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n° 15331Fiche technique17254 caractères17254
Temps de lecture estimé : 11 mn
11/12/12
Résumé:  Une femme mariée de 40 ans se retrouve pour la première fois dans une situation qui la conduit à un trio. Elle revient dans un premier temps sur ses quatre expériences sexuelles.
Critères:  fhh piscine fête fmast intermast fellation cunnilingu anulingus sandwich fdanus fsodo -prememois -initfh -occasion -couple+h
Auteur : Audray  (Audrey, la quarantaine heureuse)
Un soir de juin...

Tout a commencé un soir de juin. Chaud. Très chaud même, et nous allions avec Thomas, mon chéri, à une soirée où, musicien, il jouait avec son orchestre. Le genre qui ne me plaisait habituellement pas, avec 800 personnes participant à ce banquet, repas, danse. Et puis les enfants étaient chez mes parents.



J’y suis allée. Au départ, j’aurais préféré rester tranquillement devant la télé… Et pourtant ce soir-là ma vie, notre vie, allait évoluer. Avec Tom, nous nous connaissions depuis vingt ans et, comme beaucoup de couples entrant dans la quarantaine, à la passion avait succédé une belle tendresse, une complicité, un partage certainement renforcé par nos deux enfants, par notre réussite professionnelle. « Tout va bien, on se plaît toujours », répondais-je toujours quand entre filles nous discutions, tranquilles autour d’un thé, de nos bonshommes et de leur savoir-faire.


Pourtant, parfois je me disais que j’aurais aimé retrouver nos élans, nos coups de folie de jeunesse qui nous voyaient faire l’amour dès que nous étions ensemble, où nous ne prenions jamais un ascenseur par exemple sans nous toucher, sans que ma main se porte sur son sexe dès qu’il me prenait les seins. Pas un repas au restaurant, sans que nos discussions ne finissent sur nos histoires de sexe, sur ce qui allait suivre dès notre retour, sur nos envies. En parler me faisait mouiller à un point… que j’ôtais souvent ma culotte aux toilettes pour la lui offrir en revenant à la table. La première fois, il a rougi, puis souvent ensuite il la reniflait en me regardant ! Je coulais.


Combien de fois, en voiture, nous nous sommes arrêtés pour qu’en bouche je le prenne, que ses doigts s’insinuent dans ma fente d’amour ou que, sur les sièges arrière, il me prenne en levrette, position que j’adore. Un paysan, un jour nous a surpris. Je l’ai vu arriver, pour autant je n’ai en rien freiné l’ardeur de Tom, au contraire j’ai d’autant plus joui quand j’ai vu l’autre empoigner sa queue et se branler en me regardant fixement.

Ce ne sont là qu’anecdotes, il y eut bien d’autres faits, de baises dans les maïs, de caresses sur des plages, dans des trains et une fois une pipe une nuit dans un avion au milieu de dormeurs, quoique je ne sois pas si sûre, une femme me clignant de l’œil à l’arrivée.


Il ne faut cependant pas croire que j’avais une expérience très grande avant de rencontrer Tom. Quatre amants en tout et pour tout, en ayant commencé à 17 ans. C’est dire ! Mon premier pas, si je puis dire, je l’ai fait avec un copain de classe. En terminale à Cabourg, il me fit après quelques jours de flirt, jouer cette scène d’un livre de Mandiargues, une pipe au rythme des vagues frappant les rochers. Un peu peur quand il s’est déboutonné ! Il bandait déjà et je crois avoir trouvé assez vite la façon de faire avec de petits coups de langue tout en prenant ses bourses à pleine mains. Puis la langue glisse doucement. Quoique grosse, j’avais l’impression que sa bite grossissait encore… C’est finalement de façon goulue que je l’ai prise en bouche et commencé, en entendant les vagues, à aller de plus en plus profond, de plus en plus vite. Je sentais une excitation folle, je mouillais, ma main serrait fort, le branlait, j’avais cette envie de le faire jouir, que cela dure encore, j’accélérais encore et mon autre main est partie me fouiller.


