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n° 15337Fiche technique12030 caractères12030
Temps de lecture estimé : 8 mn
13/12/12
Résumé:  Une visite extraordinairement humiliante et jouissive au sex-shop.
Critères:  fh couple essayage sexshop hsoumis fdomine humilié(e) exhib hgode jouet sm confession -sm -hsoumisaf
Auteur : Claudeclaude17            Envoi mini-message
Visite dans un sex-shop

Je suis Claude, un homme de la soixantaine qui s’est découvert (?) pervers grâce à une amie rencontrée il y a quelques années, Elle. Elle avait compris mieux que moi mes aspirations les plus secrètes, sachant ainsi me faire progresser dans des voies que, peu de temps auparavant, je n’aurais pu appréhender ; en particulier, mon aptitude à obéir à ses délires : par exemple, m’exhiber pour lui prouver mon appartenance.

Voici le compte-rendu d’une expérience extraordinaire : Elle m’avait donné rendez-vous en me demandant de passer la prendre pour « faire une course ».




ooOoo




Je vais la chercher et nous montons dans ma voiture. Là, Elle m’indique la rue où Elle souhaite se rendre et m’explique qu’il s’agit d’un sex-shop situé un peu à l’écart et très discret. Elle me précise que le but de cette visite est de me faire acheter une cage de chasteté qu’Elle souhaite me faire porter, mais qu’elle a besoin de « conseils ». Ensuite, Elle me fait part de son exigence : pour cette visite, Elle veut me faire porter un plug ; cela ne me dit rien, mais Elle sait se faire convaincante. Donc, arrivés à proximité du sex-shop, nous allons – à sa demande – dans un café et, pendant que nous prenons une consommation, je dois aller m’équiper aux toilettes. Bien sûr, Elle a prévu son coup et me donne un sac qui contient l’objet ainsi qu’un tube de lubrifiant.


Je ne sais quelle contenance adopter ; mais – je l’avoue – comme je suis excité par la situation, je me dirige vers les toilettes avec mon sac à la main en espérant que personne n’ait fait attention à notre échange. Inutile de dire qu’un tel lieu n’est pas confortable ! Je fais au mieux pour me déshabiller ; mais j’ai beau lubrifier le plug ainsi que mon anus, j’ai beaucoup de mal à le faire pénétrer ; ce n’est pas si facile que cela !


Enfin, après un temps qui me paraît long (par deux fois, quelqu’un a essayé d’entrer… heureusement que j’avais bien fermé la porte), j’y arrive enfin et me rhabille. Comme j’entends du bruit de l’autre côté de la porte, je prends soin de tirer la chasse d’eau avant de sortir ; je me retrouve nez-à-nez avec un type qui attend son tour. Je ne sais pas ce qu’il pense en me voyant marcher d’une façon tout à fait inhabituelle ! Et là, je comprends mieux cette demande qu’Elle m’avait faite de porter un pantalon léger et un string car, en me voyant de dos dans le miroir des toilettes, je vois très nettement le renflement du plug. Difficile de monter l’escalier…


En traversant la salle, je sens que ma démarche attire les regards ; de plus, j’ai l’impression que les gens que je croise n’ont aucun doute sur mon équipement. Finalement, je m’affale sur mon siège ; et là, je sens le plug me pénétrer profondément. Elle esquisse un sourire en me demandant si tout va bien.



J’ai du mal à marcher… Elle le comprend bien et s’en amuse en me passant la main sur les fesses et en m’enfonçant le plug qui du fait de la marche, a tendance à sortir.


Nous entrons dans le magasin. Peu de monde : juste deux clients – des hommes seuls – et les employés, au nombre de trois (une femme et deux hommes, dont l’un des deux est visiblement homo). Elle a parfaitement compris le plaisir qu’Elle pouvait prendre en appuyant sur le plug, et Elle ne s’en prive pas ; tout particulièrement lorsque son geste peut être surpris par quelqu’un.


Nous faisons le tour du magasin en savourant et commentant ce que nous voyons ; l’un des deux clients semble comprendre son manège car, alors qu’Elle me fait passer près de lui, Elle me demande si le plug tient bien et ne sort pas trop. Il est évident qu’Elle le fait exprès pour qu’il entende. Je remarque qu’il est très intéressé : il nous suit dans nos déplacements en prêtant une oreille attentive, sans la moindre gêne.


Une vitrine attire l’attention d’Elle ; des cages y sont exposées : certaines en plastique, d’autres en métal. Elle les regarde en faisant des commentaires qui me paraissent destinés plus à notre voyeur qu’à moi. Je suis, paraît-il, rouge de honte de d’humiliation.



Le vendeur (l’homo, bien sûr…), nous voyant scotchés devant la vitrine, s’avance vers nous.



Et il se lance dans des explications sur les différents modèles, précisant que les cages en plastique sont disponibles en différentes tailles, qu’elles se portent avec une bague (fournie) pour une meilleure adaptation, mais que les métalliques peuvent être portées plus longtemps, etc.


