n° 15299 | Fiche technique | 98865 caractères | 98865Temps de lecture estimé : 55 mn | 24/11/12 corrigé 11/06/21 |
Résumé: Rencontre véridique entre deux auteurs de récits érotiques. Puisqu'ils s'étaient décrits comme pervers, leurs ébats (dans un camping-car) débutent par un jeu de soumission ; mais les sentiments qui vont faire irruption feront basculer leur relation... | ||||
Critères: fh hplusag hépilé fépilée amour fsoumise voir fmast intermast fellation cunnilingu anulingus pénétratio sm attache yeuxbandés -amourcach | ||||
Auteur : Jakin Envoi mini-message |
Ce qui suit est la relation de ma rencontre avec Jennifer ; nous l’avons écrite ensemble, chacun prenant alternativement la plume pour évoquer son ressenti personnel. Ce récit ne relate que des événements véridiques jusque dans leurs moindres détails ; seuls les prénoms ont été modifiés.
Lundi 24 septembre 2012 – 7 h 35
« Coucou ! Ça va ? On se voit dans 40 minutes. Pas trop nerveux ? »
Le SMS me tire de ma rêverie. Nerveux ? Oui, je le suis. Beaucoup, même. J’allume une nouvelle cigarette avant de laisser mes doigts courir sur le clavier virtuel de mon iPhone pour lui répondre :
« Très nerveux, en effet… Pas beaucoup dormi, cette nuit. Donc, tu seras là à 8 h 15. Le parking est désert. À tout de suite. Bises ! »
La réponse arrive bientôt :
« Oui, c’est ça. Je serai là pour 8 h 30. »
Ma cigarette se consume rapidement, tellement je tire dessus. La lueur rougeoyante de son extrémité s’intensifie au gré des pensées et des images qui défilent dans ma tête, éclairant faiblement l’habitacle du camping-car où je l’attends, elle, la belle Jennifer. Oui, je l’attends, nerveux et fébrile, depuis si longtemps…
Les sens en éveil, je scrute l’entrée du parking. J’écrase ma cigarette nerveusement. L’anxiété me ronge… Va-t-elle vraiment venir ? Ne vais-je pas lui déplaire ? Saurai-je la contenter ? C’est qu’elle attend tellement de moi, cette gamine ! Ne me suis-je pas un peu trop vanté ? En tout cas, je ne suis pas excité sexuellement. Bien au contraire… Je sens ma verge pendre entre mes jambes, toute flétrie. Vais-je pouvoir bander, au moins ? Je dois me rendre à l’évidence : je ne suis plus un jeune homme ! Vais-je perdre toute contenance face à cette femme si jeune et tellement désirable ? Je dois me ressaisir et m’affirmer comme mâle, si possible dominant. La laisse : voilà la solution ! Je me précipite pour l’attraper. Mes doigts s’emmêlent un peu lorsque je tente de la détacher du collier… Mon iPhone est en standby sur la fonction « caméra vidéo ». Je règle l’essuie-glace sur la position « balayage intermittent ». Et je scrute, encore et encore, l’entrée du parking. Personne.
ooOoo
Tout avait commencé sur un site d’histoires érotiques où j’assume la fonction de correcteur, et sur lequel nous avions déjà tous deux publié quelques récits. Nous avions parfois des échanges sur le forum et, lorsque Jennifer s’aperçut que j’étais en train d’écrire une histoire avec deux autres auteurs, elle me contacta sur ma messagerie personnelle pour me demander si je serais intéressé par un récit dont nous serions co-auteurs. Je lui répondis positivement.
Nous avons échangé de nombreux mails (toujours en privé) pour définir les grandes lignes du récit, ses protagonistes ainsi que nombre de détails. Mais, progressivement, nos échanges avaient pris une tournure plus personnelle, et même très personnelle… Sans vouloir nous l’avouer, nous étions dans une démarche de séduction mutuelle. J’ai très facilement succombé à son charme, car les photos que Jennifer me faisait parvenir montraient une belle petite brune au regard coquin et aux lèvres pulpeuses. Quant à son corps, il correspondait en tout point à mes canons de la beauté féminine : mince (50 kg pour 1, 58 m), une belle petite croupe rebondie et des seins fermes, de taille normale (85C, ce qui la gênait un peu par rapport aux attentes qu’elle me prêtait ; c’est pourquoi elle fut ravie lorsque je lui déclarai que je n’aime pas les grosses poitrines).
Après avoir franchi le stade de la séduction, nous sommes arrivés à celui de l’excitation mutuelle ; pour ce faire, nous utilisions aussi bien les mots les plus crus que des photos – j’allais dire « suggestives ». En fait, elles n’étaient pas que suggestives, puisqu’elles dévoilaient les parties les plus intimes de nos corps. Bientôt, nous n’eûmes plus de secrets l’un pour l’autre : Jennifer me connaissait dans mes moindres détails (y compris tous les sévices que j’avais infligés à ma verge), et réciproquement (elle m’a même envoyé une photo sur laquelle elle étirait les lèvres – extrêmement développées – de sa vulve à l’aide de pinces à linge).
Voici quelques extraits des correspondances érotiques qui ont précédé notre rencontre.
Jennifer : « Oui, tu m’intrigues. Tu me donnes envie de découvrir si tu es plus pervers que moi. Je crois que je n’ai pas fini d’avoir envie de te découvrir… Cela pourrait être intéressant de voir ce que deux pervers peuvent faire ensemble ! »
Serge :
Jennifer : « En effet, les centilitres de sperme que tu gardes pour mon minois ne me font pas rougir, mais frissonner de désir. »
Serge : « Et puis, si tu as bien lu mes Mémoires, tu connais mes caractéristiques physiques : alors, ne t’attends pas à être pleinement satisfaite par une verge très moyenne (15 cm), épilée et circoncise qui plus est (ce qui pourrait ne pas te convenir). »
Jennifer : « J’ai pu constater aux cours de mes (nombreuses) expériences, que la taille importe peu et que seule la façon de s’en servir compte. Circoncise et épilée : mes préférées ! J’accepte volontiers de goûter tes lèvres et ta langue aussi… J’ai bien frissonné en imaginant tes mains sur mon corps aujourd’hui… »
Serge : « Alors, continuons à papillonner l’un autour de l’autre, Jennifer. Et si un jour le besoin se faisait trop pressant (pour toi tout comme pour moi), il faudrait alors nous résoudre à rendre ce fantasme réel ; ce qui reviendrait à le détruire. N’aimes-tu pas vivre dans un état d’excitation inassouvie ? Mais si cela devait arriver, dans un premier temps je frôlerais tes lèvres gourmandes et pulpeuses avec la peau satinée de mon gros gland circoncis gorgé de désir. Et, même si tu tentais de le happer dans ta bouche brûlante, je m’en tiendrais à l’écart pour exacerber notre désir mutuel. Juste quelques contacts délicats… Je suis certain que tu attendrais en vibrant que mes lèvres se posent enfin sur ta vulve dégoulinante de désir. Mais je ne le ferais pas encore. J’attendrais que tu me supplies de venir lécher tes lèvres, de sucer ton clitoris… Et comme je ne le ferais toujours pas, tu me supplierais en adoptant les postures les plus lascives et en proférant des mots tellement crus que tu n’as encore jamais osé les prononcer… »
Jennifer : « Ô, Maître de mes désirs… Mes charmes ne te laissent donc pas de marbre… Si tu considères mes fesses comme une invitation au plaisir, je serai comblée de pouvoir y accueillir ton beau gland. Je t’attendrai nue, à genoux, les yeux fermés et les mains dans le dos. Je serai positionnée de sorte que tu me voies de dos en entrant dans la pièce. Tu resteras silencieux en me bandant les yeux et en me liant les mains. La transparence du loup ne te cachera rien de mon visage que tu pourras caresser à ta guise avec ton gland. Je ne le lécherai et le sucerai que lorsque tu me l’ordonneras. Je devrai pour cela me montrer maîtresse de mon désir et de mon excitation provoqués par les caresses de ton gland.
Finalement, tes tortures me séduisent, surtout que ton gland est très beau. Je serais curieuse de découvrir les sensations que je pourrais te procurer. Il me donne envie d’enfoncer mon petit doigt – j’ai de petites mains fines – dans son œil afin d’en explorer les profondeurs. Je ferai de doux va-et-vient. Peut-être pourrai-je y faire glisser un collier de perles, à l’instar d’un plug anal. Après ces quelques jeux, peut-être auras-tu envie de m’en faire découvrir d’autres ? Je serai heureuse de recueillir ton sperme dans ma bouche après t’avoir infligé tant de délices. »
Serge : « L’idée de te lier les mains est intéressante, mais jusqu’à un certain point : il faudrait que tes liens ne soient pas trop serrés, de manière à ce que tu puisses exacerber mon désir en prenant des postures obscènes, tout en me susurrant des mots excitants… Tu dis apprécier mon gland ; sur ces photos, il est mis en valeur. J’aimerais que tu me dises combien de fois tu as joui en les regardant tout en branlant ton clito et ta vulve dégoulinante de mouille, car je suis certain que tu vas te branler, petite cochonne délicieusement vicieuse ! Imagine ce gros gland en train de coulisser entre les lèvres épanouies de ta fissure secrète, écartelée, et venir caresser ton clitoris érigé… Est-ce que tu mouilles en lisant ces mots, petite perverse ? Je te serre dans mes bras ; je suis derrière toi pour que tu sentes ma bite, raidie par l’excitation que tu me procures, appuyer avec vigueur entre les doux globes de ton postérieur cambré qui vient à sa rencontre, et qui cherche son chemin pour te pénétrer avec une incroyable douceur et une intolérable perversion. Je te donne un baiser coquin au coin des lèvres en frôlant d’une main légère la face interne de tes cuisses, tout doucement, en progressant de plus en plus haut vers ce que je devine être une petite chatte en pleine ébullition… »
Jennifer : « Bien sûr que je mouille en imaginant ton gland se frotter entre mes lèvres et sur mon clito. J’ai envie qu’il pénètre furtivement l’entrée brûlante de mon vagin, puis recommence à me caresser le clito. J’ai envie que ce délicieux traitement me fasse jouir plusieurs fois. Puis, enfin, il pourrait pénétrer profondément l’anneau de mon petit trou, y faire de vigoureux va-et-vient qui déclencheraient le plus beau de mes orgasmes…
Je te laisse du clavier, mais pas du bout de ma langue qui vient lécher ton gland avant de le prendre délicatement entre mes douces lèvres pour le tétouiller, le suçoter, le mordiller et l’aspirer. Puis j’absorberai puissamment le reste de ta verge. Je te sucerai doucement pour savourer ton goût, et je ferai de vigoureux va-et-vient en aspirant ton gland qui sera compressé entre ma langue et mon palais. Ta couronne sera mise à rude épreuve… Pour finir, je dévorerai ton sexe avec gourmandise jusqu’à ce que tu exploses au fond de ma gorge que tu inonderas de ton sperme brûlant. »
Serge : « Avant d’aller plus loin, je préfère te mettre en garde : entre nous, il ne pourra y avoir que des rapports basés uniquement sur le désir d’apporter le maximum de jouissance physique à l’autre, et rien de plus. J’estime que c’est mon devoir de te mettre en garde afin que tu n’en attendes rien de plus : du cul, encore du cul, toujours du cul, mais rien d’autre que du cul ! Si tu es d’accord avec ce qui précède, je saurai être le plus délicat et le plus raffiné des amants que tu as connus jusqu’ici. Si tu es en attente de jouissances extraordinaires, je saurai te les procurer ; mais, surtout, pas de sentiments là-dedans ! C’est beaucoup trop destructeur !
