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n° 15304Fiche technique53826 caractères53826
Temps de lecture estimé : 32 mn
26/11/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Confrontée à un dilemme, une jeune femme va le dépasser et parvenir à s'épanouir et dépasser ses limites personnelles.
Critères:  fh magasin caférestau boitenuit jardin noculotte fépilée hépilé plage amour exhib miroir nudisme intermast fellation 69 pénétratio journal -initiatiq -amourpass
Auteur : Zwico  (Tout le plaisir, tous les plaisirs)            Envoi mini-message
Pas à pas

Avant-propos



C’est en lisant un témoignage sur un forum de discussion

(http : //forum. Doctissimo.fr/viepratique/travail/travail-soutien-gorge-sujet-8433-1. Htm) que l’idée de ce récit m’est venue. La sincérité de son témoignage m’avait ému. Souvent, je me suis demandé ce qu’elle était devenue. Je l’ai imaginé à ma façon.




– 1 –




Mon stage de formation vient de se terminer, un stage de serveuse en bar-restaurant. Un métier qui pourrait sembler ingrat, mais qui me plaît énormément. Ma patronne, patiente et pédagogue m’a appris tout le métier et est très satisfaite de moi. D’ailleurs, elle me propose immédiatement un contrat en CDI. Ça c’est la bonne nouvelle, car à part cela, elle me recommande aussi de ne plus porter dorénavant de soutien-gorge pendant le service, comme les autres serveuses de son établissement. Selon elle, cela incite les clients à rester plus longtemps et à commander à nouveau, ce qui permet d’augmenter la part de rétribution variable. Maintenant, elle ne m’oblige à rien, je peux aussi garder mon soutien-gorge, mais dans ce cas elle m’assure que je gagnerai moins à la fin du mois car je ferai moins de chiffre d’affaire.


Je regarde ma patronne, elle n’a pratiquement pas de poitrine, difficile de savoir si elle porte un soutien-gorge ou pas, mais dans son cas, ce n’est pas un problème. Pour moi, c’est tout différent, j’ai une poitrine assez développée, je porte du 95C, et je sais donc pertinemment que si je ne mets pas de soutien-gorge, tout le monde se rendra compte que je n’en porte pas. Comme nous sommes assises à une table du bar pour discuter, j’observe les deux autres serveuses en salle à ce moment, elles ont beaucoup moins de poitrine que moi, mais c’est vrai qu’en y faisant attention, leurs seins semblent être en liberté sous leurs blouses. Je pourrais supposer que ce sont leurs soutiens-gorge qui ne les tiennent pas, mais avec ce que je sais maintenant, je me doute bien qu’elles n’en portent pas du tout.


Ma journée de travail est finie. Je rentre chez moi assez préoccupée et je ne vais cesser d’y penser durant toute la soirée, à tel point que j’aurai le plus grand mal du monde à m’endormir. Ce n’est pas facile de trouver du travail en ce moment, c’est bien pour cela que j’ai accepté un stage de reconversion. Je suis sur le point de trouver un bon poste, bien payé, ce serait quand même dommage de le refuser. Je pourrais aussi venir travailler avec un soutien-gorge, mais paradoxalement, je crois que cela me mettrait presque plus mal à l’aise que de ne pas en porter. Que faire ?


Je ne vais quand même pas porter plainte aux prud’hommes, de toute façon elle ne m’oblige à rien. C’est juste la part variable de mon salaire qui sera moindre d’après ce qu’elle m’a dit. Ce n’est pas du chantage puisque la part variable ne dépend que de mon travail. Porter plainte ne m’amènerait à rien et ne me ferait rien gagner. Après des années de galère, de petits boulots, de faux amis qui vous lâchent dès qu’il y a un problème, je voudrais bien retrouver un peu de sérénité et conserver mon indépendance. Quitter enfin cette vie précaire et espérer un avenir meilleur. De toute façon, elle ne me demande rien de malhonnête, je ne travaille pas dans un bar à putes, il s’agit d’un café-restaurant tout à fait respectable, même si je me doute maintenant que certains habitués viennent ici parce qu’ils savent que les serveuses ne portent pas de soutien-gorge.


Le lendemain matin, lorsque je me présente au travail, je sais que je signerai le contrat dans le courant de la journée. En attendant, dans le vestiaire, je me pose une dernière fois la question. Que faire ? Je me demande vraiment si le simple fait de ne pas porter de soutif va augmenter le nombre de commandes passées par les clients. Je suis d’un naturel curieux. Je tente le coup pour la journée, je range donc mon soutien-gorge au vestiaire avant d’enfiler ma blouse de travail. Ce premier jour sera vraiment été très pénible pour moi. Ma poitrine est un peu volumineuse et bouge pas mal à chacun de mes mouvements. À cause de la caresse du tissu, je sens régulièrement mes tétons durcir. Heureusement, ma blouse est suffisamment épaisse pour qu’on ne les voie pas pointer. Lorsque, le soir venu, je reprends mon soutien-gorge, c’est avec une sensation de réconfort, cette journée aura quand même été assez éprouvante.


Le second jour, j’ai encore pas mal réfléchi dans le vestiaire, mais j’ai retenté l’expérience. Cela a été long mais j’ai fini par m’y faire au bout de quelques jours. Laisser mon soutien-gorge dans mon casier en prenant mon service est maintenant devenu une habitude. Ma patronne l’a constaté, elle avait préféré ne pas m’en parler les premiers jours pour me laisser le temps de m’habituer mais aujourd’hui, elle m’a félicitée pour ma décision et m’a demandé ce que j’en pensais. Je reconnais qu’elle avait bien raison, les clients ont souvent tendance à commander une deuxième consommation pour que je revienne vers eux. Les hommes sont vraiment trop faciles à manipuler, c’en est presque risible. Elle me raconte alors quelques anecdotes sur le sujet et nous en rigolons sous le regard étonné des clients qui, heureusement, ne peuvent nous entendre. Finalement, je ne regrette pas ma décision car je me sens mieux intégrée à l’équipe maintenant.




– 2 –




Un soir en quittant le travail, je me sens d’humeur assez guillerette, j’ai envie de me faire un peu plaisir. Le travail me plaît bien et j’ai réussi à surmonter l’angoisse que j’avais à l’origine à l’idée de ne pas porter de soutien-gorge. Lorsque je passe devant le fleuriste situé un peu plus haut, l’envie me vient de m’acheter des fleurs pour égayer un peu mon appartement. Le jeune homme qui s’occupe de moi est assez mignon et j’ai l’impression qu’il me regarde souvent du coin de l’œil pendant qu’il prépare mon bouquet. Probablement parce qu’aujourd’hui, je porte un décolleté mettant en valeur ma poitrine, je pense même qu’il a dû voir mon soutien-gorge, mais il vaut mieux en porter un avec une telle tenue. Je rentre chez moi encore plus enjouée, ne cessant de repenser à ce joli fleuriste.


