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n° 15338Fiche technique12330 caractères12330
Temps de lecture estimé : 8 mn
14/12/12
Résumé:  Elle retrouve son amant. Il fait très chaud, et il invente un nouveau jeu très sensuel pour la rafraichir.
Critères:  fh hplusag extracon fépilée fellation pénétratio yeuxbandés glaçon -amourcach
Auteur : Mons  (récit de grosse chatte)      
Chaud et froid

Cela fait déjà plusieurs mois que j’entretiens une liaison avec David. Il est un peu plus âgé que moi, je le trouve très séduisant. Ses épaules larges, sa grande taille et son corps musclé me donnent envie de me blottir dans ses bras, en toute quiétude je peux poser ma tête contre son épaule. Lorsque nous nous sommes rencontrés, notre première entrevue fut très sensuelle. Il y avait longtemps que je n’avais pas eu de relation avec un homme et je désirais connaître à nouveau ce bonheur. L’attirance de nos deux corps était palpable et je n’ai pas pu résister.


Depuis ce jour nous nous voyons régulièrement, parfois pour aller simplement boire un verre ou déjeuner quelque part, parfois pour nous balader en forêt, et immanquablement la balade se termine par des câlins, allongés sur la mousse fraiche et odorante. Ou encore lorsque cela est possible nous nous retrouvons chez lui ou chez moi. Mais ce n’est pas toujours facile de trouver des moments pour nous retrouver seuls, en tête à tête. Nous essayons de nous voir chaque deux semaines. Il est marié, et a de grands enfants, nous devons donc jongler avec nos emplois du temps et ceux de sa famille.


Chaque retrouvaille est intense, chargée d’émotions. Il y a entre nous un attrait sexuel, c’est certain, mais pas que ça, nous partageons les mêmes idées, les mêmes valeurs. Nous rions souvent de bon cœur et une tendre complicité nous unit.


Aujourd’hui j’ai rendez-vous avec lui, je suis heureuse. Je me prépare pour lui, afin qu’il me trouve désirable. À sa demande, je me suis épilée entièrement. Je ne l’avais jamais fait auparavant. J’ai utilisé de la crème dépilatoire en prenant garde de ne pas en mettre entre mes lèvres car ce genre de crème est irritante mais j’ai été un peu maladroite, ça a débordé et brulé un peu quelques minutes. J’ai rincé abondamment et tout est rentré dans l’ordre, il ne reste aucune trace d’irritation, et aucun poil disgracieux. J’aime beaucoup ainsi, et je suis vraiment nue. Je découvre mon mont de Vénus, ma vulve; la peau est tendre et chaude. Je n’avais jamais regardé ainsi ma chatte, je la trouve belle.


Il fait chaud, c’est la canicule. Je mets une petite robe de coton, courte et décolletée, dévoilant la naissance de ma poitrine généreuse, pas besoin de soutien-gorge, il fait trop chaud et puis les bretelles qui dépassent, ce n’est pas joli. J’enfile une petite culotte, le frottement du tissu sur mon minou me trouble, et délicieusement réveille mes sens, doux prémices de ce que nous allons faire tout à l’heure. Une goutte de parfum et voilà je suis prête. Je n’ai que quelques kilomètres à parcourir, heureusement, car il fait vraiment très chaud, nous ne sommes pas loin des 35° et je transpire un peu.


J’arrive à son domicile, David est dehors sur la terrasse, il m’attend. Lorsque je le vois, juste vêtu d’un short, apercevant son torse velu et ses jambes puissantes, je ressens non seulement des picotements dans le bas ventre mais aussi une joie indicible, mon cœur fait un bond dans la poitrine. Il me manque, nous ne nous voyons pas assez souvent… à mon goût !


Nous bavardons un peu dehors, il me montre ses dernières plantations, nous avons la même passion des plantes, de la nature. Les rayons du soleil nous brûlent la peau alors nous entrons. Enfin à l’abri des regards nous nous étreignons, je me serre contre lui et ressens cette force, cette chaleur qui émane de lui. Nos bouches s’unissent. Nos langues se mélangent, il enfonce sa langue dans ma bouche, caresse mon palais, mes gencives. Puis ses lèvres se promènent sur mon visage jusqu’à mon oreille, il aspire le lobe et le suce, il fait subir le même sort à l’autre oreille, c’est sublime. Mes oreilles sont hyper sensibles, de tout petits frissons parcourent mon cuir chevelu. Il n’en est qu’à mon visage et déjà je suis toute flageolante.


