n° 15310 | Fiche technique | 18540 caractères | 18540Temps de lecture estimé : 12 mn | 30/11/12 |
Résumé: Si on allait au musée de l'érotisme ? À cette heure, il y aura peu de monde... | ||||
Critères: fhhh extracon cocus fépilée voir exhib hmast intermast fdanus attache bondage confession -occasion -cocucont | ||||
Auteur : Alaink Envoi mini-message |
Cela fait longtemps que je voulais amener Chantal visiter le Musée de l’érotisme. J’y suis allé à différentes occasions de vernissages avec un ami. Cet après-midi d’août, il y a vraiment peu de visiteurs, surtout qu’il fait beau sur la ville. Je ne me souviens plus pour quelle occasion nous nous y retrouvons mon épouse et moi.
Un caissier nous délivre des tickets d’entrée. Nous sommes apparemment les seuls à visiter.
Au premier étage, on trouve une exposition de toiles de peintres de femmes nues. Chantal n’aime pas beaucoup. On s’attarde devant une toile montrant une femme nue jusqu’à la taille et qu’un homme, son mari ou ami peut-être, exhibe à un groupe de personnages assis dans un salon luxueux.
Au deuxième étage, nous sommes seuls également. Pas pour longtemps car j’aperçois soudain un visiteur isolé. Je suis contrarié car je projetais de m’amuser avec Chantal. Il est apparemment en admiration devant une vitrine dans laquelle on aperçoit des figurines représentant des scènes érotiques. Je laisse Chantal regarder les photos aux murs. Absorbé par des photos montrant des scènes fétichistes, je la perds de vue. Quand je la retrouve, elle s’approche fortuitement de l’inconnu. Je la laisse seule. Je me fais des plus discrets.
Ce type doit aimer le sexe et la présence d’une femme dans ce lieu ne peut qu’attirer son attention et même susciter son intérêt.
Ce jour-là, il fait beau, Chantal porte une jupe de coton rouge, légère, qui lui arrive à mi-cuisses et des petites chaussures à talons courts rehaussent ses jambes fines et nues. Elle a enlevé son blouson qu’elle porte à son bras car il fait encore plus chaud dans les étages. En haut elle porte son pull bleu, léger, en cachemire, décolleté en V, sans soutien-gorge. Ses seins se dessinent bien et pointent légèrement sous le vêtement. Elle est sexy. Elle est très détendue, même si certains objets ou images la troublent ou l’énervent. Elle a bien repéré le nouveau venu mais elle ne lui prête aucune importance et sa présence n’a pas l’air de la gêner.
L’homme aussi, apparemment, l’a repérée car il semble rester sur place pour l’attendre. Il est planté devant ses figurines.
Bien entendu, Chantal arrive à sa hauteur. Discrètement, elle regarde les figurines. Elle a l’air elle aussi de les trouver intéressantes. Comme les vitrines ne sont pas très larges, elle s’est forcément rapprochée de l’inconnu. Il lève la tête, la regarde et lui adresse un sourire discret auquel elle répond poliment. Tous deux replongent dans la contemplation des figurines.
Je m’écarte pour la laisser seule. Je vois que soudain l’inconnu la regarde en coin, et j’imagine, comme elle se penche au-dessus de la vitrine, qu’il tente de lorgner dans le décolleté du pull pour essayer de voir ce qu’il y a dedans ! Il insiste même au point de ne plus regarder la vitrine. Chantal ne s’aperçoit de rien, les yeux sur les objets exposés. Cette image me trouble. Cela m’excite de savoir qu’elle intéresse un autre homme. Je sens soudain comme une pression sur ma queue.
L’homme reste très près de Chantal, à la toucher. À un moment, il s’écarte pour la laisser se déplacer devant la vitrine. Il lui adresse la parole, elle le regarde mais ne répond pas. Têtu, il revient à la charge avec un large sourire et cette fois elle lui répond. Je n’entends pas ce qu’ils disent. Ils échangent même maintenant quelques mots et je comprends qu’ils partagent leurs impressions sur les figurines. Chantal s’éloigne.
Ce jeu m’excite de plus en plus, je décide de la laisser seule.
Évidemment, l’individu la suit. Il lui désigne une statue posée au milieu de la pièce et semble lui expliquer quelque chose. Chantal, attentive, l’écoute, sourit et même se met à rire. Incroyable ! Elle se laisse draguer.
Ils poursuivent la visite ensemble. Je deviens mateur. Chantal me jette un regard et je lui adresse un sourire rassurant. Je les vois qui sympathisent de plus en plus. Il lui montre des objets qu’il commente, s’arrête devant des photos assez « hard » et ma femme l’écoute attentive. Je suis pris d’une pique de jalousie devant cette complicité évidente avec ce mec qui a osé l’aborder dans ce lieu public voué au sexe.