Depuis ce jour, je regarde dans son magasin chaque fois que je passe devant, donc avant et après mon service. Il s’en est certainement rendu compte car je le vois plus souvent dehors, en train de ranger ses fleurs, ce qui nous permet de nous dire bonjour.


Un mois s’est écoulé. Il s’est passé deux choses importantes cette semaine, l’une moins agréable que l’autre. D’une part, j’ai reçu deux nouvelles blouses pour renouveler ma tenue de travail. Même si la coupe est la même et que les couleurs sont identiques, j’ai la nette impression que le tissu est plus léger. La première fois que je l’enfile, je m’observe dans la glace et je m’aperçois que je devine la pointe de mes tétons à travers le tissu. Je me sens à nouveau gênée, comme lors des premiers jours, lorsque je prends mon service. J’observe discrètement mes collègues et je réalise que chez elles aussi, les tétons semblent légèrement plus visibles.


L’autre chose importante et cette fois-ci agréable, c’est que j’ai réussi à me lier d’amitié avec le fleuriste. Niels m’a proposé de dîner ensemble, ce que je me suis empressée d’accepter. Après ce premier repas, nous nous sommes revus presque tous les jours et la soirée s’est terminée chez lui au bout d’une semaine. Je n’avais jamais vraiment eu de petit ami, juste quelques relations passagères, et cela commençait à sérieusement me peser. Je dois avouer que j’ai pris un grand plaisir avec lui, son sexe est de belle dimension et il sait s’y prendre avec tendresse et douceur, sans brusquer les choses. Je pense que son métier de fleuriste y est pour beaucoup.


Maintenant, lorsque j’embauche ou que je débauche et que son magasin est ouvert, je passe voir mon petit fleuriste. Nous nous embrassons tendrement et nous ne résistons guère à la tentation de nous caresser dans l’arrière-boutique. Le seul problème, c’est que j’arrive encore assez excitée au travail, les tétons bien durcis, et cela se voit encore plus à travers ma nouvelle tenue, mais j’y suis maintenant habituée.


C’est alors qu’un jour, en début de matinée, Niels entre dans la salle et me commande un café. Je suis assez surprise de le voir ici pour la première fois, mais la raison en est toute simple : la machine à café qu’il a dans l’arrière-boutique est tombée en panne. Tandis que je le sers, je remarque que son regard est porté sur ma poitrine. Je sens l’excitation monter en moi, mes tétons commencent déjà à durcir. Je m’efforce de limiter mes mouvements afin que la caresse du tissu ne s’ajoute pas à mon excitation.


Lorsque je quitte le travail, son magasin n’est pas encore fermé. Nous nous embrassons avec fougue, je le sens plus empressé que d’habitude, ses mains parcourent mon corps et me caressent la poitrine. C’est alors qu’il me dit être surpris que je porte un soutien-gorge. Même si je m’attendais à une réaction de ce genre après qu’il m’ait vue au service ce matin, je m’attendais plus à ce qu’il me demande pourquoi je n’en portais pas au travail. Je lui explique donc la raison de tout cela. Il comprend et accepte mon choix, ce qui m’apaise. Par contre, il ne comprend pas pourquoi je continue à porter un soutien-gorge en dehors du travail. Une telle réaction me surprend un peu, mais bon, les hommes sont tous les mêmes. Il me demande alors de retirer mon soutien-gorge avant de repartir, mais je refuse. Il semble plutôt déçu de mon comportement, mais bon, j’ai mon caractère et il le sait, je ne vais quand même pas accepter tout ce qu’il me demande.


Le lendemain matin, lorsque je passe voir Niels avant d’embaucher, il me demande à nouveau de retirer mon soutien-gorge, arguant qu’il n’y a que cent mètres jusqu’au café. J’accepte donc, cette fois-ci, pour lui faire plaisir. Il m’embrasse fougueusement et me caresse de partout, je sens bien que cela l’excite au plus haut point. Le soir en débauchant, il est déçu que j’aie remis mon soutien-gorge, que j’aurais pu ne le remettre qu’en partant de chez lui. Je note cela et les jours suivants, je retire mon soutien-gorge en arrivant dans son magasin et je ne le remets que lorsque je repars de chez lui le soir. C’est ainsi qu’au bout de quelques jours, je prends l’habitude, si je sais que je vais débaucher avant que son magasin ne soit fermé, de laisser mon soutien-gorge chez lui plutôt que de lui faire faire un aller-retour jusqu’au bar dans mon sac à main.




– 3 –




En cette fin de semaine, nous avons prévu de sortir ensemble. J’ai donc acheté une jolie robe spécialement pour l’occasion. Une robe claire et légèrement moulante qui me vaut des commentaires élogieux de la part de mon petit ami. C’est le cœur léger que je lui confie mon soutien-gorge pour la journée. Mais le soir venu, lorsque je reviens au magasin, je ne parviens pas à le retrouver. Il m’annonce alors fièrement qu’il l’a caché et que ce n’est pas grave puisque nous allons sortir ensemble, sa voiture étant garée devant le magasin. J’accepte, mais sans avoir vraiment le choix, et cela me contrarie quand même pas mal.


Finalement, la soirée se passe pour le mieux. Je ne l’ai jamais vu aussi amoureux, je pense que c’est à cause de ma tenue. Ma robe est assez serrée, moulant délicieusement ma poitrine en liberté et le tissu est assez fin pour que mes tétons pointent effrontément. Arrivés en discothèque, Nils ne tarde pas à m’entraîner face à un grand miroir, je réalise alors que mes aréoles se devinent lorsque l’éclairage est assez intense et qu’elles deviennent nettement visibles dès qu’il y a de la lumière noire. Sur le coup, je me sens plutôt gênée de m’exhiber ainsi. Mon chéri m’amène alors au bar et me fait remarquer que les serveuses portent des blouses nettement plus transparentes que ma tenue. L’une d’elles ne porte même pas de soutien-gorge, on devine assez bien sa poitrine sous le tissu léger, et cela ne semble vraiment pas la déranger. Heureusement que je n’ai pas une telle tenue pour faire mon service, je n’aurais jamais accepté mon emploi.


