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n° 15328Fiche technique18441 caractères18441
Temps de lecture estimé : 11 mn
09/12/12
Résumé:  Des clients bruyants durant la nuit dans un hôtel, entrainent notre témoin vers la réalisation de quelques inavouables fantasmes, au moins 3...
Critères:  h fhh grp fbi inconnu voisins vacances hotel exhib noculotte hmast pénétratio double sandwich échange partouze confession -occasion -groupes
Auteur : Tembol La Rochelle  (Tembol)      

Série : Coups de Chaleur sans culotte

Chapitre 01 / 05
Coup de chaleur à l'hôtel (Libération de l'assertivité)

Coups de chaleur sans culotte



Coup de chaleur à l’hôtel



J’étais en mission en Normandie à Tigreville, sur le port et à bord d’un navire de commerce pour être précis. Je devais reconfigurer tout son équipement radio parce qu’il venait d’être vendu donc changerait de pavillon et de nom. Je devais aussi effectuer tous les contrôles techniques qui s’imposent périodiquement sur l’installation radio de tout navire de commerce. D’autre part, d’autres spécialistes séjourneraient à Tigreville pour les mêmes raisons, chacune et chacune dans leur spécialité. Nous étions tous logés dans le même hôtel pour la semaine et on ne se connaissait pas, avant « cela ».


En arrivant à midi pour poser mes bagages le premier jour, je n’ai pas su éviter de remarquer deux jolies personnes du personnel de l’établissement, que j’ai vite soupçonnées d’avoir la même excitante habitude que ma « bergère », se balader en mini-jupe sans rien porter dessous.


Rencontrée dans l’escalier, la Demoiselle de Service faisait le ménage dans les chambres et les locaux communs de l’hôtel. Sous sa blouse blanche ultra légère, on devinait facilement la pointe de ses seins. Hum-hum, pas de soutif, il n’y a aucun doute… C’est sûr, il faisait très chaud en juin cette année-là. S’habiller aussi légèrement n’était donc que sagesse. Était-elle si sage que ça ? C’est ce que j’ai pensé en la voyant en haut de l’escalier. Sa blouse était si courte que toute la hauteur de ses cuisses était visible, une agréable vision. Était-elle nue sous sa blouse ? Je me le suis demandé. Mais les échanges de sourires à chaque fois qu’on se croisait de près dans l’escalier ne nous engageaient à rien. Pas plus que le sourire de la réceptionniste, elle aussi toujours habillée très courtement.


À propos… Pourquoi une femme peut-elle prendre l’habitude de se balader sans culotte sous sa jupe ?

Ma compagne m’a avoué avoir constaté cela une fois en ville, ce qui lui donna tout simplement l’idée et l’envie d’essayer. Elle suivait une dame sur un escalier roulant dans un centre commercial. Celle-ci était si court-vêtue qu’il fut possible d’apercevoir ses fesses sans aucun doute nues en montant l’escalier derrière elle. Personne n’osa rien dire sur le coup et tout le monde fit semblant de n’avoir rien vu d’inhabituel.


Elle se demanda si elle oserait se balader ainsi en pleine ville, seule ou accompagnée. Mais cette exhibition impressionna sans doute Isabelle, car elle osa enlever sa culotte à la fin de l’après-midi dans les toilettes d’un café. C’était « pour voir », déclara-t-elle en me le racontant. Elle m’avoua s’être caressée toute la soirée jusqu’à « la petite mort », tellement la vision de la journée l’avait impressionnée. Depuis elle récidiva très régulièrement, jusqu’à en prendre l’habitude. Quand elle m’a dit ça, j’ai posé une question stupide :



Elle sembla très gênée et resta un instant silencieuse. Soudain elle m’a répondu avec une autre question :



Elle resta songeuse.



