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Temps de lecture estimé : 38 mn
19/12/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  La suite de mes aventures : rencontres avec un couple extraordinaire.
Critères:  fhh extraoffre fépilée vidéox fmast fellation cunnilingu anulingus fgode préservati pénétratio double sandwich confession -totalsexe
Auteur : Jeuxentreadultes            Envoi mini-message

Série : Les aventures d'un libertin

Chapitre 04 / 04
Les aventures d'un libertin : un couple extraordinaire

Résumé de l’épisode précédent : Mes rencontres avec une nymphomane avide de bites, de sperme et de sodomie.


Dans cet épisode : Rencontres avec un couple pas ordinaire








Après mes aventures avec Sylvie, et la fin soudaine de notre relation, je ne fis plus de rencontres pendant près d’un an. À la maison, la situation au point de vue coquin ne s’améliorait pas : d’une fois par mois, nous étions passés à deux ou trois fois sur l’année.


Je me trouvais donc en même temps sevré d’une relation riche de sexe fou, et à la maison je me trouvais encore plus au régime.


La faim me taraudait donc de plus en plus, pour finalement l’emporter. Je me mis à fréquenter certains sites libertins, devenus payants pour la plupart, mais aussi des sites nettement moins orientés sexe mais qui, d’après un collègue qui les fréquentait, étaient riches en possibilités. Il s’agissait du balbutiement des réseaux sociaux, et sur l’un de ces sites en particulier, dont je ne citerai pas le nom car il existe toujours et ne peut pas être apparenté à un site libertin. Mon collègue y passait des heures le soir, et il s’était déjà constitué un petit carnet d’adresses de femmes, en général mariées ou divorcées. Toutes prétendaient ne pas être sur ledit site pour la galipette : les célibataires ne juraient que par le mariage, les femmes mariées se revendiquaient fidèles. Parmi les réponses toutes faites aux arguments des célibataires, je citerai celles-ci : « Euh, et si tu te maries et que tu tombes sur un nul au lit ? Comment peux-tu choisir de vivre avec un homme sans l’avoir essayé ? ». Pour ce qui est des femmes mariées, on devinait très vite si elles étaient en manque de tendresse ou d’attention. Il suffisait dès lors de trouver les bons mots.


J’en vois d’ici qui s’offusquent : oh, le mec, il profite de la faiblesse des femmes. Oui… et non. Oui, je recherchais celles à qui il manquait quelque chose ; mais de l’autre côté, je ne leur promettais pas monts et merveilles : je leur offrais juste ce qu’elles recherchaient. Jamais je n’ai prétendu être célibataire, jamais je ne leur fait croire qu’elles pouvaient s’attendre à plus que des rencontres complices.


Je me mis donc à fréquenter l’un ou l’autre site social, lançai quelques messages par-ci par-là, discutant de tout et de rien, laissant l’initiative à mes correspondantes d’ouvrir le sujet « sexe ». Disons que sur une centaine de conversations, une vingtaine devenaient régulières ; et parmi celles-ci, une moitié abordaient le sujet sensible, ne fût-ce qu’en entrouvrant la porte (par exemple, sur le fait qu’elles se sentent seules, y compris la nuit).


Certains de ces sites permettaient aussi les discussions en ligne, en présentant une liste de connectés. On pouvait y changer de pseudo, ce qui permettait parfois d’avoir plusieurs conversations avec la même personne et de voir sa réaction à tel ou tel propos.


Bien entendu, sur les sites de discussions en ligne, il y avait beaucoup d’allumeuses (autant que de bourrins, côté hommes). J’eus raison de persister car un jour je tombai sur un pseudo de couple, et entamai la discussion avec eux. Après le traditionnel « Bonjour, comment ça va ? », la conversation tourna très vite sur le sexe. Et j’eus la surprise de lire que c’était la moitié féminine qui était au clavier. Elle et son fiancé formaient un couple libertin ; ils aimaient sortir en club et faire des rencontres chez eux, principalement avec des hommes.


Détectant en moi quelqu’un qui n’était pas un ignorant de ce genre de rencontres, la dame me donna son numéro de portable, que j’appelai un peu plus tard dans la journée. Tout de suite, sa voix, son rire me plurent ; et de son côté, elle apprécia mon naturel et ma franchise. Elle m’invita à venir les rejoindre le soir même, mais je dus décliner, n’ayant pas le temps de me dégager pour la soirée. Mais rendez-vous fut pris pour la semaine suivante.


La semaine passa lentement, lentement. Week-end, nouveau début de semaine, et enfin le jour tant attendu arriva. Nous étions restés en contact par mail ; je pus donc découvrir quelques photos de mes interlocuteurs, et je dois avouer que la femme était absolument magnifique. Elle arrondissait d’ailleurs ses fins de mois dans des spectacles de go-go dancing, et allait bientôt paraître en couverture d’un petit magazine érotique. J’avais donc hâte de les rencontrer ; et le point de départ de ce rendez-vous était assez amusant. Nous nous étions fixés rendez-vous… dans une piscine. Enfin, à l’entrée, histoire de pouvoir se reconnaître.


J’arrivai pile à l’heure dite, et à l’entrée attendait mon couple, que je pus reconnaître de loin grâce à la longue chevelure blonde de la femme. D’entrée de jeu, leur bonjour jovial, le bisou de bienvenue, les quelques mots échangés me donnèrent l’impression que nous nous connaissions depuis des années. Sofie et Jean étaient des gens réellement très gentils, qui savaient mettre à l’aise dès les premières secondes.


Sofie nous lança un :



Nous entrâmes donc. À l’entrée des vestiaires, Sofie prit à gauche, Jean et moi à droite. Il m’expliqua :



Nulle vantardise de sa part sur le fait qu’ils auraient pu passer du bon temps dans une cabine, mais une façon de montrer le respect qu’ils avaient pour leur invité. Et comme ils n’avaient échangé mot à l’entrée des vestiaires, je supposai qu’ils en avaient parlé avant mon arrivée. J’appréciai cette petite attention, et Jean me plut directement.


Une fois changés, chacun dans sa cabine (oui, hé, ho, il me plaisait, le Jean, par son attitude ; mais je n’allais pas partager une cabine avec lui pour autant !), nous rejoignîmes Sofie au bord de l’eau. Elle portait un bikini doré, très en adéquation avec sa chevelure couleur de blé, et je pus admirer ses formes et sa musculature très féminines. Sa poitrine était menue ; elle m’en avait parlé : cela lui fichait un complexe, mais elle avait prévu de se faire poser des implants.


La piscine étant publique, il y avait des enfants. Le bikini qu’elle avait choisi la mettait en valeur sans être outrageusement sexy ; le slip était un slip, pas un string.