Puisque tu commences à apprécier les photos perverses que je t’envoie, je vais monter d’un cran dans le domaine de la perversité en te montrant l’image de mon gland transpercé – dans sa partie la plus sensible – d’une aiguille dont la pénétration à l’intérieur de mes chairs richement innervées m’a procuré à la fois une douleur quasiment intolérable ainsi qu’une jouissance trouble qui a provoqué des saccades de sperme savoureux que j’aurais préféré envoyer sur ta langue tendue dans l’attente de cette offrande… Perversement tien. »
Jennifer : « Cher Maître Vénéré, je suis toute émoustillée en m’imaginant à genoux, la bouche ouverte, parmi tes nombreuses partenaires, à regarder ta belle verge passant de bouche en bouche. J’attendrai patiemment mon tour où celle-ci se présentera enfin devant mes yeux et s’insérera profondément dans ma gorge. Je prendrai ensuite un très grand plaisir à t’offrir la meilleure fellation que je n’ai encore jamais osée donner. Je saurai me surpasser pour être à la hauteur du plaisir que tu mérites et surtout pour rester au meilleur rang de tes élèves. C’est avec un plaisir immense que je ferai coulisser mon doigt dans ta verge, tandis que tu feras glisser les tiens dans mes orifices dégoulinants d’envie. Je suce langoureusement ta délicieuse verge en me délectant de ton sperme. »
Serge : « Je n’aurais aucune hésitation à parcourir cette distance pour bénéficier des attentions d’une suceuse de bites telle que toi. Mais à une condition : c’est qu’au cours des quelques heures que tu pourrais m’accorder, tu renouvelles tes caresses buccales jusqu’à me vider complètement et qu’à la dernière fellation, ce soit du sang – au lieu de sperme – qui gicle de mon gros gland.
Ce ne sont pas les photos sur lesquelles tu te fais pénétrer qui m’intéressent, bien au contraire. Ce dont j’ai envie, ce sont des photos de ta magnifique vulve dans tous ses états : fermée, mais surtout ouverte (tes mains tirant sur tes lèvres intimes pour les écarter et offrir à mon regard ton intimité la plus secrète), et des vues en gros plan de ton clitoris que j’aimerais tant téter… Voici quelques photos de moi. Au fait, est-ce que tu te branles la chatte en les regardant ? Tu dis aimer mon gland, petite vicieuse ; et comme, de mon côté j’aime ta vulve, il faudrait les présenter l’un à l’autre : je crois qu’ils feraient bon ménage, surtout avec la complicité de nos bouches respectives… Mais penses-tu qu’une quinzaine de centimètres seraient suffisants pour que j’atteigne le fond de ta gorge ? Je sais bien que – vu la puissance des jets due à ton habileté de fellatrice – mon sperme atteindrait directement ton œsophage, ce qui te priverait d’en apprécier le goût de noisette. »
Jennifer : « Tendre coquin, je me sens fière de savoir que j’arrive à faire bander ta vieille bite fatiguée, comme tu la nommes. Je ne sais pas si tu atteindrais le fond de ma gorge en me pénétrant entièrement, mais j’aurais déjà la bouche bien pleine. D’ailleurs, j’adore l’ouvrir pour que mon partenaire regarde son sperme gicler sur ma langue. J’aime aussi le contact brûlant du sperme giclant au fond de ma gorge et s’écoulant le long de mon œsophage sans que j’aie le temps d’y goûter. Quelle délicieuse sensation ! Tes photos me fascinent. Elles me donnent de plus en plus envie de t’apporter ce plaisir. »
Serge : « Alors, à présent, mes photos te fascinent ? Attention, bébé, je suis en train de t’entraîner dans la perversion la plus absolue ! Ta finesse d’esprit t’a bien fait comprendre que nous avons dépassé depuis quelque temps déjà le stade de la séduction : tu m’as séduit, tout comme je t’ai séduite (enfin, je l’espère…)
Jennifer, ô reine de mes nuits blanches,
C’est à toi que je dédie ce poème
Rêvant de poser mes mains sur tes hanches,
Moi qui ne suis qu’un enfant de Bohème.
Daigneras-tu assouvir mon désir
De venir m’abreuver entre tes cuisses
Pour te donner enfin tout le plaisir
Que tu attends, et satisfaire nos vices ?
Je désire tant ton doux coquillage
Que je vais encore me surpasser
Malgré notre différence d’âge
Pour te faire crier et gémir « Assez… »
Jennifer : « Ô Serge… La première chose que je fais le matin à mon réveil, c’est ouvrir ma boîte mail en espérant te lire. Mes yeux restent suspendus à ton beau poème et mes lèvres intimes s’humidifient dans l’attente de rencontrer les tiennes. »
Serge : « Alors, Super (be) Auteur (e), puisque tu me le proposes si gentiment, la seule faveur que j’aurais à te demander, c’est de te procurer du plaisir. La nature de cette faveur étant définie, c’est à toi d’en choisir le (ou les) moyen (s) : mes doigts, un pied, mes lèvres, ma langue, mon gland sur ton clito, ma verge dans l’un de tes fourreaux intimes (lequel ?) ou bien un cocktail de tout ça ? Fais-moi part de ta décision. »
Jennifer : « La faveur que tu mérites s’élève naturellement au cocktail de tout ce que tu me proposes, et ta verge dans tous mes fourreaux intimes (sauf les oreilles). Toujours est-il que j’avais envie de faire coulisser doucement le bout de mon aiguille dans ton gland, en faisant des va-et-vient jusqu’à te faire jouir, sans te branler le long de la tige. Ta douce verge tenue entre mes doigts délicats. Ce matin, je me suis caressée en fantasmant sur ce sujet. Tu m’as dévergondée avec tes tortures, je suis perdue ! Je suis en quête d’autres objets qui t’apporteront de futures jouissances. Tes photos… elles me nourrissent d’un désir troublant. Elles me donnent envie de te voir prendre du plaisir pendant que tu te « tortures ». Je me suis même surprise à désirer lécher le sang qui perle sur ton gland. Et le pire, c’est que cela me donne envie d’explorer mon intimité de la même façon. Étrange, non ? Il faut croire que tu es un plus grand pervers que moi. En même temps, j’étais intriguée par la dangerosité de ta perversité. Je compte sur toi pour m’apprendre à te donner du plaisir de façon inhabituelle et pour m’apprendre à m’en donner pareillement. Je ne sais pas si je pourrais devenir plus perverse que mon Maître. Y a-t-il une limite à la perversité ? En tout cas, je serai ravie d’en découvrir mes limites sous tes enseignements et tes notations. Merci pour les photos. Cela me donne envie de lécher ton sperme sur la mienne. Je t’envoie une photo plus grande de mon visage afin que tu puisses le maculer une prochaine fois. Oh oui, lèche-moi, lèche-moi, lèche-moi ! Bon, ça suffit : je suis déjà toute mouillée. »
Serge : « Oh oui, j’adorerais que tu me fasses jouir selon les indications que je t’ai fournies ! Mais tu risquerais de me faire mourir de plaisir : mon pauvre cœur n’y résisterait peut-être pas… Si ton corps tout entier n’est qu’une seule et même zone érogène, j’aimerais en jouer comme d’un instrument de musique (je t’ai dit que je suis musicien) pour te faire vibrer de plus en plus, multipliant les caresses en contre-point jusqu’à t’amener à une apothéose de plaisir. Mais je suis peut-être un peu présomptueux… Je termine en te donnant un baiser torride sur ta vulve béante, en tétant tes petites lèvres et ton clitoris tout en les aspirant dans ma bouche pour les caresser de la pointe de ma langue. »
Jennifer : « Ne serait-ce pas une merveilleuse façon de quitter ce monde en jouissant entre mes lèvres ? Il faudrait que tu m’essayes avant de dire que tu es présomptueux… »
Serge : « Tout à fait d’accord avec toi : quitter ce monde en jouissant entre tes lèvres serait la manière la plus délicieuse de mourir. Ah, mourir de plaisir… Tes expériences avec des musiciens me semblent un peu limitées : l’un était habile de ses doigts, et l’autre de ses lèvres. Comme j’ai pratiqué aussi bien les instruments à vent (saxophone) que les claviers (piano, orgue, synthétiseur), je suis autant habile de mes doigts que de mes lèvres. Imagine quels effets ces virtuosités combinées pourraient avoir sur l’instrument hypersensible qu’est ton corps…
Nous avons déjà passé la phase de séduction, et nous sommes dans celle de l’excitation mutuelle. Donc, attendons, et augmentons encore cette excitation jusqu’à ce qu’elle devienne insoutenable. Il y a trois jours, tu m’avais envoyé de nouvelles photos en vue de les maculer, afin de pouvoir lécher mon sperme qui les recouvre : c’est chose faite… J’ai joui très fort sur ton visage et entre tes cuisses. Voici le résultat. Régale-toi avec ma semence savoureuse…
Je pense à toi, et je parcours ton corps de mes lèvres sensuelles pour t’offrir de luxurieux frissons. »
Jennifer : « Oui, j’ai beaucoup apprécié tes dernières photos. Elles m’ont beaucoup excitée et me donnent envie de te servir de toile, ton sperme en guise de peinture. »
Serge : « Je sens que je vais devenir un grand artiste avec une toile aussi réceptive que toi ! J’ai un pinceau qui saura dessiner à merveille tous les contours de ton corps excitant… Et je ne te parle pas de la peinture ! Comme nous allons bientôt pouvoir nous rencontrer, afin de te couvrir de sperme (pas sur une simple photo…), je ne vais pas me branler d’ici-là : tu pourras te régaler d’une semaine de production ! »
Jennifer : « Je te présente ma petite minette fraîchement épilée. J’ai utilisé des pinces à linge pour bien écarter la coquine – ma première torture – pour que tu voies bien son ouverture accueillante. Cela m’a tellement excitée que je n’ai pas résisté à l’envie de me caresser. Je te fais part de ce plaisir troublant sur la petite vidéo. »
Serge : « Mon sexe est d’une rigidité incroyable mais, comme je te l’ai dit précédemment, je refuse de me donner du plaisir afin de te réserver ma production complète de semence. Pourtant, ce n’est pas l’envie qui m’en manque… Ta petite chatte est admirable, et mon désir de la goûter s’accroît encore. Ah, comme il me tarde d’aspirer dans ma bouche ces belles lèvres tout en les agaçant de la pointe de ma langue, et de téter ton clito ! Je lèche avec délectation les coulures de ton récent plaisir… »
Jennifer : « Je me suis fait un plaisir de me caresser devant tes nouvelles photos. Ton sexe si dur et ton merveilleux gland bien gonflé m’ont tellement excitée que je n’ai pu résister à l’envie de te sentir t’introduire en moi. »
Serge : « Puisque cela t’excite tant, je t’envoie de nouvelles raisons de faire baver d’envie ta jolie chatte et de te la branler frénétiquement avant que je vienne en personne pour calmer tes ardeurs avec ma langue… »