Moi qui ne me touchais qu’un peu dans mon bain, ou m’arrosait avec la douchette, là je ne me reconnaissais pas. Je le pompais avec ardeur tandis que mes doigts s’enfonçaient en cadence, la même que mes allers et retours sur sa queue. À ce moment, je sentis venir mon plaisir fort, si fort que je voulus que lui jouisse aussi… tout s’est encore accéléré et d’un coup il a crié et joui dans ma bouche. J’ai adoré, j’étais au comble de l’excitation, de la jouissance à ce moment-là. Telle fut ma première pipe et souvent j’ai eu ensuite envie de retrouver cela, cette façon forte presque sauvage de jouir tout en étant envahie par une queue… Avec lui ce fut la dernière car il me fit passer pour la fille facile, « à essayer à tout prix ».


Mon second amant me déflora. C’était un ami de mon père, j’avais 19 ans, lui 42. C’était le jour de mon anniversaire. Il était le mari de la secrétaire de mon père. Si je la connaissais bien et l’appréciais parce que sympa, ravissante, drôle, lui n’était jamais venu. À vrai dire, mon père ne l’avait jamais invité, disant ne pas l’aimer beaucoup… Peut-être que la relation entre elle et mon père n’était-elle pas que professionnelle. Mais cela est une autre histoire…


Donc ce jour-là Alain accompagnait Régine sa femme. Après les mots de bienvenue, j’ai vite capté son regard. Il me déshabillait. Mes seins, assez gros il faut le dire, bien plantés haut, semblaient l’intéresser au plus haut point, d’autant que le décolleté large les mettait d’autant plus en valeur que cette robe sans bretelle je la portais sans soutien-gorge. Ce regard, de ce bel homme, car il était beau comme Jean Marais à qui il ressemblait, m’amusa dans un premier temps… Je l’aperçus dans une glace me matant les fesses alors que je servais l’apéritif. Cela m’amusa, puis finalement m’excita !


Après, j’avoue en avoir joué. Je lui propose des cacahuètes en me baissant un peu plus que de raison, lui voit. En m’asseyant je laisse ma jupe courte bien découvrir mes cuisses fuselées de fille grande (1,76 m) puis un peu plus tard, j’écarte mes cuisses sous prétexte d’attraper un livre derrière ma chaise. Mon père voyant Alain ne cesser de me regarder semble gêné, puis lui lance une vanne du genre « n’use pas trop ma fille à la regarder » à laquelle Roland répond par un « il serait dommage de ne pas admirer sa beauté ».


Je n’ai pas été gênée de continuer à jouer l’allumeuse dès que possible. Le repas débuta, lui à un bout de table, moi à l’autre. Nos regards étaient fréquents, un courant passait entre nous. D’un coup, je me mis à me demander comment pouvait être sa queue, et de là j’éprouvai une envie de le sucer. Mon esprit se tournait vers lui, sur ce que nous pourrions faire ensemble, perdre ma virginité. Mais l’occasion ne se présenta pas d’être isolés. Mais lui a pris l’initiative… en laissant un petit papier sur mon bureau… Comment fit-il ? Je ne sais, mais j’avais son téléphone. Bien sûr j’appelai dès le soir, toute chaude… sa messagerie ! Je laissai cette fois mon téléphone et le lendemain sur ma messagerie je trouvais : « Tout est prêt. Tu vas à Paris Hôtel Concorde, chambre 225, lundi 14 h, ta petite robe de l’autre jour, rien d’autre ». C’est tout.


J’y étais un peu en avance, prête comme demandé. Avant d’entrer dans la chambre mon cœur battait la chamade. La porte est très légèrement entrebâillée. Je la pousse, la pièce est dans la pénombre, personne ! Je vais faire demi-tour quand je suis tirée violemment derrière la porte et me retrouve dans ses bras. Serrée, plaquée, il m’embrasse, puis il me pousse sur le lit, tout en faisant remonter ma robe dévoilant mon anatomie. Alain ferme la porte, s’approche doucement puis me prend les pieds, les relève, les écarte mettant ma chatte bien en évidence. Je lis son envie dans ses yeux, il est gourmand. Un doigt vient titiller mon clito, doucement, je mouille déjà, ce doigt va-et-vient, il sait y faire. Doucement un autre arrive, pince le clito, j’ai envie de lui dire « Vas-y, viens, prends-moi, je suis pressée… ». Lui continue, ses doigts doucement vont et viennent. Puis se rapprochant, là aussi doucement, il vient poser ses lèvres dessus, sa langue commence… ses doigts écartent, sa langue entre doucement, puis un doigt s’insinue et vient me branler… Je me sens déjà partir… Je jouis une première fois alors que je n’ai pas fait un seul geste.


