n° 15321 | Fiche technique | 18364 caractères | 18364Temps de lecture estimé : 12 mn | 04/12/12 corrigé 11/06/21 |
Résumé: Jeune mère monoparentale de 21 ans, j'ai commencé à faire des ménages pour gagner notre vie. C'est ainsi qu'un petit jeu pervers s'est installé entre moi et M. Andrew... | ||||
Critères: fh hplusag soubrette fellation confession québec | ||||
Auteur : Lili_Lafleur (Jeune québécoise de 33 ans) Envoi mini-message |
J’avais vingt-et-un ans et je venais de devenir célibataire, monoparentale de surcroît. En couple depuis l’âge de seize ans et malheureuse depuis déjà trop d’années de ma jeune vie, j’avais mis fin à ma relation. J’ai donc déménagé, seule avec mon fils de cinq ans et j’ai dû trouver rapidement un emploi pour nous faire vivre. Étant une personne de confiance, le père d’un de mes amis m’a offert de faire le ménage chez lui chaque semaine. J’ai accepté, même si ce n’était pas le travail le plus chouette du monde, car c’était de l’argent qui entrait. Ma réputation de petite femme de ménage travailleuse s’est propagée comme une traînée de poudre et bientôt, j’avais dans mes poches les clés d’une dizaine de maisons, que j’astiquais chaque semaine. J’arrivais même à en vivre plutôt bien !
Un jour, la mère de mon bon ami Louis me demanda d’ajouter leur maison à ma tournée hebdomadaire. J’ai bien sûr accepté ; j’ai toujours aimé cette gentille famille. Louis, vingt-et-un ans, avait un jeune frère de dix-huit ans et avec eux, on s’amusait toujours grave. Leur maison avait été en quelque sorte notre refuge d’adolescents et leurs parents nous avaient toujours accueillis à bras ouverts.
Je commençai donc la semaine suivante mon ménage dans leur demeure. J’étais seule dans leur maison pendant mes travaux et en fait, je préférais ça ; je me sentais plus libre. Je pouvais mettre de la musique très fort et chanter à tue-tête en travaillant. Les semaines passèrent et la routine s’était bien établie, je passais faire mon ménage chez eux, chaque semaine.
Ce jour-là, je me préparai à quitter ma maison pour aller travailler chez Louis. J’attachai rapidement mes cheveux long en chignon négligé et enfilai mes vêtements de ménage pas très chic ; mon grand chandail fleuri, défraîchi et de mes vieux jeans troués. Tellement vieux, ces pantalons, qu’en me penchant pour attacher mes souliers, une grande déchirure était apparue sous la fesse gauche… Prête à quitter la maison, j’ai décidé de ne pas me changer. De toute façon comme je serai seule… me dis-je à demi-voix. Et je partie ainsi vêtue pour ma journée de travail.
J’entre dans la maison qui, comme d’habitude, est dans un silence complet, je me dirige vers le salon et j’allume la radio au chanel « old rock », volume à fond, bien entendu. Fidèle à moi-même, je chante comme une perdue sur les vieux succès connus, je me déhanche avec ma guenille, je fais même la scène de film de « La fille heureuse qui danse avec sa moppe ». J’aperçois par terre des taches qui ne partent avec la vadrouille… galère… je prends ma petite brosse, m’agenouille et je frotte avec vigueur ces maudites marques noires bien incrustées. Bon, misère, ça ne s’efface pas. Je me relève pour aller chercher en renfort un super-détachant quand, du coin de l’œil, j’aperçois Andrew, le père de Louis, assis dans les escaliers. L’escalier pour aller au deuxième étage donne vue à la presque totalité de la maison, qui est à aire ouverte. Il est en robe de chambre et affiche un grand sourire et l’air espiègle qu’il a toujours conservé malgré ses cinquante-cinq ans. C’est vraiment un bel homme, il a les cheveux grisonnants, il est grand et plutôt bâtit. Surprise, je le salue mal à l’aise et cours au salon descendre le volume de la radio.
Il me raconte alors qu’il a été transféré sur le shift de nuit à son travail.