Une fois dans l’eau, nous avons discuté, joué, passé un moment agréable, et ils apprécièrent que je me sois contrôlé et que je n’aie pas profité de certains moments pour la toucher plus que nécessaire. Par exemple, nous nous amusions à la soulever par les pieds, de nos mains croisées, chacun son pied, et nous la lancions de façon à ce qu’elle décolle et sorte de l’eau pour retomber un peu plus loin. Nous lui faisions faire le dauphin, quoi. Tant Sofie que Jean, une fois que nous nous sommes rejoints dehors, m’expliquèrent que bien qu’ils soient libertins et amateurs de trios HFH, ils aimaient aussi vivre « normalement », et donc mon absence de pelotage durant la séance à la piscine fut appréciée. Ce qu’ils avaient pris pour de la retenue était juste de la timidité ! Pour une fois que celle-ci m’apportait quelque chose de positif…


Ils reprirent place dans leur voiture, m’invitant à les suivre, les rues de leur localité formant un vrai labyrinthe. Ils me donnèrent toutefois leur adresse puisque j’avais un GPS, ce qui à l’époque n’était pas commun.


Je les suivis sans problème, et pus me garer juste derrière eux. Ils me firent entrer dans la maison, petite bâtisse enchâssée entre d’autres maisons mitoyennes toutes semblables.


Jean me proposa un verre pendant que Sofie allait se changer. Même en survêtement, je la trouvais très jolie et je l’aurais bien mangée tout de suite ; mais elle n’était pas de cet avis : à chaque activité sa tenue, « tenue de sport pour aller au sport, tenue sexy pour coquiner ».


Et lorsqu’elle réapparut, sa tenue était effectivement sexy : petite robe blanche, soutien-gorge et string assortis en dentelle blanche, chaussures à hauts talons, blanches également. Le vibro dont elle s’était munie était blanc également. Jean et moi, nous nous étions installés sur le canapé ; la belle voulut nous surprendre en faisant un petit show érotique. Elle saisit une chaise et commença à nous faire une danse terriblement excitante, utilisant la chaise tantôt pour s’y frotter, tantôt pour poser un pied sur l’assise et, pour finir, en s’asseyant face à nous pour jouer avec son gode vibrant. Elle enleva son string en levant ses jambes à la verticale (je ne sais toujours pas comment elle s’y prit pour ne pas tomber !), jointes d’abord, puis les écarta pour finalement reposer les pieds au sol, nous laissant tout loisir d’admirer son intimité épilée soigneusement. Le vibro vint clôturer le show ; je crois même qu’elle se donna une rapide jouissance à s’exhiber sans retenue devant nous.


Le show terminé, elle nous regarda d’un air de défi et dit :



Qu’auriez-vous fait à ma place ? Moi, en tout cas, je me suis débarrassé de mes fringues en un clin d’œil, et très vite son homme et moi nous fûmes chacun à l’un de ses côtés. Elle commença à nous caresser, branler un petit coup, donner de petit coups de langue, etc.


Nous avions discuté des tabous ; ils m’avaient expliqué qu’embrasser, sodomie et sperme en bouche étaient réservés à Jean. Je comptais bien leur faire changer d’avis ; l’avenir me donna raison, quelques mois plus tard…


Elle nous suçait en alternance, et elle savait y faire. Heureusement d’ailleurs qu’elle alternait ; je n’aurais pas pu résister longtemps, elle était vraiment douée. Elle était toujours assise sur la chaise de son show ; je m’agenouillai devant elle et m’appliquai à lui rendre la caresse buccale.


Nous nous déplaçâmes sur le canapé, bien plus confortable. Sofie prétendait avoir une technique qui lui permettait de passer un préservatif à son partenaire presque sans que celui-ci ne le sente. Et elle me le prouva : elle déroulait un tout petit peu le préservatif (goût banane, ses préférés) puis le mettait en bouche en le tenant par les lèvres. Ensuite, elle faisait comme si elle voulait faire une fellation, déposant la capote sur le gland, puis le repoussant avec les lèvres. Pour ceux qui savent combien il peut être ch…nt d’enfiler un préservatif et qui ont déjà dû batailler avec, je peux vous jurer que sa méthode est d’une efficacité et d’une douceur absolues. En deux secondes, j’étais habillé pour sortir (euh, pour entrer) sans risque de déchirer le fin plastique.


Elle se positionna en levrette, et j’en profitai pour lui glisser la langue sur les parties intimes. Oui, oui, toi lecteur qui me connaît bien si tu as lu mes récits précédents, oui, bien sûr, j’en ai profité pour lui faire une petite feuille de rose, et les passages de ma langue râpeuse sur son petit trou plissé lui arrachèrent des soupirs d’aise.


Je la pris en levrette pendant qu’elle faisait bénéficier son homme d’une fellation divine. J’alternais mouvements longs et lents avec des coups plus rapides et moins profonds, et quand je m’enfonçai bien au fond de sa grotte d’amour, par mimétisme elle enfonça en gorge profonde le sexe de son fiancé.


Je me pris au jeu et fis en sorte qu’elle le prenne tantôt bien au fond de sa bouche, tantôt qu’elle le suce plus rapidement et du bout des lèvres. Et le jeu eut pour conséquence que lors de mes mouvements plus lents et profonds, elle finit par le faire jouir dans sa bouche.


Voulant changer de position, elle me fit asseoir sur le canapé et vint d’abord me présenter sa vulve, debout devant moi, puis elle se baissa pour s’empaler sur moi et me chevaucha. D’une main glissée entre nous deux, je caressais son clito tandis que de l’autre je torturais en douceur un de ses tétons pendant que l’autre téton se voyait mordillé lorsque je parvenais à l’attraper. Elle s’acharnait, et tout à coup dit à son homme :



Je n’avais toujours pas joui, mais nous avions tous les trois besoin d’une petite pause. Un bon rafraîchissement, un peu de papote ; elle constata que j’avais encore une certaine vigueur, et elle avait encore faim. Elle fit s’asseoir son homme à côté de moi, s’agenouilla devant nous, et nous suça en alternance ; celui qui n’avait pas droit à ses lèvres était compensé par la douce caresse de ses mains agiles.


Jean tendit à sa tendre amie un préservatif qu’elle s’empressa de me mettre. Elle se redressa et revint me chevaucher. Jean avait repris de la vigueur lui aussi ; il lui glissa quelques mots à l’oreille.



Que non, je n’avais rien contre. Bon, j’aurais adoré pouvoir être celui qui l’honorerait par son orifice le plus étroit, mais je me contentai de sa chatte, ce qui était déjà magnifique. Je ne devais pas me montrer trop gourmand, quand-même ; je me conformai aux règles.


Jean prit le tube de lubrifiant, en mit une noix sur un doigt et, pendant que Sofie continuait ses mouvements assez lents sur mon chibre, il fit entrer le doigt dans ce si joli popotin. Elle fut très vite prête. Il se positionna derrière elle et la sodomisa en douceur.