Jennifer : « Je serai ravie de te rencontrer lundi. J’apporterai avec moi les instruments de torture pour ton gland. Il est hors de question que je te laisse repartir sans m’en être convenablement occupée. »
Serge : « Chère petite débauchée, je suis ravi que tu acceptes de me rencontrer lundi ; d’après ce que tu me dis, je constate avec grand plaisir que mon pauvre gland va être à la fête ! De mon côté, j’envisage de me livrer à quelques scénarios pervers… J’apporterai moi aussi les accessoires nécessaires. Je te demanderai une seule chose : de me faire confiance. Mais si tu estimes que nos jeux vont trop loin, tu n’auras qu’à me dire « Stop ! » et j’arrêterai tout instantanément. Est-ce que cela te convient ? »
Jennifer : « Je me doutais bien que tu allais me faire vivre quelques perversités (rires). Bien sûr que je te ferai confiance ; si je dis « Stop » c’est que tu auras réussi à me faire découvrir les limites de ma propre perversité. Je t’offrirai l’accès à tous mes orifices lundi. »
Serge : « Au fait, qu’as-tu, comme voiture ? Ceci afin de te reconnaître. Sinon, tu n’auras qu’à t’allonger sur le sol en écartant les cuisses : je connais bien ta jolie vulve, et je te reconnaîtrai facilement ainsi. »
Jennifer : « C’est bien le parking dont tu parles ; oui, il devrait convenir, même si tu cries très fort. Si tu pousses des hurlements de loup quand tu jouis, je t’adopte ! Je serai à pied, très cher. Le parking n’est qu’à dix minutes à pied de chez moi. Donc, pas de cuissardes, mais ma tenue te plaira sûrement. On ne m’a jamais proposé de scénarios ; cette idée m’intrigue et m’excite au plus haut point. Sur ce lieu, il y a un charmant endroit avec des grilles où tu pourras même menotter une jeune fille ; j’espère qu’il nourrira tes fantasmes pervers. Que ma bouche soit ton objet sexuel ! »
Serge : « Impossible de dormir : la proximité de notre rencontre me fait bouillonner intérieurement. Si – comme tu me l’écris – ta bouche est mon objet sexuel, alors je passe sensuellement mon gland sur tes lèvres. »
Jennifer : « J’espère que lundi ce sera toujours possible et que je pourrai enfin profiter de tes trésors que j’admire en photo. »
Serge : « Je t’envoie une dernière série de photos qui pourraient t’inciter à soulager mon pauvre gland torturé d’une caresse de tes douces lèvres. J’embrasse les tiennes, tant celles de la bouche de ton visage que celles de la bouche secrète que tu caches entre tes cuisses, que j’ouvrirai bientôt… »
Jennifer : « Si tes testicules sont si pleins, tu vas pouvoir me remplir la bouche et arroser mon visage. Je t’embrasse avec la hâte de goûter enfin tes lèvres, ta langue, puis ton gland. »
ooOoo
Ces dernières heures ont été les plus longues de ma vie. J’avais déjà eu de grandes difficultés pour trouver le sommeil, tellement mon impatience était importante ; et puis, vers 4 heures du matin, deux puissantes déflagrations m’avaient réveillé : la foudre était tombée non loin du camping-car. Impossible de me rendormir. J’ai donc quitté la douce chaleur de la couette pour me faire un café bien serré. Des cafés, j’ai dû en avaler quelques-uns depuis tout à l’heure ; et le nombre de mégots qui s’empilent dans le cendrier témoigne de ma nervosité.
Le jour commence à poindre ; de gros nuages déversent des torrents de pluie qui martèlent lourdement le toit du véhicule. Encore une cigarette pour tromper l’attente ; bientôt, elle sera là ! 8 h 30 ; je scrute l’entrée du parking, m’attendant à voir Jennifer arriver d’un instant à l’autre. Personne.
Nouveau SMS :
« J’ai un peu de retard ; désolée. »
Et moi qui croyais qu’elle m’annonçait son arrivée… Déception. Cigarette. Et la pluie, toujours cette pluie qui inonde le pare-brise et qui m’oblige à faire fonctionner les essuie-glace pour ne pas manquer l’arrivée de Jennifer.
Au fait, j’ai oublié de me présenter…
Jeune (!) retraité de la fonction publique depuis à peine plus d’un mois, je réside au cœur du Périgord. Depuis quelque temps, je publie des récits (plus ou moins appréciés, d’ailleurs) sur un site d’histoires érotiques où je remplis également la fonction de correcteur. Le domaine dans lequel ma sexualité s’épanouit peut vous sembler assez limité, car je ne suis pas homo, ni même bi. Je ne pratique ni l’inceste, ni la zoophilie. Eh oui… Un hétéro bien dans la norme, sauf que j’ai une assez forte attirance pour le masochisme.
Ah oui, un détail qui peut avoir son importance ; je suis passablement âgé : 66 ans, mais assez bien conservé. Avec 1, 76 m’pour 74 kg, ça peut encore aller. Mes cheveux châtain mêlés de quelques fils gris étant (très) longs, je les porte ramenés sur la nuque en catogan ; une frange me descend jusqu’aux yeux (marron) et mon visage est encadré de longues mèches qui masquent mes oreilles. J’ai une bouche que l’on dit sensuelle, dans le genre de celle de Mick Jagger.
À mon âge, la plus grande partie de mon existence est derrière moi ; j’ai fondé une famille : père de deux enfants, je suis également grand-père (par deux fois). C’est là où je voulais en venir : la belle Jennifer, que j’attends, n’a que 30 ans. Elle a quatre ans de moins que ma propre fille, et je suis même assez âgé pour être son grand-père ! Vous comprenez à présent pourquoi je suis un peu fébrile : elle est jeune et belle, alors que je suis vieux et un peu fané… Et puis, elle est mariée ; c’est pourquoi nous devons agir avec la plus grande discrétion !
Ma femme, sans être jalouse, me surveille d’assez près ; il faut dire que je lui en ai fait voir, moi, le coureur de jupons impénitent… Surtout avec Roselyne, la dernière de mes maîtresses. Mais ça remonte quand même à quatre ans. Depuis ma dernière incartade, elle se venge de ce que je lui ai fait subir. Comme elle est bien placée pour connaître mon attirance pour le sexe, elle me punit en me privant de plaisir : cela fait un an que nous n’avons plus fait l’amour. En de rares occasions, elle daignait me branler (en moyenne, une fois tous les deux mois). Mais, depuis de nombreux mois, elle ne m’accorde même plus le soulagement d’une main miséricordieuse. Alors, vous comprenez dans quel état je suis !
Aussi, lorsque j’ai eu l’occasion de m’éloigner du domicile conjugal pour aller à Reims prendre livraison d’un camping-car que je venais d’acheter aux enchères sur eBay, j’en ai profité pour faire un (assez long) détour afin de rencontrer Jennifer.
Tout est prêt pour son arrivée : le loup noir, les menottes (dont j’ai enlevé les garnitures de fourrure, ne conservant que l’acier glacé pour entrer en contact avec sa peau), une dizaine de mètres de chaînes, des cadenas, un vibromasseur, un œuf vibrant, un double dong souple d’une cinquantaine de centimètres, un gode-ceinture, une boîte métallique renfermant une grosse seringue en verre datant des années 50 ainsi que trois aiguilles acérées de bonne taille… J’ai passé à même la peau un catsuit noir à grosses mailles ajourées, que j’ai recouvert d’une tenue d’intérieur facile à enlever. J’attends en fumant une dernière (?) cigarette tandis que la pluie redouble d’intensité. Viendra-t-elle ?
Ma première pensée au réveil est pour Serge. Ma peau, qui va être soumise à ses mains expertes dans les prochaines quatre-vingt-dix minutes, frissonne de désir. Nous avons organisé notre entrevue érotique en quelques jours. Le souhait qu’elle se déroule le mieux possible me rend terriblement nerveuse. Ma tenue sexy prête à le faire succomber à tous mes charmes m’attend patiemment dans mon armoire depuis quatre jours.
Je prépare le petit-déjeuner de mes filles comme un matin ordinaire. Mon rôle de mère de famille passe avant tout, bien que mon corps en ébullition supplie d’être caressé.
Je regarde par la fenêtre notre lieu de rendez-vous : des arbres verdoyants m’obstruent la vue sur le parking où il m’attend depuis la veille. J’ai besoin de prendre de ses nouvelles. Je prends fébrilement mon portable et lui envoie un SMS en me demandant si je vais le réveiller :
« Coucou ! Ça va ? On se voit dans 40 minutes. Pas trop nerveux ? »
Mon regard est fixé sur les 500 mètres qui nous séparent tandis que j’attends une réponse, qui ne tarde pas :
« Très nerveux, en effet… Pas beaucoup dormi, cette nuit. Donc, tu seras là à 8 h 15. Le parking est désert. À tout de suite. Bises ! »
Je suis rassurée de savoir qu’il est aussi nerveux que moi. Son impatience me fait sourire ; je réponds :
« Oui, c’est ça. Je serai là pour 8h 30. »
Mes filles s’éternisent dans la salle de bain. Le temps s’écoule à une vitesse vertigineuse. Je prie pour qu’il ralentisse sa course lorsque je serai avec Serge.
ooOoo
Ses Mémoires d’un vieux cochon m’avaient tant séduite que le désir de devenir l’une de ses conquêtes s’était naturellement imposé à moi. Ma vie sexuelle avait été, pour moi aussi, bien épanouie avant mon mariage.
Je m’étais rapprochée de Serge sur le forum d’un site d’histoires érotiques sur lequel nous publions tous deux – mais séparément – dans le but de faire sa connaissance. Son éloquence écrite m’avait particulièrement séduite lors de nos échanges privés. C’est donc tout naturellement que je lui ai confié les désirs secrets que ses récits érotiques avaient éveillés en moi. Je me doutais bien que je ne serais pas la meilleure de ses maîtresses, mais je fantasmais sur le désir de soumettre mon corps à des mains expérimentées.
ooOoo
Mes filles déjeunent rapidement, selon leur habitude. Je natte leurs longs cheveux. Mes doigts tremblants rendent mes gestes maladroits, m’obligeant à m’y reprendre. Le temps, qui défile sous mes yeux impuissants, me fait remarquer que je serai obligée de laisser mes filles partir seules à l’école au lieu de les y accompagner, afin de rejoindre Serge le plus tôt possible.
Après leur départ, je prends ma tenue indécente qui m’attendait sagement. Je me dénude dans ma course, traversant l’appartement pour me réfugier dans la salle de bain. Je lui envoie un dernier SMS en grimaçant :
« J’ai un peu de retard ; désolée. »
Je saute sous le jet brûlant de la douche et me savonne avec un gel aphrodisiaque. Je frissonne de désir en sachant qu’il ne pourra pas résister à la fragrance érotique qui parfumera ma peau. Un coup de crayon et de mascara discret sur les yeux, puis une légère touche de rouge à lèvres mettent en valeur ma féminité. Je passe rapidement ma tenue sexy, que je camoufle sous des vêtements de tous les jours. Je me dois de préserver mon image de mère de famille et d’épouse modèle !