Ses mains suivent le même trajet et glissent sous les bretelles de ma robe pour la faire tomber. Mes seins apparaissent blancs, ronds et lourds. Il les attrape, les malaxe et écrase un peu les tétons entre ses doigts, comme s’il voulait faire sortir du lait, ce qui me fait rire.


Puis ses mains descendent le long de mes hanches et font glisser le slip sur le sol. Il passe ses doigts sur ma vulve, entre les lèvres, je suis tellement excitée que je mouille abondamment. Je me cambre, et m’appuie sur ses doigts pour mieux sentir sa caresse, tout mon corps l’appelle.


Tandis que ses doigts font des allers et retours le long de ma fente, je ne reste pas inactive, moi aussi j’ai glissé mes mains dans son short. Oh surprise ! Il n’a pas de slip, sa bite est toute dure et dressée. Le gland, tel un petit curieux, pointe au dehors, je baisse son short et pose mes mains sur ses fesses, du bout des ongles je frôle leurs surfaces bien fermes et rebondies, provoquant un léger tremblement. Je passe sur ses hanches et ainsi en gratouillant je vais jusqu’à son sexe. Je le prends d’une main, et de l’autre je soupèse ses couilles bien pleines et les caresse, les fais rouler doucement entre mes doigts, je commence à le branler.


Mais il n’en a pas décidé ainsi. Il me prend dans ses bras et me porte jusqu’à son lit, m’écarte les jambes pour regarder ma chatte vierge de tout poil. Je suis un peu gênée d’exposer ainsi ma nudité, et j’ai le réflexe de resserrer les jambes mais il me demande de les écarter à nouveau pour lui faire voir les chairs rose foncé et imberbes, et me dit que c’est beau. Je desserre donc mes jambes et il se penche sur moi, il approche son visage de mon ventre et de la pulpe d’un doigt il effleure mes lèvres, puis les repousse avec deux doigts. Il lèche toute la surface nette et lisse, il remonte près de ma bouche, m’embrasse puis me bande les yeux avec un foulard.


Il me demande de ne pas m’inquiéter et dit qu’il va chercher quelque chose pour nous rafraichir et que ce sera délicieux. J’attends donc sans bouger, calmement, je lui fais confiance. Je suis quand même un peu nerveuse, je ne suis pas attachée mais je ne vois rien. C’est étrange de ne rien voir, jamais aucun homme ne m’a posé un bandeau sur les yeux, les seuls souvenirs datent de mon enfance lorsqu’on jouait à Colin Maillard j’appréhende et en même temps je ressens presque de l’impatience, de la curiosité.


Il revient, je l’entends près de moi, il monte sur le lit et je sens son souffle près de mon visage. Ses mains commencent une lente caresse du bout des doigts partout sur mon corps, allant du cou jusqu’aux orteils, tout mon corps frémit. Puis je l’entends bouger un peu et tout à coup je ressens du froid sur mes seins, il fait glisser quelque chose de glacé dessus et passe sur les tétons qui durcissent instantanément, les frémissements deviennent plus forts et je gémis de plaisir. Avec ses doigts il entraine le glaçon partout, autour des seins, sur le ventre, puis remonte à nouveau sur les tétons, mon cou, mes lèvres et pousse le petit bout restant dans ma bouche, je le suce et l’avale. C’est exquis, il fait si chaud.


Je l’entends descendre du lit et remonter à nouveau. Il revient vers moi et continue sa valse sur mon corps. Avec un nouveau glaçon, il fait des ronds sur mon ventre, tourne autour du nombril et l’y glisse quelques secondes puis reprend sa promenade. Il passe d’une hanche à l’autre, se faufile vers le mont de Vénus et approche de la chatte.


Je mouille de plus belle, je suis prise de tremblotements et pousse des petits cris, tellement c’est surprenant. Je veux le toucher, le caresser mais il ne veut pas, je ne dois pas bouger, rester docile et me concentrer sur mes sensations. Le glaçon arrive dans ma fente, alors David commence un lent massage de toute ma vulve, passant et repassant entre mes lèvres, autour du clitoris et il s’attarde un peu sur le capuchon. Je ne me contrôle plus, je me cambre, soulève mon bassin et voudrais ouvrir plus ma chatte, mon vagin se gonfle de désir, des frissons naissent au creux de mon ventre, des spasmes me parcourent. C’est divin, la glace sur un brasier, l’eau froide mélangée à ma mouille.


