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Un vendredi soir tranquille

C’est un vendredi soir ordinaire en ce mois de février. Isa, ma femme est partie en conseil d’administration pour son boulot. Elle va rentrer vers deux heures du matin. Ce soir, je n’ai pas envie de sortir, le temps ne s’y prête pas. Alors, après avoir regardé une série américaine à la télé, vers onze heures et demie, je vais prendre une douche pour penser à autre chose.

La douche a dû éveiller mes sens, certaines idées me traversent la tête… J’ai le temps jusqu’à deux heures, de plus, à son retour ma femme pensera encore à sa réunion et pas au sexe, donc autant me faire un petit plaisir solitaire.

Chaîne hi-fi en marche, seul et nu, allongé sur le lit, je pense à certaines images érotiques. Mon sexe se dresse doucement. Une envie me trotte dans la tête. Mon côté fétichiste m’appelle. Je me dirige dans le dressing de madame, contemple sa collection de bas et collants. Elle en possède trois tiroirs, il y le choix ! Je les connais bien, c’est moi qui lui offre.

Je n’ai pas envie d’en enfiler un ce soir, pourtant cela m’arrive de temps en temps. Mon regard se porte sur une paire de mi-bas de couleur chair, de haute qualité, très fins, très doux, avec un motif sur la cheville. Je passe ma main à l’intérieur, la sensation de douceur finit de m’exciter. Je passe ce gant improvisé sur mon corps, me caresse avec.

Finalement, je retourne sur le lit et enfile ce mi-bas sur mon sexe dressé. Le large élastique, très doux également, vient se bloquer derrière les testicules. L’impression de douceur, voir mon sexe au travers du tissu fin m’excite au plus haut point. Les va-et-vient de ma main accélèrent, je ne pense à rien d’autre, je ressens le bien que je me fais…

Mais soudain…

Mais soudain la porte de la chambre s’ouvre, et Isa apparaît !

• — Eh bien, on ne se gêne pas ici quand je ne suis pas là ! dit-elle, d’un ton surpris et amusé.

Je ne me sens pas à l’aise, l’excitation diminue. Isa s’approche de moi pour me rassurer. Elle s’est faite belle pour cette réunion qui a fini plus tôt !

• — Tu comptais finir sans moi et dormir tranquillement après ? Et c’est à moi ce que tu t’es enfilé ! Petit vicieux, tu l’aurais nettoyé au moins, après ?
• — Désolé ma puce, c’était pour passer le temps, tu m’aides à finir ? lui dis-je un peu embarrassé.
• — Je ne sais pas, j’ai pas la tête à ça… t’as commencé tout seul que je sache.

À ce moment, Isa s’approche doucement et saisit ma queue un peu ramollie. Ses caresses me remettent en action rapidement. D’une main ma femme me masturbe, de l’autre elle fait glisser sa jupe noire jusqu’au sol. Elle porte de magnifiques bas noirs avec une jarretière imitant des fleurs dorées. Elle est chaussée de beaux escarpins à talons. Sa lingerie est rose, avec une bordure noire en dentelle.

Ses va-et-vient accélèrent, finalement, elle se prête au jeu, heureusement pour moi. Sa tenue me fait de l’effet et l’éjaculation arrive sans prévenir, plusieurs longues giclées remplissent de sperme le mi-bas.

• — Déjà ! Tu l’as sali, t’as eu ton orgasme trop vite et tu crois que tu vas t’en tirer comme ça, je veux ma part ! Je ne vais pas me coucher frustrée quand même ? affirme-t-elle
• — Non bien sûr, mais… je ne t’attendais pas si tôt.

En fait chez nous les hommes, après l’éjaculation notre libido est plate, et le discours peu cohérent.

• — Tu vas nettoyer ce que tu as sali pour commencer, m’annonce-t-elle.

Sans s’occuper de mes intentions, elle retire le mi-bas de ma queue à peine ramollie pour me le fourrer dans la bouche. Isa sait bien me surprendre. Après un léger dégoût à l’idée de ce que j’ai en bouche, ma salive se mélange au sperme et le mi-bas entre à moitié dans ma bouche. Je déglutis plusieurs fois, avalant ma semence.

• — Très bien, maintenant que je ne vais plus t’entendre, on va jouer ensemble ! dit-elle, de façon amusée.

Isa replie mes jambes, ouvre le tiroir de la table de nuit pour en sortir le tube de lubrifiant et le plug. Après avoir déposé une goutte de lubrifiant sur le plug, elle le pointe à l’entrée de mon anus. J’ai l’habitude des godes ou du plug, en fait, ils font partie de nos jeux intimes, plus souvent sur moi que sur elle. L’anus est une zone très érogène chez moi, elle aime bien me voir excité et s’occuper de ce côté.

Elle force à peine pour le faire entrer, je sens mon anus se dilater, j’adore cette sensation, après quelques allers et retours, elle rentre bien le plug à fond pour qu’il ne bouge plus. Ma queue est déjà de nouveau bandée au maximum.

C’est à ce moment qu’Isa en profite pour retirer le mi-bas de ma bouche pour m’embrasser. Notre baiser langoureux ne dure qu’un instant.