À un moment, je le vois la prendre par la taille, l’attirer à lui et pointer sa main vers un objet précis, elle ne réagit pas. Comme ils continuent leur visite, il la maintient toujours. Elle se dégage bien une première fois, mais comme il revient et insiste, séduite, elle se laisse aller.
Cette fois je bande, la jalousie me tenaille et m’excite en même temps. Ils s’engagent vers l’escalier pour monter à l’étage supérieur. Comme elle passe devant, je le vois qui mate ses jambes. Son déhanchement fait danser sa fine jupe. Elle est vraiment excitante.
Ce type, jeune et plutôt beau garçon, l’a séduite, elle m’oublie complètement. On est toujours seuls dans l’établissement. Je les suis à distance et quand j’arrive au dernier étage, je ne les vois pas tout de suite. Dans cette salle, il y a une exposition de photos de bondage. Des femmes attachées, photographiées dans toutes les positions. Chantal, à plusieurs reprises, m’a dit son aversion pour ce genre de pratique. Je reste caché dans l’escalier en essayant de les voir. J’entends son rire dans un renfoncement de la pièce. Je m’approche silencieusement.
Il l’a prise dans ses bras, l’enlace et tente de lui voler un baiser. Elle me cherche du regard, se dégage sans me repérer. Il la rattrape, continue à lui parler tout en lui montrant des photos de plus en plus obscènes. Chantal rit de plus belle.
Ma jalousie me fait trembler. Je décide de lui faciliter la tâche. Je me découvre, m’approche d’eux pour dire que je redescends pour regarder un film ancien. Elle acquiesce sans hésitation, le gars est collé à elle et la tient toujours par la taille. Elle n’a pas bougé, restant enlacée devant moi. Je suis cocu.
Bien sûr, au lieu de descendre, je me cache dans un renfoncement de la salle. Je tremble de partout et ma bite me fait mal, emprisonnée dans mon slip. D’où je suis, je peux les voir distinctement.
Ils se sont arrêtés devant un mannequin uniquement vêtu d’une guêpière rouge et de bas noirs. Ses seins sont nus. Le gars essaye à nouveau d’embrasser Chantal, promptement sur la bouche. Elle esquive. Et quand il veut à nouveau l’enlacer, elle se dérobe encore, mais mollement.
Dans un coin de la pièce, sur un petit guéridon, il y a des objets de bondage exposés. Une paire de menottes, une corde, un collier et des bracelets de cuir reliés par une chaîne. Au-dessus, un tableau accroché au mur montre une femme attachée par les poignets à une chaîne reliée à anneau fixé au plafond. Elle est tirée vers le haut si bien que seules les pointes de ses pieds touchent le sol. Chantal paraît perplexe, il lui parle.
Soudain, elle pose son blouson et prend en main les bracelets pour les voir de plus près. En souriant elle s’en passe un au poignet droit. Son complice s’est approché d’elle et lui passe l’autre bracelet. Puis, en riant, il les serre aux poignets. Chantal a maintenant les mains liées. Elle rit et son visage est devenu écarlate. L’homme s’écarte pour la contempler. Il a l’air excité ! Il a dû lui proposer de poursuivre car je la vois qui lui fait un signe de tête d’assentiment. Alors le type se saisit de la corde, l’attache à la chaîne qui relie les deux bracelets, l’attire à lui et tente à nouveau de lui voler un baiser.
Il a approché son visage très près. Il marque une pause. Ils se toisent, leurs lèvres séparées de quelques centimètres. Leurs deux visages sont tendus, sérieux, les yeux dans les yeux. Quand il veut lui saisir sa bouche, Chantal détourne encore la tête puis elle éclate de rire, conquise. Elle lui tend ses mains pour l’inciter à continuer le jeu. Doucement il l’entraîne de l’autre côté de la pièce. À cet endroit, au plafond est suspendu un solide anneau.
Je comprends : elle veut reproduire le tableau ! Il monte sur une chaise pour passer la corde dans l’anneau puis lentement, il tend la corde pour hisser les bras de Chantal qui se retrouve en un instant suspendue au plafond par les bras. Il tire encore plus pour la suspendre et l’obliger à se mettre sur la pointe des pieds. Dans cette position, Chantal ne peut plus bouger au risque de perdre l’équilibre. Elle est prisonnière. Elle rit mais comprend qu’elle est à la merci de cet inconnu. Il attache l’autre bout de la corde à un crochet au mur. Ainsi étirée, Chantal découvre son ventre et une bonne partie des cuisses, pas loin de la culotte.