Il me relève m’embrasse et, finissant de lever ma robe, dégage mes seins et l’enlève. Ses mains viennent caresser mes seins, tournent autour des mamelons, les « pinçouilles ». J’ai trop envie et me lance en déboutonnant sa braguette, puis sa ceinture pour descendre son pantalon. Son slip apparaît, sa bite se dessine. Imposante. Je la caresse au travers du tissu. Dure. Tandis que ses mains continuent à me caresser, je passe ma main dans son slip pour la découvrir. Assurément plus grosse que celle que j’avais connue auparavant. Je la sors, suis étonnée de trouver son pubis sans aucun poil, parfumé. Vite en bouche, j’ai envie de lui faire ce que j’ai su faire : je lape, je suce ses couilles, je reviens sur sa bite et sens en moi du plaisir, je mouille. Cela dure ainsi longtemps, lui guidant ma tête, impliquant son rythme, moi enviant de le faire jouir à fond… Puis à un moment, il me couche sur le lit et vient sur moi, m’embrassant dans le cou, moi sentant sa bite dure…



Étonné il me répond :



Ses doigts me caressent puis je sens enfin sa queue si grosse entrer doucement en moi, commencer des allers et retours… Je laisse aller et puis d’un coup je sens venir cette onde de plaisir, je sens la peau de son épaule, je mords, cela le déchaîne, nos corps font plus qu’onduler, je me sens partir, je jouis, j’ai envie de le secouer, il sent mes mouvements, donne de grands coups, je jouis très fort, j’entends un cri sortir de moi, je n’ai plus de contrôle… Ce fut extra.

On a recommencé ce jour- là, puis plusieurs autre fois.


Mon troisième amant m’a apporté une troisième chose. Roland était un maître-nageur de la piscine que je fréquentais régulièrement. Joli garçon, un corps d’athlète se dessinait sous son « marcel », bras costauds, cuisses pleines… mais macho… et pas insensible à ma plastique ! Plusieurs fois, ses allusions montrèrent son envie…


Je n’ai pas vraiment compris comment un jour je lui ai dit « Tu veux, alors viens » et nous voilà partis dans une cabine. Je fais tomber mon maillot une pièce, lui enlève son marcel, m’assoie sur le banc et baisse ses shorts et slip… et là je découvre une bite assez moyenne et fine. Un peu déçue. Pas la peine de jouer les machos…


Mais je la prends en bouche, je la sens devenir dure, quand il me relève et me tourne, se plaque contre mon dos… il me pousse à poser les mains sur le banc, cul en l’air… Sa bite pénètre ma chatte et il s’active. Cette position me laisse à sa merci, et je commence à ressentir du plaisir, quand je sens un doigt toucher mon anus, à le titiller. Alors il prend mon ambre solaire dans mon sac, fais couler sur mon cul, un doigt pénètre dans mon petit trou. J’en ressens du plaisir. Deux doigts, puis sa bite sort de ma chatte, se présente devant et entre… me voilà sodomisée et il y va de tout son cœur et je ressens d’un coup du plaisir. Il met des doigts dans ma chatte et je jouis ! Pleinement, j’ai aimé…

Je me suis dit ce jour-là que je le referai un jour avec une plus grosse.


Mon quatrième amant ne mérite pas que l’on s’attarde. Anglais, il était très beau et je l’avais dragué pour cela. Arrivé au lit, ce fut le missionnaire sans grands préalables, le temps d’enfiler une capote, de s’agiter une petite minute et il a joui avant de prendre une douche, de m’embrasser, de s’habiller et de partir. Adieu…


Et puis enfin, j’ai rencontré Thomas, mon Tom, chez une amie qui avait organisé une soirée avec comme idée de draguer Tom. J’ai gagné le gars et perdu l’amie qui m’en a voulu à mort. Tom m’a séduite vraiment, au point que je n’ai plus jamais pensé à un autre homme. On s’est entendus sur tout, cœur, cul, enfants, idées. Bien sûr je n’étais pas insensible aux hommes qui me draguaient, cela fait plaisir mais rien de plus.