Je chausse mes talons aiguilles et me revêts d’un manteau près du corps. Je grimace à cause de l’orage qui m’oblige à prendre mon parapluie. Je cours pratiquement. En cet instant, je souhaiterais voir des ailes me pousser pour réduire la distance qui me sépare de mon Inconnu. Mon retard a déjà dévoré quinze précieuses minutes.
Le camping-car se dessine enfin devant mes yeux. Ma timidité s’empare de moi lorsque Serge m’aperçoit. Je ne laisse rien transparaître, préférant lui offrir mon plus beau sourire.
ooOoo
Un mouvement sur ma gauche : une femme. Jeune et belle. C’est elle ! Mon cœur bat à tout rompre… Vêtue d’un long manteau sombre, elle est arrivée par une entrée annexe. Elle ! Jennifer ! Elle me sourit. Vite, l’iPhone… Elle voit que je la filme. Je lui fais signe de s’approcher d’une vitre latérale que je fais coulisser. Elle me sourit toujours ; ses dents, bien régulières, sont éclatantes de blancheur. Et cette bouche aux lèvres pulpeuses… Dire que c’est là que je vais insérer ma vieille bite… Dieux du ciel ! Qu’elle est jeune et belle ! Ce n’est pas possible qu’elle veuille de moi. Elle va faire demi-tour lorsqu’elle m’aura mieux vu. Je surpasse mon appréhension et lui adresse la parole.
Je lui tends le collier, qu’elle passe autour de son cou. Ceci fait, elle me rejoint à la portière du camping-car ; j’accroche la laisse au collier et tire Jennifer à l’intérieur. Là, elle commence à se déshabiller d’elle-même, sans que je le lui aie demandé, toujours en souriant. Bientôt, elle se retrouve en sous-vêtements noirs, très sexy. Je m’approche d’elle, lui pose un loup sur les yeux et lui ramène les mains derrière la tête pour lui passer les menottes. Elle se laisse faire, docile, soumise, sans protester. Comme elle est belle, ses bras relevés derrière la tête, ce qui fait ressortir sa poitrine !
Je reste quelques instants à l’admirer, offerte à mes désirs les plus pervers…
Je retire rapidement ma tenue d’intérieur, ne conservant que le catsuit – avec des ouvertures judicieusement disposées – à même la peau et me place derrière Jennifer. Je perçois la tension qui l’habite… Ah, comme j’aimerais pouvoir la rassurer en lui disant « Ne crains rien, Jennifer : ce n’est qu’un jeu. Avec moi, tu ne risques rien… » Mais ces paroles risqueraient de perturber l’atmosphère d’érotisme raffiné dans laquelle nous baignons. Afin de la détendre et de lui donner confiance, je lui caresse la nuque et le dos d’un léger massage dans lequel j’essaie de lui transmettre toute la douceur qui m’anime.
Serge se tient là devant moi, derrière le pare-brise du camping-car. Son sourire est caché par son iPhone. Je comprends immédiatement qu’il me filme. Je me rappelle ses mots « Je suis un dangereux pervers sexuel. Tu devrais te méfier de moi, jeune enfant… » Une inquiétude s’empare de moi. Personne ne sait que nous avons rendez-vous ; il pourrait facilement prendre ma vie…
Obéissant à son geste, je contourne le camping-car sans laisser paraître mes craintes, un sourire plaqué sur mes lèvres.
Sa question me surprend. Je m’étais habituée qu’il m’appelle « petite chienne » pendant nos échanges électroniques, mais je ne m’attendais pas à ce qu’il s’adresse à moi de cette façon.
Un « Oui » timide franchit mes lèvres.
Je suis venue là pour ça. Je ne peux plus reculer.
Je suis complètement intimidée. Je prends nerveusement l’objet dans mes mains avec la folle envie de m’enfuir.
« Au moins, il te met dans le bain directement. Tu sais déjà ce qui va t’arriver ! », pensai-je nerveusement.
Je l’attache maladroitement autour de mon cou tandis qu’il continue de me filmer ; puis il me fait signe de le rejoindre à la portière. Je suis tellement nerveuse que les quelques secondes d’attente avant qu’il l’ouvre me paraissent devenir des heures.
Il présente une laisse et l’accroche au collier. J’avais déjà eu envie d’être traitée ainsi ; mais là, je ne me sens pas du tout à l’aise. Je le suis tout de même lorsqu’il me tire à l’intérieur.
Des jouets intimes de tout genre et des menottes s’étalent devant mes yeux. J’avais donné mon accord à Serge pour qu’il utilise quelques accessoires, mais leur nombre m’intimide un peu. Je regarde nerveusement la portière qui se referme devant moi. Je ne peux plus reculer.
Je décide alors de me mettre à l’aise, m’excusant de ma tenue vestimentaire très ordinaire. J’enlève mon manteau, mes talons et mes vêtements inutiles. Je me retrouve en mini-jupe qui recouvre à peine mes fesses, collants ouverts, string et débardeur qui se noue derrière le cou. Tout cela sous ses yeux attentifs et son iPhone qui ne manque rien de mon effeuillage. Je souris toute seule en me disant que j’aurais pu rendre cela un peu plus sensuel.
Serge pose son Smartphone et me présente un loup, mon objet fétiche. Je le laisse me le poser sur les yeux. Le noir m’envahit et mes inhibitions se lèvent lentement. Il prend délicatement mes mains pour les menotter derrière ma nuque, sur laquelle il entreprend un léger massage très agréable. Ses mains douces et chaudes me mettent en confiance. L’envie de les sentir sur tout mon corps s’empare de moi.
Reprenant la laisse, je la tire en direction d’un fauteuil où je la fais s’asseoir. Ainsi, elle est à la hauteur de ma verge. Tiens, celle-là, je l’avais oubliée… Que devient-elle ? En fait, elle est en semi-érection, presque à l’horizontale. Je la saisis pour la passer délicatement sur les joues de Jennifer, puis je lui en caresse légèrement les lèvres, qu’elle entrouvre. Mon excitation augmente encore lorsqu’elle laisse dépasser le bout de sa langue ; que c’est doux ! Mais elle tire un peu plus sa langue, ce qui me permet de déposer mon gros gland circoncis sur ce support chaud et humide… Je me repais de cette vision hautement érotique !
Mais Jennifer ne me laisse pas beaucoup de temps pour admirer ce spectacle licencieux ; avançant la tête, elle me prend entre ses douces lèvres puis, après quelques allers-retours sur la surface soyeuse de mon gland, elle le fait pénétrer dans sa bouche. Oh, quelle volupté ! Ma verge finit de se déployer dans l’intimité chaude et humide de cette si belle femme… Des sensations extraordinaires m’envahissent lorsque Jennifer commence à faire coulisser délicatement ses lèvres le long de ma hampe, s’interrompant parfois pour aller caresser mon scrotum de sa langue et même prendre mes testicules dans sa bouche brûlante. Comme ses mains sont entravées par des menottes, elle ne peut les utiliser pour maintenir mon membre, et ses yeux bandés ne lui sont d’aucune utilité. Alors, lorsqu’elle laisse ma verge sortir de sa bouche, elle est obligée de la chercher à tâtons avec ses lèvres sensuelles. Je laisse parfois échapper des « Oh… », des « Hmm… », des « Ouiii… » et des « Oh oui ! » lorsque mon plaisir devient trop fort. Je sens que si elle continue comme ça, je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps…
Je me retire – à regret – de sa bouche de suceuse experte et je l’entraîne, au bout de la laisse, vers le lit où je la fais s’allonger sur la couette, les jambes hors de la couche.
Je sens Serge tirer sur la laisse. Il me fait asseoir sur un siège. Je sens son gland ferme et d’une douceur incomparable se poser sur mes lèvres. Il ne les caresse pas avec lui, comme il m’avait dit par mail désirer le faire. Alors, j’en profite pour l’embrasser délicatement. Sa douceur sensuelle m’attire. Je le lèche doucement. Il se tend vers ma bouche. Je lèche lentement le contour de cette vigoureuse verge sur toute sa longueur. Je titille le frein de la pointe de la langue. J’ai envie de le mordiller et de le sucer, mais il m’échappe.
J’aspire son gland entre mes lèvres : il est aussi délicieux que je l’avais imaginé. Je le suce avec gourmandise, aspirant doucement sa verge dans les profondeurs de ma bouche. Ma langue et mes lèvres s’activent savamment le long de sa hampe.
Serge me laisse faire en gémissant. Je suis à la fois soumise à ses désirs et maîtresse de son plaisir. Ne pas le voir, mais juste l’entendre est très excitant. Je m’applique encore mieux. Ma bouche fait de longs va-et-vient sur sa verge que j’absorbe entièrement. Elle est vraiment délicieuse !
Je lèche son scrotum qu’il a soigneusement épilé. Quel délice de le sentir se contracter sur ma langue ! Je prends délicatement ses bourses entre mes lèvres, chacune leur tour. Je les suce doucement. Serge gémit ; je continue. J’avais envie de les absorber ensemble entre mes lèvres pour les sucer et les lécher subtilement, mais je ne peux me libérer pour les maintenir contre ma bouche.
Je lèche toute la longueur de cette délicieuse verge et l’aspire profondément entre mes lèvres. Je la dévore entièrement, en faisant de longs et rapides va-et-vient.
« Quoi, déjà ? Mais je me régale, moi ! » Je n’ai pas envie d’arrêter. Je suis tout de même mon Maître qui m’entraîne, en tirant sur la laisse, vers le lit où il m’allonge délicatement. Dans ma bouche, ma langue est déjà en manque de son gland…
Jennifer est là, devant moi, toujours entravée et aveuglée, la laisse en travers de la poitrine. Elle attend mon bon vouloir, soumise et confiante, prête à tout. Des collants sombres à motifs gainent ses jambes ; une mini-jupe ultra-courte laisse entrevoir le fin voile d’un string noir qui masque encore – mais si peu – l’objet de mes désirs : sa vulve ! L’iPhone, qui enregistre toujours, se rapproche pour zoomer sur cette vision de rêve. Ma main rabat la mini-jupe sur son ventre. À travers les mailles ajourées du string, je distingue nettement la fente vulvaire qui, bien qu’encore fermée, ne peut contenir l’excroissance de ses petites lèvres qui me semblent particulièrement développées. Son pubis est totalement épilé. Je lui caresse les cuisses, laissant parfois ma main glisser négligemment sur son sexe. Alors qu’un de mes doigts tente de se glisser sous le fin voile afin d’offrir à mon regard cette vulve qui m’obsède, elle reçoit un SMS sur son téléphone mobile. Jennifer se lève pour répondre. Je lui enlève les menottes et le bandeau qui l’aveuglait.
Le lit est moelleux à souhait. Je suis là, offerte, les cuisses écartées et le corps tremblant d’envie. Je sens ses doigts qui m’effleurent légèrement. Ses mains caressent mes cuisses, et furtivement ma minette. Je la sens dégouliner d’envie et mon clito se tendre.
