n° 15280 | Fiche technique | 20475 caractères | 20475Temps de lecture estimé : 12 mn | 16/11/12 |
Résumé: Marc vole la proie de Jean. | ||||
Critères: fh inconnu uniforme forêt travail voir nudisme intermast 69 pénétratio humour québec -occasion | ||||
Auteur : MarkTen Envoi mini-message |
Je suis patrouilleur-ambulancier, j’aime cette fonction, elle permet comme policier d’être impliqué dans presque tous les événements majeurs du secteur puisque nous agissons comme équipe de soutien sur les appels à risques. Ambulancier, j’interviens sur les scènes d’accident et personnes malades ou blessées sur le territoire. Mon véhicule est un camion modifié en ambulance aux couleurs du service de police. Derrière le siège du conducteur se trouve la civière, tandis qu’un banc coussiné longe la paroi sur toute sa longueur du côté passager.
Jean, mon compagnon, aime le secteur car il lui permet d’assouvir à la fois son côté voyeur et son côté flirtage. Nous patrouillons principalement la montagne, ce qui inclut le parc Mont-Royal, l’Université de Montréal avec sa tour des Vierges, le cimetière, l’oratoire St-Joseph ainsi que la fameuse rue Ridgewood. Cette artère longue d’environ trois kilomètres monte en lacet autour de plusieurs édifices à appartements et se termine en cul-de-sac.
J’ai vite constaté que, peu importe le lieu, le flirt est toujours à l’honneur. Dès que la noirceur s’installe, Jean fait le tour de tous les endroits d’où l’on peut voir à l’intérieur des appartements, il est équipé de lunettes d’approche, surtout pour la tour des Vierges. La nuit, nous écumons tous les stationnements afin de surprendre les couples en action dans un véhicule.
Je dois dire que malgré qu’en quelques occasions le spectacle était intéressant, la plupart du temps ça ne valait pas le coup. Par contre, deux fois nous sommes tombés sur de véritables viols.
Jean flirte automatiquement toute femme entre 18 et 30 ans d’apparence, disons, raisonnable. Certaines acceptent volontiers de venir discuter à l’intérieur de l’ambulance. Trop souvent, ce ne sont pas les plus jolies qui acceptent. Les premières fois, j’ai regardé Jean à l’ouvrage sur la civière, mais rapidement c’est devenu lassant.
Jean est du genre vide-couilles, c’est du rapide. Un baiser ou deux, la blouse est ouverte, le soutien-gorge (qui retombe toujours) est relevé, la culotte est tirée vers le bas et voilà ti-Jean qui bat des fesses. Au final rien à voir et une fille qui regarde le plafond. J’en suis à quitter le véhicule, faire une promenade tandis que le copain ajoute un X sur son tableau de chasse.
Puis arrive une nuit où tout est différent. Il est environ minuit. De loin, Jean voit la fille à l’arrêt du bus. Aussitôt, il me dit de stopper à côté d’elle. Très belle jeune fille, environ 20 ans, cheveux longs, noirs, descendant jusqu’à ses reins, yeux très foncés presque noirs, elle porte une robe prune à mi-cuisse, une poitrine opulente. Elle est du côté de Jean qui entame une discussion.
Je ne réponds pas, j’observe la fille qui me fascine, elle est gracieuse, voix douce, elle se tient bien droite, elle est de celles qui font tourner toutes les têtes. Finalement, elle accepte le transport, Jean va lui ouvrir la portière latérale et monte avec elle à l’arrière. Aussitôt je me dirige vers l’intersection qu’elle nous a donnée. Je ne sais pas pourquoi mais je ne veux pas voir cette jeune fille devenir un X sur le tableau de Jean.
En chemin, Jean lui dit que pour nous c’est l’heure de notre pause, qu’elle peut prendre un café avec nous, beau mensonge, nous n’avons pas de pause. Devant l’insistance de Jean, elle accepte. Je m’arrête face à un restaurant et attends.
Je vois qu’il est furieux, ce qui me fait sourire. Il descend chercher les cafés.
Je me retourne, je suis frappé par sa posture, bien droite, genoux collés, sa position assise dévoile de très belles cuisses mais elle a un je-ne-sais-quoi qui la rend différente de la majorité des femmes.
Jean rejoint Marika et propose de lui montrer la ville du haut de la montagne à partir d’un endroit magnifique. Je connais très bien l’endroit, c’est désert et n’est accessible que par les véhicules de service. Par contre, il est vrai que la vue est très belle, surtout la nuit. Elle se dit curieuse de voir l’endroit. Un peu déçu, je roule en direction du point d’observation. Une fois sur place, je me cale sur mon siège, dégustant le café. J’entends Jean baratiner la petite, celle-ci prend ma présence comme excuse pour le repousser. Il se fait plus entreprenant, elle dit :
Douce musique à mes oreilles.
Jean perd patience et couche de force Marika sur le banc. Celle-ci crie :
Je me lève, passe à l’arrière et fais tomber celui-ci par terre entre le banc et la civière. D’une voix autoritaire, je l’engueule.
