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n° 15306Fiche technique7549 caractères7549
Temps de lecture estimé : 5 mn
27/11/12
Résumé:  Une femme tombe sous le charme d'un employé et....
Critères:  fh fplusag collègues grosseins travail pénétratio
Auteur : Mons  (Grosse chatte)      
Un nouvel employé

Je suis en instance de divorce, cela fait un moment que je n’ai pas eu de relation sexuelle.


Ça ne me manque pas plus que cela car je dois faire le deuil de mon mari. Je rêve encore de nos ébats torrides et en même temps pleins de tendresse, je sens encore la chaleur de ses mains sur moi, son sexe en moi et lorsque je regarde un homme, son visage s’interpose entre nous, j’ai l’impression qu’il me regarde, qu’il me juge… C’est moi qui ai voulu le quitter mais il a apposé son empreinte et je dois l’effacer. Je ne me sens pas encore tout à fait libre, j’ai des scrupules à regarder ailleurs.


Mais un jour…


Un nouvel employé est recruté. C’est un jour où il n’y a personne d’autre que moi au travail et je suis chargée de le recevoir. Je l’accueille. Il est bel homme, belle prestance, le genre fier et sombre, qui laisse présager un caractère bien trempé.


Dès que nos regards se croisent, je devine qu’il se passera quelque chose entre nous, ses yeux verts brillent d’un éclat qui allume un feu en moi. Il y a un « je ne sais quoi », un déclic, imperceptible à l’œil nu, mais qui met mon corps en émoi. Je ressens des petits picotements au creux de mon ventre et bizarrement j’ai envie de le toucher, l’embrasser, le caresser. Je ne pense pas tout de suite au sexe, j’ai plus besoin de sentir sa peau contre ma peau, frotter mon nez dans ses poils.


Nous nous présentons, je lui fais visiter les locaux. Je passe devant lui et je sais que je suis attirante avec ma mini-jupe, mon chemisier qui épouse mes formes pleines, mes gros seins. Je sens son regard posé sur mes fesses bougeant dans ma jupe serrée.


Je l’installe dans son bureau et lui propose une boisson. Il accepte. Je vais lui chercher un café. Lorsque je lui ramène, j’hésite quelques secondes devant la porte, mais l’attrait est si fort que je ne résiste pas bien longtemps. Au diable la morale et mon appréhension, je respire un grand coup et entre.


Il est là, m’attend debout près du bureau, me domine de sa grande taille. Ses yeux me déshabillent. Rien que son regard me donne des frissons, et là je ne pense plus à mon mari.

Je ne baisse pas les yeux sous son regard brûlant et moi-même j’en fais autant. Je contemple son visage, sa taille haute, les quelques poils qui dépassent du tee-shirt, sa bouche sensuelle, ses mains.


En regardant ses mains je sens mes joues rosir car je les imagine posées sur moi. Il me parle, mais déjà sa voix m’a envoûtée, une voix de baryton, elle caresse mes tympans et provoque de douces sensations. Mes hormones sont en ébullition, mon cœur s’emballe, l’agitation gagne tout mon être.


Nous avons compris que nous sommes animés du même désir, pas besoin de mots, nos corps connaissent ce langage secret.


Il me prend la cafetière des mains pour la poser sur une étagère et m’attire à lui pour un fougueux baiser. Nos langues se caressent, nos salives se mêlent et ne perdant pas de temps, il dégrafe mon chemisier et mon soutien-gorge.


Ses mains commencent l’exploration de mon dos, mon ventre, mes fesses, mes cuisses puis il prend à pleines mains mes seins déjà tout gonflés. Il les presse contre la paume de ses mains, les pétrit comme du pain et fait rouler les tétons entre l’index et le pouce.


Il quitte ma bouche pour attraper goulûment mes tétons, les mordiller. Je lui enlève son tee-shirt pour caresser sa poitrine, mes doigts jouent dans sa toison et pincent ses tétons.