Puis, franchement, il enfile ce qu’il reste du glaçon dans mon vagin, le pousse au fond avec ses doigts. J’ai un sursaut de surprise et pousse un cri. Curieuse sensation : je sens la chaleur revenir sur la peau de mes seins, mon ventre, ma vulve. Le sang bouillonne à fleur de peau, d’infimes picotements apparaissent comme lorsqu’après avoir touché de la neige le sang afflue de nouveau, et en même temps mon vagin s’endort sous l’effet glaçon. Mais je n’ai pas mal, c’est juste un engourdissement.


Immédiatement il m’enlève le bandeau et je vois son regard plein de malice, de désir. Il se penche en appui sur ses bras et dépose des petits baisers sur mes yeux, les coins de ma bouche, mon cou, mes seins et brutalement s’enfonce en moi. La tiédeur de sa queue vient réchauffer les parois de mon vagin en s’y frottant. À nouveau la chaleur revient, plus intense, comme une légère brulure, et irradie partout dans mon bassin. Sa queue pousse par petits coups pour pénétrer jusqu’au fond, je croise mes jambes autour de son cou pour qu’il puisse aller encore plus loin.


Ses va-et-vient se font de plus en plus forts, de plus en plus rapides, sa bouche attrape ma bouche avidement et littéralement il me mange la langue. Je me sens entièrement possédée. Une vague déferle en moi et m’emporte. Je jouis si fort que je le griffe, ma chatte est maintenant comme un volcan, il me ramone encore et encore, je sens ses couilles taper contre moi. Lorsqu’il déverse son jet brulant, il pousse un râle de plaisir. Moi je suis partie sur un nuage et je lui souris béatement. Une vague de bien être m’envahit.


Il s’allonge à mes côtés, nous sommes repus mais avons toujours aussi chaud. Nous nous reposons ainsi l’un contre l’autre, reprenant notre souffle et nous endormons enlacés.


La chaleur et la soif me réveillent, je me suis assoupie pendant presque une heure. Je me lève pour boire un peu d’eau, le bruit le réveille, lui aussi a soif, il s’étire comme un grand fauve et se lève, va à la cuisine et ramène deux grands verres de jus de fruit bien frais que nous nous empressons de boire.


Il me taquine parce que mes joues et ma poitrine ont viré au rouge. Cela m’arrive très souvent lorsque je fais l’amour, je suis embarrassée mais justement il avoue aimer que mon excitation soit visible sur mon corps. Je suis donc tranquillisée et nous allons prendre une douche pour nous rafraichir. L’eau caresse nos peaux échauffées. Nous nous savonnons mutuellement, consciencieusement, pendant plusieurs minutes. Les paumes de nos mains virevoltent telles des danseuses et ne négligent aucune partie de nos corps. Très vite elles atteignent des endroits stratégiques, tournoient, flattent et caressent.


Ma main se pose sur le sexe durci de David, monte et descend tout en caressant son gland avec le creux de la paume. J’ai envie de le goûter, on dirait une fraise bien mûre, n’y tenant plus je m’agenouille pour le prendre dans ma bouche, je l’enserre et le caresse avec mes lèvres, avec ma langue, je le déguste, je le bois. C’est un peu âcre, inattendu. Je garde son sexe en bouche jusqu’à la dernière goutte, jusqu’à ce qu’il reprenne sa taille normale. Il arrête l’eau, je me relève et nous sortons de la douche.


Nous nous rhabillons car hélas le temps passe trop vite, sa femme va bientôt rentrer et je dois partir. Lorsque nous sommes blottis l’un contre l’autre j’oublie qu’il n’est pas libre, mais quand sonne l’heure du départ, je redescends sur terre.

Je remonte dans ma voiture, un peu perdue et triste. Après l’amour j’ai quelquefois le blues mais ça ne dure pas bien longtemps. La gaité, ma joie de vivre reprennent le dessus, jusqu’à la prochaine fois.