Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15312Fiche technique26344 caractères26344
Temps de lecture estimé : 16 mn
30/11/12
Résumé:  En route pour Dijon, une jeune femme tombe en panne de voiture en rase campagne. Un militaire la secourt et lui offre le gîte et le couvert. Tout peut arriver.
Critères:  grp uniforme campagne autostop fellation anulingus double sandwich gangbang confession -occasion -groupes
Auteur : RobertAnne92      
Toussaint, fête de tous les seins ?

Chaque année vers la Toussaint, je me rappelle cette aventure. Cela s’est passé en 1971. Vous voyez, cela ne date pas d’hier et pourtant chaque moment est gravé dans ma mémoire comme si c’était de la veille. J’avais 25 ans. Soyez assez gentils pour ne pas faire le calcul. Oh, après tout, si, calculez. Bravo vous avez gagné : j’ai 66 ans. Juste un mot pour les sceptiques. Oui, le sexe à 66 ans, c’est encore super bon. Oui, je jouis souvent. Oui, mon Paulo, c’est mon mari, me prend comme un jeune fou, mais avec une endurance qui m’éblouit à chaque fois.


Mais ce n’est pas le sujet. Écoutez, jeunes prétentieux et prétentieuses, qui croyez avoir tout inventé. Comme si, avant internet, on était ignorantes et inexpérimentées.


Ce vendredi soir de vacances de la Toussaint, j’étais sur l’A6 pour aller à Dijon où je devais retrouver ma mère et mon petit garçon. Juste une parenthèse pour dire que j’étais mère célibataire, nommée enseignante à Paris et que ma mère gardait mon bébé pendant ce temps. J’avais prévu d’arriver avant 22 h mais le sort en a décidé autrement.


D’abord, énorme bouchon au niveau d’Auxerre et bien sûr, pas d’infos. Je décide de sortir à Auxerre-sud pour prendre la nationale. Chablis, Tonnerre, Ancy-le-Franc sont traversés sans encombre. Patatras, ma voiture s’étouffe puis cale en pleine campagne. Je ne suis pas bricoleuse, et donc je n’ai que le choix de faire du stop. Il caille et aucune voiture ne se présente. Eh oui, c’était avant le téléphone portable ! Enfin des phares. Un camion. Un camion militaire. Un homme en descend, en uniforme, ce qui me rassure un peu.


Je vous passe les discussions et les tentatives de redémarrer ma satanée voiture. Rien ! La panne est bien confirmée. Pas une panne d’essence pour femme écervelée. Il me propose de me poser à un hôtel. Nuits-sur-Armançon n’est pas loin et c’est le village où est sa caserne. « Damned », comme dirait Mortimer, l’hôtel est plein. Ceux des environs aussi. Je fais la tronche. Dormir dans ma voiture avec ce froid de canard, merci bien.


Alors le militaire, sergent-chef, s’il vous plaît, Paul pour les intimes me propose de me loger. Pas dans la caserne, bien sûr. Mais avec des amis, il loue une maison en campagne pour leurs courtes permissions. Bien sûr, maintenant je refuserais, mais à l’époque j’étais plus jeune et surtout le monde semblait moins fou qu’aujourd’hui. Enfin trente minutes plus tard, il m’installe dans cette maison, glacée mais avec l’espoir que le feu de cheminée et le poêle à bois réchauffent vite les pièces. Pas de chauffage central mais le téléphone, privilège de l’armée. Je peux appeler ma mère et la rassurer.


Mon charmant militaire se propose même de s’occuper d’appeler le garagiste du coin.


Assez étrangement, je passe une nuit sans rêves ni angoisses et pourtant je suis au bout du monde, isolée. Le matin, la température est plus agréable. Cheminée et poêle ont été réapprovisionnés. Des croissants et du pain m’attendent sur la table, accompagnés d’un mot de mon sauveur.


« Je n’ai pas voulu vous réveiller. Le garagiste s’occupe de votre voiture. Soyez assez gentille de veiller au chauffage. Ne soyez pas surprise, des collègues doivent venir vers midi. Ils apporteront à manger et vous êtes cordialement invitée ».


