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n° 15293Fiche technique26102 caractères26102
Temps de lecture estimé : 15 mn
23/11/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Julie et Antoine sont collègues. Ils partent en week-end professionnel à Tokyo et vont vivre des aventures érotiques inoubliables.
Critères:  fh fhh ffh asie inconnu collègues hotel boitenuit collection fellation cunnilingu pénétratio -totalsexe
Auteur : Chloé1984      Envoi mini-message
Voyage au Japon

Tokyo – octobre 2012




Chapitre 1



Antoine ferme les yeux. Étendu sur son lit dans la chambre, confortable bien qu’impersonnelle, du Tobu Hotel situé dans le quartier vivant du Shibuya à Tokyo, il repasse sa journée en tête.


Le vol s’est passé sans encombre. Cette année, pour assister à la conférence qui le mène de Bruxelles à la capitale du Japon, il est accompagné de sa collègue Julie.


Bien qu’il préfère les lianes blondes aux yeux clairs, sa collègue, brune aux yeux sombres, dégage quelque chose qui lui plait. Elle a un côté mystérieux intéressant.



Il aurait aimé visiter un peu le quartier en sa compagnie. Les néons, la musique, ces milliers de Tokyoïtes qui grouillent comme des fourmis, c’est grisant.


C’est donc seul qu’il quitte l’hôtel pour marcher là où ses pas le mènent, jusqu’à ce qu’attiré par une couleur ou une carte, il s’arrête pour déguster un plat de nouilles ou des sushis. Antoine sait qu’au Japon, les meilleurs restaurants sont cachés aux étages supérieurs des hautes tours qui bordent le boulevard Dongen Zoka, sans carte ni pignon.


Il jette son dévolu au hasard sur une tour grise et tape le n°6 dans l’ascenseur, on verra bien si son intuition est bonne. Une délicieuse Japonaise en kimono rouge l’attend au sortir de l’ascenseur. Elle l’invite à retirer ses chaussures et le fait patienter quelques instants dans une pièce attenante. Il peut entendre les rires qui s’échappent du restaurant.


Une seconde serveuse également vêtue d’un kimono de soie rouge, bien que plus court, lui demande dans un anglais approximatif de retirer son pantalon et sa chemise et d’enfiler un kimono blanc, qui sent bon la lavande.


Antoine est ensuite introduit dans une pièce sombre. Le restaurant est composé d’une dizaine de tables basses autour desquelles les clients sont assis en tailleur à même le sol autour d’un grill. Immédiatement Antoine constate qu’il n’y a pas une seule femme, hormis les nombreuses serveuses toutes plus sexy les unes que les autres, qui évoluent souriantes parmi les convives. Sous le kimono des serveuses Antoine voit qu’elles portent des porte-jarretelles, lingerie qu’il apprécie particulièrement.


Une serveuse installe Antoine à la table du fond, elle s’appelle Ginza, lui dit-elle, et ferme ensuite les stores, de sorte qu’Antoine ne voit pas les clients de la table voisine. Il est seul dans son box. Ginza revient et lorsqu’elle se penche, Antoine aperçoit la naissance de ses seins, chose très rare au Japon.


Il repense alors à Julie. Dans l’avion, elle s’était endormie sur son épaule, lui offrant la vue de son décolleté. Il avait tellement envie de saisir entre ses mains ses seins offerts qu’il en a bandé pendant presqu’une heure, il est à peu près sûr que Julie a remarqué son érection. Lorsqu’elle s’est couchée sur ses genoux, son visage était à quelques centimètres de son sexe tendu. À cet instant, il aurait aimé sortir sa queue et l’enfoncer dans sa bouche. Il est certain qu’elle aurait aimé, cette petite n’a pas froid aux yeux.


Kimmie, une serveuse plutôt grande et fine, entre dans l’espace clos où se trouve Antoine, avec un plat rempli de viande qu’elle dispose sur le grill. Ginza entre à son tour et lui noue une serviette autour du cou. Il sent sa poitrine dans son dos. Antoine boit le vin qui a été servi dans son verre et il se dit que oui son intuition a été bonne.


Ginza est voluptueuse, ses lèvres charnues sont recouvertes d’un gloss scintillant et donnent envie d’être croquées. Ses yeux maquillés sont rieurs, ses bras et ses mains sont fins. Ses longs cheveux noirs encadrent son joli visage. Ginza tend ses baguettes, un morceau de bœuf à Antoine qui le dévore à pleine dents.


