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Temps de lecture estimé : 17 mn
11/12/12
Résumé:  Mon épouse éprise de la veuve Nora m'entraîne dans un ménage à trois. Ma stagiaire me pousse à engager son père, veuf. Il enlèvera Nora et ma femme me reviendra.
Critères:  fh ff ffh 2couples extracon collègues noculotte intermast fellation cunnilingu pénétratio confession -couplea3
Auteur : Veilleur

Série : Partage

Chapitre 04 / 05
Une gamine géniale ?

Épisode 1 : Hervé, ce vendredi n’ira pas à la cantine. La tenue ultra légère d’une stagiaire et ses propos ambigus « les femmes sont toutes un peu lesbiennes » l’ont émoustillé. Il décide d’aller faire l’amour à sa femme, Louise, pendant la pause de midi. Son inconscient ne le pousse-t-il pas à vérifier ? Le constat s’impose : au lit avec une veuve, son épouse est plus qu’un peu lesbienne.


Épisode 2 : Stupéfait, troublé, Hervé veut se retirer pour réfléchir à la conduite à tenir : sous le coup de l’émotion, il tombe dans l’escalier. Les deux compagnes relèvent le blessé. Nora, l’autre femme, est heureusement infirmière. On le soigne et on le convainc d’ouvrir son cœur. Le trio fait exploser le carcan du couple : on invente ou réinvente le ménage à trois.


Épisode 3 : Bien que troisième roue de l’équipage, Hervé finit par fatiguer, craint la panne qui guette. Dans une conversation avec la stagiaire, il expose les raisons de sa mauvaise mine. Chloé l’incite à recruter un partenaire pour partager les plaisirs et les efforts. Son père Richard, veuf lui-même, ferait l’affaire. Il est invité, on le fête. Louise remercie Hervé pour cet élargissement du club. Son orgasme est beaucoup plus bruyant que d’habitude. Surprise, en écho résonnent les gémissements de l’orgasme de Nora. Louise est jalouse.







Une gamine géniale ?




De la salle de bain m’arrivent des éclats de voix. Depuis que Louise y a rejoint Nora et Richard s’est écoulé un temps bien long. La discussion animée se rapproche, je vois arriver Nora nue, devant une Louise nue qui remorque un Richard nu.



J’ai été très imprudent, le boumerang m’éclate le front. Pourquoi diable avoir tenté de la persuader d’accepter un quatrième membre en laissant miroiter la possibilité d’en faire un amant toléré ou imposé par le mari ? Elle se jette dessus, ne lui laisse pas le temps de reprendre des forces après son assaut sur Nora.


Je suis ravi du comportement de Richard. Il est directement entré dans le corps du sujet et de Nora. Notre plan est en bonne voie. Je ne peux pas le proclamer sans couler notre stratégie. Je joue à l’amant de Nora dépassé par les événements.



Je tente de repousser l’union que je ne souhaitais pas de ma femme et de ce bonhomme si rapide à dégainer.

Richard fait l’innocent :



Je l’embrasserais le bougre pour son habileté.



La réaction de Louise ne se fait pas attendre :



Quand il s’agit de Nora, Louise a un sens supplémentaire, un flair infaillible. La fine mouche ne laissera personne lui enlever sa sucrerie. Elle le signifie clairement :



Sur cette colère, elle quitte la pièce en claquant la porte. Nora ne sait que faire, se balance d’une jambe sur l’autre, son frifri fait des grimaces amusantes en face de moi. Elle se pince un téton entre pouce et index, nous interroge du regard. Richard, jusque-là parfait dans le rôle prévu, est pris au dépourvu par la sortie brutale de ma femme. Il essaie gentiment de recoller les morceaux et dit :



Ce conseil venu de Richard la libère d’un lourd dilemme, elle sort.


