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11/12/12
Résumé:  Suite de mes aventures de libertin. Les premières rencontres en privé avec des couples.
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Auteur : Jeuxentreadultes            Envoi mini-message

Série : Les aventures d'un libertin

Chapitre 02 / 04
Les aventures d'un libertin : épisode 2

Résumé de l’épisode précédent : Comment j’ai versé dans les relations adultères, et comment j’ai été initié à la vie libertine dans un club échangiste.








Tant que l’on n’a pas essayé les clubs libertins, l’on reste plein d’idées préconçues. Faut faire gaffe où on marche, se désinfecter les pieds pour ne pas attraper le SIDA (véridique, j’ai un ami qui n’en démord pas : c’est vaaaaaachement connu, on attrape le SIDA par les pieds dans les clubs, si, si !). Il fait dégueulasse partout, tout le monde couche avec tout le monde, y’a même pas de préservatifs, c’est de la prostitution organisée… J’en passe et des meilleures.


Tout cela, ce sont des idées de Moldus ! (Référence à Harry Potter : les Moldus sont les non-sorciers, qui ne connaissent donc rien du monde des sorciers. Les Moldus ne connaissent même pas la voie 9 ¾, pffffffff !)



En fait, moi j’y ai découvert un monde très propre (sinon l’établissement ne dure de toute façon pas), très sécurisant tant au point de vue hygiène et santé (on trouve des bols emplis de préservatifs partout, des rouleaux d’essuie-tout, des douches nickel) que des gens, très ouverts (tssss, mais non, je ne parle pas que du dessous de la ceinture !). Autant les gens ont du respect pour les autres, pour leur physique, pour leur orientation, autant aussi j’ai pu apprécier la possibilité pour quelqu’un de dire non, et que ce refus soit accepté. Bien entendu, certains ne comprennent pas les règles du jeu, même après un non, ils reviennent à l’assaut, parfois de façon insistante.


Mais c’est là le fait de certains hommes seuls (on dit « célibataires »… Mon œil, des célibataires !). Au point que certains clubs limitent le nombre d’hommes seuls, ou bien réservent des soirées couples, souvent le samedi soir. Et pourtant, ce sont bien les hommes seuls qui rapportent le plus, sachant qu’un homme paye en général le double de droit d’entrée par rapport à un couple.


Il y a donc des rustres, mais bon, c’est connu, les hommes ont une bite à la place du cerveau. Ils viennent en club, payent leur entrée et estiment grâce à cela, pouvoir baiser tout ce qui passe. Oui, j’en ai entendu le dire au moment où on les mettait à la porte. Et lorsqu’ils menacent de venir se venger, on leur rappelle la caméra au-dessus de la porte d’entrée et le numéro de téléphone de la police. Comme ils ne sont jamais censés se trouver là, on n’entend plus parler d’eux !



Mais tous les hommes ne sont pas à mettre dans le même sac. Il y en a, dont je me targue de faire partie, qui respectent les règles, celles du club mais aussi celles de la bonne tenue en société. Il m’est arrivé d’être invité par un couple ou une femme à venir les rejoindre simplement à cause du respect que je leur témoignais (bon, ce qu’ils ne savaient pas, c’est que j’étais terriblement timide, et que je ne me voyais pas poser la main sur une cuisse, une fesse ou un sein comme ça de but en blanc, sans avoir au minimum fait connaissance avec leur propriétaire).



D’ailleurs, j’ai passé des soirées en club sans passer à l’acte, par manque d’affinités mutuelles avec les dames présentes, mais je n’ai jamais passé une mauvaise soirée en club. Ne pas coquiner ne veut pas dire que l’on passe une mauvaise soirée. On fait connaissance avec des gens sympas, on boit un verre (largement plus qu’un, si l’on veut, en général le tarif d’entrée inclut les boissons à volonté), on mange un morceau, et on est entouré de jolies dames légèrement vêtues. Et quand on est un peu voyeur, certains spectacles, que ce soit sur les pistes ou dans les alcôves, en valent la peine.



Mais je ne suis pas là pour faire l’apologie des clubs, revenons-en à mes expériences.