Très excités une fois sortis de la discothèque, nous nous arrêtons en pleine campagne pour faire l’amour, la pleine lune étant complice de nos ébats. Niels insiste pour que je reste habillée car cela l’excite de me caresser le corps et les seins à travers le tissu de ma robe, quant à moi, cela m’arrange car la nuit est un peu fraîche. Je retire donc ma petite culotte et lui confie car je n’ai pas de poches. Visiblement aussi excités l’un que l’autre, nous faisons l’amour assez violemment et sans préliminaires. Je ne sais pas pourquoi mais mon plaisir ce soir-là est largement plus important que d’habitude. Est-ce parce que nous le faisons en pleine nature, est-ce parce que je suis habillée, est-ce parce que je n’ai pas de sous-vêtements, ou est-ce la combinaison de tout cela ? Je ne sais pas trop.


Après notre jouissance, nous retournons à la voiture et ce n’est qu’une fois assise que je réalise que je n’ai pas remis ma culotte. Comme nous roulons déjà, il refuse de la sortir de sa poche pour me la rendre. Mon chéri me propose alors de prendre un dernier verre en ville avant de rentrer. J’accepte. Une fois sur place, il ne veut toujours pas me rendre mon sous-vêtement. Je devrais lui en vouloir, mais insidieusement, je commence à trouver cela agréable. Nous nous installons donc côte à côte à une table du pub où nous sommes entrés. À peine sommes-nous assis qu’il me caresse les cuisses, je le sens décidément très excité ce soir. Ma main s’aventure sur son entrejambe, la bosse dure au niveau de sa braguette me confirme ce que je supposais. Pendant ce temps, sa main s’est insinuée entre mes cuisses et sans plus attendre il introduit ses doigts entre mes lèvres. Je ne peux réprimer des gémissements de plaisir, heureusement que la musique est assez forte.


Lorsque nous sortons de l’établissement, je suis terriblement excitée car Niels n’a cessé de me masturber. Je ressens le désir de me faire pénétrer sans plus attendre et je lui en fais part. Nous nous rendons donc immédiatement dans un jardin public proche, bien évidemment fermé en pleine nuit, ce qui nous oblige à enjamber les barrières. Je dois alors remonter ma robe pour pouvoir écarter assez les cuisses. Mon chéri, qui est face à moi et m’aide à passer, peut alors profiter d’une superbe vue sur ma touffe, ce qui ajoute encore à son excitation. Le temps de gagner un lieu ombragé, je m’agenouille sur un banc public et il me prend par derrière sans plus attendre, son sexe est déjà raide. À nouveau, notre jouissance est rapide et intense.


Nous rentrons chez lui en voiture, je n’ai toujours pas remis ma culotte. Toujours excités, nous faisons une dernière fois l’amour, cette fois-ci dans un lit, mais à sa demande je garde ma robe. Nous terminons notre soirée en beauté. Après deux pénétrations éclair, nous prenons tout notre temps cette fois-ci pour profiter d’un rapport plus tendre et plus passionné.




– 4 –




Les jours ont passé et nous nous voyons maintenant tous les soirs. Nous ne vivons pas encore réellement ensemble, mais c’est tout comme. Niels est toujours le premier à aller au travail, il faut bien s’occuper des fleurs. Je pars plus tard, cela dépend si je prends mon service en début ou en fin de matinée, et je retrouve mon chéri à son magasin pour une petite étreinte avant d’aller travailler. Tous les matins, je mets un soutien-gorge pour aller jusqu’au magasin de Niels et je le reprends pour rentrer le soir. C’est ainsi qu’un matin, alors que je risque de rater mon bus, je décide de ne pas mettre de soutien-gorge pour gagner du temps. Comme je porte une veste dessus mon chemisier, cela ne se verra pas. J’ai pourtant l’impression que tout le monde me regarde dans le bus, mais il faut bien reconnaître que je fais plus attention aux autres passagers que d’habitude. Évidemment, mon fleuriste adoré s’en rend immédiatement compte et commence déjà à bander alors que je ne l’ai même pas encore touché. J’apprécie énormément l’effet que je luis fais, cette érection est comme un compliment pour moi.


Lors de mon retour en bus, je réalise que les gens ne me regardent pas plus que d’habitude, je devais être trop anxieuse ce matin. Finalement, c’est plutôt agréable de ne pas mettre de soutien-gorge. Je ne suis plus gênée par les bretelles et l’armature et puis je gagne du temps pour m’habiller. Et ce d’autant plus que je devais mettre un soutif deux fois par jour, une fois le matin pour aller au travail et une fois le soir pour en repartir. En fait, il suffit juste de choisir une tenue qui les maintient un peu et juste assez épaisse pour que l’on ne voie pas les tétons pointer, et le tour est joué. Au bout de quelque temps, cela devient naturel pour moi de ne plus du tout mettre de soutien-gorge, de toute façon j’avais déjà pris l’habitude de ne plus en porter au travail. Même pour aller faire des courses, je ressens un réel plaisir à laisser ma poitrine en liberté. Souvent le tissu de mes vêtements me caresse la poitrine, je sens que mes tétons durcissent alors. Si je suis seule à ce moment-là, j’en profite pour faire rouler le bout de mes seins entre mes doigts. Je sens qu’ils se raffermissent encore un peu plus sous l’effet de mes caresses et cela m’excite terriblement.


Nous sommes maintenant en plein cœur de l’été, les températures sont assez élevées. Jusqu’à présent, je n’avais jamais porté de tenues d’été sans soutien-gorge, je laissais ce genre de fantaisie à celles qui ont des petites poitrines, mais moi je n’osais pas. Pourtant, je ne m’imagine pas reprendre un soutien-gorge sous une tenue légère, il fait déjà assez chaud comme cela, inutile d’ajouter une couche supplémentaire. Je ressors donc mes débardeurs et sélectionne les plus serrés, je préfère porter une tenue trop moulante qu’une tenue qui laisse ballotter mes seins.


En arrivant au travail, ma patronne se rend immédiatement compte que je ne porte pas de soutien-gorge. Mes tétons sont d’autant plus visibles que mon chéri vient de jouer avec et de jouir en moi comme presque tous les matins avant d’arriver au travail. Elle s’approche de moi et me sourit. Je lui confesse que je n’en mets plus depuis quelque temps. Elle me dit qu’elle s’en doutait un peu et me félicite de faire maintenant partie de la grande famille des sans-soutifs. Elle ajoute ensuite qu’elle fait aussi partie des sans culottes, certaines de ses serveuses aussi. Même si je n’en suis pas encore là, cette révélation va me perturber une partie de la journée, j’essaye de deviner quelles sont celles qui ne portent aucun sous-vêtement, mais sous nos blouses, ce n’est pas facile de le savoir.