Richard est navré du résultat de notre tentative. Il m’apprend que Nora a été sa dernière conquête sentimentale. Il espérait beaucoup en faire sa compagne. Mais un beau jour, elle a rompu au moment où il lui présentait une bague : elle s’est sauvée en pleurant et ne s’est plus montrée. Aujourd’hui il a concrétisé, ils ont fait l’amour pour la première fois. C’est bon signe, mais leur union se heurte à un obstacle de poids : l’intransigeance de Louise. Si cela peut ramener Louise à de meilleurs sentiments, si j’accepte sa proposition, il veut bien accorder une fois, mais une fois seulement, à Louise ce qu’elle réclame. Mais ce sera en présence du mari et de Nora, pour bien faire comprendre à l’intéressée qu’il n’est pas épris d’elle. Je n’ai guère le choix, une fois de plus. Or précisément à cet instant Nora pousse Louise devant elle.



Ce disant, elle tend les bras vers Richard. Incapable de gérer les événements, je hausse les épaules. Richard aurait du mal à nier ou à reculer l’échéance, l’arrivée des deux femmes nues, seins en pointe après des gestes de consolation qu’on devine, l’a excité.


Ma femme, moins forte physiquement que sa dulcinée, ne le laisse pas de bois. Il est fier d’être désiré aussi fort et tout à coup se voit pacha à la place du pacha. J’avais deux femmes, pourquoi lui n’en aurait-il pas deux. Envie, orgueil de mâle et trop longue abstinence réveillent sa libido. Sa verge regarde le plafond et fait la joie des amoureuses. Elles tombent à ses pieds et engagent la partie, se disputent le pénis, le scrotum, le haut des cuisses. Elles se sont exercées avec moi à ce partage des attributs masculins, savent lécher ou sucer à tour de rôle ou ensemble. En peu de temps l’étendard est prêt Louise se met à cheval sur l’accoudoir du canapé. Nora debout lui administre les derniers attouchements, lui introduit des doigts préalablement léchés et couverts de salive, agite son poignet, retire sa main, lèche une dernière fois les lèvres si souvent soumises à ses baisers, se saisit du vit et procède au rapprochement du yin et du yang. Elle ouvre la porte à la chaleur ensoleillée du pénis, pose une main sur la fesse de Richard. Il pénètre ma femme.


Quelle complicité de ces deux amoureuses. Oui, mais moi je suis le dindon de la farce. Nora, toujours nue se replie sur mes genoux. L’émotion est trop forte, elle ne peut pas aider davantage cet accouplement qui lui chipe sa maîtresse et tue son espoir de devenir un jour la femme de Richard, si elle a pu l’envisager un peu ce soir. Elle a le visage couvert de larmes et renifle pendant que la queue de Richard va-et-vient dans le con de son aimée. Inconsciemment une de ses mains déniche mon phallus sous ses fesses, le presse tendrement. Elle soulève sa croupe et s’abaisse sur moi, refoule mon prépuce et se cale sur ma verge. Immobile sur mon dard, elle observe l’accouplement qu’elle a favorisé bien malgré elle. Elle a toutes les raisons de le détester. Jamais elle n’a été aussi aimante avec moi. Je me prends à rêver.


Cette fois j’ai compris. Si je tiens à conserver, Louise j’ai intérêt à gâter Nora, à me l’attacher.


L’engagement de Richard de ne céder qu’une fois pour calmer la colère de Louise me console de la douleur d’assister à l’adultère de ma femme avec un homme, « pour la première fois » si je sais tout. Parce que sa facilité de passer de moi à Nora et maintenant de moi ou de Nora à Richard fait s’ébouler brutalement un mur de certitudes. Depuis quand suis-je un mari aveugle ? C’est un coup de poignard ou plus exactement, j’ai l’impression de me tirer une balle dans le cœur pendant qu’ils tirent leur coup.


Richard rompt l’union, s’assied sur le canapé. Louise s’avance au-dessus de ses jambes à tout petits pas, se penche sur le visage et l’embrasse. Les sanglots de Nora secouent ma queue enfouie en elle. Nous voyons une main qui se pose sur le membre luisant de Richard. Louise le tient, se caresse la vulve avec le gland. Enfin elle descend sur le cylindre, tortille des fesses pour bien le placer en elle. Elle reste une longue minute ainsi emmanchée, se tourne vers nous, le visage radieux.