Petit déjeuner. Une faim de loup. Un brin de toilette avec le peu d’eau chaude que le réservoir accepte de me donner. Nouvel appel à ma mère pour l’informer. Enfin, je ne dis pas la vérité. Pour elle, je suis à l’hôtel. Pas la peine de l’inquiéter. Vous savez combien les personnes âgées s’inquiètent vite. Eh oui, je sais, maintenant à 66 ans c’est moi qui me fais du souci pour mes enfants.


Midi arrive. Une voiture vrombit. La porte s’ouvre. Trois garçons, une fille. Ils me saluent. Ils sont au courant. Pas la fille, manifestement, qui me regarde d’un drôle d’air. Elle respire la campagne, blonde, plantureuse. Maquillée comme une pute. Non, ce n’est pas une pute, juste une fille du coin qui croit encore que le maquillage donne de la classe. Elle n’a rien compris. Mais de toute façon ce n’est pas ce qui intéresse les garçons, ces jeunes militaires, 18/19 ans au maximum. Il suffit d’un coup d’œil pour comprendre l’objet de ce repas.


Mon sauveur arrive. Une autre classe. D’un regard il s’excuse déjà des blagues douteuses, des gestes déplacés envers la fille. Au fait, elle s’appelle « Rose » ; eh oui, cela ne s’invente pas. Dès que le repas est terminé, je m’éclipse dans la chambre prétextant une fatigue. Il est évident que tous attendent mon départ. Seul, peut-être, mon sauveur me voit partir avec regret. Il est plutôt beau gosse et l’uniforme lui va bien.

Les femmes sont curieuses, c’est connu. Aussi je m’installe pour regarder par le trou de la serrure. La porte de ma chambre donne sur le salon, plus exactement vers la cheminée avec ses fauteuil et canapés défraîchis qui lui font face. Je ne suis plus une oie blanche, les années de révolution sexuelle sont passées par là, mais une partie à quatre m’intrigue. Elle doit avoir du tempérament la bouseuse pour assurer avec quatre gaillards en pleine possession de leurs moyens.


Mon départ a servi de déclencheur, comme une envie retenue si longtemps par convenance. En un instant la charmante assemblée bascule. Les vêtements disparaissent comme par enchantement et quatre gaillards le sexe déjà turgescent font face à ce qui pourrait sembler une faible jeune fille. Ils sont à la parade et c’est presque drôle de voir ces quatre queues au garde-à-vous devant l’objet de leur désir. Ce n’est même pas une vraie blonde. Sa toison, véritable forêt vierge, la dénonce. Brune, désespérément brune, elle est.


Ils s’en foutent. Tout ce qui les intéresse ce sont les lèvres et les mains de la femme. Elle passe de l’un à l’autre. Elle se donne du mal. On voit bien qu’elle aime cela. Je suis sûre qu’ils ne la rétribuent même pas. Ils profitent. Elle, peut-être, pense qu’elle pourrait sortir de sa condition de bouseuse pour suivre un de ces garçons et enfin quitter la ferme pour un appartement en ville et un mari assez riche pour lui payer la télé et des vacances.


Elle se donne à fond. Les sexes sont superbes, luisants de salive. Elle les suce, gorge profonde, astique, branle. J’ai une reine sous les yeux. En cinq ans de sexe, je n’ai pas fait ce qu’elle réalise en quelques minutes. Respect, comme on dit maintenant. Ils l’installent, la positionnent. Leurs mains deviennent douces pour la caresser, se glisser entre ses cuisses, palper sa poitrine généreuse, forcer ses lèvres, son sexe, son anus. Ils ne se comportent pas en soudards mais en amants, respectueux de l’équilibre du plaisir. Les jeunes de maintenant devraient prendre exemple et ne pas se comporter en machos ridicules masquant leur impuissance sous la violence et le viol.


La partition est écrite depuis longtemps. Elle s’empale sur l’un, pendant que l’autre l’encule. Une verge envahit sa bouche. La dernière se place dans sa main. Jamais je n’aurais imaginé cela possible. Je parle à l’époque, car maintenant le Net montre des choses improbables. Elle ne rechigne pas à l’ouvrage.