En débauchant, je retrouve mon amour. Il apprécie énormément ma petite tenue d’été et me pénètre immédiatement comme il l’a déjà fait ce matin. Il me laisse ensuite partir à regret, mais ce n’est que partie remise, une heure plus tard il me rejoint à la maison. Toujours aussi excité, il me pénètre sur un des meubles de cuisine, puis il me propose de faire un tour en ville après le repas. En fait, il ne se passe pas une soirée sans que nous fassions une petite balade et systématiquement nous en profitons pour faire l’amour dans des lieux incongrus : sur les remparts, sous une porte cochère, dans une cabine téléphonique, dans le bus, dans un parking souterrain. Si les magasins ne sont pas encore fermés, nous allons aussi dans les cabines d’essayage ou carrément dans un rayon désert, d’ici quelque temps, nous aurons fait tous ceux du centre-ville. Mes petites tenues légères sont pratiques, s’il s’agit d’un débardeur, Niels le remonte pour jouer avec mes seins, si c’est un chemisier, je le déboutonne. Il n’y a que ma culotte qui pose problème puisqu’il faut quand même que je la retire avant qu’il me prenne, mais généralement, je rentre ensuite à la maison le cul nul, depuis ce que m’a dit ma patronne, cela me semble moins pervers.




– 5 –




Nouvelle fin de semaine. Je sais que nous allons à nouveau sortir ce soir. Je me suis trouvé une robe moulante noire, assez sexy avec son dos échancré, impossible de porter un soutien-gorge avec une telle robe, raison de plus pour ne plus en mettre. J’ai vraiment envie de renouveler l’expérience sexuelle de notre précédente sortie. Le soir venu, au moment de quitter le travail, dans le vestiaire, je retire ma culotte et la laisse délibérément dans mon casier pour ne pas être tentée de la remettre ensuite.


Lorsque je retrouve mon chéri, il commence immédiatement à fantasmer sur ma nouvelle robe et son dos dénudé, mais je ne lui dis pas que je ne porte pas de culotte, je préfère qu’il le découvre, je pense qu’il appréciera la surprise. Ses mains s’aventurent partout sur mon corps, il ne tarde pas à me caresser les fesses. Il marque soudain un temps d’arrêt. Il a dû remarquer qu’avec la finesse du tissu, il aurait dû sentir la couture de ma culotte. Il fait alors passer ses mains sous ma jupe et la fait remonter tout en me caressant les fesses. Il m’embrasse alors tout en me susurrant plein de mots doux et cochons à l’oreille. Je suis ravie du petit effet que je viens de lui faire. Je palpe son sexe et j’ai la confirmation qu’il est déjà en érection. Sans plus attendre, portés par un désir violent, nous faisons l’amour dans l’arrière-boutique. Un coït intense de quelques minutes, mais qui m’emporte très haut dans les sphères du plaisir.


C’est l’esprit encore embrumé par la jouissance que nous quittons son magasin pour nous rendre en centre-ville. La soirée commence au restaurant. C’est drôle, maintenant que je suis serveuse toute la semaine, cela me fait bizarre d’être servie. Assis face à face, nous ne pouvons pas nous caresser mutuellement, pourtant ce n’est pas l’envie qui nous manque. Mon chéri me faisant remarquer que ce soir, je ne porte pas de culotte, je remonte légèrement ma jupe, me place au bord de la table et entrouvre discrètement les cuisses pour lui dévoiler mon intimité. Son excitation grandit, je sens qu’il serait prêt à me prendre là, sur la table.


Malheureusement, il y a d’autres clients et je doute fort qu’ils apprécient un tel spectacle. J’ose alors me caresser le sexe sous ses yeux écarquillés. Il ne peut rien faire, même pas se masturber, de son côté les autres clients pourraient s’en rendre compte. Il sort alors son stylo-plume de la poche de sa veste et me le confie, je devine ce qu’il souhaite que je fasse avec. Je prends entre mes doigts l’outil d’écriture et me l’introduis profondément. Ce n’est pas qu’il soit bien gros, mais étant donné mon état d’excitation, je ne peux refréner un léger gémissement de plaisir. Lorsque je le lui rends, tout gluant, il prend plaisir à le sentir puis à le lécher, satisfait de pouvoir ainsi partager ma jouissance.


Ces jeux érotiques dureront tout le temps du repas. Un repas qui me semblera interminable tant nous sommes impatients de pouvoir enfin jouir ensemble. Sortis du restaurant, nous nous rendons immédiatement dans le jardin public le plus proche pour assouvir nos pulsions bestiales. Mon chéri me prend sans ménagement tant il est excité et j’aime cela. Il ne lui faut que quelques minutes pour atteindre la jouissance et me remplir de sa semence. Un peu calmés, nous nous rendons ensuite au cinéma comme prévu. Le film est intéressant, mais malgré tout nous ne résistons pas à l’envie de nous masturber mutuellement pendant la projection. Niels sait s’y prendre car il me fait intensément jouir à trois reprises, le plus difficile étant de me retenir de gémir de plaisir. Quant à mon chéri, je ne le ferai pas éjaculer, ce serait du gâchis, je préfère me le réserver pour plus tard.


Et cela ne tarde pas. À la sortie du cinéma, nous prenons la voiture, direction la discothèque, perdue en peine campagne à dix kilomètres du centre-ville. Je continue à caresser mon chéri tandis qu’il conduit. Déjà passablement excité depuis que je l’ai masturbé au cinéma, il est grand temps pour lui de se soulager enfin. Nous nous arrêtons donc dans un petit chemin tranquille pour qu’il puisse me prendre sauvagement sur le capot de la voiture. Arrivés en boîte, nous nous mettons à danser tendrement collés l’un à l’autre. Je sens ses mains parcourir mon dos dénudé et s’immiscer jusqu’en haut de mes fesses. Je sens aussi son sexe raide frotter le long de mon entrejambe. Je profite à nouveau du grand miroir pour observer mon dos dénudé. L’échancrure de ma robe descend vraiment très bas, j’ai l’impression que je vois le haut de la raie de mes fesses. Je ne croyais pas avoir acheté une robe aussi osée, à moins que ce soit Niels qui me l’ait déformée à force de mettre les mains dedans.


