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n° 15343Fiche technique11206 caractères11206
Temps de lecture estimé : 7 mn
15/12/12
Résumé:  Fantasme et plaisir.
Critères:  fh ff couple hotel avion intermast fellation cunnilingu pénétratio journal -couple -fbi
Auteur : Arlecchina  (Le plaisir, les mots du plaisir)      
Mes carnets érotiques

Il est 22 h. Dans l’avion qui nous ramène du Maroc, appuyée contre votre épaule, je me laisse aller à une douce torpeur. Votre bras protecteur m’entoure tendrement. Mes yeux se ferment sur les souvenirs des instants merveilleux que nous avons vécus au sud d’Agadir. Les longues promenades nocturnes sur le sable qui ne parvient pas à se rafraîchir et où nos pas laissent des empreintes que les prochaines vagues effaceront.


De rares couples rencontrés, comme nous, préfèrent le délicieux va-et-vient de la mer, aux assourdissants accords des boîtes à la mode.


La plage est immense et nous pouvons nous y installer confortablement sans incommoder quiconque. Vous étalez sous nous une immense serviette de bain et m’invitez à vous y rejoindre. Vous me prenez dans vos bras en m’embrassant langoureusement et en dénouant mon paréo. Le clair de lune joue sur ma peau bien huilée. Vous me contemplez et j’aime vous offrir le spectacle de mon corps tout à vous.


Vous caressez mon ventre qui frémit sous votre main brûlante, puis vous remontez et agacez mes seins largement épanouis. Vous vous penchez sur eux pour les baiser, comme pour vous faire pardonner d’avance les sévices que vous leur réservez. Pour l’instant, je suis tout au bonheur de rester lascive dans l’attente de notre désir mutuel.


Vos lèvres glissent le long de mon ventre, tandis que votre main écarte doucement mes cuisses. Je me prête à votre jeu. Docilement. Votre langue se faufile entre mes lèvres déjà tout humides… vous les parcourez de long en large, lentement dans un rythme lancinant. Au passage, vous vous saisissez de mon petit bouton que vous léchez comme un bonbon. Avec méthode, vous le cernez, le faites gonfler comme un petit pénis… Puis vous l’attaquez frontalement. Votre langue se fait moins douce, plus dure, plus audacieuse. Vous écartez mon intimité pour darder votre langue sur l’émergence de mon clito.


Je décolle un peu les fesses de la serviette pour venir à votre rencontre. Vous vous arrêtez, je vous encourage à revenir, vous me regardez en souriant. Je minaude et vous encourage à nouveau.


Vous me reprenez de votre langue gourmande et je me sens soupirer d’aise. Je prends doucement votre tête entre mes mains pour vous guider. Vous me comblez. Et je crois m’entendre soudain crier au ciel mon plaisir, pourtant, je n’ai pas joui. Je tourne la tête et je vois un couple à quelques dizaines de mètres de nous s’étreindre avec passion. C’est la femme qui vient de s’exprimer aussi fortement. Un coup de fouet dans mes veines ! Mon sang s’accélère et sans prévenir, un orgasme m’envahit. Vous vous redressez, me regardez tendrement et venez m’embrasser fougueusement.


Vous aviez déjà remarqué ce couple, mais ne m’aviez rien dit.


Vous m’attirez à vous, sur vous. Mon bassin ondule sur le vôtre, vous excitant, un long moment. Puis, je descends le long de votre corps, non sans jeter un rapide regard à l’autre couple et je m’aperçois que la femme s’apprête elle aussi à honorer le sexe de son partenaire. Sans la quitter vraiment du regard, je calque mes mouvements sur les siens. D’abord des petits coups de langue le long de la hampe, en descendant jusqu’aux testicules, puis remontant jusqu’au gland, très longtemps. Vous regardez également et je sens votre désir décuplé. L’homme nous regarde également et tout cela nous semble très normal, délicieusement normal.


Puis, Messieurs, nous vous prenons en bouche, largement, juste le gland en premier puis petit à petit, nous engloutissons vos pénis turgescents. Vous grognez, gémissez, susurrez des paroles inaudibles. Nos mains pétrissent vos cuisses et vous ne savez plus qui de l’une ou de l’autre vous caresse et vous suce…

Alors, notre fellation se fait plus profonde, plus rapide, presque sauvage et bientôt deux clameurs éclatent. Qui de vous deux a joui en premier ?



Je m’aperçois que je souris dans mon sommeil et je me serre un peu plus contre votre torse. Je voudrais glisser ma main sous le plaid que vous avez jeté sur nos genoux, mais je n’ai pas le courage de bouger, tellement désireuse de retrouver mon songe…


Mais soudain, je vibre, je deviens attentive à mon corps. C’est en moi, et je me souviens que vous avez introduit dans mon intimité ce petit œuf coquin… Vous réveillez en moi cet appétit de vous ! Ma main plonge alors entre vos jambes et je vous sens frémir… Vous m’attendiez…


J’ouvre votre braguette et instantanément, votre slip se remplit d’une érection formidable tout en s’humidifiant d’une moiteur prometteuse. Vous vous penchez vers moi et murmurez à mon oreille :



La semi-pénombre m’oblige à plisser les yeux. La lueur de la veilleuse me permet enfin de reconnaître le couple d’amoureux de la plage. Nos regards se croisent et se sourient avec complicité.


Tout le monde dort autour de nous, et nous avons la partie belle.


Je vois aux mouvements du plaid que notre amie a déjà pris un peu d’avance sur nous et masturbe copieusement son compagnon. Je ne veux pas être en reste et vous empoigne franchement, vous faisant tressauter mais vous ne protestez pas.