Je viens de voir le véhicule du sergent passer en contrebas. Je saute sur mon siège, l’accélérateur au plancher, je démarre, phares éteints. À grande vitesse, je prends des sentiers afin d’éviter de croiser l’officier, mes deux passagers sont ballottés en tous sens. Dès que je suis certain de ne pas être vu, je stoppe, descends, contourne le véhicule, ouvre la portière et fais descendre Marika puis saisis une couverture sur la civière. Avant de refermer, j’ordonne à Jean de demeurer dans le véhicule s’il veut éviter une accusation.
J’entraîne Marika dans les sous-bois, la tenant par la main, celle-ci suit sans dire un mot. Lorsque je suis hors de vue de Jean, je m’arrête, enlace Marika et l’embrasse, elle répond immédiatement en insérant sa langue dans ma bouche. Je descends la fermeture de la robe et fais tomber celle-ci au sol. Je cesse le baiser, ramasse le vêtement, reprends la marche, tirant la fille par le bras. Après une quinzaine de pas, j’embrasse à nouveau Marika en lui enlevant son soutien-gorge. Me détachant d’elle, je lui enlève sa culotte, elle me regarde, se laisse faire. Encore une fois, je l’entraîne plus loin. Elle demande :
Nous arrivons à une clôture en fer forgé, en contrebas, la rue, où passent de temps à autre des véhicules. Je lui dis de savourer le moment d’être là, nue, sans que les passants puissent la voir. Elle saisit les barreaux, regarde autour d’elle, constate qu’elle voit partout et est invisible de tous. Je dépose les vêtements sur l’herbe et étends la couverture. J’enlève mon ceinturon, m’assois et examine Marika.
Son corps est d’une beauté incroyable, bien proportionné, longues jambes, fesses rebondies, seins ronds et fermes qui parfois se cachent derrière ses longs cheveux. Elle me fait face, me regarde, me donne le temps de la contempler, son teint foncé est uniforme sur tout son corps, les mamelons brun clair ont leurs pointes érigées, la toison noire est coupée ras. Elle s’avance vers moi, gracieuse dans sa démarche, enlève ses souliers puis s’installe à côté de moi.
Surprise, elle me fixe puis elle me donne un baiser fougueux, elle me fouille la bouche avec avidité. Elle me couche sur le dos, attaque mes vêtements, la chemise est ouverte. Ses mains caressent mon torse, sa langue vient titiller mes tétons. Je la touche, palpe son corps, elle enlève le reste des vêtements et, finalement, s’étend sur moi.
Elle se lève à quatre pattes, avance puis place un sein sur ma bouche, je l’ouvre, elle recule.
Elle repose son sein sur ma bouche, seulement le mamelon touche mes lèvres, doucement elle le promène de gauche à droite, puis elle le frotte partout sur mon visage, elle change de sein, reprend la manœuvre. Ses cheveux, très longs, m’enveloppent comme si un rideau était descendu de chaque côté de ma tête. Je caresse ses cuisses, ses fesses, elle semble apprécier. Elle baisse le bassin, appuie son pubis sur mon ventre, elle frotte sa vulve sur moi, lentement elle monte le long de mon torse. L’air frais me fait ressentir la trace de cyprine qu’elle laisse sur mon corps.
Je crois qu’elle va venir poser son coquillage sur ma bouche, elle arrive à la hauteur des épaules, j’attends qu’elle prenne position. D’un mouvement rapide, elle se place tête-bêche. Aussitôt je débute mon exploration ; de son côté, elle s’active sur ma tige. Je plonge la langue, récolte le nectar qui s’écoule, trouve son bourgeon, le titille. La fellation est sublime, elle fait tout pour me faire gicler, je sais que ce sera dans les prochaines secondes, je l’avise, elle relève le bassin, s’éloignant ainsi de ma bouche. Elle me masturbe à une vitesse folle gardant mon gland enserré par ses lèvres.
Je ressens une chaleur partir de mes couilles, monter le long de la hampe, j’éjacule dans sa bouche, elle pompe sans arrêt. Elle se replace sur mes lèvres, quelques coups de langue sur son clitoris lui donnent un orgasme. Elle continue de sucer ma tige qui a gardé sa raideur, de mon côté je lape sa cyprine, retourne exciter son bourgeon de chair, une seconde fois la volupté l’emporte.
Elle vient s’empaler face à moi, je saisis ses magnifiques seins.
Les yeux embrumés, elle ondule doucement, maintient son plaisir. Je roule la pointe de ses mamelons entre mes doigts. De cette façon, durant plusieurs minutes, elle obtient quelques autres orgasmes. Fatiguée, elle se couche sur moi, je saisis le rebord de la couverture et nous enveloppe.
Elle sourit, me donne des bisous sur le cou. Je songe que je n’ai pas joui mais je ne peux rester plus longtemps. Je crains que Jean fasse encore une connerie, il ne va pas me pardonner facilement de lui avoir volé cette fille.