C’est bizarre mais d’un seul coup il fait chaud dans la chambre, très chaud même. Ma robe me gêne. J’abandonne un instant et à regret le spectacle de l’autre côté pour me débarrasser de tout ce qui m’encombre. Robe, pull, slip, soutien-gorge. Tout est à terre. Je reviens avec envie vers le trou de serrure. Non, je n’ai rien raté. Ils sont toujours là. Montagne de corps enchevêtrés. Ils s’activent. Je peux entendre chaque bruit, chaque cri, chaque gémissement. Ma chatte me brûle. Mes seins sont gonflés. Moi aussi j’ai envie. Une main s’occupe de mon clito, la paume frotte mon petit bouton, les doigts entrent dans ma chatte. De l’autre, je me caresse la poitrine, pressant le sein pour le faire pointer, saillir le téton que je tire. Un dernier coup d’œil dans la pièce. La femme reçoit sur le visage le sperme de celui qu’elle branle. Longs filets blanchâtres qui coulent. Elle utilise le gland de celui qu’elle suce pour les récupérer et les lécher goulûment. Lui aussi crache sa semence mais elle a le temps de diriger les jets dans sa bouche. Elle joue un moment avec sa langue comme réceptacle puis avale la crème avec ostentation. Vraiment une pro de la sucette.


Je suis en feu. Je me branle de plus en plus vite. Je jouis sans interruption.


Merde ! Je perds l’équilibre et pars en avant, contre la porte. Catastrophe. Sans doute mal enclenchée, elle s’ouvre sous ma pression et je me retrouve à plat ventre dans le salon. Imaginez la honte. Bien sûr, quatre visages sont tournés dans ma direction. Je note quand même que les deux qui la prennent en sandwich ne cessent pas leur travail. Un des hommes vient vers moi et m’aide à me relever.



C’est encore mon sauveur, décidemment il a une âme de Saint-Bernard ce garçon. Je ne peux que bredouiller :



Il a un petit sourire moqueur au coin des lèvres. Il n’est pas dupe de mon manège. Je veux retourner dans ma chambre, mais il garde ma main dans la sienne et m’entraîne vers le feu.



Voilà, c’est dit. Je suis démasquée. Je suis la risée de la pièce. Rose a un air dédaigneux. Je suis le vilain petit canard, parisien en plus. Je soutiens son regard, d’ailleurs ses amants la ramènent à la réalité. Je suis maintenant aux premières loges et, comme les deux hommes qui ont déjà jouis, je regarde les deux sexes avancer de concert dans la femme.


Je sais, aujourd’hui, tout le monde a eu l’occasion de voir ce genre de scènes, au cinéma, dans les revues, cassettes, et bien sûr en gros plans et en détail sur les sites de cul du Net. Mais je peux vous assurer que vers les années 70, cela ne se trouvait pas sous le sabot d’un cheval.


Je reconnais que j’ai été fascinée par ce trio qui manifestement n’en était pas à son coup d’essai. Chacun jouait de son instrument mais, comme si un chef d’orchestre était présent, une certaine harmonie se dégageait. Enfin, quand je dis harmonie, je pense, sensualité, érotisme, sexualité. Sans m’en rendre compte ma main retrouvait le chemin de ma chatte et c’est le regard de mon sergent qui m’en fait prendre conscience. Car, il me regarde et me sourit. J’ai dépassé le stade de la pudeur, après tout je suis à poil, comme tout le monde dans cette pièce.


Mais la sensualité se transforme en bestialité. Tous trois semblent devenir fous. Chacun tire à hue et à dia pour atteindre la jouissance. Les queues poussent avec une telle force que Rose doit s’accrocher. Ils jouissent. Des cris, surtout la femme. Extravertie, elle clame son plaisir, en demande encore, veut qu’ils la baisent, qu’ils crachent, etc. Quel langage ! C’est le genre de fille que tout le monde connaît, dans un village. On la montre du doigt, car elle ne se cache pas, mais les hommes sont bien contents de la trouver.

Enfin, tout s’apaise. Les corps se libèrent. Chacun va s’asseoir, Rose à mon côté. Des serviettes circulent. Les sexes gluants sont essuyés, Rose enlève de sa figure des restes de sperme, puis de sa chatte et de sa raie des fesses. Des cigarettes sont proposées. Tout le monde fume, autre époque. Quelqu’un met de la musique en sourdine. Une voix demande.



Quatre mains se lèvent. Quel étrange spectacle de ces quatre, non cinq, personnes en train de se faire des politesses avec le café et le sucre. Nous n’avons que nos fourrures naturelles pour cacher, si peu, nos intimités.