Nos respirations s’accélèrent.


Il glisse une jambe entre mes cuisses et se frotte contre moi, mes mains descendent le long de son dos, puis évaluent son érection grandissante. Je veux ouvrir son pantalon mais n’en ai pas le temps. Il me soulève, m’allonge sur le bureau, arrache ma jupe, mon slip, écarte mes jambes brutalement et enfouit sa tête entre mes cuisses.


Je tressaille et essaie de refermer mes jambes, il y a longtemps que je n’ai pas été ainsi baisée, longtemps que je n’ai pas montré ma chatte à un homme, mais fermement il maintient mes jambes et les écarte encore plus.


Très vite je m’abandonne à cette délicieuse caresse. Il se met à lécher ma vulve très doucement de bas en haut pendant que ses mains courent sur mes seins, mon ventre, mes cuisses et me pétrissent comme une pâte. Sa langue se fait plus curieuse, pénètre dans ma fente pour en parcourir les sillons et de la pointe se promène, va du clitoris jusqu’au petit trou. Il prend alors entre ses lèvres mon clitoris pour le téter longuement, et tel un petit dard il durcit et pointe sous les coups de langue. Ses doigts pénètrent maintenant ma grotte dégoulinante et caressent l’intérieur en feu. Je me sens défaillir de plaisir. Je gémis doucement pour que l’on ne nous entende pas. J’arrête le temps pour savourer cette exquise succion, je m’envole vers les étoiles.


Puis il se relève, fait tomber son pantalon et fait glisser lentement sa queue sur ma vulve. Je n’ai pas vu son sexe, d’une main je le touche, le palpe il est dur et chaud, et d’une grande taille, je mouille mon pouce avec ma salive et je caresse son gland avec la pulpe du doigt, délicatement je fais de tous petits cercles, j’effleure à peine le frein et fais glisser très lentement mon pouce, puis remonte sur le gland, je fais ainsi plusieurs fois ce va-et-vient, je l’entends murmurer de plaisir, et n’y tenant plus je le prends à pleine main et le guide jusqu’à ma grotte brûlante. Il s’y enfonce alors d’un coup jusqu’à la garde.


Quelle émotion ! Mon vagin est rempli, ce vide dont je ne me rendais même plus compte est à nouveau comblé. Je le sens jusqu’au fond. Pendant quelques instants, il ne bouge pas, nous savourons le contact doux et chaud, nos sexes font connaissance et s’apprivoisent.


Je relève mes jambes pour lui encercler la taille. Il commence à bouger doucement, sa queue entamant une douce caresse de mon vagin, il entre et sort, repose son gland sur l’entrée de mon vagin, entre à nouveau et ressort, puis il accélère et ralentit et accélère à nouveau.


Aucun homme ne m’a jamais pénétrée ainsi, la douceur mêlée à la force, l’empressement mêlé à la patience.


De longs frissons naissent au creux de mes reins et parcourent tout mon corps, de la tête aux pieds, j’ai l’impression que ma vision se trouble, je m’accroche à son regard, et nous sommes unis ainsi, les yeux plongés dans les yeux de l’autre aussi profondément que nos deux sexes l’un dans l’autre.


Il me dit des mots doux, des mots excitants : que ma chatte est accueillante, mes seins qui bougent en suivant nos mouvements le provoquent.


Il va de plus en plus profond, de plus en plus fort, sa respiration se fait plus bruyante, et soudain je le sens se raidir et il explose en moi. Nous nous étreignons tout tremblants de plaisir. je suis heureuse, j’ai enfin tourné une page de mon passé, il a réussi à me faire oublier mon futur ex-mari.


Nous nous rhabillons, tout en nous couvrant de petits bisous partout sur le corps, puis nous buvons un café en nous promettant de nous revoir puis je repars dans mon bureau, du travail m’attend.


On s’est revu, mais la suite est pour plus tard.