Les deux Japonaises remplissent à intervalle régulier son verre, rapidement Antoine sent les premiers effets de l’alcool sur son corps.


Kimmie a dénoué son kimono, elle porte un ensemble en satin noir et de très sexy porte-jarretelles. Son nombril est serti d’un petit brillant. Son ventre est ferme et sa poitrine opulente. Antoine la regarde, excité. La tension sexuelle qui émane de cet espace clos est palpable. Les deux filles regardent avec gourmandise l’entrejambe d’Antoine. Son sexe est tendu comme jamais.


Ginza s’assied alors à côté de lui et dénoue son kimono. Elle enlève la délicate lingerie. Elle dispose un peu de wasabi sur ses tétons, saisit un morceau de viande et dit à Antoine après avoir enfoncé le mets dans sa bouche « viens assaisonner la viande ».


Antoine ne tient plus, sa bouche dévore les jolis seins de Ginza. Il constate que son sexe est totalement épilé, il ne peut s’empêcher d’y introduire un doigt.

Kimmie s’est également assise à côté d’Antoine, elle lui saisit le visage à deux mains et l’approche du sien. Antoine ferme les yeux et sent la petite langue s’introduire dans sa bouche. C’est très excitant.


Il sent la main de Ginza dénouer son kimono. Elle caresse son torse, son dos, ses cuisses. À plusieurs reprises la main passe à côté de son sexe tendu. Le frôlement de cette petite main si douce le rend fou. Il a très envie de sauter sur Ginza et de s’enfoncer dans sa petite chatte épilée.


Kimmie se lève alors, elle défait lentement le nœud qui retient sa petite culotte et lui offre la vue de son superbe sexe épilé. Antoine approche sa langue de celui-ci et constate que ses lèvres sont gonflées et humides. Il sent qu’au fur et à mesure que sa langue la caresse, il se détend et mouille de plus en plus.


Ginza a sorti le sexe d’Antoine de son caleçon. Droit, fier, gros, tendu. Ginza a enduit sa main d’une huile qui sent bon le citron et saisit sa bite entre ses fins doigts. Elle le caresse lentement puis un peu plus vite. Antoine voit ses seins bouger au rythme des impulsions. Il a très envie d’éjaculer. Les deux petites japonaises cochonnes, pour lui c’est trop ! La main lubrifiée lui fait un bien fou. Il va décharger…


Un son de cloche retentit alors. En moins de deux secondes, Ginza et Kimmie sont rhabillées et ont filé dans un grand éclat de rires. Un homme entre avec une théière et l’invite à remettre ses vêtements. Le diner est terminé, Antoine paie l’addition et sort du restaurant mi-amusé, mi-déçu.


Il a très envie de baiser ce soir, il hésite à rentrer à l’hôtel se branler un bon coup ou bien aller dans un bar à strip qui longe l’avenue.






Chapitre 2



Antoine rentre dans l’hôtel et là, surprise, il voit que sa collègue Julie est à la réception, un sac à la main, et semble en grande discussion avec un membre du personnel.



Julie se retourne et lui sourit.



Julie s’est changée, elle porte une robe rouge très décolletée et moulante. Sa taille fine est parfaitement mise en valeur, elle est très sexy.



Lorsque Antoine entre dans la pièce sombre et fumante, Julie est déjà là. Assise sur un tabouret, elle enduit son corps de savon, comme le veut la tradition des onsens.


Elle se lève alors et Antoine sent à nouveau l’excitation le gagner à la vue de son corps féminin, voluptueux. Il se la taperait volontiers. Il a très envie de lui sauter dessus pour lui arracher le petit bikini et toucher au passage ses seins. Il est à peu près sûr que si elle était trempée, il jouirait en moins d’une minute. Julie le fixe ou plutôt fixe son maillot tendu.



Antoine s’approche d’elle, il est à quelques centimètres de son visage. D’un geste sûr, il dénoue ses cheveux attachés. Il saisit sa taille et la plaque contre lui. Il l’embrasse alors fougueusement. Il sent son souffle s’accélérer. Sa bite de plus en plus tendue est collée à son bassin, s’il n’y avait pas le léger tissu qui les sépare, il s’enfoncerait en elle.


De sa main droite, il dégrafe le petit bikini et découvre ses seins dont les tétons durcis par l’excitation ne demandent qu’à être mordus. Il prend les deux seins entre ses mains et c’est exactement comme il se l’était imaginé, terriblement excitant. Il la trouve très belle, seins nus, cheveux détachés. Sa queue est raide comme jamais, il est évident que s’il ne se calme pas, il va éjaculer avant même de l’avoir pénétrée.