Ravis de notre soirée, nous rentrons à la maison où nous faisons à nouveau l’amour, tendrement et avec gentillesse. Mon chéri me demande à nouveau de garder ma robe pour faire l’amour, il ne résistera pas à la tentation d’éjaculer dessus. Désireuse de le sentir quand même se répandre au plus profond de moi, je lui demande une dernière étreinte, il accepte sans hésiter et se déverse en moi quelques minutes plus tard. Je suis réellement stupéfaite par sa capacité à jouir aussi régulièrement, je pense que de nombreuses femmes seraient épuisées et ne parviendraient pas à suivre un tel rythme, mais moi cela me convient parfaitement. J’ai l’impression d’avoir vraiment trouvé l’homme idéal sur le plan sexuel.




– 6 –




J’ai finalement pris l’habitude de ne plus porter de culotte chaque fois que nous sortons ensemble. J’aime bien sentir l’air qui me caresse le sexe et les fesses. Et comme l’air et le tissu me caressent aussi les seins, mon plaisir est total. Nils apprécie énormément ma décision et il a pris lui aussi l’habitude de ne pas mettre de caleçon chaque fois qu’il porte un pantalon assez ample. Il aime énormément faire l’amour en pleine nature, je pense que cela a peut-être un lien avec sa vocation de fleuriste. C’est pour cela qu’il apprécie beaucoup que je sois en jupe et que je ne porte pas de culotte, car je suis ainsi toujours disponible pour une pénétration, et je ne m’en plains pas car j’adore me faire prendre sans ménagement ni préliminaires plusieurs fois par jour.


Nous continuons à profiter des longues journées d’été pour faire une balade presque tous les soirs. C’est l’occasion pour nous de faire l’amour dans des lieux de plus en plus incongrus : jardin public, usine désaffectée, arrêt de bus, parc de jeux. Lorsque nous sommes en extérieur, nos rapports sont assez rapides, presque bestiaux, d’autant plus qu’il me prend presque toujours en levrette pour des raisons pratiques. Par contre, lorsque nous sommes à la maison, il ne cesse de me gratifier de préliminaires tendres et affectueux, sa pénétration étant alors longue et puissante.


En fait, je ne mets plus une culotte que pour aller travailler. C’est idiot, car je sais que ma patronne et quelques serveuses n’en portent pas non plus. Et puis c’est quand même grâce à mon travail que je me suis libérée de mes inhibitions. Maintenant, je ne porte plus du tout de soutien-gorge et presque plus de culotte, sauf au boulot, c’est absurde. Je décide donc finalement, de ne plus du tout porter de sous-vêtements. Ma blouse de travail descend jusqu’aux genoux, tout comme mes robes, il n’y aura pas de problème. C’est mon petit ami qui est le premier satisfait de ma décision. Matin et soir, lorsque je passe le voir dans son magasin, s’il n’y a pas de clients nous en profitons pour faire l’amour en vitesse.


Un soir, alors que je suis en train de me changer, ma patronne entre sans prévenir dans le vestiaire. C’est un peu de ma faute, je ne prends jamais le temps de fermer le verrou, mais maintenant que je ne porte plus de sous-vêtements, je devrais y faire attention. Étant précisément en train d’enfiler ma robe à ce moment, ma patronne ne peut que constater que je ne porte plus rien dessous. Sans se formaliser, elle me félicite pour ma décision, se sentant fière d’avoir peut-être influencé mon choix quand elle m’a dit qu’elle aussi ne portait pas de culotte. Par contre, tout en observant ma touffe de poils pubiens, elle me suggère de faire quelque chose de ce côté-là. Je dois avouer que l’idée ne m’avait jamais traversé l’esprit. Sans plus attendre, elle me recommande le salon d’esthétique qui est, lui aussi, situé dans la rue. La patronne est une bonne amie à elle. De plus, elle se propose de m’offrir cette séance d’épilation à titre de prime, car elle est très satisfaite de mes résultats. Je prends donc note de sa proposition. Lorsque, quelques minutes plus tard, j’en parle à mon ami, il est ravi de cette idée. Il ne me l’avait jamais suggéré, mais il reconnaît que cela lui plairait énormément si ma touffe de poils pubiens était quelque peu domestiquée, genre épilation du maillot.


Je me rends donc quelques jours plus tard chez l’esthéticienne. C’est une belle femme un peu corpulente, sa poitrine plus généreuse que la mienne semble vouloir sortir de sa blouse ajustée au plus près de son corps. Je suis certaine qu’elle ne porte pas de soutien-gorge car je devine ses tétons à travers le tissu. Elle est au courant de l’arrangement avec ma patronne et m’invite à me mettre en place. Je pénètre donc dans la salle de soins. Le temps de déboutonner mon chemisier, puis d’ôter ma jupe, et je suis déjà prête, quel gain de temps de ne pas porter de sous-vêtements. Je m’allonge alors sur la table de travail tandis qu’elle pénètre dans la pièce. Elle jette un œil vers mes habits, je pense qu’elle a immédiatement compris que je ne porte rien d’autre. Je l’observe tandis qu’elle se penche pour prendre ses ustensiles dans un tiroir. Je ne vois pas de trace de culotte sous sa blouse pourtant assez fine. Je jurerais qu’elle aussi ne porte aucun sous-vêtement. Après tout, ma patronne m’a dit que c’était une bonne amie. Que veut-elle dire par bonne amie ?


Je me laisse faire tandis qu’elle manie la cire avec dextérité, l’usage d’un spray anesthésiant rendant l’opération totalement indolore. Une fois qu’elle a terminé, elle m’invite à me tourner vers le miroir pour juger de la qualité de son travail. C’est alors que je réalise qu’elle m’a intégralement épilée. Je n’ai plus aucun poil, ni sur les lèvres, ni sur le mont de vénus. Ce que je ne savais pas, c’est qu’il y a plusieurs tarifs en fonction de la prestation et que ma patronne m’a offert le forfait le plus élevé. L’esthéticienne me laisse alors seule, le temps que je me rhabille. Je me résiste pas à la tentation de toucher pour voir l’effet que ça fait, même si l’anesthésiant n’est pas encore complètement dissipé. Je ne suis pas déçue, la caresse de mes doigts sur ma peau lisse décuple mes sensations de plaisir. Je sens que je vais jouir subitement et je dois immédiatement stopper mes attouchements car je ne pourrais pas me retenir de gémir.


Je ne sais pas encore ce que va en penser mon petit ami, je n’ai que quelques centaines de mètres à faire à pied pour le savoir. Le vent caresse ma fente, sans les poils la sensation est encore plus intense et bien plus agréable. J’entre dans le magasin, il n’y a que Niels, tant mieux, je lève immédiatement ma jupe pour qu’il puisse admirer mon sexe épilé. Je suis un peu anxieuse mais quand je vois sa tête à la vue de ma vulve toute lisse, je suis certaine qu’il apprécie. Il m’entraîne vers l’arrière-boutique et sans plus attendre, il se penche vers moi et commence à me lécher le sexe comme il ne l’avait jamais fait, à moins que ce ne soit l’absence de poils qui me procure de nouvelles sensations. En tout cas, cette épilation intégrale est un pur bonheur pour moi, je sens que je serais incapable de supporter à nouveau la touffe de poils que j’avais avant.