Mais qu’a-t-il de plus que moi ? Cinq ans au moins : ce n’est plus un avantage.

De plus, désir ou pas, il a déjà perdu des forces avec Nora. Alors, pourquoi ce bonheur affiché ?


Elle a obtenu ce qu’elle voulait. Mais ce n’est qu’un début. Ses fesses remontent, le sceptre sort lentement, l’anus apparaît d’abord entre les fesses rondes bien séparées par la position extérieure des jambes de chaque côté de celles de l’homme, puis la moule ouverte et distendue se déforme autour du gourdin qui prend l’air. Est-ce intentionnel, veut-elle nous faire le détail de la copulation ? Elle savoure l’instant. Louise monte tout doucement puis redescend avec une lenteur extrême plusieurs fois de suite et elle pousse de gros soupirs de ravissement chaque fois que la tige la pénètre en profondeur.



Elle manifeste son goût pour la domination. Elle me prête, elle prête Nora, elle prêtera Richard. Elle continue son périple à cheval sur ce nouveau soumis.


Par mimétisme, dos contre mon ventre, Nora se meut autour de mon pieu. Quand Louise augmente sa cadence, Nora accélère. L’une galope à allure folle sur Richard, l’autre fonce et me secoue violemment. Je m’accroche à ses seins, elle décolle, geint, se tord sur moi et tord mon sexe. Je pars en secousses dans son ventre. Sous l’impact de l’éjaculation, elle se plaint bruyamment, ses appels enflamment Louise. Nora se calme, se tord le cou pour me remercier d’un baiser. Louise crève sa monture, l’éperonne des genoux, se démène, frappe violemment ses fesses et arrive à l’orgasme. Dans ma vie, je n’ai jamais entendu de pareilles exclamations, elle hurle, elle s’étouffe, elle rit ou pleure, ses cris nous transpercent les oreilles et le cœur. Nora se réfugie à la salle de bain. Comme elle, je fuis le salon, pour ne plus voir ni entendre.


Cette fois, il n’y a plus à ergoter, à argumenter, la casuistique devient inutile : je suis cocu, quelles que soient les intentions de Richard. Ma femme m’a bel et bien trompé, elle l’a voulu, elle l’a fait, elle peut aller se dégorger le sexe à son tour. Nora ne se précipite pas pour extirper le sperme de Richard qui remplit l‘amie devenue rivale, mais m’essuie le zizi avec précaution. Nous cédons la salle de bain pour leurs nécessaires ablutions. Richard me croise et baisse les yeux.


À son retour, Louise toujours en tenue d’Ève, tient la main de son Adam gêné et assène tout de go :



Un peu honteux, le nouveau membre du club confirme la déclaration.


La vie a repris un cours presque normal pendant la semaine, Louise a surtout aimé Nora, l’a chouchoutée, bercée, embrassée, comme pour se faire pardonner cette infidélité. Par compensation, moi le mâle, j’ai été délaissé. Je n’ai pas à lui donner ce qu’elle trouve chez Richard. Quelques bisous, rien d’autre… La pénétration à de rares exceptions près sera-t-elle l’apanage de Richard ? Sans exclusivité, je pourrai, avec la permission de Louise, user de Nora, si elle y consent et si Louise ne la menace pas de représailles par derrière. Grosse crise le vendredi après le départ de Richard venu rendre visite à Nora. Ils ont eu l’audace de s’isoler dans la chambre d’amis.



J’ai vivement protesté cette fois.