Julie prend Antoine par la main et l’installe à son tour sur le tabouret. Elle enduit son corps d’une mousse douce et légère. Elle enlève délicatement le maillot d’Antoine. Sa bite est en feu, tendue à l’extrême, rouge. Julie s’agenouille et passe délicatement ses mains enduites de savon sur la belle queue, durcie pour elle. Sa bouche s’approche du gland d’Antoine, qui a très envie de saisir sa tête à deux mains pour enfoncer sa queue au plus profond de la gorge de sa collègue. Julie le fixe intensément ; elle donne des petits coups de langue le long du sexe d’Antoine. Elle s’attarde quelques instants sur son gland et lui dit :



Antoine admire le spectacle qui s’offre à lui. Sa collègue à genoux avec de superbes seins rebondis, cheveux mouillés, bouche gourmande qui lui bouffe la queue et qui le supplie de la prendre comme une chienne. Il croit rêver.


Julie suce divinement bien. Antoine voit sa queue s’enfoncer dans la jolie bouche et sent la langue courir le long de son membre raide. Julie serre ses couilles d’une main experte et dit :



Antoine n’en peut plus, il va jouir pour cette petite salope qui va bouffer son sperme. Il ferme les yeux, prêt à éjaculer. Il ouvre les yeux et voit que Julie a glissé sa bite entre ses deux seins. Il voit le bout humide glisser entre les seins de sa collègue, ce qui le fait jouir immédiatement.


Il pousse un râle de plaisir au moment où le sperme sort pour se répandre sur la poitrine, les jets se succèdent et Julie enfonce la queue d’Antoine en train d’éjaculer dans sa bouche. Comme c’est bon ! Antoine aperçoit le liquide blanc à la commissure de ses lèvres et donne une dernière décharge. Quel soulagement.


Julie se relève, classe et élégante et s’introduit dans le bain chaud.



Antoine la rejoint, s’accoude au bord du bain et discute de la conférence de demain avec sa collègue, comme si rien ne s’était passé. Tout est tellement facile avec elle.






Chapitre 3



Lorsqu’il revient des toilettes, Antoine constate que sa Guiness est arrivée, mais qu’en revanche Julie n’est plus seule, deux Anglais grands, blonds et musclés discutent avec elle. Elle rigole à gorge déployée. Les deux hommes semblent séduits.



Il remarque que le plus grand des deux a posé sa main sur la cuisse de Julie, ce qui ne semble pas la déranger, au contraire. Il est évident que ces deux hommes la veulent. Antoine s’approche et interroge Julie du regard.



Antoine imagine Julie à quatre pattes avec ces deux brutes et son érection est violente.


Julie fixe Antoine du regard tout en suçant sa paille. Elle décroise les jambes et Antoine constate que, comme promis, elle ne porte pas de culotte.


Antoine est pris d’une soudaine envie de la posséder.





Chapitre 4



Julie a adoré prendre ce bain avec Antoine.



Elle qui adore les fellations a été servie, elle a encore le goût du sperme de son collègue en bouche.


Assise dans ce pub irlandais, elle hésite. Elle a encore quelques jours à passer avec Antoine, elle n’est pas pressée et ces deux Anglais lui plaisent bien. Deux hommes pour elle, quel pied !


Elle se souvient, un vendredi soir, elle était allée boire un verre avec quelques collègues dans le centre de Bruxelles. Ils avaient rencontré un groupe d’Anglais venus passer le week-end à Bruxelles.


Parmi eux, deux étaient particulièrement charmants et Julie n’avait pas pu s’empêcher de les allumer. Ils avaient fait la fermeture des bars. Julie se souvient comme tout s’était enchainé vite.



Julie avait suivi ces deux inconnus et à peine assise dans le divan, le brun Andrew l’avait embrassée. Luke lui avait retiré sa robe et ses bottes. Elle embrassait les deux hommes l’un après l’autre et avait commencé à toucher leur entrejambe. Tous les deux étaient excités. Elle avait défait leur ceinture et baissé leur pantalon. Elle s’était rapidement retrouvée avec deux queues en main. Luke avait alors retiré sa petite culotte et l’avait léchée pendant qu’elle caressait le sexe d’Andrew.


Elle se souvient à quel point il était excitant d’avoir deux hommes rien que pour elle. Elle avait alors eu terriblement envie d’être prise et avait supplié les deux hommes de la pénétrer. Luke l’avait prise pendant qu’Andrew lui remplissait la bouche.