Voulant chasser le sentiment de malaise qui m’habitais, je re-focus sur les tâches noires et je cours chercher le produit. Avant de m’agenouiller toutefois, un déclic se produit dans ma tête…
Moi, à quatre pattes par terre qui fais des va-et-vient énergiques, le trou dans mes jeans qui montre la moitié de ma fesse, mon chandail ample qui, ainsi placé, offre une vue sans détour sur mes seins ET la présence d’Andrew dans l’escalier… Oh la la, j’ai soudainement une bouffée de chaleur, mi-gêne, mi-excitation et je me demande alors depuis combien de temps il est là à m’observer, l’œil ludique…
Timidement, je me remets à genoux en essayant de me tourner de façon à ce qu’il ne voit pas ma fesse découverte. De toute façon, il va se lever de là ! me dis-je intérieurement. Eh non, Andrew semble bien assis dans son poste d’observation et je constate qu’il n’a pas l’intention de bouger. Je remets mon frottage et me sentant rougir, je ne peux m’empêcher de lui jeter des petits coups d’œil furtifs. Je vois une lueur perverse dans son regard et je comprends maintenant : il est spectateur. Je commence à aimer son jeu… moi la soubrette, lui le patron… Je mets plus d’efforts sur le parquet et je me retourne subtilement au gré des grands coups de brosse que je donne afin de lui offrir une vue imprenable sur mes fesses de jeune vingtaine. Je sens mes petits seins ballotter dans mon soutien-gorge sous mon chandail trop grand et je sais qu’il les regarde. Je cambre bien les reins et bouge exagérément mon bassin au rythme de mes frottements. Ce coin de plancher n’aura jamais été aussi propre, ce n’est même pas discutable.
Je me retourne et le regarde avec intensité, toujours en levrette sur son plancher. Il a perdu son air taquin maintenant, il semble presque troublé. Il se lève subitement et va se réfugier dans la salle de bain. Je rougis aussi vite qu’il est parti, j’ai honte de moi et je crois que j’ai trop forcé la note en poussant l’audace si loin.
Une heure plus tard, il en ressort bien propre dans son habit de travail. Le regard fuyant, il me remercie froidement pour mon ménage et il me donne les 40 $ habituels. Je suis retournée chez moi ce soir-là avec des sentiments mitigés, jamais je n’avais agi comme ça et j’avais du mal à comprendre comment j’avais pu faire une telle chose. Malgré tout, une fois douchée et au lit, je n’ai pas résisté à me caresser jusqu’à l’orgasme en pensant à ce qui était arrivé aujourd’hui.
Des semaines ont passé et Andrew n’était plus jamais présent lors de mon ménage hebdomadaire. Au fond, j’en étais presque soulagée car j’étais encore terriblement mal à l’aise de la façon dont je m’étais comportée. Provoquer un homme marié, c’est pas vraiment super quand on y pense.
J’ai alors repris mes petites habitudes musicales et ma liberté d’expression de ménagère solitaire. À chaque fois qu’arrive l’heure de la moppe, j’ai les souvenirs de cette fois-là… mais comme je suis seule, je m’exécute machinalement pour me changer les idées. Je me dirige vers la salle de bain et avant de commencer à laver la baignoire et la douche, je m’assois sur la toilette, laissant la porte ouverte. C’est alors qu’il entre dans la salle de bain : j’ai fait un de ces sauts ! Trop convaincue que j’étais seule à la maison ! Quelle gêne, se faire pogner les culottes à terre, mais pour vrai ! Il s’excuse en souriant mais ne ressort pas de la salle de bain pour autant. Je m’essuie en tâchant de cacher ma p’tite touffe de poils semi-rasés. Je remonte mon string noir en vitesse, je suis gênée, vraiment. Reboutonne mon vieux jean troué que oui, je conservais spécialement pour mon ménage ici. Andrew me regarde rieur, amusé du malaise qu’il vient de créer.
Pourpre, je commence à asperger le bain et les murs de la douche de nettoyant. Andrew, lui, vêtu seulement d’une mince culotte de pyjama en flanelle, commence à se raser la barbe en se regardant et surtout en ME regardant de façon pas du tout subtile dans le miroir du lavabo qui fait face à la baignoire. Il remet l’épisode du voyeur, on dirait.