Elle nous demanda de ne pas trop bouger, car elle aimait mener la danse lors de ces doubles pénétrations. Elle commença un mouvement lent, s’empalant sur nos deux sexes, puis elle accéléra pour bientôt jeter ses fesses contre le pubis de son copain.


Je ne jouis pas vite quand on me chevauche ; mais en voyant son doux visage rayonner de bonheur et de plaisir, lorsque ses yeux se plissèrent, que sa bouche s’entrouvrit, que son sourire afficha l’arrivée de l’orgasme, je fondis et je jouis bruyamment. Ma jouissance déclencha la sienne. Elle se crispa tout en continuant à bouger ; et là, c’est Jean qui déchargea dans le rectum de sa dulcinée.


Il nous fallut un moment, après nous être séparés, pour reprendre notre souffle. Comme Sofie s’était recroquevillée sur Jean, elle entre lui et moi, je caressai son dos, ses épaules, lui fis de tendres bisous dans le cou, ce qui lui arracha quelques frissons. Elle m’avoua, lors d’une autre rencontre, que ces caresses douces, pendant qu’elle était dans les bras de son bien-aimé, avaient été pour elle une révélation sur la relation qui naissait entre nous trois. En fait, elle discuta avec lui, après mon départ, de la façon dont mes « papouilles » l’avaient aidée à se relaxer encore plus dans ses bras, à quel point cela avait démultiplié son bonheur du moment présent. « Papouille » devint donc mon surnom ; et à chaque fois, je me faisais un devoir (tu parles d’un devoir : j’adore ça ; c’était un plaisir !) de lui faire mes papouilles.


Notre première rencontre s’était tellement bien passée que, très vite, ils m’invitèrent à revenir les voir. Comme une véritable complicité s’était installée entre nous trois, j’élaborai, avec la complicité de Jean, un plan pour la surprendre et lui faire passer un moment délicieusement érotique.


Ils m’invitèrent à venir les rejoindre dans un restaurant chinois à quelques kilomètres de chez eux, ce que je fis avec plaisir. Ils étaient déjà attablés ; elle dégageait un charme fou. Mais, malgré sa courte mini, on ne percevait aucune agressivité sexuelle outrageuse. Elle était tout simplement magnifique : son rire, son sourire, son regard… On ne pouvait que se trouver bien en sa compagnie. Elle aimait porter des minis, non pas particulièrement pour s’exhiber, mais simplement parce que cela lui allait très bien et mettait son joli corps en valeur.


Les autres clients nous jalousaient ! Nous étions deux hommes entourant la plus belle des créatures qui soit ; elle riait, elle souriait, elle était charmante mais sans aucune vulgarité. Même les femmes étaient sous son charme. Sofie le savait, et tout bas elle énumérait les différentes clientes, précisant celles dont elle ferait bien son quatre heure, et pourquoi. Tout cela sans aucun jugement méchant ; d’ailleurs, sa préférence alla à une femme qui était moins jolie que sa voisine, mais qui dégageait beaucoup plus de charme.


Notre Sofie était bi, et elle me parla de ses critères de choix pour les femmes. Étonnamment, bien qu’elle-même fût blonde, elle n’aimait pas trop les blondes, leur préférant les brunes. Elle préférait qu’elles aient quelques rondeurs, plus en chair qu’elle-même.


Plus étonnant encore, j’appris que si Jean appréciait la partager avec d’autres hommes, il ne touchait pas aux autres femmes, que ce soit en privé ou en sortie en club libertin. Oui, il assistait, car il adorait voir sa tendre moitié entre les bras (ou entre les cuisses, restons les pieds sur terre, ce sont des libertins sans complexe !) d’une autre ; mais lui se refusait à toucher une autre qu’elle.


J’admirai leur couple, si soudé, si libres ENSEMBLE. Dès cette deuxième rencontre, le sort en était jeté : quand bien même ils refuseraient d’être mes amis, je serais le leur car, à mes yeux, l’amitié commence par l’offrande de l’amitié.


Après ce repas agréable en bonne compagnie, nous reprîmes les voitures pour nous rendre chez eux. Sofie, à la demande de Jean, nous prépara des Margherita, et donc se rendit à la cuisine (ce que j’avais manigancé). Pourquoi la cuisine ? Parce qu’elle ne s’attendrait pas à ce que nous commencions les hostilités sexuelles dans cette pièce, les coquineries qu’ils organisaient se déroulant toujours dans le salon.


Nous la rejoignîmes donc après que j’eusse pris soin de confier une toute petit clé à Jean. Cette clé, je l’avais testée devant lui sur l’objet que je portais dans une poche arrière de mon pantalon, pour lui prouver que la clé était effectivement la bonne.


Tout à fait innocemment, nous nous sommes mis chacun d’un côté de la miss, et tous les trois nous devisions tranquillement pendant qu’elle finissait la préparation des cocktails. Puis nous trinquâmes à notre soirée, qu’elle soit excitante, et j’ajoutai « et pleine de surprises »…


J’avais vraiment bien calculé mon coup… La belle se tourna vers son homme, et ils burent en croisant le bras qui tenait le verre. Moi, je commençai mes papouilles dans son dos que son top laissait nu des épaules à mi-dos. Et d’y ajouter des petits bisous tendres dans le cou. Jean lui prit son verre, le déposa sur le plan de travail ; Sofie ne vit pas que nos verres, à nous, s’y trouvaient déjà. Puis il lui prit les mains pendant qu’il l’embrassait. L’air de rien, il ramena les mains contre les flancs de la belle, puis dans son dos. Moi, discrètement, j’avais sorti l’objet qui allait faire tout la surprise de la soirée ; et prestement, je lui enserrai les poignets entre les arcs métalliques des menottes. C’étaient de véritables menottes en acier trempé, non pas en acier inoxydable comme dans les films, mais d’une couleur brune qui leur donnait un air menaçant. J’avais acquis ces menottes dans une armurerie en Allemagne ; le modèle avait été retiré du service là-bas au profit des colliers en plastique : la police se débarrassait donc de son stock.


La sensation de froid, le « crrr-clic » du verrouillage, le poids du métal, l’entrave formée par les deux demi-cercles s’étant refermés sur ses graciles poignets, Sofie les ressentit d’un seul coup. Et bien qu’elle n’ait jamais été victime de ce genre d’outil, elle n’eut pas à se retourner pour comprendre de quoi il s’agissait. La surprise fut totale ! D’abord par le fait qu’il s’agisse de menottes réelles, pas des machins en plastoc de fête foraine, ou de gadgets garnis de plumes roses comme on en voit dans les catalogues de sextoys. Ensuite, elle se rendit compte de la complicité qui nous liait, Jean et moi. Elle savait que nous nous appréciions mutuellement, mais elle ne s’était pas rendu compte que nous en fussions déjà à lui organiser des pièges comme celui-ci. Enfin, elle avait l’habitude d’être l’initiatrice des jeux ; si elle n’était pas particulièrement dominante, elle était bien la plus meneuse de jeux du couple. N’allez pas croire que Jean soit sans initiatives : simplement, sa chérie en avait encore plus que lui. Et comme c’est elle qui choisissait les partenaires pour les jeux à trois, elle ne s’attendait pas à ce que moi, qui me prétendais être une sorte de vibro muni d’un cerveau, un jouet pour égayer leurs jeux de couple, je prenne déjà une telle initiative dès notre deuxième rencontre…


Elle nous expliqua plus tard tout ce qui lui était passé par la tête durant les deux-trois secondes après le clic final de verrouillage. Jean eut le loisir de voir dans ses yeux les expressions successives de surprise, de peur, puis de plaisir durant ces quelques mêmes secondes. De mon côté, je ne pus manquer le raté dans sa respiration, ce léger tremblement, mélange de surprise et de crainte, puis la reprise de la respiration et le relâchement des muscles de son dos.