Un homme fait le tour avec les spécialités du coin. Rose et moi choisissons le Ratafia. C’est un alcool sucré mais traître car il se boit comme de l’eau mais titre 40/45°. En tant que Bourguignonne, je connais bien. Les doses sont généreuses, presque la demi-tasse.



Tout le monde vide son verre d’un trait. Je suis bien obligée de faire pareil. Une nouvelle tournée est servie. Je refuse ce deuxième tour, mais ma voisine me chambre, en lançant à la volée.



C’est dit d’une telle façon que je suis piquée. Je réponds en tendant ma tasse.



Et je bois cul sec mon Ratafia. Ma répartie est accueillie avec des sourires et même ma voisine semble apaisée. D’ailleurs elle me demande.



La question qui fâche. Que répondre ? Il est évident que tout le monde sait que j’ai joué les voyeuses. Mais d’un autre côté, je ne peux quand même pas avouer que j’admire sa technique et son enthousiasme. J’essaie de m’en sortir, par un :



Heureusement, je suis sauvée par la musique car quelqu’un vient de monter le son. Une voix lance.



Les autres reprennent en scandant.



L’ambiance change. L’alcool sans doute. Moi aussi je me sens un peu pompette et je ris bêtement à cette demande.

C’est Rose qui répond :



Ils se précipitent pour nous servir. Je sais qu’en buvant ce troisième verre je fais une bêtise, mais une petite voix intérieure me susurre. « Laisse-toi aller, amuse-toi ». Rose se lève et m’entraîne. Je titube mais elle me guide d’une main ferme. Elle ouvre les bras et je m’accroche à son cou. Nous voilà collée l’une à l’autre et nous commençons de danser sur un slow langoureux. Les garçons regardent, confortablement installés, une cigarette et un verre à la main. Rose me tient fermement et nous ne faisons qu’une. Ce n’est pas la première fois que je danse avec une femme mais normalement nous sommes habillées.


Ici, les sensations sont différentes. La peau nue bien sûr, mais aussi les odeurs. Rose dégage un parfum animal, ce parfum particulier du corps après l’amour, mélange de transpiration et des jus de jouissance. Elle joue avec moi, tantôt me repoussant, tantôt m’attirant contre elle. Elle frotte sa poitrine à la mienne, sein contre sein, téton contre téton. Ses mains sur mes hanches me guident dans un déhanchement sensuel. Ses lèvres viennent se plaquer sur les miennes et pour la première fois, une femme glisse sa langue dans ma bouche. Je frissonne. C’est si doux. Moi aussi je la caresse, glissant du cou jusqu’à ses fesses que je prends à pleines mains.


Elle vacille. Non, en réalité elle m’entraîne sur le canapé, s’allonge et me guide pour que je fasse de même en me positionnant le visage face à sa cramouille poilue. Elle ne me laisse pas le choix et me force à plonger entre ses cuisses qu’elle écarte outrageusement. L’odeur est forte, remugle de sperme et de jus de femelle. Étrangement ce contact ne me rebute pas, au contraire il m’attire. Ma langue goûte au fruit défendu et aussitôt ma partenaire se cabre sous mes attouchements. Je suis libre, ses mains quittent ma tête, mais il n’est pas question de la laisser. Son sexe est à moi, son clito va gonfler sous mes lèvres, ses petites lèvres vont s’entrouvrir pour que ma langue entre en elles. Je ne néglige rien, je profite de tout. Mes doigts visitent, entrent dans son vagin, déjà ou encore humide d’avant. D’autres tournent longuement autour de son anus, fermé, serré, alors que je l’ai vu tout à l’heure accepter une queue triomphante. Un pouce, qu’est-ce qu’un pouce comparé à une verge d’homme, force le passage. Elle se cambre, gémit mais son cri semble s’étouffer dans sa gorge. En levant la tête je comprends, un sexe bloque le passage. Un homme s’est agenouillé au-dessus de son visage et lui donne sa queue à sucer.


On s’occupe de moi aussi. Des mains se posent sur mes hanches. Elles me forcent à me cambrer, écarter les jambes, encore, encore un peu plus. Une langue parcourt mon dos, longe la colonne, effleure mes reins et finit sa course sur ma rosette. Elle force le passage, pas si vierge que vous ne le pensez. Eh oui, quelques années avant, la pilule n’était pas si courante et il était plus sûr de céder son cul plutôt que son vagin. Bientôt mes deux trous sont occupés et on me branle avec vigueur. J’ai beaucoup de mal à me concentrer sur Rose. D’ailleurs elle se frotte le clito, assurée ainsi de ne pas être abandonnée par une amante en goguette.