J’embarque dans la douche pieds nus, jean roulé aux genoux ; je lave toujours les douches ainsi, je veux bien nettoyer et ma petite taille m’empêche de le faire si je n’embarque pas à l’intérieur. Je commence à frotter, à me pencher mais de façon plutôt sensuelle, le souvenir de l’autre jour en tête, il me prend de nouveau envie de le provoquer. Je me penche, je me relève, je me penche, en lui offrant hypocritement en spectacle la « passe du catcher » (vous savez au base-ball, le catcher comme il se place). Il ne se rase plus maintenant, il me regarde fixement mais toujours dans le miroir, comme si le fait de voir seulement mon reflet lui enlevait la culpabilité du moment présent. Andrew, marié depuis trente ans à une gentille femme, père de deux jeunes adultes, bon citoyen, était en train de s’exciter devant la petite femme de ménage, bonne amie de son jeune fils. Je le sentais torturé par la situation et je réalisais maintenant qu’il avait volontairement quitté la maison les dernières semaines lors de ma visite pour éviter les tentations.
J’ai commencé à me sentir en contrôle de la situation, à me sentir toute puissante et maîtresse de son excitation. Je passe à l’acte ou pas ? me demandai-je intérieurement… La réflexion fut très courte ; ma libido l’emporta haut la main sur mes principes moraux. Je me sens belle, désirée voire admirée. Je sors de la baignoire en l’ignorant et dos à lui, je m’agenouille avec grâce et je commence à la récurer. J’y vais de mon petit jeu de bassin audacieux et je lui offre une vue imprenable sur ma croupe ; il peut s’imaginer sans peine de quoi j’aurais l’air s’il me prenait comme une petite chienne. Je pousse l’audace jusqu’à pousser des petits gémissements d’efforts forcés.
Soudainement, commence à la radio une chanson de blues, mais alors là, un vrai blues sexy et langoureux qui ne peut laisser personne indifférent.
Je ne le vois pas mais je l’entends respirer de plus en plus fort, tendu devant ma « performance ménagère ».
Je me relève enfin, et amusée, je le regarde intensément dans les yeux avec un large sourire et je lui demande :
Il ne me répond pas. Il est tout rougi. Je le trouve tellement beau en ce moment avec son air ébahi, le torse nu grisonnant. Je m’approche de lui qui est toujours immobile devant le lavabo et je me colle contre le côté son corps pour le pousser doucement, histoire de laver le comptoir. Je commence à laver, avec toujours cet air de blues en background. Je commence à faire rouler mes hanches suivant le rythme, consciente d’augmenter à chaque seconde la pression artérielle d’Andrew. Enfin, il craque et se plaçant derrière moi, il plaque mes fesses contre son ventre. Ses mains sur mes hanches me retiennent fermement et je sens sa puissante érection dans le bas de mon dos. Il respire tellement fort que j’ai presque pitié de cet homme luttant de toutes ses forces contre sa bonne conscience et son instinct. Provocante, je bouge les fesses sur sa queue pour répondre à ses avances. Il lâche alors la garde et toujours derrière moi, il se rue dans mon cou qu’il se met à embrasser comme une furie. Il suce furieusement mes lobes d’oreilles en tremblant d’excitation. Je suis complètement ivre de désir et le traitement qu’il m’impose m’arrache des gémissements et une chaleur intense envahit le bas de mon ventre.
Je me retourne pour lui faire face, lève la tête et pointe les pieds pour atteindre son visage presque haut de six pieds. Excitée, je commence à embrasser son cou, à le lécher et à le mordiller. Je lui chuchote alors à l’oreille :
Il agrippe ma taille, me soulève et m’assoit sur le comptoir. J’écarte bien les jambes et il plaque avec force sa dure virilité sur ma minette. On s’embrasse avec une passion violente, sa langue est douce et chaude et je prends un malin plaisir à enrouler la mienne à la sienne en soupirant de plaisir. Ses mains entourant mon visage, il se recule un instant pour me regarder, les pupilles dilatées et la respiration saccadée.
Le regard sérieux et la voix grave il me dit :
Il détache mon bouton et, docile, je lève les fesses pour l’aider à enlever mon pantalon. Sans un mot de plus, il retire mon chandail à fleurs trop grand. Me voilà maintenant bien écartée devant lui, assise sur le comptoir, en string noir et soutien-gorge. J’agrippe l’élastique de son pantalon de pyjama et je l’attire vers moi. À travers le tissu, je prends connaissance de la marchandise et je le caresse de haut en bas, simulant doucement une branlette.
C’est qu’il est très excité, Monsieur Coutu, maintenant.