Je glissai dans son oreille, d’une voix que je sais être sensuelle et grave :



Je savais que je ne prenais aucun risque ; en lui disant ces mots, je me rapprochai pour coller mon corps contre le sien, et ma queue fièrement dressée dans mon boxer sous mon pantalon vint se placer contre ses mains placées contre ses fesses, entre nous deux. Elle aurait pu m’écraser le sexe, voire m’écrabouiller une couille ; mais, comme je m’y attendais, elle tâta la forme dressée contre ses paumes, et n’écrasa point. Au contraire, après une seconde ou deux, elle commença un geste de caresse.


Jean fit de même devant elle ; son sexe vint lui labourer le ventre pendant qu’il l’embrassait amoureusement. Dès cet instant, les choses s’accélérèrent. Je dégageai son top sans bretelles en le tirant vers le bas ; ses petits seins me devinrent accessibles et je commençai à les torturer tendrement, pendant que de l’autre main je passai sous sa mini-jupe et lui malaxai ses jolies fesses musclées. Jean n’arrêta pas de l’embrasser, tout en lui glissant la main dans son string arachnéen. Le bruit était révélateur lorsqu’il lui doigta le sexe : elle était devenue trempée quasiment instantanément, preuve que la situation surprenante et subite n’était pas pour lui déplaire, bien au contraire.


Peu à peu, tout en continuant nos caresses, Jean et moi nous déshabillâmes ; j’enfilai un préservatif car nous avions prévu, lors de la préparation du plan, de la prendre chacun à notre tour en changeant souvent, la faisant tourner et retourner entre nous.


Toujours derrière notre prisonnière, je la retins par la taille, mon sexe entre le sillon de ses fesses, et la poussai vers l’avant en appuyant sur ses épaules. Elle ne pouvait donc que se plier, les poignets toujours entravés, les jambes bien droites. Elle se trouva tout naturellement avec la bouche à hauteur de la queue de son chéri, qu’elle engouffra sans hésiter. Elle avait compris : son rôle, ce soir, serait celui d’un objet dont l’unique raison d’être serait d’extraire de ses deux mâles un maximum de plaisir. Tout cela dans le plus profond respect pour elle ; et, bien entendu, elle y trouverait sa part de plaisir aussi.


Je ne pouvais évidemment pas, dans la position dans laquelle elle se trouvait, bien campée sur ses fines et musclées jambes, la bouche enfournant un sexe, manquer de m’occuper de sa croupe et de sa petite chatte ainsi offertes. Je m’accroupis derrière elle et fis passer ma langue depuis son bouton de plaisir jusqu’au plus profond de sa raie culière, insistant sur les points stratégiques.


Je me relevai, et d’un coup enfilai mon mandrin dans son intimité dégoulinante. La soudaineté de l’intromission totale lui arracha un soupir d’aise étouffé par la colonne de chair qui occupait sa bouche. Je lui assenai quelques profonds coups de bite, puis je proposai à Jean :



Sofie crut quelle devait se retourner, mais je la bloquai dès le premier signe de mouvement.



Je la redressai donc en tirant sur l’entrave de ses poignets ; elle abandonna avec regret la bite qui lui labourait la bouche en un grand bruit de succion. Une fois redressée, je la fis se retourner, puis poussai sur sa tête pour la faire s’abaisser à nouveau, mais pour emboucher ma verge à moi, cette fois. Jean plaça son engin devant le vagin de sa belle, posa ses mains sur ses hanches gracieuses, et d’un coup la pénétra. Je sentis la pénétration par l’avancée de sa bouche sur moi ; elle m’engloutit encore plus fort. J’eus même la crainte qu’elle me morde sous le choc, mais il n’en fut rien.


La pauvre devait subir nos assauts simultanés, se sentir comme percée de part en part, de la bouche au con ou le contraire. Dès qu’elle commença à montrer des signes de fatigue, je quittai sa bouche et la fis se redresser, ce qui obligea Jean à quitter la grotte chaude et accueillante. Je fis reculer Sofie jusqu’à ce que son dos s’appuie sur la poitrine de son élu, et demandai à celui-ci de la soulever en la prenant par les cuisses. Il n’était pas bien lourd, notre petit jouet ; et dès qu’il l’eut soulevé un peu, je le soulageai en pénétrant Sofie par-devant et en dirigeant ses cuisses de façon à entourer les miennes. Comme elle ne pouvait s’agripper à ma nuque à cause des menottes qui retenaient ses mains dans son dos, elle s’appuya automatiquement contre la poitrine de l’homme derrière elle.


Jean, qui ne désirait pas rester inactif, en profita pour glisser sa queue entre les demi-lunes fessières ; il n’eut aucun mal à la pénétrer par son autre orifice, sans même les mains pour guider sa verge. Oui, je vois ce que vous vous imaginez en ce moment en vous représentant cette position : eh oui, je peux vous confirmer que cette position acrobatique que l’on voit parfois dans des pornos, elle est possible ; la double pénétration debout.


Fatalement, c’est une position qui n’est pas tenable longtemps, pour aucun des trois participants.


Nous quittâmes la cuisine pour retrouver le canapé au salon, à quelques pas. Et nous continuâmes à nous occuper ensemble de la belle blonde en nous servant d’elle pour son plus grand plaisir.


Lorsqu’enfin, épuisés tous les trois, Jean défit les menottes avec la clé que je lui avais confiée plus tôt, elle vint m’enlacer tendrement en me disant merci d’un ton où je pus lire la sincérité et la tendresse, puis elle se tourna vers son homme et l’embrassa pour le remercier à leur façon à eux.


Elle nous regarda tour à tour, un sourire espiègle aux lèvres, les yeux pétillants du plaisir qu’elle venait de vivre, et nous dit :



Sur ce, elle s’enfonça dans le fauteuil et s’endormit presque instantanément, épuisée et en même temps comblée par tant de plaisirs.