Une tige musclée entre, avance, avance encore. Elle semble si longue que je pense ne pas pouvoir l’accueillir en entier. Je sais quel est son propriétaire. Je l’ai remarqué tout à l’heure alors qu’il me servait le café. Le bel organe pendait mollement sur les bourses mais la taille au repos laissait l’imaginer en érection. C’est sûrement elle qui me remplit si profondément. Ne sois pas si modeste, pensai-je, au moment même où le pubis de l’homme heurte mes fesses.


Je réalise que c’est ce que j’attends depuis que j’ai vu Rose avec ses amants. Oh oui, une belle, bonne queue bien vigoureuse, raide à souhait qui me prend et qui va me faire jouir. Cela fait plusieurs semaines qu’un homme ne m’a approché. Je suis en feu, ma chatte est en fusion. J’ondule autour de ce pieu qui commence sa danse d’amour. Un pas en avant. Un pas en arrière. Les mains qui s’appuient sur mes hanches se crochent dans ma chair. Mon baiseur me bourre avec de plus en plus de violence. Son sexe coulisse facilement dans mon fourreau. Il me fait du bien. Ma jouissance arrive. Je sens que mon jus coule. Je crie mais aucun son ne sorte de ma gorge bloquée par la chatte de Rose que je dois maltraiter dans ma furie. Lui aussi jouit. Je sens ses giclées de sperme inonder mon ventre comme pour enfin éteindre le feu de ma chatte.


À peine le temps de reprendre son souffle et mon amant se retire. Non, il revient et d’un coup de rein me réinvestit. Sa queue est encore dure, mais différente.


Idiote je suis. C’est un autre qui a pris la place. Il se retire et vient appuyer sur ma rosette. Il pousse délicatement et ma porte s’ouvre sans grande résistance, lui laissant envahir mes reins. Il m’encule jusqu’à la garde et je sens ses couilles pleines venir taper sur ma chatte. Sensation différente. Impression d’être pleine. Le bâton occupe toute la place. Pendant qu’il me prend, par de violents coup de reins, j’imagine ma rondelle serrer sa hampe et tenter d’étouffer le gland pour le branler. Il me force à me cambrer encore plus et sa main vient frotter mon petit bouton. Il sait y faire. Il joue avec mon cul. Sa verge sort puis replonge aussitôt pour s’enfoncer jusqu’à la garde. Dix fois, vingt fois, cent fois. Je ne me lasse pas.



Il jouit, bien calé. Je sens sa verge gonfler un peu plus à chaque passage du sperme. Il reste en moi tout en accélérant ses mouvements sur mon clito. Une nouvelle jouissance me submerge, encore plus forte que la première.


On bouge. Rose se dégage. Mon enculeur me quitte. Je reste prostrée un instant. Mais on me fait lever. Quatre hommes me regardent, sourire aux lèvres. Deux sont encore en érection. Rose n’a donc pas…

Je comprends. Ils se réservent, non plutôt, elle les réserve pour moi. Le premier s’assied sur le canapé. Rose me pousse. Je ne résiste pas. Moi, la femme de 25 ans, me laisse mener par une fille d’à peine 20 ans. Pourtant je suis dégrisée. Il suffirait de dire non. Je n’ai rien à prouver. Pourtant je reste docile.


Au contraire, je viens chevaucher le garçon et je m’empale moi-même sur le pieu dressé. La route est tracée. Mon vagin est ouvert, humide, glissant comme une route de ma Bourgogne natale et son verglas du petit matin. Le sexe vient buter contre mon utérus et à nouveau je me sens pleine. Mais ce n’est qu’un début. Mon amant m’attire contre lui et je sens ses mains qui s’approprient mes globes fessiers pour les écarter. Le canapé bouge, quelqu’un se place derrière moi. Le gland d’une tige se frotte dans mon sillon, récoltant probablement quelques filets de cette crème blanche qui doit goutter lentement de mon anus. Maintenant il est en place. D’un coup de rein il entre et en une seule poussée il me dilate pour venir m’enculer jusqu’à la garde.