À l’époque, on en était en plein essor d’internet, et énormément de sites libertins étaient encore 100% gratuits. Je m’étais inscrit sur plusieurs, mais l’un d’entre eux (fermé depuis à cause de l’avidité financière de l’un des admins) m’attirait plus par son côté convivial, notamment le forum où je me fis vite la réputation de « célibataire » correct, respectueux et ayant une certaine sagesse dans ses propos.


Très vite, je me liais d’amitié virtuelle avec certains autres membres, dont quelques couples. Et puisque je ne demandais pas à les rencontrer (se laisser désirer plutôt que de montrer de l’empressement, surtout ne pas passer pour un « mort de faim » !), il arrivait que des couples m’invitent à les rejoindre tel jour telle heure en club. J’ai pu donc entrer l’un ou l’autre samedi, soirée en général réservée aux couples car il était parfois admis quelques hommes en « trio constitué ».


Ces soirées couples sont souvent beaucoup plus propices aux relations sexuelles moins sauvages. En effet, les couples ou les femmes seules (si, il y en a !) qui viennent aux soirées mixtes, le font souvent pour le choix qu’elles peuvent trouver dans la multitude des hommes seuls. Ce sont souvent des gourmandes, appréciant la pluralité masculine, pour qui parfois satisfaction rime avec quantité.


Dans les soirées couples, par contre, on rencontre beaucoup plus de femmes bi, qui ne veulent pas être importunées par les mâles et leurs sollicitations. Il m’est même arrivé de voir la femme d’un couple, montant vers une alcôve avec sa conquête féminine d’un soir, demander à son mari (on ne sait pourquoi elle était mariée, en fait, elle se disait lesbienne plutôt que bi) de virer le malotru qui les suivait dans l’escalier. Pas de chance, cet « intrus » travaillait bénévolement dans le club, et il montait vérifier qu’il ne manquait de rien dans les douches.


Quoi qu’il en soit, la plupart de ces dames étaient donc bisexuelles, mais cela voulait dire qu’elles ne rechignaient pas non plus à croquer de la bonne queue. Une fois le loup (moi) dans la bergerie, je pus croquer pas mal de brebis. Et comme j’avais de la conversation et un minimum de culture, je m’entendais donc bien avec les maris. D’ailleurs, j’adorais, mine de rien, amener la discussion sur le foot… Je déteste le foot ! Mais les dames (pour la plupart) aussi. Donc, une fois la conversation bien lancée sur ce sujet qui nous ennuyait, ces dames et moi, je les invitais à danser. Parfois une seule, parfois avec deux, et nous nous retrouvions sur la piste, mains, bras, jambes, langues, entrelacés. Moi, étant piètre danseur, je m’arrangeais pour être plutôt le support contre lequel ces dames venaient se frotter langoureusement. Et à l’une ou l’autre occasion, c’est sur la piste de danse même que je pus rendre honneur à l’une, voire aux deux, sous le regard du ou des maris plus intéressés par leur conversation.


Malheureusement, le club que je fréquentais ferma après un changement de gérant, le nouveau s’avérant pas du tout intéressé par le monde libertin mais pensant pouvoir faire fortune en plumant ses clients. Ensuite le site libertin périclita après que l’on y eût instauré un abonnement mensuel.



Je reçus encore quelques invitations, l’une d’entre elle étant très étonnante et sympathique. Il s’agissait d’un couple approchant la cinquantaine – libertins débutants – qui avait demandé à un couple d’amis s’ils ne connaissaient pas un ou deux hommes sympas, discrets et respectueux, car Madame avait envie d’essayer la pluralité. Et donc, je leur fus recommandé, ainsi qu’un autre homme. Ils prirent contact par mail, m’expliquèrent et me demandèrent si j’étais intéressé par une soirée à quatre, eux plus deux hommes. Les photos de la femme me convainquirent immédiatement : une jolie petite asiatique, avec quelques kilos en trop, mais un visage à croquer. Et puis, bon, dans mon « palmarès », il me manquait une asiatique ! En plus, ils louèrent un chalet à quelques kilomètres à peine de chez moi, ce serait bête de refuser l’occasion de s’économiser quelques centaines de kilomètres…


Le soir prévu arriva. Le chalet était au centre d’un village, mais restait discret. À mon entrée, je fus accueilli par une vague de chaleur et une odeur bien agréable, celles d’un feu de cheminée. Mes hôtes avaient bien alimenté le feu en bûches, et je devinais que le but était de nous faire tomber les couches au plus vite.