Elle exerça sa vengeance non pas lors de la rencontre suivante, mais lors de celle d’après. Jean n’avait aucune idée de ce qu’elle pouvait avoir derrière la tête, et nous nous demandions ce qu’elle pouvait bien inventer…


Cette fois-là, elle nous fit un show comme la première fois ; mais au lieu de jouer avec son vibro, elle attrapa une seconde chaise qu’elle adossa à la première.



Nous nous étions dit qu’elle devait avoir oublié son histoire de vengeance, mais elle nous fit vite comprendre que l’heure de la revanche avait sonné.


D’abord, elle joua effectivement avec nous, se frottant à nous, s’asseyant parfois sur un genou, ou dandinant ses fesses presque à hauteur de nez. Évidemment, nous avions envie de la toucher ; mais dès qu’une main s’approchait, elle lui mettait une petite tape en disant « Hé, pas touche ! ». Elle nous connaissait : elle savait que nous mourrions d’envie de la toucher ; et c’est bien ce qu’elle avait prévu. Après encore une tape sur une main baladeuse, elle nous sermonna :



Elle souleva un coussin du canapé et sortit de la cachette une corde pliée en forme de 8. La lumière se fit en nous : elle n’avait pas oublié et avait décidé de se venger maintenant ! Et bien entendu, nous ne pouvions refuser ; d’ailleurs, nous ne protestâmes que pour la forme lorsqu’elle entreprit de passer la corde autour de notre poitrine, chacun étant emprisonné contre le dos de sa chaise, saucissonnés ensemble. Oh, il ne nous aurait pas fallu un grand effort pour nous libérer ; mais ni Jean ni moi n’avions envie de nous sauver. Au contraire, nous entrâmes bien volontiers dans son jeu.


J’eus toutefois une hésitation lorsque Sofie se saisit d’une des bougies allumées sur le vaisselier, et qu’elle commença à la faire tourner pour, je le devinais, obtenir le plus de cire chaude possible. Mais je ne m’enfuis pas ; j’assumai. Après tout, c’est moi qui avais ouvert les hostilités.


Sofie fit couler quelques gouttes sur la poitrine de chacun ; la brûlure ne durait pas, et la cire, en refroidissant et en se figeant, laissait une sensation de tiraillement pas désagréable, après tout.


Le ton étant donné, elle nous détacha et nous ordonna de nous allonger sur le dos sur le canapé. Elle continua à jouer avec la cire, en commençant par moi. Les gouttes tombaient sur ma poitrine ; l’une d’elles pile sur un téton, me tirant un petit cri de douleur. Mais le picotement devint très vite agréable et la cire séchée finit par occasionner un tiraillement comme une succion de bouche, ce que mon téton apprécia (et donc moi !). Dans un mouvement lent, Sofie descendit ; ce fut le tour de mon ventre, puis des cuisses, et je voyais bien qu’elle se rapprochait de mon sexe en érection reposant sur mon ventre sous le nombril… Je ne bougeai toujours pas, jouant le jeu à fond. J’avais une confiance absolue en Sofie.


Lorsque les premières gouttes tombèrent sur mon membre, celui-ci réagit comme animé de sa propre vie. La morsure du chaud à cet endroit faisait mal une fraction de seconde, puis cela se transformait en une chaleur agréable. Mon vit commença à bouger tout seul, se redressant, puis retombant sur mon ventre, appréciant cette douce torture encore jamais ressentie.


Jean eut droit au même traitement, et je compris que, pour lui aussi, c’était la première fois.


Le reste de la soirée se déroula plus classiquement, sans double pénétration toutefois. En effet, elle en parla en toute simplicité : elle ne pratiquait pas la sodomie trop souvent car cela lui chamboulait l’estomac pour deux jours, et le lendemain ils avaient prévu une sortie en club.


D’ailleurs, ils me promirent de me faire inviter au club qu’ils fréquentaient, un des plus grands et des plus réputés, et qui ne laissait entrer les hommes seuls qu’au compte-gouttes. Mais le club aurait du mal à leur refuser quoi que ce soit, car elle avait été élue « Miss-XXX » (XXX étant le nom du club) suite à un concours de danse érotique ; et comme son titre ne serait remis en jeu que dans quelques mois, cela leur garantissait l’entrée gratuite pour l’année, ainsi que pour un invité occasionnel.


À propos de cette soirée dans ce club, j’ai d’ailleurs deux anecdotes amusantes. La première : l’invitée d’honneur ce jour-là était une star du X, Oksana d’Harcourt, toujours en activité à ce moment-là. Venue pour présenter une boisson énergisante, elle nous gratifia d’un strip-tease sur le podium. Et devinez qui reçut le string en pleine figure ? Eh oui, votre serviteur ! Je discutais avec Sofie et Jean sur le côté de la scène, et visiblement notre star du X était jalouse que l’un des spectateurs les plus proches osât partager son attention entre elle et une magnifique blonde. Elle me visa donc exprès, et je reçus son string en plein visage par surprise. Évidemment, je fis ce que tout le monde attendait : j’y plongeai le nez. J’aurais préféré pouvoir plonger le nez dans l’intimité à l’origine des senteurs agréables, mais je n’en n’eus pas l’occasion. D’ailleurs, je ne pouvais pas non plus garder ce sympathique souvenir ; c’est donc Sofie qui en hérita, la star étant tout à fait du goût de mon amie.


La seconde anecdote me permet une petite vantardise. Ce club avait vraiment tout prévu ; chacun recevait à l’entrée un bracelet à usage unique, de couleur différente selon « l’état civil » du client. Ainsi, les couples recevaient un bracelet d’une certaine couleur, les hommes seuls d’une autre, une troisième couleur étant réservée à l’équipe du club. Je me vis donc attribuer un bracelet de couleur bleue, si je me souviens bien. Il n’y avait pas là une intention de ségrégation, mais cela permettait d’une part d’identifier les petits rigolos qui essayaient de faire croire qu’ils étaient la moitié masculine d’un couple, espérant on ne sait quel avantage en abordant les couples. Mais, d’autre part, le club organisait aussi des massages, m’expliqua Sofie. Une femme s’occupait de masser les hommes seuls, et un couple de femmes se chargeait de masser les couples. Bien entendu, le bracelet « homme seul » ne donnait accès qu’au massage prévu pour eux. Sofie et Jean m’indiquèrent où trouver la masseuse, pendant qu’eux-mêmes allaient profiter des deux masseuses.