Du sperme perle rapidement de votre méat dilaté, je retire ma main et la porte à ma bouche. Notre amie m’imite et le jeu devient palpitant !


Malgré un voisin trop proche, bien qu’endormi, nous oublions le monde entier. Je glisse de mon siège et m’accroupis entre vos jambes. Tacitement, notre amie prend la pose et nous commençons toutes les deux à vous manger, vous aspirer, vous sucer, vous lécher mais, d’un mouvement de tête, la femme me fait signe de ne pas vous donner tout de suite le plaisir que vous sentez poindre de vos reins. Nous nous redressons, nos petites culottes mouillées nous gênent, nous les retirons et vous les faisons respirer un moment, avant de venir nous asseoir sur vos verges fièrement dressées. Nous nous empalons sur elles et profitant des turbulences, nous vous prenons, vous lâchons, vos mains prennent nos seins, c’est une orgie d’extase ou une extase d’orgie.


Elle et moi avons eu notre orgasme ensemble, mais vous voulez jouir à votre tour.


Nous apercevons alors les deux petites hôtesses à demi-cachées derrière le rideau qui nous observent sans doute depuis un moment. Leur chemisier laisse deviner des seins gonflés d’excitation. Nous nous regardons, nous sourions et elles sentent l’invitation. Elles s’approchent, regardant à la volée autour d’elles. Mais rien ne bouge.


Alors, notre amie et moi nous effaçons et laissons leurs lèvres gourmandes vous faire mourir un instant…

Puis elles rajustent leur chemisier et repartent vers l’avant.


Je reprends place près de vous et vous me serrez fort, tandis que je vérifie que votre sexe soit bien vidé. Mais il y a encore des gouttes que je récupère entre mes doigts. Vous m’embrassez, me remerciez doucement. Mais moi, je suis heureuse du bonheur que vous avez connu… un instant, bonheur que vous me rendrez au centuple…




oooOooo




Marie-Line est allongée en travers du grand lit de la chambre d’hôtel.


La journée a été épuisante, longue marche sous un soleil de plomb. Le tee-shirt trempé colle à sa peau, je viens d’enlever le mien, je ne supporte plus cette moiteur… Je fais glisser mon short trempé lui aussi et je regarde Marie-Line avec attendrissement.


Cette magnifique créature que j’ai connue par le net arrive de l’Île de la Réunion. Une métisse superbe, qui sort d’un divorce traumatisant. Nous avons décidé de faire ce petit voyage au Maroc, à la Villa Tamda au sud d’Agadir. Notre hôte Patrick est un ami de longue date, il nous a concocté le plus agréable séjour que l’on puisse rêver.


Je vais dans la salle de bain et je fais couler l’eau chaude dans la baignoire. Je me regarde dans la glace et je constate que la journée a laissé sur ma peau de longues traces de poussière entraînée par la sueur, je suis horrible.


Je retourne dans la chambre, Marie-Line n’a pas bougé. J’aurais bien aimé prendre mon bain avec elle… Je m’assieds à ses côtés et je dégrafe ses sandales et sa ceinture. Elle s’étire comme une chatte. Je lui ôte son short, elle soulève son bassin pour m’aider… Il ne lui reste plus qu’un minuscule triangle de tissu blanc qui fait ressortir davantage le hâle naturel de sa carnation.


Je fais jouer mon doigt le long de sa cuisse en remontant vers le string… et je le glisse entre l’étoffe et la peau lisse de son minou. Elle sourit doucement…


Je fonds. Je sens la chaleur monter à mes joues. Je décide de lui enlever son tee-shirt, elle se laisse faire avec complaisance.


Je ne peux détacher mes yeux de ses merveilleux petits seins fermes et luisants. J’y appose mes lèvres et son sourire se creuse. Je commence à lécher ses aréoles noires et dures comme du bronze. Je mordille ses tétons, elle frémit doucement, je prends ses mamelons à pleine bouche et elle soupire d’aise. Ma main creuse son ventre palpitant, j’effleure le piercing de son nombril.


Ma tête quitte ses petits fruits d’amour et je continue de lécher son corps en descendant vers son string. Elle se cambre et s’agite. J’arrache sa culotte avec les dents. Un profond parfum de pain d’épice s’échappe de son intimité glabre.


Elle écarte largement les cuisses et prend ma tête à pleines mains. Elle me guide vers l’antre de ses envies. J’y plonge, je la lèche, la mignote, ma langue se fait dure et pénètre son vagin ravagé de désir ! Elle gémit d’une voix rauque, me supplie de continuer. Je la suce à perdre haleine du clitoris à l’anus, en revenant à chaque fois vers son vagin.


Elle est trempée et sa cyprine a un goût de plantes exotiques. J’ai envie de la faire jouir, là maintenant. Elle hurle ! « Encore ! Encore ! oui Minù, encore, j’adore, ouiiiiiiiiiiiiiiiii ».


Je sens le plaisir qui s’échappe de tout son corps qui convulse pendant de longues minutes… Je suis dans un état d’excitation qui m’empêche de resserrer mes jambes.


Elle se lève, me prend dans ses bras, m’embrasse follement, me dit qu’elle m’aime, qu’elle me désire… Nous rentrons dans le bain et la douceur de l’eau vient apaiser un instant mon bas-ventre. Mais à peine assise, le pied de Marie-Line vient le caresser…


Je la regarde, aux abois, elle me sourit et à l’instant je comprends que je vais être entre ses mains, l’objet de tous les désirs, de tous les plaisirs et je m’abandonne à sa bouche, à ses mains, à tout son corps qui s’empare du mien…