Le mari, sympathique et prévenant en tout, me présenta leur deuxième complice de la soirée, un grand gaillard très maigre et sec, et avec lequel le courant passa très vite. Je n’avais pas encore vu madame, elle était affairée à la cuisine m’expliqua le mari. Tout à coup, par la porte de la cuisine restée ouverte, je plus l’apercevoir, et le verre d’apéritif que je portais à mes lèvres resta quelques secondes figé en l’air. Elle préparait le repas, revêtue simplement d’un tablier par-dessus sa lingerie, un bustier, un string et des bas, le tout blanc. Et donc, puisqu’elle tournait le dos à la porte, le pus voir ses jolies fesses séparées d’un fin liseré de dentelle…


Notre hôte comprit immédiatement, et lança à son épouse :



Son rire si typique des femmes asiatique résonna, le ton de la soirée était donné : convivialité, rires, exotisme asiatique.


Elle nous apporta d’ailleurs un plat de nouilles asiatiques, et nous nous installâmes à table et fîmes connaissance autour du repas. Nous parlions de tout et de rien, pour évidemment finir par aborder le sujet qui nous avait amenés là : le sexe. Nous apprîmes donc que cette soirée était organisée par le mari en guise de cadeau d’anniversaire pour son épouse, et que lui se contenterait principalement de regarder.




« Ma première asiatique et ma première expérience candauliste »




Après le repas (« laissez, on débarrassera bien plus tard, on a autre-chose à faire »), nous nous installâmes dans les fauteuils autour du feu ouvert, en sirotant un verre de vin. Le couple s’assit sur le canapé deux places, l’autre homme et moi sur le canapé trois places. Nous parlions des préférences de chacun, et lorsque je parlai du fait que ma femme n’appréciait pas les cunnis, mais que d’autres femmes m’avaient félicité de mon savoir-faire, ma petite asiatique saisit la balle au bond :



Son mari, excité à l’idée de voir enfin sa moitié entreprise par d’autres hommes, s’empressa de consentir.


Je me levai et vins m’agenouiller devant la princesse de la soirée. Directement elle fit mine d’écarter les cuisses, pressée de se faire lécher. Mais je n’attaquai pas directement, préférant lui faire des bisous dans le cou (vous savez, là, dans le creux entre le cou et l’épaule, il y a cette zone si sensible…), puis remontai mes bisous vers son oreille, vers sa joue, m’approchant prudemment des lèvres. Elle comprit immédiatement : oui, elle embrasserait ! Et donc nos lèvres se rencontrèrent, les langues s’emmêlèrent. Sa respiration commençait à devenir plus rapide, elle accéléra encore lorsque mes mains descendirent un peu son bustier pour se saisir des seins, qu’elles malaxèrent avec douceur. Un petit pincement des tétons lui arracha un petit cri sensuel.


Ma bouche remplaça les mains, je suçotai, léchai, mordillai très doucement ses tétons. Mes mains descendirent en glissant sur ses hanches, j’en fis passer une derrière pour lui flatter la croupe, l’autre passa sur les cuisses, s’approchait par petits cercles caressants vers la dentelle blanche de son string. J’effleurai son sexe par-dessus la dentelle, et je pus sentir la chaleur et l’humidité qui l’envahissait déjà.


Ma tête descendit et je commençai à faire des bisous sur son mont de vénus, léchai carrément la dentelle qui commençait à saturer de la mouille suintant de sa chatte. D’un doigt, j’écartai le string, et ma langue glissa sur ses lèvres et s’enfonça sur le haut de celles-ci, trouvant vite son clitoris déjà tout érigé.


Au moment où ma langue entra en contact avec son clito, je la sentis et l’entendis embrasser son mari et lui dire « merci » dans un souffle. Elle écarta encore plus ses jambes, je dégageai encore plus son string, et me mis à la lécher de haut en bas, dardant même la langue vers son petit trou plissé, que je n’arrivai pas à toucher, elle était toujours assise. Je tirai donc sur ses jambes pour qu’elle descende dans le fauteuil, pour avoir accès à ses deux orifices. Elle ne refusa pas l’intrusion de ma langue contre sa rondelle, ce que je pris pour un signe encourageant, grand amateur de sodomie que je suis.