Elle avait joui, pendant qu’Andrew, quelques instants plus tard, frottait son sexe contre son clitoris et que Luke éjaculait sur ses seins. Julie n’oubliera jamais cette expérience.





Chapitre 5



8 h 30, la conférence va commencer et Antoine aperçoit Julie en train de discuter avec une jolie brune de type italien devant le buffet du petit déjeuner. Il se demande si elle a passé la nuit seule ou pas.


Antoine cherche sa collègue du regard mais il ne la voit plus. Il ira lui poser la question à la pause de midi.


Le ventre d’Antoine gronde, il regarde sa montre, c’est la pause de 12 H 30.



18 H 45, la journée est terminée et Antoine n’a toujours pas vu Julie. Il lui envoie un sms : Tu fais quoi ce soir ?

Un karaoké à Shinjuku avec les Américains lui répond-elle.


Shinjuku est un peu le Pigalle tokyoïte. Tout brille, de nombreux bars à strip bordent les rues éclairées. Cabines, peep-show et autres magasins de DVD x sont légions, tout est démesuré.


Antoine descend du taxi et aperçoit la petite blonde de ce midi, Amy, elle lui fait signe de l’intérieur d’un restaurant. Antoine a faim, il entre. Amy est assise au bar d’un restaurant de sushi, face aux deux chefs qui pêchent devant ses yeux écarquillés les diverses crevettes qui composeront son prochain maki.


Amy lui souffle la fumée de sa cigarette au visage. C’est vrai, ici les restaurants sont encore fumeurs.


Antoine regarde son téléphone ; étrange que Julie ne lui ait pas proposé qu’ils se rejoignent. Il sent le regard d’Amy de plus en plus pressant. Elle lui propose un dernier verre dans sa chambre d’hôtel. Il accepte, il n’a jamais pu résister à une femme entreprenante.


Lorsque Amy monte les escaliers menant à sa chambre, Antoine voit ses grosses fesses rebondies parfaitement moulées dans son jeans.



Amy, à peine entrée dans la chambre, retire son pull et son jean.



Tout est voluptueux chez elle, ses seins sont gros mais fermes, ses fesses imposantes et son ventre rebondi. Ses joues sont rougies par l’excitation ou peut-être est-ce l’alcool.


Antoine a soudain très envie de la toucher partout, de saisir ce corps offert et de la prendre toute la nuit. Amy se couche sur le lit, nue, elle écarte les cuisses, humidifie son index et se caresse. Ses yeux bleus fixent Antoine. Sa chatte est ouverte et Antoine constate que le petit triangle de poils blonds qui recouvre ses lèvres est humide, Amy gémit et lui demande de s’approcher d’elle.


Pris d’une pulsion tout aussi soudaine que violente, Antoine sort son sexe de son pantalon sans même prendre la peine de retirer celui-ci ni d’enlever son t-shirt. Il la pénètre violemment. Amy mouille tellement qu’il a l’impression de ne pas la sentir. Il la retourne alors et lui demande de se mettre sur le ventre.


Elle se met à quatre pattes et Antoine voit son gros cul et l’envie est trop forte. Il s’introduit dans son anus, chaud et serré. Il voit les gros seins de l’Anglaise balloter.



Antoine donne des coups de reins de plus en plus violents, se retire vivement et éjacule sur son cul. De son doigt, il prélève un peu de sperme et le porte à la bouche de l’anglaise qui lèche avidement.






Chapitre 6



Cela fait maintenant plus de deux jours que Julie l’évite poliment et Antoine se demande s’il n’a pas dit quelques chose qui l’aurait vexée et si l’épisode de l’onsen était finalement bien réel.


Il frappe à la porte de la chambre de Julie, c’est leur dernière soirée à Tokyo et certes la petite Anglaise était chaude, les petites Japonaises cochonnes, mais il veut absolument sauter Julie, elle le rend fou.



Antoine entend des voix dans la salle de bain.



Il suppose que Julia est la jolie Italienne aperçue le premier jour. Il ne peut s’empêcher d’imaginer les deux femmes nues, qui s’embrassent et se caressent. Il trouve cela tellement sensuel, deux femmes ensemble, qu’il pourrait passer la nuit à regarder sans même toucher leurs corps.


Lorsqu’elles sortent enfin, Antoine est saisi, les deux femmes sont superbement sexy. Leurs yeux sont charbonneux, leurs lèvres rouges et toutes deux portent de petites robes noires moulantes.