Rapidement habillés, nous retournons presque au pas de course à l’ambulance, Jean s’est allongé sur la civière en attendant. Je lui dis de rester là, fais monter Marika à l’avant et démarre vers le poste. Jean demande ce qui se passe, je réponds qu’il va terminer la nuit avec un autre partenaire. Je saisis le micro et avise le répartiteur que je suis hors service au poste. Une fois stationné, je prends mes effets personnels et entraîne Marika à l’intérieur. En passant devant le bureau du sergent, je l’avise que je quitte pour une urgence, tenant toujours Marika par la main, j’entre au vestiaire, je commence à me changer.
Lorsque nous sortons du vestiaire, plusieurs policiers et policières nous observent, le sergent m’interpelle.
Je n’ai pas l’intention de répondre mais Marika s’arrête, regarde chaque personne présente, pointant Jean, elle s’adresse au sergent.
Tandis que tout le monde reste bouche bée, elle marche lentement vers la sortie, me tenant la main. De plus, elle accentue son déhanchement pour narguer les regards accrochés à son postérieur.
Rendue à l’extérieur, elle éclate dans un grand rire.
En direction de chez elle, Marika mentionne qu’elle a adoré être nue dehors, quelle veut recommencer. Je réponds que ce ne serait pas prudent de retourner au même endroit. Pensive depuis quelques secondes, elle se met à sourire.
Je connais l’endroit, elle aura juste à m’indiquer le chemin sur les derniers kilomètres. J’ai un sourire à l’idée de la voir encore se balader nue dans la nature, moi aussi je devrai être nu. Elle veut que je prenne les routes secondaires ; « pas d’autoroute », elle a dit. Dès que nous sommes sortis de la ville, elle me fait arrêter sur un parking sombre, elle descend, se déshabille complètement, lance ses vêtements sur le siège arrière, puis reprend place à côté de moi.
Je prends un t-shirt dans mon sac et le lui donne. Tandis qu’elle place le vêtement sous elle, je lui caresse un sein. Elle vient me donner un long baiser, mes mains tourbillonnent sur son corps. Elle saisit mes avant-bras.
Je démarre, place une main sur sa chatte, un doigt sur son bourgeon, le caresse doucement. Elle appuie sa tête et ferme les yeux. La route est cahoteuse et pleine de fissures, ce seront les frissons dans quelques minutes. Depuis un ou deux kilomètres, elle gémit de temps à autre. À deux mains elle tient ouvertes ses grandes lèvres, exposant ainsi la totalité de son clitoris. Mon doigt est toujours actif, aidé par les mouvements du véhicule.
Ses plaintes sont plus fortes. Souvent, elle humidifie ses lèvres de la langue. Ses traits crispés démontrent qu’elle a un orgasme. Le souffle court, elle garde la position encore plusieurs minutes, laissant monter en elle une série de plaisirs avant d’atteindre la volupté totale. À ce moment, j’insère mon doigt dans sa grotte trempée. Un cri venant de la gorge s’échappe.
Aussitôt la voiture arrêtée, elle sort, m’appelant. J’ai à peine le temps de contourner le véhicule qu’elle saute sur ma ceinture, d’un coup sec fait descendre pantalon et slip. Elle tente de s’empaler debout, s’accrochant à mes épaules. Je la soulève, la pénètre, la dépose sur le rebord du coffre, je la rudoie à grands coups de bassin, elle en redemande, nos pubis s’entrechoquent avec force. Lorsqu’elle hurle comme une louve dans la nuit, j’explose, l’inondant de plusieurs jets. Nous sommes enlacés, savourant les derniers instants de ce bonheur sur cette route déserte.
Une voix se fait entendre.
Sursautant, je regarde derrière moi, deux policières nous observent, je me suis arrêté juste à l’entrée d’un petit chemin où étaient stationnées celles-ci. Dans notre empressement de copulation, nous n’avons pas remarqué le véhicule à dix mètres de nous. Je relève slip et pantalon tandis que Marika cache sa poitrine derrière ses cheveux.
Je sors mon permis de conduire, Marika fouille sur le siège afin de retrouver son sac, elle met le T-shirt. Une policière entraîne Marika plus loin tandis que la seconde me demande qui est la jeune fille avec moi. Je lui explique que je la connais depuis environ deux heures et que je ne connais que son prénom.
Après m’avoir intimé l’ordre de rester près de mon véhicule, elle va rejoindre sa partenaire qui discute avec Marika. Les trois filles discutent depuis plusieurs minutes, elles rient, se tournent de temps à autre vers moi. J’ai l’impression que Marika raconte tout, depuis notre rencontre jusqu’à ce que nous arrêtions ici, en face d’elles. Finalement, elles reviennent vers moi, affichant un sourire qui me met sur la défensive. Une agente s’adresse à moi.
Après un jour d’absence, je suis retourné au travail. À la fin du briefing, le sergent annonce qu’il doit nous faire part d’un message, aussitôt je baisse la tête, il lit à haute voix celui-ci :
« Nous tenons à féliciter l’agent Marc… qui a démontré une coopération sans faille afin de combler et satisfaire nos attentes ainsi que celles de mademoiselle Marika que vous connaissez.
Signé par deux policières de la S.Q. ».