Puisque je l’avais tirée pour descendre dans le fauteuil, son mari dut la lâcher. Il se leva et invita le second comparse à dégager le lit du canapé trois places convertible. Nous nous déplaçâmes donc pour être plus à l’aise sur le lit, aussi pour que le deuxième invité puisse participer à la fête. Je repris ma place pour lécher l’abricot de notre asiatique, qu’elle avait libéré de son string devenu de toute façon inutile tant elle était trempée.


Notre comparse commença à lui caresser les seins et à l’embrasser, puis elle défit son pantalon et se déplaça de façon à pouvoir commencer à le sucer. Je dis bien commencer, car j’accompagnai mes lapements par un, puis deux doigts, ils s’enfoncèrent dans sa grotte trempée comme dans du beurre, et l’action combinée de ma bouche qui suçait le bouton d’amour et de mes doigts frottant ses parois vaginales en insistant sur la zone sensible du point G la firent vite basculer. Elle éjecta la bite de sa bouche, émit une drôle de grimace, puis elle jouit dans un cri aigu, celui que l’on se représente (en tout cas c’est comme ça que moi je me le représentais) comme étant typique de des femmes asiatiques.


Il lui fallut deux bonnes minutes pour reprendre son souffle, et elle me dit en souriant :



Ensuite, l’autre invité et moi nous nous succédâmes à lui rendre honneur de nos sexes, dans toutes les positions, celui qui n’était pas en train de la remplir s’occupait de sa poitrine ou se faisait gentiment pomper.


Lorsqu’elle changea de position et commença à chevaucher l’autre homme, je m’approchai de son mari, et doucement de façon à ce qu’elle ne puisse pas entendre, je lui demandai si elle acceptait aussi la sodomie. Il me répondit que oui, mais qu’il avait été le seul jusqu’aujourd’hui à profiter de cet orifice. Je lui demandai si lui ça le dérangeait que je tente ma chance, il avait l’air d’hésiter. Alors, m’approchant encore plus près, je luis glissai dans l’oreille :



Il commença à défaillir, il essayait de faire celui qui n’aurait jamais imaginé ça, mais je vis bien qu’en fait l’idée lui plaisait énormément, et je me demandai s’il n’était pas en train de tout simplement jouir dans le pantalon qu’il avait gardé, à l’idée de voir sa femme se faire prendre en double devant ses yeux…



Je m’approchai donc des deux amants, je caressai le dos de l’asiatique, puis me penchant, je lui enfonçai la langue dans son petit trou pour bien le lubrifier. Ensuite je glissai un doigt bien mouillé de salive dans son anus, doucement mais sûrement, sans m’arrêter jusqu’à toute la longueur du doigt. Un peu surprise, elle comprit ce qui allait lui arriver, et elle s’acharna avec encore plus de vigueur à chevaucher le second larron.


J’enfilai une autre capote, lui élargis encore un peu l’anus, de deux doigts cette fois, tout en me mettant en position. De l’autre main, je guidai ma verge et au moment où elle rejoignit les doigts plongés dans son fondement, je retirai mes doigts et avant que l’orifice ne se referme, j’avais glissé mon gland dans ses chairs fragiles.


Elle marqua un instant d’hésitation. Elle n’était plus vierge du cul, était déjà allée très loin dans ses fantasmes depuis que son mari avait invité deux hommes inconnus pour s’occuper d’elle. Je pense que ce qui la faisait hésiter, c’était le fait de passer pour une salope accomplie devant son mari, alors qu’en fait elle n’avait qu’une envie : se faire prendre par deux queues en même temps…


Ce qui la fit accepter, ce fut son mari qui nous dit :



Ce fut comme une autorisation pour elle. Je sentis son anus se décrisper et ce fut elle qui s’empala d’elle-même sur nos queues.


Je commençai moi aussi à bouger, le mouvement des bites dans ses deux orifices était tantôt synchronisé, tantôt nous alternions les mouvements, l’un en mouvement de retrait pendant que l’autre poussait.


Très vite elle commença à bredouiller des paroles et des sons incompréhensibles, je ne suis même pas sûr qu’elle s’exprimât dans sa langue maternelle (réflexion faite, je ne savais pas quelle était son origine exacte). Elle couinait plus que le lit, bien qu’elle, au moins, fût lubrifiée…


La jouissance explosive et libératrice la fit crier de sa voix aiguë, puis soudainement elle se tut, et s’écroula sur notre complice, tremblant de tout son corps. Son orgasme mit le feu au mien, je jouis entre ses fesses après encore quelques mouvements.



