n° 15316 | Fiche technique | 8644 caractères | 8644Temps de lecture estimé : 6 mn | 01/12/12 |
Résumé: Exhibe et domination physique et mentale. | ||||
Critères: fh fhh caférestau fsoumise voir exhib noculotte facial fellation pénétratio double sandwich fsodo sm confession -couple+h -fsoumisah | ||||
Auteur : Domisexy (Femme soumise) Envoi mini-message |
Mon mari a voulu profiter de l’absence de notre fille pour m’emmener au restaurant. Mais dans ces cas-là je dois toujours être nue sous mes vêtements, aucun sous-vêtement n’est admis. Nous nous sommes installés au fond du restaurant dans un coin tranquille, à côté d’une table occupée par deux couples de cinquante ans environ, et nous avons commencé à discuter entre nous. Je voyais que nos voisins lorgnaient mon décolleté qui, je dois bien l’avouer, était assez profond et laissait voir une bonne partie de ma poitrine, ma jupe était déboutonnée jusqu’à la limite de mon ventre.
Mon mari a remarqué leurs regards et s’est mis à me parler plus fort, pour que nos voisins ne perdent rien de notre conversation. Il m’a demandé si j’avais aimé notre dernière soirée sexe où son ami m’avait baisée avec lui, après qu’ils m’aient exhibée dans Colmar. La conversation de nos voisins n’existait quasiment plus au fur et à mesure que la nôtre avançait. Les deux hommes, mais aussi leurs femmes, écoutaient du mieux qu’ils pouvaient. Cela m’a beaucoup excitée, et je répondais de plus en plus précisément à mon mari en n’évitant aucun détail.
Je lui ai raconté que j’avais beaucoup aimé le soir où il m’avait exhibée dans une rue, adossée à un mur. Il avait retroussé ma jupe au-dessus de mon ventre et fouillait de ses doigts habiles, mon sexe trempé d’excitation. Un groupe de touristes se dirigeait vers nous. J’ai voulu me rajuster mais il a glissé encore plus profondément sa main en moi et m’a ordonné de les regarder dans les yeux et de le laisser faire.
Les promeneurs nous ont bien sûr regardés et ils ont ralenti le pas, surpris par le spectacle. Certains m’ont traitée de salope et de pute, d’autres n’ont rien dit. Un couple m’a regardée et je crois avoir décelé de l’envie dans leur regard. J’ai aussi dû lui expliquer ce que j’avais ressenti pendant que j’étais exhibée. Je lui ai dit que j’étais honteuse, troublée et excitée à la fois d’être vue, pendant que sa main explorait mon ventre sans ménagement, au point de me faire gémir dans un mélange de plaisir et de douleur devant ces inconnus. Je lui ai dit que j’avais quand même aimé cela et que j’étais prête à recommencer si lui le voulait.
Nos voisins n’avaient pas perdus une miette de mes confidences et me regardaient d’un air réprobateur mais aussi lubrique. Comme c’était un buffet, nos voisins et nous même devions nous lever pour nous servir. Mon mari m’a demandé de reculer ma chaise de la table pour qu’ils puissent mieux voir mon ventre à leur passage. Il m’a aussi ordonné de bien me pencher lorsque j’irai au buffet pour que tous les clients aient une vue plongeante sur mes seins. Ils avaient forcément entendu mon mari me le demander, car nous entendions leurs remarques et leur conversation ne tournait plus que sur nous et ma tenue.
Lorsqu’ils se sont levés pour aller se servir, ils n’ont pas oublié de jeter un regard appuyé sur mes cuisses offertes et mon décolleté audacieux. Nous avons attendus qu’ils s’asseyent pour nous servir à notre tour. Je me suis levée en me tournant vers eux pour leurs offrir la vue de ma jupe ouverte sur ma fente imberbe et un aperçu de mes seins, libres de toute entrave dans leur chemisier au décolleté généreux. Pendant mon passage au buffet, j’ai veillé à bien me pencher pour offrir un joli spectacle aux autres clients, pour faire plaisir à mon mari mais aussi pour moi : sentir les regards des autres sur mon corps, allumer le désir en eux et les troubler me plaît énormément.