Même pas mal ! Comme disent les jeunes. Et c’est vrai. Aucune douleur. Il faut dire que le précédent a bien préparé le chemin. Mais par contre, je me sens gonflée, déformée mais surtout comblée et pleine. Deux queues raides et vigoureuses sont en moi. Leur chaleur m’enflamme. Avoir le feu au cul, mais oui c’est possible et pourtant personne ne bouge encore. J’attends qu’ils me baisent. Mais non, je ne peux pas attendre. J’ai besoin de les sentir vivre en moi. Je ne bouge que mon bassin, ondulant d’avant en arrière. C’est suffisant pour bien les sentir, les différencier, alors que j’avance sur une et que l’autre recule. Comment deux verges peuvent elle coexister sans que je souffre. Miracle de l’élasticité.


Un homme se présente face à moi. C’est longue-queue. Il enjambe le dos du canapé pour se placer, plus précisément pour placer sa verge à mes lèvres. Son sexe mou entre facilement. Me voilà, telle une pute de garnison, prise par tous mes orifices. Le canapé bouge. C’est Rose et le dernier garçon qui s’installent. Juste avant de le gober, elle me dit.



J’ai largement dépassé le stade de la retenue. Cette journée tourne à l’orgie. Et alors ? Qui le saura ? Cinq inconnus qui ne savent rien de moi et que je ne reverrai jamais. Personne d’autre. Alors la petite voix se fait à nouveau entendre. « Profite, peut-être que tu n’auras plus jamais l’occasion ».


Alors que le jeu commence. Que ces tiges brûlantes me baisent. Non, c’est moi qui vais le faire. C’est si bon de les sentir aller et venir dans mon ventre et mes reins. Et le sexe que je suce. Maintenant il est revenu au sommet de sa forme et si long que je ne peux qu’en absorber la moitié. Mais je m’acharne sur le gland. Mes lèvres l’emprisonnent pendant que ma langue le lèche et que je le suce comme dans la chanson « les sucettes à l’anis ».


Mais mes amants s’impatientent, je reprends mes allées et venues. Ce n’est pas si facile de s’occuper de trois queues en même temps. Deux déjà… C’est extraordinaire cette sensation de montée du plaisir, cette impossibilité de dissocier l’avant de l’arrière. Je coule, je jouis. Vagin, cul, l’un, l’autre ? Non les deux.

J’étouffe, je n’arrive plus à respirer. La queue que je suce se retire. Je reprends ma respiration et sans prévenir hurle de bonheur au moment où mes deux amants me balancent de longs jets de semence dans mon ventre et mes reins.


Longue-queue ne me laisse pas le temps de souffler et en se branlant provoque son éjaculation qu’il dirige vers mes lèvres. Pute jusqu’au bout, je le termine à la bouche. Il est aussitôt remplacé par le garçon que Rose m’a préparé et lui aussi jute sur moi. Je sens le sperme couler sur mon visage.


Une heure plus tard, mon sergent me conduit vers le garagiste pour récupérer ma voiture. J’ai l’impression de me réveiller. Peut-être n’était ce qu’un rêve ? Allons ne soit pas hypocrite, pensai je. Un rêve, non, la réalité. Une parenthèse, dans ma vie, oui. Un moment, magique ? Oui pourquoi pas. Qui peut se vanter d’avoir fait l’amour avec quatre hommes et même une femme ?


Mais on arrive. Je récupère ma voiture. Je salue et remercie mon ange gardien. Nous nous étreignons. Il me dit.



Et il me glisse son téléphone.




FIN




Juste un mot. Je suis mariée depuis 40 ans. Mon mari s’appelle Paul. Ah, ça y est, vous avez fait le lien ! Eh oui, Paul est ce sergent de Nuits-sur-Armançon.

Nous sommes parfaitement heureux. Je ne l’ai jamais trompé et je crois que lui aussi. À notre mariage, ses copains étaient là. Cela fait un drôle d’effet de retrouver des garçons avec qui vous avez couché. Mais toute cette aventure s’est transformée en amitié fidèle.


Vous comprenez maintenant pourquoi la Toussaint est pour nous une fête particulière. Une fête de la vie… La fête de tous les seins… Rose, que deviens-tu ? Si tu te reconnais écris-moi… Je laisse mon adresse… Nous pourrions échanger des souvenirs…