Il y avait une file de plusieurs hommes attendant leur tour devant une alcôve fermée par un rideau. Heureusement, certains perdirent patience et quittèrent la file ; au final, je ne dus attendre qu’un petit quart d’heure. Mon tour arriva, et je m’allongeai sur un matelas au sol, auprès d’une jolie femme en maillot. J’échangeai quelques mots sympas avec elle pendant qu’elle me massait le dos avec de l’huile. Puis elle me demanda de me retourner pour s’occuper du recto. Bien entendu, je ne restai pas de marbre : son massage et son physique très avenant firent que ma queue était déjà bien tendue. La nuque, la poitrine, le ventre, les pieds, re-huilage des mains, et elle s’attaqua à mon sexe. Bien que j’aie espéré ce geste, je ne m’y attendais pas vraiment. Lorsque je lui demandai si c’était comme ça avec tout le monde, elle me répondit par l’affirmative. « Mais uniquement à la main », ajouta-t-elle. Ouille, me dis-je… Je sais pertinemment que je suis très long à faire jouir par une simple masturbation, même si la main qui me prodiguait la caresse était reliée à une si mignonne jeune femme. Et la pauvre, elle s’acharna, s’acharna, car bien qu’elle fît cela durant une bonne partie de la soirée, elle ne jetait pas le gant facilement ; c’était une sorte de gageure pour elle. Et tant pis pour ceux qui attendaient leur tour : si elle voulait vraiment aller jusqu’au bout, je la laisserais faire. Et finalement elle y arriva, après une bonne vingtaine de minutes d’efforts appliqués.


Et c’est de ça que je tire une certaine fierté : voyant qu’elle avait mal aux poignets du fait de l’effort fourni, je lui proposai de la masser à son tour. Devant son regard dubitatif, j’ajoutai « En tout bien tout honneur ; je ne toucherai pas tes parties intimes, promis-juré-craché ». Surprise, car si certains se permettaient d’essayer de la toucher sans lui demander son avis ou lui proposaient de jouer à la bête à deux dos, il était très rare qu’on lui propose un simple massage relaxant.


Je ne suis peut-être pas doué, et certainement moins qu’elle ; mais j’arrivai à dénouer quelques nœuds dans son dos. Elle me remercia d’un bisou sur la bouche « réservé aux masseurs », me dit-elle avec sourire espiègle.


Et lorsque je retrouvai mon couple d’amis, ils me demandèrent ce qui m’avait pris autant de temps. Je leur expliquai les difficultés de la demoiselle, puis j’ajoutai simplement « Alors, pour me faire pardonner, j’ai massé la masseuse ». Grand éclat de rire de mes amis, qui ne me croyaient pas vraiment. Mais un peu plus tard dans la soirée, nous croisâmes les trois masseuses qui sortaient de la douche, et la mienne lança aux autres « Tiens, voilà mon petit masseur à moi ! ». Regards étonnés de mes amis, genre « oh punaise, l’extra-terrestre, lui ! ». D’un haussement d’épaules, je leur dis « Ben quoi, je ne raconte pas que des conneries ! »


Il y eut une pause de plusieurs mois, car Sofie avait fini par avoir les implants dont elle rêvait tant. Elle était ravie de sa nouvelle poitrine ; mais l’intervention lui faisait mal, même si tout s’était bien passé. Elle évita donc toute rencontre car, se connaissant, elle aurait eu envie de coquiner. Jean, d’ailleurs, était mis à la diète forcée et je reçus un mail de sa part dans lequel il me faisait part de sa compréhension en ce qui concernait la situation que je vivais à la maison.


Finalement, Sofie se sentit mieux et leur vie normale reprit, y compris les rencontres libertines.


Je n’étais pas le seul homme que ce couple voyait régulièrement, mais je faisais partie des deux ou trois « chéris ». Nous avions établi une véritable amitié basée sur la confiance et la complicité. Ils me parlèrent de leur intention de se marier l’année suivante, et d’organiser leur mariage en deux étapes : la première, « officielle », avec les familles, collègues, amis. Une version « moldue », quoi. Pour rappel ou pour ceux qui n’ont pas eu l’occasion de lire mes textes précédents (mais qu’attendez-vous, m’enfin ? Allez, hop, hop, on cherche !), les libertins appellent les non-libertins les « Moldus », en référence à Harry Potter. Les non-sorciers y sont appelés Moldus ; ils ne sont pas conscients de la magie, et (je refais la même blague, tiens !) ils ne connaissent même pas la voie 9 ¾ (re-pffffffffff).


La seconde partie de leur soirée de mariage serait libertine : cela promettait une sacrée partouze ! Et d’ores et déjà, j’étais invité aux deux fêtes, si je pouvais venir.


Ils me parlèrent aussi de l’envie de Sofie (et donc celle de Jean, « ses envies sont mes envies ») de jouer dans des films pornos. Ils cherchaient un vrai producteur, pas un de ces nombreux arnaqueurs qui promettent monts et merveilles en espérant simplement tirer leur coup. Ils avaient failli faire les frais d’un gars très crédible, mais au dernier moment ils eurent des soupçons et la scène ne fut pas tournée.


Par contre, ils furent mis en contact avec un acteur qui avait quelques connaissances sérieuses dans le milieu. Bien entendu, il tenait d’abord à tester « la marchandise » (rassurez-vous, il n’osa pas utiliser ce terme) ; et donc ils prirent rendez-vous avec cet acteur et avec son épouse, actrice également à ses heures de loisirs, dans un autre club qui organisait une grande fête pour son ouverture officielle. Jean me demanda de les accompagner, non pas pour mon physique, car je n’ai rien d’un gorille (ah si, juste un peu les poils sur la poitrine), mais parce qu’elle se sentait rassurée avec le complice de leur couple.


Ce club était une discothèque qui venait de déposer le bilan. Tout le matériel était encore sur place : ponts, jeux de lumières, etc. En fait, ce club devint vite une « discothèque libertine » car la place réservée aux coquineries ne comprenait que la mezzanine, qu’on avait divisée en zones séparées par des tentures en voile. Leur accès n’était pas du tout privatif, les ébats se faisant à deux pas d’autres convives montés là pour observer autant les ébats que les gens se trémoussant sur la piste, en-dessous.


Et ces gens étaient vraiment dérangeants de par leurs commentaires, qu’ils énonçaient fort à cause de la musique assourdissante et que nous, qui essayions de coquiner, entendions parfaitement. Donc, pendant que l’acteur essayait Sofie dans toutes les positions (et dans tous les orifices : pas de porno sans sodo, c’est bien connu), Jean et moi nous nous énervions à éloigner certains opportuns ; mais nous ne pouvions rien contre les commentaires à la con, sauf à déclencher une bagarre que nous voulions éviter. Lorsque Sofie et l’acteur eurent tant bien que mal fini leur « casting », nous étions tous tellement énervés que nous décidâmes de quitter cet endroit qui ne nous convenait pas.


Un jour d’été, je reçus un coup de fil.



Ils habitaient une grande ville industrielle ; moi, j’avais la chance d’habiter la verte campagne, mais assez loin de chez eux. Alors, pouvoir les rencontrer tout près de chez moi, pensez que je n’allais pas rater l’occasion !