Lorsque nous sommes revenus nous asseoir, la table de nos voisins attendait visiblement que je me rasseye. Je n’ai pas eu le cœur de les décevoir et leurs ai encore offert la vue de ma jupe remontant bien au-delà des limites de la décence, sous le regard bienveillant de mon maître.
Pendant le repas mon mari m’a demandé si j’étais bien nue sous mes vêtements et si cela me plaisait.
Je lui ai répondu :
Nos voisins n’ont plus dit un mot. Mon mari m’a alors demandé de lui montrer mes seins, pour voir s’ils pointaient comme je le disais. J’ai dégrafé un bouton de plus et j’ai entrouvert mon chemisier devant lui, mais il m’a dit qu’il ne voyait pas bien, que je devais l’ouvrir plus. J’ai ouvert un autre bouton, mais il a exigé que je le dégrafe complètement, ce que j’ai fait. Il m’a alors demandé d’écarter doucement les pans de mon vêtement jusqu’à ce qu’il me dise d’arrêter. Je me suis exécutée en frémissant de honte et de plaisir. Il ne m’a arrêtée que lorsque mes seins furent totalement exposés à sa vue mais aussi à la leur. C’était d’une audace folle : au beau milieu d’un restaurant avec d’autres clients, moi tenant mon chemisier ouvert, les seins offerts à la vue de tous pour obéir à mon maître ! Nos voisins n’en ont bien sûr pas perdu une miette.
Après cela, il m’a permis de me rajuster, mais avec un bouton fermé de moins, si bien qu’au moindre mouvement je dévoilais ma poitrine à tous les regards. Je pensais qu’il serait satisfait, mais il m’a encore demandé de mettre mes doigts dans mon sexe et de lui faire voir si je mouillais bien. Cela m’a plu de me soumettre à tous ses désirs devant ces gens qui n’en croyaient pas leurs yeux ni leurs oreilles. Il m’a aussi dit qu’après le repas il m’emmènerait à la caserne des pompiers voir un autre de ses amis pour qu’il me baise devant lui.
J’ai dû lui téléphoner et lui dire :
Nos voisins n’en revenaient pas et ont profités du spectacle jusqu’à la fin du repas. Je pense qu’ils s’en souviendront toute leur vie !
Nous sommes partis voir cet ami et il nous a fait monter dans sa chambre après que mon mari lui ait dit qu’il m’avait emmenée me faire baiser pendant que lui me materait et que rien ne lui était interdit pour cette soirée.
Pendant plus d’une heure, je l’ai sucé et il m’a prise dans toutes sortes de positions. Il m’a sodomisée pendant plus de dix minutes et mon mari était à côté de moi, l’aidait à mieux m’ouvrir, me tenait les jambes écartées pour lui permettre de me prendre plus profondément. Au bout d’un moment, mon mari a craqué et m’a enfourné son sexe dans la bouche, puis il m’a prise par derrière pendant que son copain était dans mon ventre.
Quelle sensation de sentir ces sexes se frôler en moi, séparés simplement par une fine membrane de peau, entrer et sortir de mon ventre en chaleur ou de mon anus en feu, l’un après l’autre ou en même temps, me forçant sauvagement, allant de plus en plus profondément dans mes entrailles et m’arrachant des cris de douleur et des râles de plaisir ! J’étais dilatée à l’extrême, mon vagin et mon anus ne se refermaient même plus quand l’un ou l’autre m’abandonnait un instant !
Je n’ai pas pu m’empêcher de jouir deux fois d’affilée pour leur plus grande satisfaction. Ce n’est pas très facile à réaliser mais la sensation de deux queues en même temps dans la chatte et le cul est extraordinaire et vaut bien quelques courbatures ! À la fin, mon mari m’a rempli la gorge de son sperme et son copain s’est répandu sur mon visage et mes cheveux, m’étalant son sperme avec son membre dressé sur les joues et la bouche. Je l’ai rendu tout propre avec ma langue, l’enfonçant encore une dernière fois au fond de ma gorge pour avaler les restes de sa liqueur et montrer ma docilité.
J’espère que cette aventure vous a plu. J’aime être un objet sexuel le temps d’une soirée de temps à autre. Être utilisée comme bon leur semble par un ou deux hommes sympas, me donne toujours des sensations extraordinaires.