D’une main habile, je dégrafe alors mon soutien-gorge libérant mes petits seins aux aréoles rosés. La vue de mes jeunes mamelles lui arrache un grand soupir et d’une main quasi tremblante, il commence à les caresser comme des bijoux précieux. Il ne résiste pas longtemps à l’envie de les lécher et sa langue chaude attaque mes mamelons avec passion, il me les suce si avidement que je sens ma chatte devenir plus moite à chaque coup de langue.
Après un bon deux minutes de ce traitement, je l’attire de nouveau vers mon visage, lui redemande sa langue et je suçote la lèvre inférieure. J’ai le goût de le mordre. Il plaque son pénis en flanelle contre ma minette en petit coton noir. J’enroule mes jambes à son bassin et je commence à me frotter contre son pénis, de plus en plus fort. On fait l’amour habillé, littéralement. Je suis de ces filles qui aiment se frotter le clitoris et j’utilise souvent cette technique de masturbation pour atteindre l’orgasme, orgasme que j’atteins d’ailleurs à une vitesse souvent déconcertante.
À ce moment précis, tout ce qui compte est ma jouissance et la sienne ; je dois le faire jouir impérativement. Je me sens garce et j’aime vraiment ça… Je suis toute mouillée et la pression de son pénis sur ma petite chatte, séparé par seulement deux minces couches de tissus, est douce et glissante. Je commence à gémir sans pouvoir me retenir, je sens l’orgasme arriver, déjà… Moi, la petite soubrette cochonne, suis en train de jouir à se frotter sur la graine de Monsieur Andrew… oh la vilaine ! Je sens mes jambes se raidir autour de ses hanches, mon bassin bouge vite et fort, mon ventre se contracte et les spasmes m’envahissent dans un foudroyant orgasme sonore. Haletante, je regarde Andrew dans les yeux et je l’embrasse langoureusement, gémissant encore chaque fois qu’il bouge son corps encore contre le mien.
Je me recule car je sens qu’il va jouir dans son pantalon et je n’en ai pas fini avec lui. Oups, je vois que dans mon excitation, j’ai complètement mouillé sa culotte de pyjama… Je me glisse en bas du comptoir et je fais tomber ses pantalons au sol. J’admire sa belle queue, enfin dévoilée à mes yeux et je commence à le branler fermement. Ses gémissements m’indiquent que je n’ai pas beaucoup de marge de manœuvre, il va jouir d’une seconde à l’autre tant il est excité. Sans plus tarder, je m’agenouille. Du bout de la langue, je commence à lécher sa grosse queue de haut en bas et je m’attarde avec douceur et langueur sur son gland que je lèche comme une glace. J’ouvre grand et je la mets entièrement dans ma bouche. Une main à la base de son pénis commence à faire des va-et-vient et l’autre main caresse ses couilles. Je mets la gomme, je le suce comme un besoin vital en pressant avec vigueur ma langue contre son gland au gré de ma succion. Il met ses mains sur ma tête et donne des coups de reins pour s’enfoncer plus creux dans ma bouche. J’adore faire venir un homme dans ma bouche ; ça m’excite terriblement. Je lève les yeux et je vois son visage tout tendu par le plaisir. Il va jouir, je le sens et je suce encore plus fort, déterminée à avaler le fruit de mon travail. Dans un râlement des cavernes, je sens enfin les giclées de sperme bien chaud arriver au fond de ma gorge et je suce jusqu’à la dernière goutte. Monsieur Andrew a les jambes molles tout d’un coup. Je me relève et la langue sur les lèvres je lui souris, fière de mon coup en admirant son visage d’homme satisfait.
Andrew est monté au deuxième étage en vitesse pendant que je commençai à passer l’aspirateur dans tous les racoins de la maison. Quand enfin j’eus terminé mon ouvrage, il n’y avait plus l’ombre de personne dans la maison. Sur la table, il y avait un 100 $ et un « Merci pour tout », griffonné sur un bout de papier. Je suis retournée chez moi en réalisant que j’avais en quelque sorte été payée pour mes services… Et j’ai dû m’avouer que j’ai vraiment aimé être la p’tite pute de Monsieur Andrew et que même, j’ai hâte à la semaine prochaine…
Petit glossaire :
– moppe : balais à franges pour laver les sols, serpillière ;
– vadrouille : synonyme de moppe ;
– shift de nuit : quart de nuit ;
– pogner : prendre quelqu’un sur le fait.