• — Maintenant, j’ai besoin de ta langue pour finir de m’exciter, annonce-t-elle.

Isa termine rapidement de se déshabiller et s’allonge sur le dos à mes côtés. Je me redresse, ma langue parcourt sa poitrine généreuse, agace ses tétons, descend le long du ventre et vient se poser directement sur son clitoris. L’effet est immédiat, sa respiration accélère. Ma langue fait des allers et retours du clitoris à l’entrée du vagin, elle mouille déjà beaucoup, la séance d’avant a dû l’exciter. Je tente quelques passages sur son anus, puis remonte sur le clitoris. De temps en temps, je caresse ses jambes, si douces avec ces bas. J’ôte à regret ses escarpins.

Au bout de quelques minutes de ce traitement, nous changeons de position. C’est en missionnaire que l’on se place, mon sexe frotte son clitoris, puis la pénètre… Divine sensation de chaleur et d’humidité, on échange un long baiser amoureux. Une de ses mains passe entre nous, elle se caresse le clitoris pendant nos rapports. Une de mes mains passe derrière elle, mon majeur pénètre maintenant son anus. De même, elle fait entrer et sortir le plug de mon petit cul bien dilaté.

Isa est la première à crier, un orgasme fort et violent la parcourt. Je sens son corps et son sexe se crisper sur moi. Peu de temps après, c’est à mon tour de jouir, très fortement. Elle retire le plug lors d’une de mes dernières saccades. Calmée, elle enlève ses bas. Nous nous embrassons tendrement avant de nous blottir l’un contre l’autre pour s’endormir…

• — Ce soir, ça va être ta fête, mon chéri, le dodo ce sera plus tard, je ne suis pas encore calmée ! me lance-t-elle rapidement en sautant hors du lit. Je vais faire de toi ma petite pupute de la soirée, laisse-toi faire !

À ces mots, je comprends qu’il vaut mieux lui obéir. Elle se saisit de ses bas et décide de me les enfiler. Elle prend son temps, pour faire glisser le tissu sur mes jambes épilées. Elle se saisit de ses escarpins et me les enfile également. Elle passe sa main par derrière, entre mes jambes, pour me caresser les testicules et la verge qui reprend petit à petit de la vigueur.

• — Attends, ce n’est pas fini !

Elle attrape quelques échantillons gratuits de maquillage et me fait asseoir devant sa coiffeuse. Nue, elle me maquille d’abord les yeux, puis les lèvres : c’est doux et agréable… Je me sens ridicule, mais ça m’excite. Je défile devant elle ainsi maquillé et perché sur ses talons hauts.

De retour au pied du lit, elle me fait mettre à quatre pattes dessus. Je l’entends fouiller dans le tiroir de la table de nuit. Une fois de plus, je sens un liquide froid se déposer sur mon anus, bien rapidement un gode se présente à l’entrée. Il n’a aucun mal à entrer vu la séance d’avant. Le gode est en fait un gode-ceinture, elle commence ses va-et-vient en moi. Elle me saisit par les hanches, dans cette position je me sens pris et soumis. Les va-et-vient accélèrent, lorsqu’elle ressort, mon anus reste dilaté, quelle sensation plaisante ! La pénétration dure un bon moment.

• — Assez joué ! À toi de me satisfaire, lance-t-elle en se retirant.

Elle enlève le gode-ceinture et se pose sur le lit dans la même position que moi.

• — Tu viens me lécher par derrière ? dit-elle de façon amoureuse.

Comment lui résister après une telle sodomie ? Je m’exécute. Ma langue descend directement sur son sexe trempé. Je fais pénétrer ma langue au plus profond de son vagin, ressors, passe sur les lèvres. Mon sexe vient remplacer ma bouche. Je la pénètre énergiquement. De longs va-et-vient. Elle ne tarde pas à jouir en donnant de grands coups de bassin vers l’arrière pour que je la pénètre au plus profond. Son orgasme passé, elle me demande de sortir, me laissant avec une bonne érection.

• — Je n’ai pas joui moi ! Tu ne vas pas me laisser comme ça ?
• — Et pourquoi pas, t’es très bien ainsi !

Sur ces mots, Isa s’allonge sur le dos pour souffler un peu. Je me pose à genoux au-dessus d’elle, une jambe de chaque côté de son corps sur le lit. Sa main saisit mon sexe et commence à le branler. De doux mouvements, elle passe rapidement à un rythme plus rapide. La réaction ne se fait pas attendre, de longs jets de sperme se répandent sur ses seins.

• — Tu peux me nettoyer ? dit-elle.

Je m’apprête à lui donner un mouchoir, lorsqu’elle me dit :

• — Non, pas comme ça ! Avec la langue.

Je m’exécute avec une certaine appréhension. Ma langue vient récupérer le sperme encore tiède qui a coulé sur ses seins. Au passage, je lèche et mordille ses tétons. J’avale tout devant elle. Une fois sa poitrine nettoyée, je retire bas et chaussures pour me coucher à ses côtés. Nous nous enlaçons une dernière fois et nous endormons rapidement après cette séance.

Un vendredi soir tranquille.