Le voyeur s’est rapproché de nous et, sans la moindre gêne, ne manque rien de la conversation ; je ne sais plus où me mettre… Finalement, le vendeur nous conseille un modèle en plastique, idéal selon lui pour une première expérience ; nous allons suivre son conseil.



Le voyeur n’a rien raté de cet échange ; il semble ne pas croire à ce qu’il vient d’assister, d’autant plus qu’en passant devant lui pour aller payer notre achat, Elle en profite pour me renfoncer le plug de façon à ce qu’il voie bien, sans ambiguïté, ce qu’Elle me fait.


Après avoir réglé notre achat, nous sommes conduits par le vendeur vers une cabine que nous n’avions jusqu’alors pas remarquée, située un peu à l’écart dans un coin de la boutique. Elle est exiguë, recouverte de deux grands miroirs en angle et fermée par un rideau monté sur une tringle. Un portemanteau mural et un tabouret en complètent l’aménagement.


Le vendeur s’éloigne, nous laissant seuls ; enfin… pas vraiment, car le voyeur a compris qu’il pourrait se passer quelque chose d’intéressant qu’il ne voudrait manquer à aucun prix. Il fait semblant de s’intéresser à des magazines, mais en réalité il nous surveille sans aucun complexe.



En effet, nous ne pouvons pas tenir à deux dans cette minuscule cabine.



Là, je trouve qu’Elle exagère ; mais comme Elle insiste, j’obtempère et je commence à me déshabiller. Lorsque j’aperçois dans le miroir que le voyeur ne rate rien du spectacle que je lui offre, je reste de dos face au rideau entrouvert pour qu’il voie bien le plug quand j’enlève mon string ; Elle m’avouera plus tard que de savoir que le pervers ne ratait rien du spectacle l’avait rendue folle de bonheur et d’excitation.


Pour moi, le plus dur reste à faire : je n’arrive pas à mettre la bague qui permet à la cage de rester fixée ; de plus, sans mes vêtements pour le maintenir en place, je sens que le plug commence à glisser hors de moi. Pour éviter qu’il ne sorte complètement, je m’assieds sur le tabouret. Ainsi, il ne risque plus de glisser hors de mon rectum ; cette impression d’être entièrement rempli ne peut s’expliquer : seul celui qui l’a déjà expérimentée peut comprendre ce que l’on ressent…


Voyant le temps passer et se doutant de quelque chose, Elle vient voir où j’en suis. Bien entendu, Elle ne se gêne pas pour écarter le rideau plus largement encore qu’il ne l’était jusqu’à présent ; c’est un peu comme lorsqu’on est aux toilettes et que quelqu’un ouvre brusquement la porte…



Avisant le vendeur, elle le rejoint pour lui expliquer la situation. Ils reviennent ensemble.



Il prend, si j’ose dire, les choses en main et me met celui qui convient ; tout en nous donnant des explications, il m’équipe de ce nouveau jouet. Ce faisant, il remarque bien le contenu de mes fesses ; à l’occasion d’une manipulation, sa main s’égare sur mes fesses et, d’un coup, il m’enfonce le plug au plus profond…


Après m’avoir dit de me rhabiller, Elle repart avec le vendeur, me laissant seul, ainsi équipé, avec le rideau toujours entrouvert. Je comprends qu’Elle n’a rien raté de la pression que le vendeur a exercée sur mon plug car je les entends parler de l’autre côté du rideau. Elle explique au vendeur :



Je ne sais plus où me mettre ! Maintenant que je suis équipé recto-verso, je me rhabille. Ceci fait, les miroirs de la cabine me renvoient l’image de mon pantalon déformé par les renflements occasionnés par le plug et la cage ; mes vêtements ne cachent rien de mon état, ce que je remarque bien dans le regard de notre voyeur lorsque je sors de la cabine. Visiblement, il n’en revient pas, d’autant plus qu’il m’est impossible de marcher normalement. En passant devant la caisse, je vois les sourires entendus échangés entre la caissière et le vendeur, qui nous souhaite une bonne journée sur un ton dans lequel je discerne nettement une pointe d’ironie.


Nous sortons pour regagner à la voiture ; une femme que nous croisons semble regarder ma braguette avec incrédulité. Elle m’indique que le voyeur nous suit ; alors Elle me passe une main sur les fesses pour m’enfoncer le plug, qui est pourtant maintenu par le string. Comme il ressort un peu, n’importe quel passant ne pourrait manquer de le remarquer. J’ai du reste la sensation que tous les gens que nous croisons me dévisagent l’entrejambe, si je puis dire ! Elle, souhaitant profiter de la situation, me fait faire le tour du quartier, en particulier dans une rue plus importante avec beaucoup de passants avant de rejoindre la voiture où je m’assois enfin avec plaisir, malgré mon équipement !




N’hésitez pas à me faire part de vos remarques sur cette expérience (vraie à 90%) que j’ai écrite pour avoir vos commentaires et donner d’autres idées à Elle pour me faire vivre de futures aventures.