La boite est petite mais des dizaines de jolies filles, Japonaises aux longs cils et joues rouges, en particulier, dansent sur la piste.


À l’entrée, des hommes en costume noir et oreillettes font la garde d’un air mauvais.



Julie papillonne, rigole. Un petit sourire jocondien ne quitte pas ses lèvres, comme si elle s’apprêtait à commettre une bêtise.

Un petit brun, crâne rasé, prénommé Bruno, discute avec Julie depuis dix minutes. Antoine commande un verre et l’apporte à sa collègue qui le remercie puis continue sa conversation.



Antoine est surpris, il ne l’avait pas vue arriver.



Abasourdi, Antoine est abasourdi, qu’est-ce que cette règle étrange ? Et quand bien même, techniquement, il ne l’a jamais possédée !


Julie se lève et vient dans sa direction. Elle le fixe et s’approche d’Antoine assis sur le tabouret au bar. Elle passe sa main dans ses cheveux, lui tire une mèche et passe sa main dans sa nuque, sous son t-shirt, il sent ses ongles sur sa peau, puis elle repart.


Antoine sent qu’elle a déposé quelque chose dans la poche de sa veste. À l’intérieur il découvre une petite culotte et un petit mot : En souvenir de ta belle queue que j’ai aimé sucer.


Antoine devient fou. Il voit Julie sortir de la boite.





Déroulement final



Je sais que tu me suis. Je t’ai vu me regarder toute la soirée. Je t’ai observé sentir la culotte que j’ai glissée dans ta veste et j’ai vu ton regard lorsque tu as lu mon mot.


Je sens ton odeur et ton excitation là, à quelques centimètres de moi. Je n’attends qu’une chose, que tu me plaques contre un mur, dans une rue sombre, ta main sur ma bouche et que tu me prennes. Mais, oseras-tu ?


Je sens ton souffle dans ma nuque, je sens ton haleine chaude dans mon cou. Tu es là, juste derrière moi, je ne me retourne pas. Je veux te rendre fou. Je plante mes yeux, sans doute trop maquillés, dans les tiens.


Prends-moi.


Tu me bloques contre le mur, c’est froid dans mon dos. Je suis à ta merci. Tu défais ta ceinture violemment, tes mains sur mon corps sont fermes, dures, mais douces à la fois. Tu arraches le haut de ma robe et libères mes seins, j’ai froid, je suis presque nue entre tes mains. Tu soulèves ma robe et tu t’agenouilles, je sens ta langue entre mes cuisses, elle est douce, si tu continues je vais jouir, c’est si bon ce que tu me fais.


Tu te relèves et tu sors ta queue, elle est toujours aussi belle, elle m’excite. Tu frottes ton gland humide contre mon clitoris, tu dois sentir à quel point tu m’excites, je suis toute mouillée. Je n’ai jamais été autant excitée. Je sens mon humidité couler entre mes cuisses, je suis à toi.


Si tu continues, Antoine, je vais jouir, je sens mon souffle s’accélérer. Je m’entends gémir, tes mains me serrent fort.


Encore quelques pressions de ton sexe contre le mien et je jouis.


Tu t’enfonces alors en moi. Je sens ta queue chaude et dure en moi, tu pousses un cri au moment où tu me pénètres.


Tu me regardes, tu vas et tu viens en moi, tes mains serrent mes fesses, tu me dis que tu adores mon cul. « Un jour je te le défoncerai ».


Tu me prends de plus en plus violemment, puis tu ralentis, tu t’arrêtes, je sens que tu vas jouir.


Tes doigts ne cessent de me caresser, tu sors ta queue de moi, tu te frottes à nouveau contre mon clitoris gonflé. Je sens que je pars. Tes mains se serrent autour de ma taille, ta langue dans mon cou, tu m’embrasses.


Je ferme les yeux, je respire fort, mes joues sont enflammées, tu vas me faire jouir.


Ça y est, c’est trop tard l’orgasme est là, fulgurant, fort. Au moment où je jouis, tu t’enfonces en moi à nouveau. Tu es en moi, tu sens les contractions de mon sexe autour de ta queue. « Tu me rends dingue ! »

Tu gémis.


Tu te retires de moi, je sens ton sperme sur mon ventre, il coule, il est chaud.


Pendant ce temps-là, une geisha entre dans un restaurant.


Il est minuit, la nuit ne fait que commencer.