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Le soir, mon chéri recommence à me lécher et cela me procure à nouveau un immense plaisir. Nous basculons alors en position de 69, comme cela nous arrive assez souvent, mais maintenant la vue de ses poils pubiens me gêne un peu. Moi aussi, je voudrais bien lui faire ressentir ce qu’il est en train de me faire : lécher sa verge sur toute sa longueur et aussi ses bourses, mais je ne peux pas vraiment le faire, ses poils gâchent tout.


Lorsque nous avons fini de faire l’amour, je lui en parle. Il réfléchit alors longuement. Il n’imaginait pas se faire épiler, mais il faut reconnaître que comme l’effet est plutôt agréable sur moi, il suppose que cela serait certainement aussi assez agréable sur lui. Donc il reconnaît qu’il essaierait bien quand même, mais se demande si cela est bien normal pour un homme de se faire épiler. Je lui propose alors d’aller vérifier sur Internet si cela est une pratique courante ou pas. Après quelques recherches, nous arrivons rapidement à la conclusion que cela commencer à être assez fréquent et qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter.


Dès le lendemain matin, lorsque je passe dans son magasin avant d’aller embaucher, je lui propose de prendre rendez-vous pour une épilation auprès de l’esthéticienne. La nuit ayant passé, il ne sait plus trop et me sort des arguments bidon comme, par exemple, le fait que l’esthéticienne ne fait pas d’épilation pour les hommes. Je propose alors d’appeler à sa place et sans lui laisser le temps de réfléchir, je cherche le numéro sur l’annuaire et j’appelle. L’esthéticienne me confirme qu’elle propose bien ce genre de prestation pour homme, le tarif de l’épilation intégrale est assez élevé mais je suis si impatiente de voir mon chéri tout lisse que j’acquiesce sans lui laisser le temps de réfléchir plus longtemps. Pour les prestations sur rendez-vous, les horaires sont assez larges, elle peut le prendre après la fermeture du magasin de fleurs, ce qui est bien pratique. Je laisse Nils dans l’expectative, d’ailleurs lorsque je le revois en débauchant, il semble toujours assez préoccupé mais se sent fermement prêt à franchir cette étape, ce serait-ce que pour me faire plaisir.


Lorsque je le vois arriver à la maison deux heures plus tard, il semble bien plus détendu. Même s’il a eu une grosse surprise en arrivant chez l’esthéticienne : il s’agit d’une de ses clientes régulières, elle lui prend des fleurs toutes les semaines pour décorer le salon d’accueil et la salle de soins. Malgré tout, son épilation s’est bien passée, même s’il n’a pas pu éviter une érection intempestive, mais il paraît que c’est plus pratique pour l’épilation de la verge et des testicules.


Nils s’est déjà caressé par curiosité et a énormément apprécié cette sensation nouvelle. C’est lorsqu’il se dénude devant moi que je peux enfin admirer la qualité du résultat. Débarrassé de ses poils, son sexe semble encore plus long, et surtout il est nettement plus appétissant. Sans plus attendre, je m’avance vers lui et le prends en bouche avec envie. Je peux enfin lécher ses testicules et sa verge sur toute sa longueur et à entendre ses gémissements, il semble réellement apprécier cela. Désireux de me rendre la pareille, nous nous plaçons en position de 69 et continuons à nous lécher mutuellement. Nous terminons par une pénétration classique, nos sexes lisses se frottent l’un à l’autre, décuplant notre plaisir jusqu’à temps que je sente son sperme se répandre en moi.


Mon chéri est visiblement très excité car son sexe reste en érection après notre rapport. Moi aussi, je ressens le désir de recommencer immédiatement. Nous commençons par nous caresser et rapidement, l’envie nous vient de nous lécher à nouveau mutuellement le sexe. Lorsque je le prends en bouche et que je commence à le sucer, je ressens un goût bizarre qui me rappelle un peu le sperme. C’est logique puisqu’il vient de jouir. C’est donc un mélange de son sperme et de mes sécrétions intimes. Je n’ai pas envie de lécher cela. Je lui propose donc d’aller prendre une douche mais Nils n’est pas d’accord, il me dit que son érection retombera et que de toute façon, j’ai déjà tout avalé et qu’il n’y a plus de sperme sur son sexe, ce qui n’est pas faux j’en conviens. En plus, il me confie qu’en léchant mon sexe, il vient, lui aussi, de goûter à son propre sperme, qui s’écoule le long de ma vulve, et que ça ne le gêne pas plus que ça.


En fait, je pense qu’il cherche à m’inciter à avaler sa semence, ce que je n’ai toujours pas fait car je n’aime pas cela. C’est pour cela qu’il continue de me lécher plutôt que de changer de position. Finalement, je le suce avec application en me doutant bien de ce qui va finir par arriver. En effet, au bout de quelques minutes, je sens son sexe se contracter et je reçois un puissant jet de sperme dans la bouche, jusqu’au fond de la gorge, ce qui me fait tousser. Il me sourit béatement, satisfait que j’aie enfin accédé à l’un de ses désirs, cependant je n’ai pas fait cela juste pour tout recevoir dans la bouche, je me rapproche de lui et l’embrasse avec tendresse, partageant amoureusement son sperme avec lui. Il n’est pas trop surpris du goût de son sperme puisqu’il vient déjà de le goûter en me léchant. Malgré cela, mon chéri est content de ce que je viens de lui faire, trop satisfait d’avoir enfin pu décharger dans ma bouche. Nous concluons alors un marché, j’accepte de recevoir son sperme chaque fois qu’il le souhaitera, mais en contrepartie, nous nous le partagerons ensuite en nous embrassant.


