie de se faire démonter…


Je lèche et j’aspire ton petit clito. Je sens le bout tout dur et tout rouge… et je commence à sentir dégouliner le long de tes bas la preuve de tes humeurs intimes exacerbées par les coups de langue que je te prodigue…


Je sens que tu as envie d’une bonne queue afin de combler cette envie… Je me relève et j’approche ma queue de ta chatte qui visiblement semble très réceptive à cette prise d’initiative…


Je laisse ma queue à l’orée de ta chatte et je caresse l’extérieur… en appuyant mon sexe tout dur contre les parois de ta chatte…