Mon portable sonne, à ma grande déception ; je demande à Serge de m’excuser. C’est mon époux. Je suis obligée de répondre pour maintenir le faux-semblant. Le retour dans ma vie de tous les jours est rude ! Après avoir répondu, je pousse un long soupir pour me détendre et me replonger dans la volupté de l’instant précédent.
Je croise le regard tendre de Serge qui me sourit. J’ai l’impression de le voir pour la première fois, maintenant que la nervosité du premier échange m’a quittée. Ses lèvres pulpeuses attirent les miennes. J’ai envie de l’embrasser. Son corps mince est vêtu d’un catsuit en résille ; il est habillé sans l’être. Je trouve cela sexy. J’ai envie de tendre la main pour caresser sa peau.
Je suis surprise de voir ses cheveux si longs, mais ramenés sur sa nuque en catogan. Je lui trouvais plus de charme lorsqu’ils étaient libres, tombant sur ses épaules, sur les photos qu’il m’avait envoyées. Je reviens vers lui, attendant ses ordres.
Lorsque Jennifer revient, je détache la laisse et dégage ses seins ; ses aréoles roses sont assez développées, et ses tétons (d’environ deux centimètres) érigés témoignent de l’excitation qu’elle ressent. Elle reprend sa place sur le lit.
Pour toute réponse, elle écarte ses cuisses et fait glisser son string sur le côté. Sa vulve apparaît ; ses « petites » lèvres sont d’une taille exceptionnelle… Elles sont déjà entrouvertes ; Jennifer finit de les ouvrir avec ses doigts, les étirant au maximum, et les maintient plaquées contre ses cuisses à l’aide de ses majeurs. Ses index ne restent pas inactifs : elle s’en sert pour dégager un clitoris de belle taille qui bande déjà. Cette petite perverse exhibitionniste offre sa vulve écartelée et luisante de sécrétions à mon regard lourd de convoitise.
Elle fait glisser son index le long de ses lèvres qui s’ouvrent encore plus, puis se caresse le clitoris en tournoyant autour de son organe érigé.
À présent, Jennifer se branle le clitoris en me regardant droit dans les yeux tout en me souriant. Parfois, elle passe une langue humide sur ses lèvres gourmandes. Un filet de mouille s’écoule de sa vulve et glisse le long de sa cuisse. Elle gémit.
Je ne peux plus résister à ce spectacle d’un érotisme insoutenable ; je n’ai plus qu’une envie : me jeter sur cette vulve pour la dévorer !
C’est avec surprise que je le regarde détacher délicatement la laisse et agrandir l’échancrure de mon décolleté pour libérer mes seins. Mes tétons sont dressés vers ses mains si douces, espérant une tendre caresse. Je reprends docilement ma place sur le lit.
J’écarte un peu plus mes cuisses et la ficelle de mon string. J’ouvre bien grand ma minette, offrant mon intimité à l’objectif de sa caméra.
Je commence à faire des cercles autour de mon clito déjà bien dur. J’imagine sa langue le lécher et le sucer. Serge se lèche les lèvres d’envie ; il m’excite… Je mouille abondamment sous mes doigts ! J’ai envie qu’il me goûte et de jouir sur sa langue. Mon désir est si fort que j’en gémis ; l’orgasme n’est pas très loin, mais je veux faire durer mon plaisir.
« Oh, que oui ! » Il se rapproche pour me filmer de plus près. J’espère qu’il voit comme je mouille pour lui…
Mes doigts s’approchent lentement de ses lèvres et les écartent délicatement pour ouvrir la corolle de cette fleur vénéneuse qui laisse échapper ses sucs entêtants. Des filets baveux s’étirent entre les replis que je sépare… Je ne peux retenir une exclamation admirative :
De toute ma vie amoureuse – pourtant bien remplie – jamais je n’ai vu de vulve aussi extraordinairement belle que celle de Jennifer. Et pourtant, j’en avais connues, des vulves ! Mais la sienne correspond exactement à mes préférences, à celles qui m’ont fait fantasmer depuis toujours : des lèvres d’une taille démesurée, d’un rose nacré à l’intérieur se transformant progressivement en un gris-mauve sur leur périphérie. Et tellement volumineuses, pesantes et gluantes que je les colle, étalées, sur ses cuisses ouvertes ; son sexe me fait penser à un majestueux papillon aux ailes déployées, prêt à prendre son envol.
Je n’en peux plus d’attendre. Je me précipite sur sa corolle qui palpite ; mais c’est avec la plus grande douceur que ma langue fait connaissance avec cette orchidée épanouie. Hmmm… Enfin !
Quelques subtils allers et retours sur toute sa longueur, puis sur ses lèvres déployées avant de les aspirer tendrement. Je suis comblé : ma bouche est entièrement remplie par cette masse de chairs palpitantes que j’enserre délicatement entre mes lèvres. Ma langue commence à suivre les contours de ces lèvres phénoménales avant de s’immiscer entre elles pour les lécher de l’intérieur tout en les tétant. J’entends Jennifer haleter… Elle gémit lorsque ma langue vient papillonner autour de son clitoris en de subtiles caresses, puis l’aspire tendrement. À présent, je tète alternativement toute la partie supérieure de sa vulve, lèvres et clitoris ensemble, puis sa partie inférieure, périnée et entrée du vagin, dans lequel ma langue s’immisce de plus en plus profondément.
Une pensée m’assaille : « Elle a dû se laver le sexe. Quel dommage… J’aurais préféré me régaler de son goût naturel, certainement plus prononcé que cette saveur aseptisée ! »
Mes caresses buccales se poursuivent longtemps, car c’est une pratique que j’adore ; surtout lorsqu’il s’agit de câliner une vulve aussi exceptionnelle que celle de Jennifer ! Cependant, malgré toute l’habileté dont je me crois capable, je suis incapable de lui arracher le moindre orgasme. Elle m’avait pourtant dit qu’elle était capable de jouir en moins d’une minute… Aurais-je perdu toutes mes capacités ? Cela m’inquiète.
Serge approche doucement ses doigts de ma minette et l’écarte un peu plus. J’ouvre mon vagin pour qu’il le voie mouiller. J’ai envie de sentir ses doigts glisser profondément en moi. Un désir brûlant enflamme ses yeux. Sa langue si douce se pose délicatement sur l’ouverture de mon intimité et commence à lécher, puis sucer mes lèvres.
Humm, tant de douceur… c’est bon ! Je gémis en sentant sa langue caresser mon clito bien dur tandis que ses lèvres l’aspirent doucement. Il lèche soigneusement toute mon intimité, ne se concentrant pas uniquement sur mon clito. Je savoure ce doux plaisir, même si je devine que – de cette manière – je serai longue à jouir. Mais c’est une caresse tellement agréable que je veux bien qu’elle dure plusieurs heures.
Pour une fois, je ne suis pas soumise à un homme qui désire expédier mon orgasme le plus rapidement possible, comme s’il s’agissait d’une vulgaire corvée ; alors, j’en profite !
Après quelques minutes, je n’ai toujours pas d’orgasme ; le désir et le plaisir sont pourtant toujours présents. J’ai envie de sentir ses doigts profondément en moi pendant qu’il me lèche ; mais je refuse de demander quelque faveur que ce soit à mon Maître.
Je viens de procurer à Jennifer de longues caresses buccales qui ne l’ont cependant pas amenée à l’orgasme. Je suppose que mes caresses ont quand même dû la mettre en condition pour recevoir ma verge. Serait-elle plus vaginale que clitoridienne, alors ? Ce n’est pourtant pas ce qu’elle m’avait dit…
Je me redresse et me penche sur elle pour amener mon sexe au contact du sien ; je prends ma verge en main pour guider mon gland turgescent le long de sa fissure gluante, puis je le fais glisser de bas en haut et de haut en bas pendant quelques instants avant de le placer sur son clitoris que je caresse de mon renflement satiné en faisant varier la vitesse et la pression de mes attouchements. Je le place enfin à l’entrée de son vagin, où je le fais aller et venir doucement, mais de plus en plus profondément.
Quelle surprise lorsque je m’introduis en elle : le vagin de Jennifer est aussi étroit et serré que celui d’une jeune fille ! Ses parois m’enserrent délicieusement… J’effectue quelques mouvements de va-et-vient en la pénétrant de plus en plus, mais je me retrouve bientôt au bout de mes possibilités : nos pubis se cognent. J’aimerais la pénétrer plus profondément ; mais que puis-je faire avec un sexe modeste, d’une quinzaine de centimètres ? Je me couche alors sur le dos, et demande à Jennifer de venir me chevaucher : dans cette position, la pénétration est censée être plus profonde.
C’est elle qui mène la danse, montant et descendant le long de ma verge. Mes mains se saisissent de ses seins pour en étirer les tétons… Mais à un moment, ses mouvements se font trop amples et mon sexe est éjecté de son doux fourreau : je me dis qu’avec son mari, elle doit être habituée à une verge plus imposante que la mienne, et que je ne saurai pas la satisfaire avec mon modeste membre. À partir de ce moment-là, doutant de mes capacités à lui procurer un orgasme, j’estime que ce n’est pas la peine de continuer et qu’il me faudra employer une technique différente pour l’amener au plaisir.
Je demande à Jennifer de remonter de quelques dizaines de centimètres afin d’amener sa vulve à hauteur de mon visage, puis de s’abaisser légèrement. Dans cette position, son sexe vient se plaquer sur ma bouche. J’étouffe presque entre ses cuisses. Ses lèvres hypertrophiées se déploient sur mes joues… Je suis bien, là, dans les replis intimes de sa vulve qui palpite et dont les sécrétions intimes coulent sur mon visage et jusqu’au fond de ma gorge. J’aspire les chairs qui s’offrent à moi sans la moindre pudeur ; je me gorge de son délicieux nectar. C’est trop bon… Jamais je ne pourrai être plus heureux qu’en cet instant précis. Ah, comme ce serait doux de mourir noyé, étouffé par cette vulve dégoulinante…
« Ce serait encore meilleur en affinant mes sens au maximum… » pensai-je. Je laisse Jennifer et me dirige à l’avant du camping-car pour apprécier une spécialité afghane que j’avais préparée en vue de cette occasion.
Serge se relève. J’imagine que sa langue est endolorie. J’espère avoir une nouvelle chance de jouir dans sa bouche un peu plus tard. Il prend son sexe dans sa main et se sert de son gland pour caresser ma minette. Je tends mon bassin vers lui, l’invitant à me pénétrer. Son gland glisse doucement dans l’entrée de mon vagin. C’est encore mieux que ses doigts !
Ses va-et-vient sont doux et de plus en plus profonds. Mon intimité l’aspire entièrement. Je comprime les parois de mon vagin afin de le serrer plus encore. Je le sens mieux s’agiter en moi. Je gémis de plaisir. J’ai envie qu’il m’écarte largement les cuisses pour me pénétrer encore plus profondément.