Cette fois, elle mit une bonne vingtaine de minutes pour s’en remettre. Son mari aida l’autre invité à s’extirper d’en-dessous d’elle, et nous la regardâmes tous les trois en sirotant un verre que notre hôte nous avait servi durant les ébats, prévenant qu’il était à nous voir nous démener pour faire jouir sa femme dans la chaleur du feu ouvert.


Lorsque notre nymphe refit surface, elle nous vit la regarder, tout sourires, et elle nous gratifia d’un sourire resplendissant en se fondant en remerciements.


Je dus les laisser quelques minutes plus tard, et j’appris le lendemain que notre couple continua avec leur second invité, puis ils finirent la nuit en faisant l’amour rien qu’eux deux.



De ma présence sur le forum du site libertin naquit une autre histoire avec un autre couple.


Elle était une gourmande affirmée, lui aimait la voir se faire prendre par d’autres, tout en participant.


À force de déconner ensemble sur le forum, où d’ailleurs c’est elle qui était active, nous liâmes amitié. Je fus invité à les rejoindre dans un hôtel pour couples illégitimes. Cet hôtel acceptait qu’un couple soit accompagné, ce qui est loin d’être le cas pour tous les hôtels de ce genre. Et, fait exceptionnel, ils refusèrent que je paye pour la chambre.


Pour être gourmande, elle était gourmande ! Pipes goulues (mais pas question de sperme en bouche), mots crus, baise athlétique, défonce, dilatation, presque rien n’était impossible et presque tout chaudement accueilli. Elle était de ces femmes qui aimaient se faire dilater fortement, elle me demanda si je voulais la fister. Je me plaçai donc entre ses cuisses écartées, elle allongée sur le dos, et je commençai à la doigter. Un, puis deux, trois doigts entrèrent aisément. Son mari, attentif à ce qu’elle ne soit pas blessée, me proposa du lubrifiant, mais franchement ce n’était pas nécessaire. Excitée par les mots crus que nous lui assenions (« Regarde, petite pute ! Tu vas te faire mettre une main sans gel ! Mais quelle salope ! Tu t’ouvres comme une chienne », etc.).


Un quatrième doigt rejoignit facilement les trois premiers. Restait le pouce. Je le plaçai de façon à présenter le moins de surface possible. L’effort n’était pas agréable, me faisait même mal, mais il fut payant. La dernière phalange du pouce, qui présentait une petite protubérance, passa les lèvres, et ma main entière se retrouva dans sa chatte !




« Note à moi-même : mon premier fist-fucking »





Une fois la main entrée, je pus en douceur replier les doigts, en évitant de griffer l’utérus que je touchais déjà, et je pus fermer mon poing. L’action combinée du coulissement et du poing que je fermais et rouvrais lui arrachait des cris de plaisir, pas une seule fois elle ne se plaignit d’une quelconque douleur, et je me permis d’accélérer le mouvement de piston, lui ajoutant de temps en temps une petite rotation. Bien sûr, je n’allais pas très profondément, avec la main glissée dans sa chatte je venais déjà cogner son utérus, je n’avais donc pas beaucoup de marge. Mais le poing qui se rouvrait et se refermait, on ne lui avait pas encore fait, et elle jouit plusieurs fois d’affilée en quelques minutes, jusqu’à me demander à sortir.



Son mari avait filmé la scène avec mon appareil photo numérique, je me regarde parfois la scène avec beaucoup de plaisir


Ce jour-là elle me classa comme étant son fisteur favori !


Notre rencontre n’était pas finie pour autant. Nous la prîmes en double vagin-anus, en double vaginale, son mari et moi nous nous amusions à parler de son anus qui restait bien ouvert lorsque nous en sortions notre queue. Elle adorait les mots crus et les insultes, mais là nous parlions d’elle à la troisième personne, ce qui multiplia encore son excitation.