Voilà ce qui m’est arrivé dans cet hôtel durant ce déplacement. Ce soir-là, j’étais au lit dans ma chambre car il était déjà fort tard. Tout bêtement, je regardais le journal TV de minuit. Cela dit mon attention était de plus en plus perturbée, à cause du bruit dans une chambre voisine :


« On ne s’ennuie pas à côté », ai-je pensé, car ce que j’entendais ne laissait pas beaucoup de doute sur ce qui se passait. En effet sans aucune discrétion, ces voisins commencèrent peu à peu à crier leur jouissance. Ils « n’y allaient pas de main morte », car visiblement ce que j’entendais ne venait pas de la chambre à côté mais d’un peu plus loin, dans le couloir. Diable…



Etc. Tout cela manquait réellement de discrétion.


Cette ambiance m’a progressivement surexcité car ça durait et j’ai même eu l’impression qu’ils n’étaient pas que deux. Il fut vite impossible de penser à autre chose.

Sur le moment j’ai lentement conçu un fantasme. J’imaginais que peut-être ils avaient envie d’être rejoints et « aidés ». Leur porte était donc peut-être laissée ouverte…


À la longue, n’y tenant plus, j’ai éteint la TV, je me suis levé puis j’ai ouvert doucement ma porte. J’ai d’abord hésité en jetant un coup d’œil à droite puis à gauche. Il n’y avait comme prévu personne dans le couloir. À cette heure-là naturellement, c’était improbable. Je suis donc sorti à pas de loup avec l’intention d’écouter aux portes, pour savoir dans quelle chambre cela se passait.


Il faisait très chaud, toujours plus chaud cette semaine-là, j’ai finalement décidé d’oser sortir nu de ma chambre, étant certain de ne rencontrer personne. (Je me couche toujours nu.) Puis en me guidant « au bruit », je suis allé jusqu’au bout du couloir pour y trouver la chambre où la nuit était si agitée. Alors j’ai bêtement commencé à écouter, l’oreille posée sur leur porte restée fermée. J’entendais tout ce qui se passait presque aussi bien que si j’étais avec eux à l’intérieur. En plus ils étaient nombreux dans cette chambre, c’était évident, peut-être cinq ou même plus. Incroyable. Alors là…


C’est alors que j’ai eu l’impression d’une présence derrière moi. (Il ne manquerait plus que ça, pensais-je.) Soudain quelque chose de chaud m’a effleuré les fesses. J’ai sursauté.

Horreur ! Je n’étais plus seul. Un homme nu, de ma taille, se tenait juste derrière moi, la tête aussi appuyée sur la porte. Il sursauta aussi. Comme moi, il écoutait mais avec plus de distance. Il s’écarta en posant son index devant sa bouche et chuchota :



J’étais à la fois muet de stupeur et soulagé de constater qu’il était là, c’était évident, pour la même raison et de la même façon que moi. J’aurais dû y penser ! Il bandait autant que moi et ce qui m’avait touché une fesse, vous devinez ce que c’était. Nous ne pouvions plus rien dire car à ce moment, le silence commença à régner. Peut-être se reposaient-ils. L’homme remarqua que je bandais aussi et la situation était aussi embarrassante pour l’un que pour l’autre. Plus embarrassant encore, en me retournant ma bite a frôlé la sienne un court instant, une sensation encore jamais éprouvée. Par réflexe j’ai aussi chuchoté « chut » !


Il valait mieux ne pas rester trop longtemps dans ce couloir. Qu’aurait-on pensé si on nous avait vus ensemble comme ça, dans cet état ?


Soudain la lumière de l’escalier s’est allumée. Aïe ! Il était trop tard pour rejoindre ma chambre. Il m’a fait signe de le suivre en me prenant par l’avant-bras, ce que j’ai fait bêtement, par réflexe, car sa chambre était juste derrière nous et sa porte restait ouverte. Il la referma vite derrière moi puis alla s’asseoir sur le lit devant le petit frigo en disant :



Pourquoi refuser ?