Ma révolte a fait son effet. Le dimanche, après les orgasmes délirants du samedi avec Richard, Louise a voulu nous comparer. Je me suis avantageusement comporté. Louise m’a flatté avant d’imposer une nouvelle règle :



À quoi bon protester ou refuser. Serait-elle inconsciente ou devenue folle ? Elle va me tromper à l’extérieur. Ça va faire jaser dans notre quartier où tout se sait. Croit-elle que je supporterai longtemps ses caprices ? De plus Nora les recevra. Donc du vendredi soir au samedi soir, je serai célibataire. Seule concession obtenue : le samedi soir, alors que Louise se reposera de ses amours adultères, elle autorisera Nora à me dorloter un peu. J’ai le choix, ou on s’accorde ou elle me quittera, je le sens. Un bon accord valant mieux qu’un mauvais procès, la mort dans l‘âme je cède.


Avec le temps l’escapade du vendredi se prolonge. Personne le samedi. Puis personne le week-end. Un lundi midi, je ne trouve ni femme ni repas. La maison de Nora devient peu à peu leur base habituelle. Louise revient irrégulièrement environ deux fois par semaine, et étrangement sans Nora « occupée à ranger sa maison ».


Au bureau, Chloé de son côté se réjouit, elle constate les absences fréquentes de son père et se félicite de la réussite de son plan. Une dénommée Nora l’héberge et son père paraît plus heureux. Bien que cette compagne semble une dévoreuse d’homme.



Faute de trouver un repas chaud chaque jour chez moi, je décide d’aller manger à la cantine. Je suis contraint de passer l’aspirateur et de laver mon linge. La penderie de Louise se vide quand je suis absent. Par ci, par là, elle vient s’inquiéter de mon sort et passe une nuit avec « l’homme de sa vie ». On baise parfois, sans doute quand Richard a préféré Nora. Est-ce encore de l’amour ? Où est passée la passion ?

Il y a dans son comportement plus de rage que d’enthousiasme. Un mal intérieur la ronge, elle n’en parle pas. J’ai la vague impression d’être un pis-aller, à la limite, (mais est-ce possible ?) je sers à attirer l’attention des deux autres.


Je veux connaître la provenance de deux gros bleus sur sa jambe. Elle a fait une chute dans un escalier. Elle a perdu la mémoire quand je veux savoir comment elle porte des traces sur les seins. Les marques sur les fesses datent d’une autre chute. Ces chutes à répétition m’intriguent, mes questions l’indisposent et elle espace encore ses visites à domicile. Trois semaines, je reste sans nouvelles. La machine à laver de Nora tombe en panne. Louise me téléphone du quartier comme si on la séquestrait : elle passera avec Nora et Richard pour prendre la nôtre qui rendra plus de service à trois personnes qu’à un homme seul. Là, Richard dépasse les bornes, il a de quoi en acheter une. Ma femme, ma machine à laver, quoi encore ?


Le stage de Chloé se termine ce vendredi par un pot à midi. La coquine, pour me narguer, maintenant que son rapport de stage a été approuvé et signé, se présente ce matin dans la tenue du premier jour. Comme le premier jour, elle attend une sortie de Lydie pour renverser une pile de dossiers. À ce moment, je relève une différence dans sa tenue : elle se penche pour ramasser, jambes raides et écartées, croupe haute et bras tendus : elle fait doucement pour me laisser constater l’absence totale de culotte. Ah ! Si son père prenait la peine de veiller sur son enfant au lieu de se dépenser avec les deux salopes. Passe encore pour la veuve, mais Louise, mariée. Évidemment elles le tiennent par la queue, elles s’étaient fait les mains avec la mienne.


D’elle-même Chloé contrôle méthodiquement qu’aucun papier n’est parti sous les meubles. Sa chatte bâille, mon sang bout. Faire un coup pareil à un homme marié, sevré de relations sexuelles, lui étaler sous le nez un mignon petit cul et une jeune fente aux lèvres rebondies relève d’un sadisme innommable. Quelle famille !



Mais elle n’est pas venue pour bavarder.



Qui lui a parlé de ce lit ?

Je lui montre le chemin. La coquine saute sur le matelas et en moins de deux se retrouve nue.



La cuisinière est médiocre. Mais la fille sans culotte qui s’est installée dans le grand lit en retirant ses quelques grammes d’habits est de toute beauté.