Je revis ce couple encore par trois reprises. La deuxième fois, nous nous retrouvâmes sur le parking d’une station-service sur l’autoroute. Ils laissèrent leur voiture, ils montèrent dans la mienne, plus grande, lui conduisant, elle et moi derrière. J’avais demandé qu’elle se vêtît de porte-jarretelles et de bas, sous une robe sexy. Elle avait mis sa robe de mariée, assez simple mais en dentelle, et des dessous blancs : porte-jarretelles, bas et string. Sur le chemin pour aller à l’hôtel, elle et moi avions vite commencé à nous caresser, elle me suça alors que nous étions encore sur l’autoroute, j’étais occupé à la sodomiser en levrette lorsque nous arrivâmes à destination. Chemin faisant, je taquinais son mari en lui demandant d’éviter de mettre ma voiture dans le fossé.



Étant en confiance avec eux, après notre traditionnelle séance de fist-fucking sur elle, elle comprit que j’aimais qu’on s’occupe de ma rondelle aussi, et elle me surprit en glissant un gode dans mon fondement, qu’elle parvint à lubrifier avec du gel pendant qu’elle me doigtait, en me le cachant.




« Note à moi-même : ma première sodomie passive avec un gode ! »




Ce gode était formé d’une succession d’anneaux devenant de plus en plus larges, les premiers entrèrent sans problème, et quand elle fut à la moitié, après quelques aller-retour, elle me demanda si elle devait aller plus loin. Je lui demandai de me montrer l’objet, j’eus un peu peur en voyant le diamètre du dernier anneau. Oh, ce n’était pas énorme, plus ou moins le diamètre d’un bon sexe en érection, mais bon, je n’avais jamais rien pris de plus large qu’un, voire deux doigts. Mais j’avais envie de sentir mon cul rempli, écartelé, alors je luis dis :



Et en effet, nous y arrivâmes, et elle synchronisa les mouvements du gode dans mon postérieur avec les mouvements de sa main sur ma queue et me tira un superbe orgasme bien arrosé.



La dernière fois que je les rencontrai, ils me demandèrent si ça me gênait qu’un deuxième homme les accompagnât. Je n’y vis pas d’inconvénient, et nous nous retrouvâmes tous les quatre à l’hôtel.


Le garçon, car il n’était guère plus âgé que vingt-quatre ans, n’était pas très expérimenté, et mon amie – belle femme dans la fleur de sa quarantaine – se fit une joie de lui apprendre comment fister et enculer une femme. Comme j’étais son fisteur préféré, elle me demanda de montrer comment faire à notre novice. Je la fistai donc comme à mon habitude, deux, puis trois, puis quatre doigts, serrer le pouce contre les autres doigts, et entrer toute la main. Je lui expliquai comment faire en douceur, mais le gars, trop pressé de vivre son fantasme, lui fourra la main comme un bourrin, passant directement de deux à cinq doigts, sans prendre la peine de « planquer le pouce », ni même de lubrifier la main, que ce soit avec la mouille pourtant abondante de mon précédent passage, ou avec du gel lubrifiant pourtant mis à sa disposition. Bref, il s’y prit tellement comme un c… que directement, elle cria de douleur. Le mari repoussa le novice, et encore un peu, il lui faisait un fist-fucking du visage… J’arrivai à le calmer, son épouse, remise de sa douleur finit de lui faire retrouver son calme, mais l’ambiance était cassée. Le maladroit se fit reconduire à la porte par le mari, qui lui laissa à peine le temps de se rhabiller.


Ne dit-on pas toujours qu’il faut toujours trouver un côté positif à toute chose ? Égoïstement, maintenant que la chatte n’était plus en état, je trouvai le côté positif, le côté pile. Après un moment de papote, où le mari voulait mettre fin, à la rencontre, nous parvînmes à le convaincre que c’était l’unique faute à l’autre abruti, que personne d’autre ne devait être pénalisé, et donc nous avons continué nos coquineries. Et je pus encore profiter de son anus que je me fis un devoir de besogner de façon à lui faire oublier sa chatte endolorie. Heureusement, elle était de ce genre de femmes qui peuvent jouir tant du recto que du verso.



Quelques temps plus tard, j’appris qu’il avait fait un infarctus. Heureusement il y survécut et n’eut pas de séquelles, mais ils cessèrent les rencontres coquines, son cœur risquant de ne pas apprécier.




Bientôt la suite, les rencontres avec une véritable nymphomane accro au sperme et à la sodomie, les rencontres avec un couple devenus de vrais amis (ce qui n’empêche pas les coquineries).