Depuis que mon chéri a accepté que nous partagions ensemble son sperme après une fellation, j’ai progressivement appris à apprécier cette pratique. Lui aussi, d’ailleurs a fini par s’habituer au goût de sa semence. Du coup, j’accepte plus fréquemment de lui prodiguer une fellation et bien souvent, celle-ci se termine dans ma bouche et nous nous embrassons alors amoureusement tout en avalant le fruit de sa jouissance. C’est d’ailleurs ce que nous faisons systématiquement pendant les quelques jours où je suis indisponible pour des rapports classiques. Des fois, je me demande même s’il n’attend pas avec impatience cette petite semaine durant laquelle je vais tout recevoir dans la bouche, mais je m’en fiche, je me fais un malin plaisir de lui rendre son sperme en l’embrassant pour qu’il avale sa part, et je crois qu’il apprécie cela. Même le reste du mois, je le suce aussi de temps en temps pour varier les plaisirs. Dans l’arrière-boutique de son magasin, le matin avant d’embaucher ou le soir après le travail, puis à la maison avant de nous endormir. Nous le faisons aussi en pleine nature quand nous faisons une balade, dans la rue ou dans les magasins. En fait, il est souvent plus pratique de pratiquer une fellation plutôt qu’une pénétration classique.




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Cette année, je n’aurai pas cumulé assez de jours de congés pour pouvoir prendre des vacances, alors nous profitons quand même d’un dimanche ensoleillé de septembre pour aller à la mer, cela aurait été dommage de ne pas en profiter puisque nous ne sommes qu’à une heure trente de la plage. Durant tout le trajet, Niels me masturbe fréquemment tandis que je me caresse les seins. C’est vraiment trop pratique de ne pas porter de sous-vêtements. Pour l’occasion, j’ai mis une robe blanche sans manches assez ample. L’emmanchement est assez large pour que Niels puisse y glisser ses mains pour me caresser la poitrine. Même si l’on peut facilement voir ma poitrine de côté, cela ne me gêne pas trop car après tout nous allons à la plage.


À peine arrivés à destination, notre excitation est telle que nous faisons immédiatement l’amour sur le parking, entre deux voitures. Me sentir ainsi pénétrée sans égard, avec de surcroît le risque de se faire surprendre, décuple mon plaisir. Enfin un peu calmés, nous nous rendons maintenant jusqu’à la plage. L’avantage de porter une jupe ample, c’est qu’il est facile d’enfiler son maillot de bain par dessous. Je ne tarde donc pas à me retrouver en bikini avec la curieuse sensation d’avoir remis des sous-vêtements. En fait, l’élastique de mon maillot et les bretelles de mon soutien-gorge ne cessent de me gêner, j’ai vraiment perdu l’habitude d’en porter. Finalement, je préfère retirer le haut. C’est la première fois que je fais du topless à la plage, je n’avais jamais essayé jusqu’à présent en raison de la taille de mes seins, mais depuis quelque temps, j’ai pris l’habitude d’apprécier les charmes de ma poitrine.


Mon chéri ne résiste pas à la tentation de me caresser les seins. Mais il y a quand même du monde alentour, pas question de continuer par ici. Pourtant je suis aussi excitée que lui, je voudrais bien lui caresser le sexe, mais pas ici. Nous rangeons donc notre serviette et partons à la recherche d’un endroit plus adéquat du côté des dunes. Le problème est de réussir à trouver un endroit suffisamment discret. Nous avançons ainsi pendant quelques centaines de mètres, en espérant qu’en nous écartant de la zone de baignade surveillée, nous aurons plus de tranquillité.


Alors que nous pensions avoir enfin trouvé l’endroit idéal, un couple émerge du sable, ils étaient allongés dans un creux de la dune. C’est quand ils se mettent debout que je réalise qu’ils sont totalement nus, mais cela ne semble pas les gêner plus que ça, pourtant nous sommes en train de les regarder. À mieux observer l’homme, je constate même que son sexe est encore dressé. J’en déduis qu’ils viennent probablement de faire l’amour, exactement ce que nous souhaitions faire, l’endroit est donc vraiment idéal pour cela. Au passage, nous constatons qu’ils sont intégralement épilés, ce qui nous rassure. Finalement, ils replient leur serviette et retournent vers la plage, toujours nus. Je m’attendais à ce qu’ils se rhabillent, j’aimerais bien comprendre. Poussés par la curiosité, nous les suivons à distance jusqu’à la plage.


Nous réalisons alors que les gens sont nus sur cette partie de la plage. Mon maillot n’arrête pas de me déranger, je serais heureuse de pouvoir l’enlever comme eux. Au bord de la dune, l’endroit est plutôt tranquille. Nous nous installons ici. Je m’empresse de me mettre nue, trop contente de pouvoir enfin retrouver ma liberté et me débarrasser de ce stupide slip de bain qui m’énerve. Quand à mon chéri, il n’ose pas. En le questionnant, il m’avoue que c’est à cause de son épilation intégrale, il a peur de se faire remarquer. Pourtant je lui rappelle que l’homme que l’on vient de voir nu était intégralement épilé. Il acquiesce mais ce n’est pas suffisant pour lui. J’observe alors ceux qui sont les plus proches de nous, surtout ceux donc je peux voir le sexe. Il me semble qu’ils sont tous épilés, finalement ceci le convainc et il se met enfin nu à son tour.


Au bout de quelques minutes, mon chéri a oublié toutes ses inhibitions, il recommence déjà à vouloir me caresser les seins. Je prendrais bien son sexe en main, mais il est déjà à moitié en érection et l’endroit où nous sommes n’est pas très discret. Nous prenons donc nos affaires et reprenons la direction de la dune. Le temps d’allonger notre serviette et Niels est déjà en train de me prendre en levrette. Tout nus, c’est encore meilleur de faire l’amour en pleine nature. Comme d’habitude, chaque fois que nous faisons cela en extérieur, mon amant me prend sans ménagement, il semble même encore plus excité que d’habitude. Et moi aussi, je sens que mon plaisir est décuplé par cette nouvelle situation. Notre jouissance est forte et nous étions tellement occupés par notre plaisir commun que nous n’avons même par remarqué que des voyeurs étaient en train de contempler nos ébats.


Heureux, nous retournons vers la plage tout en nous échangeant de tendres mots d’amour. Cette fois-ci nous nous installons au milieu des autres naturistes, ce qui nous permet de mieux constater que le rasage intégral est la norme, aussi bien pour les femmes que pour les hommes. Lorsque nous décidons d’aller nous baigner, le vent caresse notre corps pendant que nous marchons jusqu’à l’eau. C’est tellement agréable, que Niels sent qu’il va devoir rapidement se baigner s’il veut éviter une érection intempestive. Lorsque nous entrons dans les flots nous découvrons avec surprise l’incroyable sensation que l’on a lorsque l’on se baigne sans maillot. Tout notre corps est parcouru de caresses sensuelles. Après quelques brasses, nous nous rapprochons. Il n’y a pas grand monde aux alentours, nous en profitons pour nous embrasser et nous caresser. Niels se retrouve rapidement en érection tandis que mes tétons pointent effrontément. Nous continuons donc de profiter de la baignade jusqu’à ce que nous puissions convenablement sortir de l’eau.