Une heure plus tard, congé pris pour l’après-midi, je les rejoignis. En fait, ils n’étaient pas dans un camping à proprement parler, mais des amis leur avaient prêté un terrain en bordure d’un petit village derrière leur maison où ils avaient monté une grande tente ; ils étaient isolés et tranquilles. Quand je vis leur emplacement, je compris que nous ne resterions pas sages, miam ! En effet, bien que je vous aie relaté quelques-unes de nos rencontres « classées X », je ne vous ai pas parlé de nos rencontres « normales », où rien en se passait ; simplement le plaisir de se retrouver entre amis. Je me doute bien que ce ne sont pas les histoires « no sex » qui vous intéressent, bande de petits cochons ! Je vous rassure : j’ai ma carte de membre du club des cochons. J’en suis même membre d’honneur, na !


Le feu était déjà chaud, mes hôtes aussi. Les saucisses cuisaient, la mienne aussi. Sofie était vêtue simplement d’un short tellement moulant que sa fente s’imprimait dans le fin tissu élastique. Et très vite, le tissu commença à montrer des marques qui n’étaient pas dues à la transpiration…


Le repas fut vite expédié ; le rosé bien frais, le soleil, l’ambiance bucolique, notre complicité, tout cela fit que, tout naturellement, nous nous retrouvâmes très vite nus et occupés à nous donner mutuellement du plaisir.


À un moment, Sofie s’adressa à moi :



Waouh, quelle surprise ! Rappelez-vous, plus tôt, j’avais dit que je comptais bien les convaincre de me laisser accéder à cet orifice réservé. Ben, je n’avais pas à les convaincre ; ils l’avaient fait eux-mêmes. Et c’est à moi qu’on demandait si je voulais bien ?



Ils n’en revenaient pas… Poser des conditions à une telle proposition ?



Comme elle voulait s’essayer au X, je vis un éclair d’intérêt fuser dans leurs yeux.



Aussitôt dit, aussitôt fait. Je convins avec Jean que c’est lui qui filmerait pendant que Sofie et moi baiserions, et qu’il éviterait mon visage. Il devait aussi l’encourager et la motiver si elle ne s’exprimait pas assez.


La scène commença très classiquement, Sofie à quatre pattes, moi assis devant elle. Elle commença par une fellation bien baveuse. Elle semblait avoir oublié notre accord concernant le fait de s’exprimer ; Jean le lui rappela gentiment.



Elle se rappela notre accord, et c’est en me regardant droit dans les yeux, filmée en gros plan par son amour, quelle me demanda :



Elle me couvrit d’un préservatif de sa manière si particulière et agréable et, au moment où j’allais me relever pour me placer derrière elle, elle me saisit la nuque d’une main et me roula un patin somptueux. Au moment où nos lèvres se séparèrent, elle me chuchota :



Ravi, je me relevai, passai derrière elle (Jean la contourna par l’autre côté pour pouvoir filmer la sodo en gros plan) et je m’agenouillai derrière elle. Je pris mon mât d’une main, et de l’autre je lui écartai les fesses pour que moi-même et la caméra ayons une belle vue sur son œillet déjà prêt pour mon entrée. Pendant que j’étais allé chercher la caméra dans ma voiture, elle s’était déjà lubrifié l’anus, car on ne voit jamais une actrice se préparer dans les films de boules, comme si la sodomie se faisait « à sec » à chaque fois.


Je plaçai le bout du gland à l’entrée de mon cadeau et poussai doucement. Il força le passage des sphincters ; j’attendis un peu qu’elle se fasse à ma présence, puis j’empaumai ses superbes fesses des deux mains et commençai à pousser, à entrer, à envahir son fondement, centimètre par centimètre… Arrivé à mi-chemin, je me retirai, ressortis complètement, me replaçai à l’entrée ; invasion partielle, re-sortie, comme on le voit souvent dans les pornos. En fait, ce n’est pas l’idéal, question confort de la dame : il vaut mieux entrer et commencer le va-et-vient sans ressortir, en tout cas durant les premiers instants, le temps que le conduit anal s’adapte à la dilatation. Ce n’est qu’une fois que la femme s’est habituée un minimum à cette invasion contre nature que l’on peut envisager la répétition du geste de pénétration. Dans la sodomie, c’est la première entrée qui fait mal ; mais une fois l’anus habitué, on peut y aller plus fort. Inutile donc de répéter le geste qui fait mal. Je dis cela pour les lecteurs qui s’imaginent que la sodomie, c’est comme dans les films, et qui après s’étonnent que leur femme se plaint de douleurs et refuse de réessayer.


Bref, je savais que j’agissais un peu comme un bourrin ; mais Sofie acceptait ce geste pour les besoins de notre film. Soit dit en passant, bien que rêvant de tourner dans des pornos, c’était la toute première fois qu’elle était filmée, m’apprit-elle plus tard.


Après trois ou quatre sorties puis réentrées, je cessai de sortir et je poussai pour arriver enfin avec le ventre en butée contre ses fesses. Là, je marquai une pause. Je fis un signe discret à Jean pour qu’il change de position et filme aussi le visage de sa belle. Il la cadra de façon à ce que la caméra capte son corps depuis ses fesses jusque et y compris sa tête, que je tournai de la main non visible par l’objectif pour que son visage soit visible. On voyait qu’elle était encore en train de s’adapter à la pénétration anale, mais son visage prit assez vite un aspect plus serein ; je pus donc recommencer à bouger. Je commençai doucement : enculer, oui ; déchirer, non !


Elle commençait à apprécier l’invasion, et ses gémissements se faisaient plus forts. À Jean, je fis un geste de la main devant la bouche pour l’inviter à motiver sa douce à reprendre le babillage pornographique.



Décidément, elle devait vraiment apprécier : elle avait encore oublié l’accord !



Et là, ce fut comme un déclic :



Et quelques instants plus tard :



Ce que je fis : à tes ordres, ma douce Sofie que j’ai le droit d’enculer ! J’accélérai le mouvement, pas trop ; j’attendais le moment où elle se lâcherait complètement pour me déchaîner… Et ce moment arriva !



Je sortis de son cul ; elle eut un véritable soupir de déception. Ma sortie avait deux buts : laisser à l’objectif le loisir de capter son anus qui ne se refermait pas tout de suite, qui béait largement car je sais qu’une femme arrivée à ce stade garde un trou du cul béant, un « gaping asshole » comme on dit outre-Atlantique. La seconde raison était que je voulais changer de position pour en prendre une autre permettant une défonce encore plus profonde et forte qu’agenouillé derrière elle. Je me redressai, me mis debout au-dessus de son cul, pliai les genoux pour amener ma queue à hauteur de son petit trou qui n’était plus si petit que ça.


Sans attendre, et puisqu’elle m’avait demandé de lui exploser le fion, j’entrai d’un coup à nouveau en elle. « Ah ouuuuuuuuuuh ! Ouiiiiii », fut sa réaction. Le « ouuuh » me fit craindre que j’y étais allé trop fort, mais son « ouiiiii » me rassura et je commençai à la pourfendre profondément et fortement. Je me limitai toutefois : elle n’était pas une pro de la sodomie, et je tenais à sa santé et à la continuation de notre amitié.