Doucement l’inconnu s’approche d’elle et lui parle. Visiblement elle n’est plus d’accord car je la vois dire non de la tête. Mais il doit la rassurer car elle se met à rire. Il passe derrière elle, la saisit aux épaules et la fait tourner un tour sur elle-même sans qu’elle puisse émettre une quelconque résistance. Elle est bien suspendue. Voudrait-elle à ce moment, elle pourrait toujours m’appeler. Mais visiblement la situation ne doit pas trop l’effrayer.
L’homme se saisit du bord de la jupe qu’il soulève pour lui mater les fesses : ça devient « hard ». Je n’en peux plus, je sors ma bite et lentement je me caresse.
Chantal porte une petite culotte blanche en coton, très évasée qui lui découvre une large partie de ses fesses. L’homme regarde sans toucher, en contemplation. Il comprend que cela doit être humiliant pour cette femme de se sentir exhibée, impuissante. Elle se plaint. Aussitôt, il laisse retomber le tissu sur les fesses presque nues. Il lui fait refaire un demi-tour. Elle ne rit pas mais semble accepter la situation.
Cela me pique à nouveau dans ma jalousie : ma tendre épouse se laisse voir le cul par un inconnu sans vraiment protester !
Ils sont à nouveau nez à nez. Il s’approche d’elle et lui prend le visage dans ses mains pour l’attirer à lui. Elle se débat mollement en détournant la tête pour refuser le baiser qu’il tente encore de lui voler. Très vite sa résistance est vaincue, impuissante qu’elle est à se défendre ainsi suspendue. Les yeux grands ouverts, elle semble lui demander de ne pas abuser. Puis elle se tait et je la vois qui respire de plus en plus vite, certainement excitée par la situation.
À aucun moment elle ne semble s’inquiéter de moi ni de ma possible venue. Ma jalousie est à son comble et je suis au bord de l’éjaculation. J’oublie que je suis en un lieu public et qu’on peut me surprendre à tout moment en train de me branler.
Quand il pose ses lèvres sur les siennes, elle ferme les yeux, leurs bouches s’entrouvrent pour échanger leur baiser. Ils s’embrassent à pleine bouche maintenant et, de ma cachette, je vois nettement leurs langues se mêler.
L’abandonnant, il s’éloigne d’elle de quelques mètres pour la regarder, la contempler encore. Il lui sourit gentiment, presque tendrement. Visiblement il est également sous le charme. Trente minutes plus tôt, ils ne se connaissaient pas !
La jupe remontée presque en haut des cuisses sur les jambes nues, le pull découvrant son ventre, elle est presque nue sous les yeux de son voyeur. Elle le regarde droit dans les yeux comme par défi. La fine laine du pull en Cachemire dessine le galbe de ses seins dont on voit clairement les bouts pointer sous le fin tissu.
Lentement il se rapproche d’elle, silencieux. Il la sait à sa merci. Doucement il soulève le bas du pull, découvrant ses seins qui apparaissent blancs au milieu de la pièce abondamment éclairée. Il les contemple.
Soudain, il y a du bruit dans l’escalier, des rires et des gens qui parlent fort. Quelques instants plus tard, apparaissent quatre touristes qui découvrent Chantal attachée au plafond. Elle semble effarée de se voir ainsi offerte en spectacle et devient toute rouge. Les touristes, étonnés, se taisent mais sourient. Le spectacle semble leur plaire.
Le visiteur, entendant du bruit, a laissé retomber le léger pull de Chantal. Il hésite maintenant sur la conduite à tenir. Et se décide. Il avance les mains et les posent sur les seins de Chantal qui rougit de plus belle. Il lui caresse doucement les seins par-dessus le pull. Elle aime cette caresse. Si seulement il n’y avait pas les touristes…
Il pose les mains sur son ventre, le caresse et, doucement, remonte les mains sous le pull. Chantal a honte mais elle est également excitée car elle aime beaucoup cette caresse et elle oublie de plus en plus la présence des touristes. Les mains ont atteint les seins et les pelotent sans vergogne. Chantal ferme les yeux. Les mains redescendent et cette fois, saisissent le bord du pull et, centimètre par centimètre, le remontent. Elle murmure :
Mais il n’en tient pas compte et continue la lente progression du pull vers le haut. Le bas des seins est maintenant visible et il continue… Chantal est maintenant tiraillée entre la honte de se voir ainsi dénudée et le plaisir de voir sa poitrine exposée. Les tétins sont maintenant visibles et ils sont érigés, preuve du plaisir de Chantal. Le pull est maintenant totalement remonté et les touristes regardent Chantal. L’un deux sort son appareil photo et fait un cliché. Le flash fait sursauter Chantal qui rougit de plus belle.