C’est le comble de l’invraisemblable. Comment comprendre qu’une jeune fille se jette aussi spontanément dans les bras d’un trentenaire abandonné ? Ma femme m’a quitté, c’est mauvais signe, je ne dois pas être « un bon coup ». Elle ne me l’envoie pas dire :



Oh ! Ça fait mal, j’enrage, je craque. Tant pis s’il y a un piège. Je vais lui montrer… Je ne rêve pas, elle m’attend. Ses bras levés vers moi ramènent à leur place deux seins déjà lourds, aplatis par la position, ses lèvres s’ouvrent et le mouvement de la langue pointée en forme de « u » est un appel. Je m’allonge le long du jeune corps, mes mains caressent le velours de sa peau, la font frémir. Nos bouches s’unissent. Je savoure un baiser merveilleux, les yeux plongés dans ses yeux rieurs. Elle m’offre ses seins. Je les couvre de baisers. Sa main appuie sur mon crâne, pousse et ma bouche se pose sur le pubis où fleurit une toison ébouriffée.



Je lui bouffe la chatte. Elle l’a voulu. Je ne me retiens plus, langue, lèvres, doigts. L’appétit vient en mangeant. J’ai faim d’elle, je lèche, j’aspire et j’avale le jus de son sexe. Mon nez s’emplit de son odeur fraîche. Elle m’appelle pour une nouvelle étreinte, hume le parfum de son sexe sur mon visage, suce son propre suc sur mes doigts.



Son ventre bouge sous mon poids, ses jambes servent d’appui à l’offrande de son bassin et ses doigts fins me conduisent à l’entrée de son paradis. Quand je la pénètre, elle me trouve « fort », quand je lime elle dit « encore », quand je la défonce, elle me dit haletante « plus fort ». Elle me tient prisonnier de ses bras et de ses jambes. Elle me crie « je t’adore » et je l’expédie dans un orgasme fou où elle semble s’évanouir quelques secondes. Elle me revient souriante, heureuse, mais non repue. Elle prend les commandes, goûte sur ma verge le mélange de nos fluides, lape à coups de langue rapides et courts le long de ma tige, s’acharne à me rendre ma rigidité et s’embroche sur mon pal en riant. Elle joue à la sorcière sur mon manche à balai, monte et descend gaiement, s’esclaffe quand son élan lui fait perdre ma massue, quand mon gland quitte le losange de son divertissoire.



La mise en boîte nous secoue de rires. C’est un amour jeune, gai, la célébration de son « mimi » de son « minou », c’est la fête à « minette ». Sa « moule » réclame une lichette, son « berlingot » veut être sucé, sa chatière demande à mes doigts de trouver son point G. Tout l’amuse, tout la fait rire. Elle s’agite sur mon majeur qui a trouvé le bon emplacement, connaît un orgasme foudroyant. Elle jure de me faire retrouver ma gaîté, ma joie de vivre. Je pourrai compter sur elle, si jeune et pourtant si mûre. Je promets de la rendre heureuse. Fol après-midi, je revis, elle s’endort dans mes bras. Je la contemple, ému. Quel avenir ? Je me souviens, Louise et moi étions aussi fous.


La sonnette me tire de mon état de béatitude. J’abandonne la couche du miracle, me vêts, descends. Ils sont trois, Richard, Nora et Louise.

Elle veut emporter son lave-linge. Ils accepteront un café suggère Richard. Nous buvons au salon. Louise est pressée. Richard prend la main de Nora :



Louise vire au vert, échoue sur le canapé à galipettes, seule, en larmes.



Louise se lève, flageole sur ses jambes, sort et claque la porte comme d’habitude lorsqu’elle se fâche. Elle revient presque aussi vite en hurlant :



La porte s’ouvre encore, apparaît dans sa tenue provocante, ma petite Chloé.



Louise est muette, assommée par l’aplomb de la donzelle. Richard tombe des nues mais ravale sa colère.



Je la raccompagne.



Elle lève les yeux, toujours hilare :