Serge me propose de le chevaucher : j’accepte avec grand plaisir. Je me positionne et le prends en moi. « J’aurais dû prendre le temps de me frotter délicieusement sur sa verge », pensai-je subitement. Comme il entreprend de lents va-et-vient, je l’accompagne et commence à monter et descendre le long de sa verge. Mais après quelques minutes, son sexe est éjecté : je m’y suis évidemment mal prise. Je le réinsère délicatement en moi, et j’ondule doucement du bassin d’avant en arrière. Je sens sa verge caresser les profondeurs de mon vagin.
Je dénoue mon haut et offre mes seins à la caresse de ses mains douces et brûlantes.
Humm, c’est très bon ! Je l’embrasse tendrement. Serge me serre contre lui et rabat les draps sur moi. Je suis bien dans ses bras, contre la douce chaleur de sa peau. Il se retire lentement de moi et commence à caresser ma minette. S’il savait que j’adore ça ! Ses doigts explorent mon intimité ; je me laisse aller à ce plaisir, retenant mon orgasme ; j’ai envie qu’il me caresse longuement…
Serge me propose alors de le sucer. Je m’exécute et lèche délicatement sa verge endormie.
Je le regarde, surprise. Cela ne m’aurait pas dérangée si je supportais la fumée, mais ce n’est pas le cas. Il m’abandonne pour aller fumer une cigarette à l’avant du camping-car.
Lorsque je rejoins Jennifer sous la couette, une intense émotion m’envahit ; une bouffée de chaleur explose en moi… J’éprouve une immense tendresse pour elle ; plus question de domination ni de rapports pervers. La fumée exotique délicieusement épicée m’a éclairci les idées : je me sens incapable de continuer à jouer ce rôle de macho dominateur. Quel mauvais acteur je suis !
Désormais, je ne suis plus qu’un petit garçon désarmé qui prend soudainement conscience des sentiments qu’il avait jusque-là refoulés… Cette belle femme, en plus de la désirer comme un fou, je l’aime. Oui : je l’aime ! Comment des sentiments aussi surannés peuvent-ils s’immiscer dans une relation qui ne se revendiquait que purement sexuelle ?
Profondément troublé, je prends Jennifer dans mes bras et la serre très fort contre moi, longtemps. Très longtemps. J’apprécie le contact de son corps contre le mien, qui m’apaise. Je suis bien. J’accède à un autre univers. Durant un moment incommensurable, nous nous laissons submerger par les vagues tumultueuses d’un océan d’infinie tendresse ; nos baisers, qui n’ont plus rien à prouver, deviennent… sincères.
Serge me rejoint enfin sous la couette. Son lit est vraiment confortable ; je n’ai pas envie de le quitter. Je me blottis dans ses bras, contre sa douce peau de bébé. Nous nous câlinons. Ses lèvres se posent délicatement sur les miennes tandis que ma langue gourmande se fraie déjà un chemin entre elles. Nous échangeons un long et tendre baiser. Je soupire de contentement. Je me sens bien dans cette explosion de tendresse.
Ses lèvres quittent les miennes le temps de me faire des allusions à son âge et au fait qu’il pourrait être mon père, voire même mon grand-père. Je m’attendais à ce qu’il en profite pour me proposer un scénario incestueux, mais non. Sa main se glisse d’elle-même entre mes cuisses. Je m’imagine lui répliquer « Oh ! Papy, t’as pas le droit de me faire ça ! » Cette seule pensée me fait inonder ses doigts. Je le laisse me caresser longuement et je glisse ma main vers sa verge. Ma langue vibre déjà dans ma bouche ; son sexe endormi ne demande qu’à se réveiller entre mes lèvres gourmandes.
Jennifer quitte cependant mes bras pour descendre au niveau de mon bas-ventre. Il me semble lui avoir dit, il y a quelques siècles ou quelques millénaires, que je désirais goûter à la douceur de ses lèvres sur mon vieux gland… Elle s’empare de ma verge en semi-érection et commence à la lécher en me jetant des regards coquins ; dans ces conditions, il me faut peu de temps pour retrouver une rigidité à toute épreuve. Elle se met à alterner des pompages du gland avec des gorges profondes ; le fait que je sois totalement épilé lui facilite la tâche. Elle me branle un peu aussi, sans omettre de placer son pouce sur mon frein (que j’ai très développé et hypersensible). Sachant que je suis toujours en train de filmer, elle pousse le souci du détail jusqu’à relever fréquemment ses cheveux qui pourraient masquer le délicieux traitement qu’elle procure à ma vieille bite !
Au bout d’une minute, elle se met à lécher le pourtour de mon méat, pointant même sa langue à l’entrée de mon urètre. Je sais ce qu’elle va faire : nous en avions déjà parlé. C’est pourquoi je ne suis pas surpris lorsqu’elle dépose de la salive sur son auriculaire et commence à le faire glisser sur l’extrémité de mon gland, tournant autour du méat pour s’en rapprocher de plus en plus. Elle appuie un peu à l’entrée, et son doigt disparaît dans mon urètre jusqu’à la première phalange. Elle le ressort et le réintroduit à plusieurs reprises. Je commence à pousser des gémissements de plaisir.
Jennifer maintient fermement ma verge entre ses doigts, juste derrière mon gland que je vois se déformer tandis qu’elle appuie de plus en plus fort. Sur mon conseil, elle vient déposer un peu plus de salive pour faciliter cette introduction perverse ; un long filet de bave relie mon gland à ses lèvres lorsqu’elle se redresse pour contempler ce qu’elle me fait subir. C’est vrai qu’elle semble très intéressée par ce qu’elle me fait ; qu’elle est belle ainsi, en pleine dépravation…
Elle enserre fortement ma verge dans sa main et force encore plus ; ainsi emprisonné, mon gland devient rouge foncé.
Mon urètre a maintenant absorbé deux phalanges ; Jennifer force encore, mais ne parvient pas à faire pénétrer sa deuxième articulation. Elle n’essaie pas d’aller plus loin, craignant sans doute de me déchirer. Mais elle continue cependant à mouvoir son doigt à l’intérieur de moi en me branlant de l’extérieur avec son autre main, tout en surveillant l’expression de mon visage qui doit traduire ce que j’éprouve sous la délicieuse torture qu’elle m’inflige. Elle sourit et se mord les lèvres en regardant la progression de son doigt, qu’elle fait maintenant coulisser en le faisant pivoter, comme si elle vissait et dévissait…
Pour moi, la sensation est troublante ; je sens mon urètre se dilater en étant caressé de l’intérieur, où Jennifer découvre des zones extrêmement érogènes. Et puis, cette autre main qui coulisse sur ma hampe tout en me triturant le gland lorsqu’elle remonte : le plaisir est immense, et la douleur tout autant ; mais l’une et l’autre sensation se mêlent en un cocktail des plus agréables. Je sens mon sperme monter… Non, ce n’est pas ainsi que je veux jouir.
Sans la moindre hésitation, Jennifer se penche pour emboucher mon gland. Elle l’aspire très fort en me branlant la hampe, puis alterne avec des gorges profondes. À mes gémissements, elle doit penser que je ne vais pas tarder à jouir ; ses mouvements s’accélèrent, mais je tiens à faire durer le plaisir.
M’obéissant instantanément, elle diminue l’amplitude de ses mouvements pour les concentrer uniquement sur mon gland, que je vois entrer et sortir de sa bouche ; elle resserre ses lèvres sensuelles juste derrière la couronne, zone extrêmement sensible chez moi.
Elle continue de me téter le gland en m’envoyant des regards coquins…
Elle recommence une série de gorges profondes, mais un peu trop rapides à mon goût pour que je puisse apprécier à leur juste valeur ces caresses délicates.
Obéissante, Jennifer l’est, assurément. Elle ralentit ses caresses buccales ; ça doit la soulager, car ça fait une dizaine de minutes qu’elle me suce sans discontinuer !
Mes yeux sont fixés sur le champignon obscène de mon gros gland décalotté qui disparaît par à-coups entre les lèvres de Jennifer… Je sens la pression monter… Elle me sourit chaque fois qu’elle laisse mon gland sortir de sa bouche, puis elle me lance des regards effrontés tout en me le léchant pendant qu’elle me branle. Quelle délicieuse petite cochonne ! Elle me branle à présent en faisant virevolter sa langue autour de mon gland. Comment arrive-t-elle à me sourire en même temps, tout en me lançant des regards incendiaires ? Quelle salope ! (mais dans ma bouche, c’est un compliment).
Je commence à souffler comme une vieille locomotive à vapeur ; la jouissance approche… Mes halètements se font de plus en plus rapprochés. Jennifer prend alors ma verge en la serrant fortement dans sa main. Ses doigts glissent lentement sur mon gland brillant de salive tandis que son pouce décrit des mouvements circulaires sur mon frein. Elle observe ma verge avec énormément d’intérêt…
J’émets des gémissements incontrôlables, entrecoupés de halètements irrépressibles. Elle me reprend encore en bouche ; mon regard éperdu de désir et de plaisir suit les mouvements de sa langue sur mon gland… Elle m’amène tout doucement aux portes de la jouissance… Ses lèvres se resserrent autour de mon gland pour l’aspirer avec une puissance incroyable…
Ma jouissance est toute proche. Je vois du sperme s’écouler de mon gland violacé à cinq ou six reprises ; Jennifer en prend une giclée sur le nez… Mais le véritable orgasme n’est pas encore là. Elle continue de me malaxer le gland pendant une quinzaine de secondes avant que l’orgasme me submerge. Mes cris de plaisir se transforment en véritables hurlements ! Jennifer n’arrête pas pour autant ses savantes manipulations : je l’avais bien briefée au cours de nos correspondances enflammées ; elle savait donc ce qu’elle devait faire pour m’amener jusqu’à cette explosion démentielle. Mais elle improvise pour augmenter encore – si c’est possible – mon plaisir : pendant que je hurle sous ses caresses, elle vient me lécher les bourses ! Un flash m’éblouit ; je perds presque conscience…
Puis la tension qui m’avait envahi s’apaise ; je flotte dans un bien-être total… Jennifer revient vers moi pour s’allonger sous la couette. Je la prends dans mes bras et nous nous embrassons tendrement.
(En regardant après coup cette séquence vidéo, j’ai constaté que mon orgasme avait duré une minute et dix secondes, dont cinquante-cinq secondes de hurlements démentiels)
J’écarte la couette pour me glisser vers sa verge, que je découvre enfin : totalement épilée, et circoncise. Exactement comme je les aime ! Sans la toucher de mes mains, je la lèche doucement sur toute sa longueur. Serge attrape son iPhone et commence à filmer.
« Le coquin, il sait que j’aime ça ! Il veut voir une chienne ? Il va être servi ! Son pied, moi, je vais le lui faire prendre comme personne n’a jamais osé ! »
Sa verge vibre sous les caresses de ma langue. J’aspire délicatement son gland entre mes lèvres et commence à le tétouiller, tandis que la pointe de ma langue taquine son frein. Je suis excitée par le désir brûlant qui envahit ses yeux qui m’observent.
J’absorbe lentement sa verge dans les profondeurs de ma bouche, puis je me concentre uniquement sur son gland, que je suce puissamment. Ensuite, je la fais pénétrer entièrement le plus loin possible, tout au fond ma bouche. Je l’entends gémir : il aime ça ! Je continue ce traitement pendant quelques secondes en alternant avec des caresses de la main, le pouce courtisant son frein. Je peux ainsi en profiter pour guetter sur son visage la progression de son plaisir.