Il répondit en me donnant une cannette de Pelforth puis m’invita à m’installer à côté de lui sur le large lit :



On entendait en effet au moins trois voix d’homme. J’ai ajouté :



À cet instant, tous les bruits divers et les petits cris de jouissance qui vont avec ont recommencé. Naturellement il bandait comme un Turc, et moi aussi.



Ça, je ne m’y attendais pas, il fallait oser. Il saisit son sexe et commença à se branler tout en buvant sa bière avec l’autre main. En moins de trois minutes tous les deux nous en avions partout, sur la main, sur les cuisses, sur le ventre et sur la couverture.


Nous avons pris une autre bière, tandis que dans la chambre d’en face, « ça » continuait…

Je me suis demandé ce que je faisais allongé nu sur le lit dans la chambre d’un inconnu, allongé nu lui aussi près de moi. Alors j’ai imaginé ce qu’en penserait Isabelle, si elle avait été là, ce qu’elle aurait probablement exigé de nous aurait certainement fait autant de bruit qu’à côté… Alors j’ai recommencé à bander et lui aussi.


Puis il se leva pour rejoindre la porte avec prudence. Nous ne pouvions pas résister à la tentation d’aller continuer écouter à leur porte, mais y avait-il encore quelqu’un dans le couloir ? Nous nous sommes trouvés stupides de ne pas avoir songé immédiatement à regarder par le trou de la serrure. L’effet de surprise sans doute !


Sans doute quelqu’un qui rentrait tard nous avait dérangés mais, ce qu’il avait dû entendre aussi ne saurait a priori, l’avoir laissé indifférent. Avec prudence mon « compagnon » observa le couloir par le trou de la serrure puis m’invita à regarder en m’imposant le silence :



Il me tutoie maintenant. Bah ! On peut…


C’était la réceptionniste de l’hôtel, (qui, à notre arrivée, avait dit coucher sur place et se tenir à notre disposition en « faisant le zéro » au téléphone). Elle était plus maline que nous car, penchée en avant, elle avait le visage collé sur la serrure de la porte d’en face ! C’était une chance que cet hôtel ne soit pas très moderne. La quasi disparition des serrures classiques n’est pas un réel progrès finalement. Je me suis retourné vers lui en me frottant les yeux, puis j’ai chuchoté doucement :



La réceptionniste était si penchée en avant que sa mini-jupe ne cachait plus ses fesses nues, juste assez visibles à la lumière de la veilleuse indiquant l’escalier.



Ça, c’était évident.



Je continuais à observer par la serrure ce qui se passait dans le couloir et la vue imprenable.


Soudain la lumière de l’escalier s’est rallumée, la réceptionniste a sursauté puis, sans doute n’osant pas rependre cet escalier situé près de nos portes en vis-à-vis, elle s’est enfuie vers l’autre escalier. L’hôtel étant une construction en « L », il lui fut facile de disparaître à temps. Qui arrivait ? Ce fut inattendu, comme presque tout ce qui arrivait ce soir-là. On venait de l’étage du dessus, pas d’en bas. D’autre part le gars qui venait était entièrement nu, il frappa doucement à la porte d’en face. Une dame nue lui a ouvert très silencieusement, ils se sont embrassés on ne peut plus chaudement, puis la porte s’est refermée. On n’entendait presque plus rien en face depuis peu, ils étaient probablement très fatigués.


Mon hôte a alors osé ouvrir sa porte puis observant et écoutant, lorsqu’il fut sûr qu’il n’y avait plus personne dans le couloir, il s’avança et se pencha pour regarder par le trou de la serrure de nos voisins. N’osant pas rester derrière ses fesses, j’étais à côté de lui et nous bandions tous les deux. Au bout de presque une minute, il m’a fait signe de regarder à mon tour. Ce que j’ai vu m’a surpris, même s’il était évident avant de mieux voir, que ce n’était pas une partie de bridge.