Il la fait pivoter. Son dos nu est délicieusement cambré du fait de la position. Il la caresse un peu et, d’un seul coup, soulève la jupe. Chantal essaie de se tortiller pour essayer de l’en empêcher mais cela ne fait qu’accentuer le galbe de ses fesses. Un touriste lève le pouce pour montrer son contentement.
Alors l’homme glisse les mains sous la jupe de Chantal, une de chaque côté, se saisit du bord de la culotte et tire d’un seul coup vers le bas. Il la fait descendre jusqu’au sol. Chantal est maintenant cul nu sous sa jupe. Il fait voltiger un peu la jupe et le cul de Chantal apparaît aux touristes. Ils approuvent dans leur langue, avec de grands sourires. Il lève la jupe et caresse les fesses. Ses doigts glissent rapidement entre les deux globes, frôlant l’anus. Elle rougit de plus en plus, toujours sans savoir si elle est excitée ou honteuse.
Les mains du visiteur quittent les fesses et cherchent l’agrafe de la jupe. Chantal lui dit faiblement :
Mais il n’en a cure, défait l’agrafe. Il ne reste plus que la petite fermeture à glissière qu’il trouve vite. Sa main retient la jupe et la fait descendre par petits coups. La raie de Chantal est bientôt visible et l’homme continue. Quand il estime que l’attente a assez duré, il tire la jupe d’un seul coup jusqu’au sol et la fait passer sous les pieds de Chantal.
Elle est maintenant nue… à l’exception du pull remonté qui lui cache les épaules…
De ma cachette, je bande comme un fou de voir ma chérie ainsi offerte dans sa nudité. Et ce, d’autant qu’il a maintenant fait pivoter Chantal et qu’elle offre aux touristes une belle vue sur son sexe totalement épilé. Un flash part de nouveau.
Le visiteur fait un discret signe de la main aux touristes qui s’approchent. Chantal s’inquiète, elle a un peu peur. Je le vois dans ses yeux. Il passe derrière elle et l’encercle de ses bras pour lui saisir les seins. Il la tire un peu en arrière ce qui l’oblige à bomber légèrement le ventre. Il fait signe au touriste le plus près qu’il peut toucher. Celui-ci avance la main, touche le ventre de Chantal puis s’enhardit et passe sa main sur le sexe. Un autre le rejoint qui, lui, caresse les fesses. Chantal a fermé les yeux, se laisse aller, sentant qu’il ne lui arrivera que des choses agréables.
Les deux derniers touristes se sont approchés eux aussi et Chantal sent des mains sur tout son corps. Des mains de plus en plus conquérantes. Si le visiteur a lâché les seins, d’autres mains l’ont remplacé. Ses fesses sont pelotées, triturées et les doigts s’insinuent de plus en plus dans la raie jusqu’à lui caresser l’anus. D’autres doigts ont pris possession de son sexe, le pénétrant complètement pendant qu’un autre excite le clitoris. Un doigt quitte le sexe et caresse l’anus avant de le pénétrer doucement.
Chantal a un petit sursaut mais ne dit rien. Au contraire, elle aime et petit à petit, la jouissance la gagne et elle finit par exploser de plaisir. Des soubresauts à n’en plus finir. Et un long cri de plaisir…
Il y a longtemps que j’ai joui dans mon slip… Je suis abasourdi que ma Chantal se soit ainsi laissée aller.
Le visiteur a détaché Chantal. Elle est nue au milieu du petit groupe. Elle sourit maintenant. Elle ne se presse pas pour baisser son pull. Elle cherche des yeux sa culotte. Un des touristes l’a en mains et lui fait comprendre qu’il aimerait la garder en souvenir. Elle acquiesce. Elle glisse dans sa jupe et se dit que, s’il y a du vent, elle aura souvent les fesses à l’air !
Le visiteur l’embrasse avant de partir, les touristes l’imitent un à un. Je me dépêche de quitter ma cachette pour faire croire que je reviens de ma projection. Chantal me sourit et me dit que le visiteur lui a donné beaucoup d’explications. Et qu’elle m’en parlera plus tard plus en détail.
On continue à regarder les objets exposés puis Chantal demande à partir. On redescend tranquillement. Au rez-de-chaussée, le caissier regarde Chantal avec intérêt et insistance. Je devine facilement que les caméras de surveillance ont tout enregistré. Chantal, qui a compris en voyant les écrans, se met à rougir…
Longtemps après, elle me racontera cette aventure au musée de l’érotisme.