Cette situation inédite ne cesse de nous exciter et nous retournons en direction de la dune tout en espérant être tranquilles, sans voyeurs autour de nous. Pourtant, au détour d’un buisson nous trouvons un couple en train de faire l’amour avec passion. La femme s’est enfourchée sur l’homme et s’occupe de faire les mouvements. Nous restons quelque temps à les regarder, subjugués par le spectacle qui s’offre à nous. Nous n’avions jamais vu un autre couple faire l’amour si près de nous. Ils savent que nous les regardons, mais cela ne les gêne nullement. Ils finissent par jouir et c’est à ce moment-là que nous réalisons que nous sommes restés à les regarder, comme de vulgaires voyeurs.


Du coup, lorsque nous allons faire l’amour un peu plus loin, nous acceptons de bonne grâce les regards des voyeurs, tant qu’ils sont respectueux. C’est même excitant de se faire mater ainsi, un peu comme quand nous faisons l’amour dans des lieux publics. Toujours avides de plaisir, nous retournons plusieurs fois dans les dunes pour recommencer. Je constate aisément à leurs regards, que les voyeurs apprécient ma poitrine généreuse, en particulier quand mon chéri me prend en levrette et que mes seins ballottent au rythme de ses mouvements. Nous constatons même que certains voyeurs n’hésitent pas à se masturber tout en nous regardant faire. Même si cela m’a plutôt surprise au début, voire même un peu choquée, je m’y suis rapidement habituée. Il faut l’accepter si l’on veut pouvoir faire l’amour dans la dune et en plus, je prends cela pour un compliment. Niels aussi m’a avoué avoir ressenti de la jalousie au début, mais finalement c’est de la fierté qu’il ressent. Fier que je sois son amante alors que je suis si désirable. Fier d’avoir le droit de me faire l’amour autant qu’il veut, chaque fois qu’il en a envie, pour mon plus grand plaisir.




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Les jours ont passé. Même si les températures se sont rafraîchies, je n’ai pas changé mes habitudes, ne pas porter de sous-vêtements est devenu naturel pour moi. Je mets des bas et une jupe longue mais toujours pas de culotte, comme cela Niels peut toujours me prendre chaque fois qu’il le souhaite, c’est à dire très souvent. Je me sens maintenant vraiment libre de mon corps même si Niels peut en disposer à chaque fois qu’il en a envie. C’est un peu paradoxal et pourtant, pour moi la liberté, c’est aussi être à la disposition de mon amant. Mais c’est aussi parce que je le veux bien. Il m’est déjà arrivé d’être un peu fatiguée et ne pas accéder à son désir, mais c’est assez rare, j’ai toujours trop envie qu’il me prenne, dans toutes les circonstances, sauvagement ou délicatement selon les occasions.


S’il fait vraiment froid, je mettrai un collant. J’en ai déjà essayé un à même la peau, la caresse du tissu molletonné avec ma vulve lisse a été très agréable. D’ailleurs, je n’ai pas pu résister à l’envie de me masturber. Ceci dit, cela sera moins pratique pour mon chéri, heureusement j’ai trouvé des collants fendus, avec une ouverture suffisamment petite pour que je n’aie pas froid aux fesses, et juste assez large pour que Niels puisse y passer sa verge et me pénétrer sans avoir à attendre que je retire mon collant. Je pense qu’il appréciera beaucoup cette petite attention, en effet je m’efforce d’être toujours disponible pour qu’il puisse me pénétrer à volonté.


Les jours se font de plus en plus courts et il fait bien plus froid. Nous avons donc de moins en moins d’occasions de faire l’amour en extérieur. J’attends avec impatience le retour des beaux jours pour pouvoir à nouveau me mettre nue à la plage et faire l’amour avec mon chéri dans les dunes. La mer n’est pas très loin de chez nous, je sens que nous allons souvent y aller l’année prochaine.



Six mois se sont écoulés depuis mon embauche. Je ne regrette rien, bien au contraire. J’ai rencontré l’homme de ma vie, nous nous aimons follement et nous partageons les mêmes désirs et les mêmes pulsions. Je me suis incroyablement épanouie, simplement en cessant définitivement de porter des sous-vêtements. Je n’aurais jamais cru pouvoir en arriver là et je ne serai jamais assez reconnaissante envers ma patronne. Je n’oserai jamais lui dire, mais je pense qu’elle a dû s’en rendre compte, tant je suis sérieuse et attentionnée dans mon service.


Porter des tenues sexy ne me dérange plus. Niels en est ravi, il ne cesse de me dire, lorsque nous sortons ensemble, qu’il est heureux d’être avec une femme aussi attirante que moi. Il ne se sent jamais aussi fier que lorsqu’il sait que d’autres hommes sont en train de me mater. Pour lui, je suis la plus belle, et je vais finir par le croire.


Une opportunité s’est présentée pour moi. La discothèque où nous nous rendons de temps en temps recherchait une nouvelle barmaid pour le vendredi et le samedi soir. J’ai été embauchée, peut-être grâce au chemisier blanc que je portais ce jour-là, mes tétons et les aréoles de mes seins se devinaient aisément à travers le tissu. Grâce à ce travail supplémentaire, je joins l’utile à l’agréable. D’une part, cela nous fait un complément de revenus. Et d’autre part, je peux faire le service juste vêtue d’une blouse légère. Le tissu clair laisse deviner mes tétons et mes aréoles et je peux même ôter les deux boutons du haut pour mettre en valeur ma poitrine. Les clients sont ravis et j’empoche de nombreux pourboires.


Heureusement, mon chéri est d’accord avec mon choix, d’ailleurs nous en avons longuement discuté avant de prendre la décision. Quelquefois, il passe me voir en cours de soirée. Si c’est un moment calme, je prends une pause de cinq minutes, juste le temps qu’il lui faut pour me prendre sauvagement contre une pile de cartons dans la remise de la discothèque.


Il sait que je l’aime autant qu’il m’aime. Il a pleinement confiance en moi et j’ai pleinement confiance en lui. Même si mon travail m’amène à être courtisée à longueur de soirée, il n’y a que lui qui compte pour moi. J’ai gardé une âme romantique et je suis persuadée d’avoir trouvé le prince charmant. Et même si j’apprécie énormément les saillies brutales dont il est capable, j’adore aussi les longs coïts langoureux qu’il sait également me prodiguer avec une infinie tendresse et une profonde gentillesse.