Sur le grand lit se trouvaient au moins six personnes nues et enlacées d’une façon pas très facile à comprendre, vue par le trou de la serrure. La lumière était éteinte dans la chambre, mais celle du clair de lune était suffisante car la fenêtre était grande ouverte. (Par cette chaleur, cela se concevait fort bien.) Deux trios étaient installés en travers et ce qu’on voyait de mieux, c’était une femme prise en sandwich par deux hommes, dont l’un était à plat dos avec la fille allongée sur lui, en train de plonger sa langue dans la bouche de ce partenaire. Leurs cuisses étaient très écartées et derrière elle, le jeune homme brun qui venait d’entrer ramonait doucement le cul de cette jeune femme en ahanant, une main sur une fesse et l’autre glissée en celles de l’homme couché sous la fille.


Tous les trois ondulaient de plus en plus lentement, en soupirant. Le second trio sur le lit n’était pas très visible de là où fasciné, je contemplais la scène. Je me suis retourné vers mon compagnon de voyeurisme :



Autre surprise, la réceptionniste se tenait près de nous sans mot dire en souriant, visiblement très contente d’avoir su prendre sur le fait, deux hommes en une situation pour le moins ambiguë. Elle posa son index verticalement devant ses lèvres :



Puis elle nous a entraînés au bout du couloir, non sans avoir doucement fermé notre porte. Puis en prenant la grosse clef passe-partout accrochée à la ceinture de sa mini-jupe plissée, elle précisa sa pensée :



Entraîner deux hommes nus avec elle, pour entrer dans une chambre avec eux, visiblement elle hésita mais ça ne lui faisait plus peur. Effectivement en ouvrant la fenêtre il ne fut pas nécessaire d’allumer la lumière et notre position à l’autre extrémité du « L » de l’hôtel nous offrait une vue imprenable sur la chambre du plaisir collectif. La pleine lune expliquait peut-être ces quelques débordements, mais elle nous permettait aussi d’assez bien les observer.


La première chose qu’elle a fait fut d’essuyer l’intérieur de ses cuisses avec un mouchoir en papier pris dans la salle de bains, sous nos yeux en précisant :



Nous avons commencé par observer la partouze en cours presque en face de nous, à moins de vingt mètres. Le second trio en action sur le grand lit, peu visible par le trou de la serrure, était réellement en train de se lâcher… Deux hommes et une femme étaient couchés sur le côté les uns derrière les autres, les jambes écartées, l’un était visiblement en train de ramoner le cul du second, qui ramonait leur partenaire, elle-même en train de sucer le cinquième homme…


Il faisait très chaud, de plus en plus chaud cette semaine-là et cette nuit-là, l’atmosphère était réellement encore plus torride.


Notre nouvelle amie me poussa sur le lit pour s’allonger sur moi et exigea de l’autre qu’il l’encule immédiatement, ceci étant sans même se déshabiller. Son tee-shirt et sa jupe très courte ne pouvaient pas nous gêner beaucoup et j’ai vite senti que le seul fait d’être ainsi prise « en l’état », en sandwich de surcroît, ceci l’excita encore plus… Nous aussi étions tellement excités que pour ma part, je ne me souviens pas l’avoir été autant une seule fois au cours de toute ma vie, jusqu’à cette mémorable soirée.


Après tout cela, nous nous sommes tous les trois offerts une bière dans ma chambre, puis nous nous sommes séparés pour enfin dormir. De toute façon, en face aussi le calme était revenu et nous étions réellement fatigués.


Elle annonça en nous quittant que les clients ainsi débauchés ne partiraient qu’après nous en fin de semaine, le dimanche matin, sans doute pour ne pas dire clairement qu’elle comptait sur nous pour le lendemain soir…


« Affaire à suivre… », ai-je alors pensé. J’ai peu à peu envisagé de faire venir ma « bergère » pour le week-end, au lieu de quitter l’hôtel le vendredi, c’est dire.