Je lèche son membre engorgé sur toute sa longueur. Il est délicieux… Je pourrais le sucer pendant des heures. Mais Serge apprécie un plaisir bien différent de celui que peut fournir une simple fellation : un plaisir que je n’ai encore jamais donné de ma vie, et que j’ai très envie de lui offrir.
Je lèche et suce son gland en veillant à y déposer une grande quantité de salive. Je lèche l’orifice de son urètre, qui s’ouvre sous la pointe de ma langue. Je le titille de l’intérieur. J’aimerais pouvoir rendre ma langue encore plus fine pour le pénétrer profondément. Je mouille mon auriculaire et le caresse avec ce doigt ; je suis surprise par son urètre aussi dilaté. J’y insère lentement mon doigt jusqu’à la première phalange. C’est vraiment très serré, doux et brûlant. Je m’amuse à le ressortir et le réinsérer doucement plusieurs fois. Serge pousse des gémissements. Je lui souris, ravie de découvrir cette nouveauté et de lui donner ce plaisir. Mais j’ai peur de le griffer avec mon ongle.
Je maintiens fermement sa verge dans ma main gauche et j’appuie. Le pauvre gland se déforme sous mes yeux. Serge me conseille de mettre plus de salive ; je fais alors couler un filet de bave dans son urètre et réinsère doucement mon doigt après l’avoir lubrifié. La première phalange y pénètre facilement, sans rencontrer de résistance.
Je serre encore plus fort sa verge dans ma main afin que son gland ne glisse pas entre mes doigts. Le pauvre devient rouge foncé. Mon auriculaire est comprimé dans son urètre où je sens de petites aspérités, comme le point G d’une femme.
Je réussis à enfoncer deux phalanges, mais ne force pas plus, de peur de me casser le doigt. Je décide de le caresser de l’intérieur pour détendre sa chair. La douceur est vraiment très agréable, bien que mon doigt commence à s’engourdir. Je titille les petites aspérités. Je m’aperçois que mon auriculaire déforme sa verge, faisant apparaître une bosse qui en définit les contours. Je branle sa queue de l’extérieur. C’est une bien étrange sensation que je découvre : celle de pouvoir le caresser de l’intérieur et de l’extérieur simultanément. Je sens mon autre main sur mon auriculaire ; je comprends que la paroi est tendre, et pas aussi épaisse qu’elle ne paraît.
J’ai envie d’enfoncer encore plus loin mon doigt pour continuer l’exploration de son urètre. Je serre de nouveau sa verge dans ma main gauche et décris un mouvement de rotation avec mon auriculaire dans le but de l’enfoncer plus profondément. Serge gémit plus fort encore. Je souris en découvrant que je lui donne involontairement encore plus de plaisir. Je sens bien les aspérités sous mon doigt ; j’avais bien deviné qu’il s’agissait d’une sorte de point G.
Toutefois, il m’avait dit auparavant éprouver du plaisir à un niveau encore plus profond. L’idée de sortir les instruments que j’ai apportés pour expérimenter cette exploration perverse s’impose à moi : il s’agit d’une aiguille à tricoter et d’un crochet. J’avais pensé insérer d’abord ce dernier en le faisant lentement coulisser dans son urètre, dans un mouvement de va-et-vient. J’aurais ainsi eu le plaisir de pénétrer un homme sans avoir à toucher son petit trou. Je souhaitais faire la même chose avec l’aiguille, mais plus profondément encore, afin d’atteindre un endroit qui procure un intense plaisir, que Serge m’avait dit avoir à une quinzaine de centimètres de profondeur, soit à la base même de sa verge.
Je retire lentement de son sexe mon doigt engourdi pour le lui proposer, mais il m’interrompt avant même que j’aie pu prononcer la moindre parole.
Sans hésitation, mes lèvres fondent sur son gland que j’aspire très fort tout en le branlant. Puis j’alterne en absorbant vivement sa verge toute entière au plus profond de ma bouche. Ce faisant, ma langue compresse son frein à chaque passage. Ses gémissements, de plus en plus audibles, témoignent de son plaisir. J’adore cela : on ne me résiste pas !
Je le prends entre mes lèvres. Je le tète, le suce et le mordille doucement en regardant Serge qui filme toujours. Il est visiblement très intéressé par le spectacle que je lui offre. Je m’applique de plus belle… Aspirant fortement son gros gland, mes lèvres se referment juste derrière la couronne tandis que la pointe de ma langue fait des va-et-vient sur son frein.
Je continue ainsi en regardant le plaisir inonder ses yeux.
Je recommence à absorber entièrement sa verge en aspirant fortement son gland comme je le faisais précédemment. J’alterne avec des aspirations moins longues et moins fortes.
Sa verge est si délicieuse que je ne m’étais pas rendu compte que j’étais en train de la lui dévorer ! Ma gourmandise me fait sourire. J’adoucis la pression de ma langue et de mes mouvements.
L’extase se lit sur son visage ; son orgasme est très proche. Sa verge est bien raide entre mes doigts et prête à exploser ; mais je ne veux pas qu’il jouisse tant que je ne l’aurai pas décidé.
Je m’amuse à absorber vivement et entièrement par à-coups ce membre gonflé qui tressaute entre mes lèvres. J’alterne en léchant son gland tout en le branlant. Je lui souris en surveillant sa jouissance sur ses traits fins et délicats. Je m’apprête à comprimer sa verge turgescente juste avant le point de non-retour, pour l’empêcher de cracher sa semence : ainsi, un violent orgasme s’emparera de lui sans qu’il ait éjaculé. Je pourrai lui donner ce plaisir plusieurs fois, jusqu’à ce que je désire qu’il me donne enfin son sperme.
Il commence à haleter fortement : sa jouissance est proche. Je serre fortement sa verge dans ma main. Elle glisse lentement entre mes doigts. Je surveille attentivement son gland brillant de salive tandis que mon pouce décrit des mouvements rotatifs sur son frein.
La pression redescend lentement, comme ses halètements. Je le reprends doucement en bouche pour lécher et sucer son gland. Je resserre mes lèvres derrière sa couronne pour l’aspirer fortement. Serge pousse désormais des gémissements incontrôlés.
Je branle tout en douceur cette délicieuse verge lubrifiée de salive. Je sens qu’elle va exploser entre mes doigts. Je la comprime de nouveau avant qu’il n’atteigne le point de non-retour. Trop tard ! Du sperme s’écoule de son gland. Je continue de le caresser, tout en faisant des mouvements circulaires avec mon pouce sur son frein. Serge pousse des hurlements de plaisir ! L’idée qu’on pourrait l’entendre et tenter de le sauver d’une pseudo-agression me fait sourire. Je continue de caresser son frein et sa verge, comme il m’avait dit aimer. J’observe son sperme qui s’écoule en se mélangeant à ma salive. Sa verge brillante glisse entre mes doigts. Un désir m’envahit soudain ; je m’autorise une dernière gourmandise : celle de lécher délicatement ses bourses de la pointe de ma langue tout en le branlant. Il se met à hurler encore plus fort ! Je m’aperçois alors que j’ai du sperme qui coule le long de l’arête de mon nez.
Je reviens m’allonger sous la couette aux côtés de Serge, fière de moi, espérant lui avoir laissé un souvenir inoubliable. Il m’invite dans ses bras où je me blottis tendrement. Nous échangeons de longs et langoureux baisers.
Pendant que nous échangeons des masses de tendresse et de baisers émoustillants, je réalise que Jennifer n’a pas encore eu sa dose de plaisir. Ma main, qui était jusque-là dans son dos, au creux de ses reins, se déplace pour venir caresser une de ses cuisses, d’abord à l’extérieur, puis à l’intérieur. Progressant vers le haut, elle se retrouve à leur jointure où elle découvre le bourrelet de ses lèvres intimes qui dépasse largement de sa vulve. Mes doigts effleurent longuement cette protubérance et, lorsque j’appuie un peu, je sens ses lèvres s’écarter pour me donner accès à un cloaque inondé et brûlant. Mon index glisse doucement dans cette fissure, provoquant d’obscènes clapotis.
Sèchement, ma main vient s’abattre sur cette vulve épanouie. Une claque, pas trop brutale quand même. Jennifer gémit… De douleur, ou de plaisir ? Je suis immédiatement rassuré lorsque je l’entends geindre faiblement « Oui… » Encore quelques légères caresses entrecoupées de claques qui atteignent son sexe selon un rythme imprévisible, et qui la font sursauter chaque fois que ma main s’abat. Sa corolle est à présent totalement ouverte ; j’ai envie de goûter ses pétales et son pistil…
Je demande à Jennifer de s’allonger sur le lit ; quant à moi, je m’agenouille sur la moquette pour être à la bonne hauteur. Une idée perverse me vient.
Jennifer s’exécute ; de ce fait, elle me présente son beau petit cul. Il attire irrésistiblement ma langue, que je passe dans sa raie à plusieurs reprises. Je m’attarde tout en bas, là où je sais trouver son petit trou… Ma langue passe et repasse pour lubrifier son œillet puis, se faisant dure et pointue, elle vient en taquiner l’entrée, la pénétrant sur quelques centimètres. Les réactions de la belle enfant m’indiquent qu’elle apprécie ce traitement ! La pointe de ma langue effectue quelques va-et-vient, puis elle est remplacée par un doigt inquisiteur qui pénètre facilement son orifice secret dilaté ; bien qu’il soit serré, son anus semble cependant très souple. Mon doigt progresse à l’intérieur de la cavité en caressant ses parois. Mon pouce, une fois introduit dans son vagin, me permet de pincer délicatement l’intérieur du corps de Jennifer, mes doigts n’étant séparés que par les fines parois de ses fourreaux intimes. Mais, plus que son cul, c’est sa chatte qui m’attire irrésistiblement : je veux encore me régaler de ses lèvres phénoménales ! Je les désire à l’intérieur de ma bouche… Je l’invite à se retourner.
À nouveau sur le dos, Jennifer ouvre ses cuisses pour me faciliter l’accès à son trésor. Sa corolle épanouie scintille d’envie ; des filets de liquide gluant relient les replis intimes de sa vulve lorsque je joue avec ses lèvres… Ma bouche se pose avec délicatesse sur sa crevasse béante pour en absorber les fluides épicés. Je la bois littéralement : sa vulve est une coupe pleine de nectar… Comme elle est bonne ! Quel délice !
Comme tout à l’heure, je lui procure les caresses les plus subtiles avec mes lèvres ; mais cette fois-ci, j’insère l’extrémité de mon index à l’entrée de son vagin et, tout en la léchant, je la caresse légèrement avec mon doigt. Lorsque je place ma bouche au sommet de sa vulve pour aspirer et taquiner ses lèvres en même temps que son clitoris, mon doigt accélère son rythme à l’entrée de son vagin, mais sans le pénétrer plus profondément.