Mais revenons à la soirée que j’évoquais au début. Il y avait beaucoup de monde et notamment des allemands venus de leur pays dans le cadre d’un jumelage. Tom jouait sa musique, quand l’un de ces allemands, la quarantaine, pas spécialement beau m’invita pour un slow. J’ai accepté et me suis retrouvée contre lui, serrée, son parfum me plaisant. Voilà, c’était agréable. Une main dans mon dos me caressa, il me serra contre lui. Cette fois, je me laissai plaquer contre un homme ce que je ne faisais habituellement pas. Je trouvai cela agréable et, la lumière ayant été baissée, mon cavalier se hasarda à descendre sa main vers mes fesses et à me tirer encore plus.


Il bandait fort. Je sentais sa bite à travers ma robe d’été légère. J’ai senti mon corps se tendre, en fait j’avais envie, envie de ce corps, de cet homme que je ne connaissais pas. Quand la musique s’arrêta on resta un peu l’un contre l’autre, puis se détachant, il vit mon regard se baisser vers son sexe. Il ne pouvait pas cacher son érection. La musique repartit sur un nouveau slow et c’est moi qui fis le pas vers lui et me plaqua pour sentir sa queue. Je la sentais et mon bassin ondulait, ma tête sur son épaule, une main sur son cou. Nous avons fait quelques autres danses ensemble, puis mon Tom céda la scène à un DJ.


Il vint vers nous le sourire aux lèvres disant :



Ils se connaissaient, c’était un jumelage musical et effectivement je me suis rappelé que Tom avait été reçu en Allemagne. Et il ajouta :



Nous avions de la place. Comme il était déjà tard, nous sommes rentrés à la maison. Bien sûr, un dernier verre s’imposait. Tom a mis une musique douce, il ne peut se passer de musique.



Je pris la main de Jürgen et l’entraînai dans un nouveau slow. Nous avons vite retrouvé devant Tom, nos positions. Puis Tom, je ne sais pourquoi, est venu se joindre à nous pour finir le morceau. Et tous trois nous nous sommes ensuite assis côte à côte ; moi au milieu, à reboire une coupe de champagne… puis deux. Tom mit une main sur ma cuisse, ça m’a fait de l’effet. J’ai fait pareil puis, sans m’en rendre compte, j’ai mis mon autre main sur la cuisse de Jürgen. Nous sommes restés ainsi un moment et Tom m’a donné un baiser. Je me suis tournée vers Jürgen et l’ai embrassé. Ce fut un départ ! Tom s’est mis à me caresser les seins avant de passer une main sous ma robe. J’ai mis la main sur sa bite, l’autre sur celle de Jürgen pour les caresser. Tom a sorti sa queue et Jürgen a suivi le mouvement. Celle de Jürgen était plus grosse mais j’avais en mains deux belles bites. Finalement je me suis mise à genoux devant eux et j’ai dégusté leurs queues.


Chacune avait son goût, ses réactions. J’allais de l’une à l’autre ; suçant, branlant ces deux verges magnifiques, tendues. Je sentis à un moment que Tom allait jouir vite. Je me lançai sur Jürgen. C’est alors que Tom se déshabilla, releva ma robe, écarta mon string pour me prendre en levrette. J’avais les deux pour moi. Jürgen enleva sa chemise, fit glisser pantalon et slip. À mon tour je me mis nue et m’allongeai sur le canapé. Tom vint sur moi, me prenant la chatte, Jürgen me livra sa queue que je suçais. Puis les deux garçons s’entendirent de bonne façon changeant de place de temps en temps. Enfin Tom s’allongea sur le dos et me fit coucher sur lui. J’adore le chevaucher. Il m’écarta les fesses et Jürgen vint me sucer le petit trou. L’idée me vint qu’il allait y venir et effectivement il s’approcha, sa queue était à l’entrée. Est-ce lui où moi qui fit mouvement, je ne sais. En tout cas, il m’encula. Excitée, je sentis ces deux bites en moi, je jouis de ces deux queues. Nous avons joui tous trois avant d’aller au lit ensemble, moi au milieu de mes hommes, fatigués mais heureux. Inutile de dire que nous avons repris nos ébats jusqu’au départ de Jürgen.


Pour Tom et moi, ce fut une découverte, que ce partage qui ne nuit pas aux sentiments que l’on se porte. Nous avons recommencé avec d’autres hommes et femmes, mais cela c’est d’autres histoires à raconter.