Je sens la respiration de Jennifer devenir de plus en plus rapide ; son corps se tend et son bassin se soulève pour venir à la rencontre de cette bouche et de ce doigt qui l’amènent doucement, mais sûrement, au plaisir. Ses gémissements viennent me confirmer qu’elle jouit ; ma bouche se remplit d’un flot de nectar intime que j’avale avec délectation… J’enfonce mon index le plus loin possible à l’intérieur de son vagin et je l’agite dans tous les sens jusqu’à ce que les soupirs de la belle enfant remplacent ses gémissements. Elle a eu un orgasme, mais assez discret. Et moi qui croyais qu’elle criait aussi fort que moi… Peut-être m’y suis-je mal pris ?
Les mains de Serge caressent lentement mes fesses, mes cuisses et mon entrejambe tandis que nous nous embrassons langoureusement. Ses doigts habiles glissent sur mon clito et mon intimité qui s’ouvre de désir. Le plaisir m’embrase de sa douce chaleur. Mon clito érigé frémit sous ses tendres caresses. Un clapotement indécent envahit l’habitacle. Je soupire faiblement entre les lèvres délicates de Serge qui m’embrasse passionnément.
Sa main claque brutalement mon clito, m’arrachant un petit cri de douleur ; puis ses tendres caresses reprennent. Cette punition, qui se répète plusieurs fois, m’entraîne vers une sensation inconnue où le plaisir et la douleur s’enlacent tendrement.
Serge me demande de m’allonger sur le ventre. Ses mains douces et chaudes effleurent mes fesses. Sa langue vient caresser lentement ma raie, puis faire des cercles autour de mon petit trou. Je le sens se dilater doucement sous l’agréable caresse, puis s’ouvrir délicatement sur le passage de l’inquisitrice qui s’insère dans mes profondeurs secrètes, me faisant gémir de désir.
Un doigt vient prendre la relève ; il masse doucement mon anneau en partant lentement à l’exploration de mes parois qui s’élargissent graduellement sur son passage. Cette intrusion progressive me procure énormément de plaisir. Ces profonds mouvements de rotation me dilatent totalement. L’intensité de mes gémissements augmente… Le désir si puissant de sentir son sexe glisser dans le doux fourreau de mon rectum me porte vers une jouissance imminente. Son doigt se retire lentement ; je tends alors instinctivement mes fesses, prête à accueillir sa verge en moi.
Mais au lieu d’introduire son sexe dans mon anus palpitant, Serge pose ses mains sur mes hanches pour m’inviter à me retourner sur le dos ; sa langue vient alors lécher ma minette. Il aspire délicatement mes lèvres entre les siennes tout en suçant mon clito, puis il insère un doigt à l’entrée de mon vagin et entame de lents va-et-vient. D’indécents clapotis se font entendre, couvrant mes gémissements.
Les succions de Serge se font plus précises, comme les pénétrations de son doigt en moi. Je me sens inonder sa langue et sa main ; le plaisir m’envahit de sa douce chaleur. Inconsciemment, je retiens l’orgasme, souhaitant faire durer le plus longtemps possible les délicieuses caresses de sa langue. Comme il s’applique à me les prodiguer depuis plusieurs minutes déjà, j’imagine que sa langue si agile doit commencer à s’engourdir…
« Laisse-toi aller, suggère une petite voix dans ma tête. Tu sais qu’il t’aime… Jouis pour lui ! »
Mon corps s’enflamme et se tend vers sa bouche. J’ondule du bassin pour accompagner les caresses de son doigt fiché en moi, ces caresses qui s’intensifient et deviennent de plus en plus profondes ; elles m’arrachent des gémissements de plaisir. Je jouis dans la bouche de Serge, ma main dans ses longs cheveux argentés, et mes yeux dans les siens. Son regard me réchauffe par sa tendresse qui laisse présager un amour qui ne demande qu’à s’épanouir.
La belle, la sublime Jennifer doit bientôt repartir pour chercher ses filles à l’école. Jusqu’au dernier moment, nous restons dans la douce chaleur de nos corps enfin apaisés qui s’étreignent sous la couette. Un moment de pur bonheur, de plénitude ; mais également d’amertume car nous savons qu’il nous sera extrêmement difficile de nous revoir.
Un coup de poignard me transperce le cœur lorsque la sonnerie du téléphone de Jennifer lui indique qu’il est 11 h 10 : l’heure de redevenir la respectable mère de famille, l’épouse (presque) fidèle dont elle souhaite donner l’image. Mais moi, je la connais sous un tout autre jour !
Je me lève pour la laisser descendre de la couche qui a connu nos ébats. Bien vite, trop vite, elle se rhabille. Lorsqu’elle est prête à affronter le monde extérieur après avoir connu cette parenthèse de volupté, je la prends une dernière fois dans mes bras pour la serrer tout contre moi et déposer un ultime baiser sur ses lèvres sensuelles qui, il y a quelques minutes encore, formaient un délicieux collier à mon gland…
Ça y est ; elle est partie. Je regarde avec nostalgie sa silhouette s’éloigner en s’estompant dans la grisaille et la pluie. Elle est partie… Mon tourment commence.
Pour prolonger les moments d’exception que je viens de partager avec Jennifer, je me plonge dans les vidéos que je viens d’enregistrer. Ah, combien de cigarettes vais-je devoir fumer pour tenter de calmer ma nervosité et mon désarroi…
Nous sommes encore sous la couette… Ces quelques heures passées entre les bras de Serge m’ont apaisée ; elles se sont déroulées encore mieux que tout ce que j’avais pu espérer. Je me blottis dans ses bras accueillants pour passer les dernières précieuses minutes ensemble à nous embrasser langoureusement, sa douce peau de bébé tout contre la mienne.
La sonnerie de mon portable nous ramène à la dure réalité. Je quitte difficilement la couche chaude et confortable qui a accueilli nos plaisirs pour repasser mes vêtements de mère de famille et d’épouse (presque) fidèle.
Les bras de Serge m’attirent dans une tendre étreinte, me serrant tout contre lui.
Ces mots – qu’il m’avait écrits au début de notre relation – font leur chemin en moi : « Si un jour le besoin se faisait trop pressant, pour toi comme pour moi, il faudrait alors nous résoudre à rendre ce fantasme réel ; ce qui reviendrait à le détruire. »
La crainte que nos échanges virtuels cessent – ces échanges qui me sont devenus aussi indispensables que l’air que je respire – me submerge.
Dix heures de conduite sur autoroute au volant du camping-car et deux paquets de Marlborough plus tard, je suis arrivé chez moi. Après cette merveilleuse matinée dont je resterai à jamais reconnaissant envers Jennifer, la vie monotone a repris son train-train quotidien. Bien sûr, nous correspondons toujours ; bien sûr, nous pourrons même avoir des rapports érotiques virtuels sur MSN via nos webcams. Mais ce n’est pas pareil. Un pis-aller…
Je l’avais bien prévenue, pourtant : cela ne devait être qu’une histoire de cul, uniquement de cul, et rien d’autre. Surtout ne pas y mêler de sentiments. Trop dangereux ! Facile à dire… mais beaucoup plus difficile à faire. En fait, je crois que c’est surtout moi que j’essayais de convaincre lorsque j’avais averti Jennifer.
Je ne sais plus où j’en suis… C’est que j’y tiens, moi, à cette petite conne !
On verra bien… Mais je sais que je suis prêt à tout, ne serait-ce que pour revivre quelques heures aussi torrides que celles que j’ai partagées avec TOI, Jennifer !
Dans les heures qui suivent, mon esprit et mon corps sont encore dans les bras de Serge. Sa douce odeur m’enveloppe, comme une bouffée d’air frais ; mon oxygène s’en trouve purifié.
Dans les jours qui suivent, Serge me déclare sa flamme : je n’en suis pas surprise ; plutôt touchée. Je ne suis pas une femme extraordinaire ; pourtant il dépose ses armes à mes pieds et se présente nu devant moi, avec ses sentiments pour uniques vêtements, ses sentiments qui me sont plus précieux que tout l’or et les diamants du monde.
Beaucoup de questions se bousculent dans ma tête. Pour moi, c’est un amour sans avenir : j’ai ma famille, que je ne désire pas quitter. Et puis, il y a cette différence d’âge, sa femme et ses enfants. J’ai peur de le voir souffrir s’il m’idéalise trop, s’il garde l’espoir de voir naître une grande histoire d’amour entre nous.
Les semaines passent ; nos conversations par mails et MSN se poursuivent. Mais l’un de ces échanges vient bouleverser notre relation. Le voici :
Serge : « Tu me dis avoir eu peur de me voir quitter ma femme pour toi si tu n’avais eu aucune attache. La question ne se pose pas, étant donné que des attaches, tu en as. Et même sans attaches, tu ne m’aurais pas accepté à tes côtés puisque tu n’éprouves pas d’amour pour moi. Je ne serai pour toi qu’un objet sexuel ; mais de là à me supporter à longueur de temps, c’est une autre paire de manches ! »
Jennifer : « Mon pauvre Serge, je ne me souviens pas avoir dit que tu serais, as été, es, ou seras pour moi uniquement un objet sexuel. Tu balaies de la main ma tendresse et mon affection, comme si elles n’avaient jamais existé. Pour une fois que je ne fais pas dans le tout ou rien – « tout » étant « éperdument amoureuse » et « rien » étant « objet sexuel à usage unique » – et que je te trouve une place exceptionnellement proche du « tout », je suis déçue. Surtout que je t’ai dit que ce sont des sentiments qui pourraient éventuellement évoluer, même basculer, dans le « éperdument amoureuse » si je les laisse évoluer. Et comme je ne peux empêcher mon cœur d’aimer, va savoir si je ne te déclarerai pas ma flamme éternelle dans une semaine ou un mois… »
Serge lit cette première déclaration d’affection et de tendresse pendant que nous discutons sur MSN en vue d’organiser une prochaine rencontre, qu’il espère d’une durée plus longue (ce qui m’est impossible et nous frustre tous les deux). Il doute alors de ma sincérité. Ses mots me blessent : il détruit la forteresse que j’avais solidement élevée autour de mon cœur.
Je lui avoue alors que je tiens à lui beaucoup plus que je ne l’aurais souhaité. Ces sentiments, que je me refusais d’éprouver, m’explosent alors au visage en une myriade de couleurs vives et lumineuses.
Quand deux dangereux pervers comme nous se rencontrent, c’est aussi torride physiquement que sentimentalement !
Depuis, nous passons énormément de temps à discuter sur MSN (jusqu’à cinq heures par jour). Ce n’est que récemment que Jennifer – pour la toute première fois – a fait exploser mon cœur en m’écrivant :
Le lendemain, elle m’écrivait « Je n’espérais pas tenir à toi. J’espérais ne pas t’aimer autant, si tôt. Je ne sais pas pourquoi je tiens à toi. J’en voulais pas, moi, de ces sentiments ! Je t’aime, mon petit voyou ! »
Pas plus tard qu’hier, son dernier SMS se terminait par « je t’aime, je t’aime, je t’aime, je t’aime, je t’aime, je t’aime, je t’aime !!! »
À présent, nous sommes sur la même longueur d’onde ; nous discutons sans complexes des sentiments que nous partageons l’un pour l’autre. Nous nous désirons ardemment… mais 750 kilomètres nous séparent. Pour satisfaire les besoins que nos cœurs et nos corps appellent si fort, nous ne pouvons plus nous contenter de rencontres furtives…