Je sentis une de ses mains passer sous elle pour se prodiguer elle-même un plaisir clitoridien supplémentaire ; ses doigts couraient de plus en plus vite sur son bouton innervé.


Je la prenais vigoureusement ; elle prit son pied bruyamment, dans un long et fort « oh putaiiiiiiiiin ». Pas un orgasme feint d’actrice porno qui simule sur commande : non, le vrai orgasme de celle qui pratique la sodomie pour son propre plaisir, et accessoirement pour celui qui avait l’honneur de la posséder par là.


Dans les films de burnes, on ne voit jamais le mec gicler dans son préservatif ; alors, au moment de son orgasme, ma queue fut tellement stimulée par les contractions rapides de son anneau que je sortis précipitamment de son cul, arrachai la capote et, en deux allers-retours de la main, je me vidai sur son dos et sur ses fesses. Jean eut juste le temps de quitter le gros plan du visage de sa chérie, à mon grognement prévenant de ma jouissance imminente, pour filmer les traits de foutre arroser le dos de sa dulcinée.


Sofie s’écroula sur place, complètement sonnée ; et ce n’était pas seulement dû au rosé et au soleil… Jean et moi eûmes le temps de nous repasser toute la séquence sur l’ordi portable avant qu’elle ne sorte de son coaltar. Nous l’avions couverte d’une couverture pour qu’elle ne se brûle pas la peau au soleil de juillet.


Oh, c’était loin d’être un film professionnel ; mais pour un film amateur, il était très réussi. Pas de plan fixe et ennuyeux : Jean avait bien maîtrisé les déplacements, les gros plans, les plans plus larges. On voyait bien toutes les expressions du visage de Sofie, son regard qui s’enfuyait lors des pics de plaisir, mais aussi ma queue qui lui perforait l’anus, doucement au début, puis quasiment sans pitié. Le son était extrêmement excitant : on entendait parfaitement ses gémissements, ses cris, ses paroles crues, son magnifique cri de jouissance. Et on entendait aussi mes grognements, mes halètements, tous ces bruits que je ne pensais pas émettre lorsque je baise. On entendait même le bruit de mes couilles frapper sa chatte à chaque coup de boutoir.


Lorsque Sofie sortit enfin des vapes, elle vint nous rejoindre, enveloppée dans la couverture, et nous demanda si c’était réussi. Nous l’invitâmes à s’asseoir sur une chaise de camping et de juger par elle-même ; mais avant de s’asseoir (oui, je vous rassure, elle pouvait encore s’asseoir), elle me fit un bisou tendre sur la bouche, roula un patin amoureux à son homme et nous dit tout simplement :



Je n’ai malheureusement plus ce film… Quelques semaines après ce formidable après-midi, j’eus un terrible accident de voiture. Je fus extrait de mon véhicule juste avant que celui-ci ne prenne feu, détruisant tout le contenu du coffre et de l’habitacle. Et dans ce coffre, mon sac de matériel photo. Planquée dans une poche, la carte mémoire contenant notre petit film. Par crainte que ma femme ne tombe dessus, je n’avais jamais transféré la séquence sur mon ordinateur ; quand je voulais revoir le film, je sortais la carte de sa cachette.


L’accident dont je fus victime détruisit complètement ma voiture. Mais aussi la cabine du camion qui m’avait percuté ; son conducteur n’avait pas pu en échapper.


J’estime donc avoir eu énormément de chance. Malgré un coma de trois jours. Malgré plusieurs côtes cassées qui se réveillent parfois aujourd’hui et me rappellent ma survie quasi-miraculeuse. Malgré une jambe cassée, fracture ouverte au tibia droit. Malgré trois mois cloué sur un lit d’hôpital, et plusieurs longs mois de rééducation douloureuse. Mais j’étais vivant, et ma femme et ma fille veillèrent sur moi et m’accompagnèrent même dans les moments les plus difficiles, ceux dont on se dit après « mais j’ai été un monstre ! ».


J’aurais aimé pouvoir reprendre contact avec Sofie et Jean. Comme nous n’avions pas de connaissances communes, ils ne surent jamais ce qui m’était arrivé. Mon téléphone portable avait brûlé dans la voiture, y compris la carte SIM qui contenait leur numéro.


Mon compte mail ayant été clôturé durant ma longue hospitalisation, je n’avais plus leur adresse de messagerie. Lorsque je pus, plus d’un an après, conduire à nouveau, j’essayai de retrouver leur rue : peine perdue dans ce dédale. J’étudiai même une carte de leur ville, essayant de me remémorer le nom de la rue.


Ce n’est que deux ans presque jour pour jour après notre après-midi classée « porno » que je finis par tomber tout à fait par hasard sur un flyer publicitaire où Sofie, sous un autre pseudo, offrait ses services en tant que danseuse érotique, enterrements de vie de garçon, etc. Fébrilement, je composai le numéro et, à la troisième sonnerie, j’entendis la douce voix de Sofie me lancer un « Allo » chaleureux. Je fus submergé par l’émotion, j’eus du mal à parler. Elle commença à s’énerver. Au troisième « Allo ? C’est qui ? », je parvins enfin à dire « Sofie ? Sofie, c’est moi, c’est… » Et avant même que je puisse prononcer mon prénom, elle dit :



J’entendis, au loin, Alain lancer :



Ils mirent le haut-parleur afin de pouvoir me parler ensemble, mais ils parlaient en même temps, me noyant sous les questions ; je ne comprenais presque rien de leur cacophonie. Finalement, je parvins à leur demander de se calmer, et enfin Jean fut celui qui eut droit à la parole.



J’ai bien dû leur répondre :



Double « Hein ? »


Je leur expliquai l’accident, l’impossibilité de les contacter. Je leur expliquai la destruction de mon téléphone, mon compte mail clôturé. Je leur demandai pardon pour mon silence forcé, même si ce n’était pas de ma faute ; je m’en voulais, j’étais désolé.


Ils pleurèrent, mais je leur dis que ce n’était pas nécessaire : j’étais de nouveau là, « presque tout neuf, avec deux-trois vis en plus, c’est tout ». Cela les fit rire, et je pus leur demander des nouvelles d’eux. Ils avaient bien fêté leurs noces comme prévu, la soirée libertine avait été un succès. Ils m’avaient regretté (en fait, m’avouèrent-ils, comme mon téléphone ne répondait plus et qu’aucun mail ne recevait de réponse sauf, un jour, une réponse automatique « cette adresse mail n’existe pas », ils en étaient arrivés à la conclusion que j’étais fâché avec eux et, dans leur esprit, se forma un mélange de gêne, de ressentiment et de crainte).


Sofie avait bien tourné dans deux films X, mais pas pour une grosse boîte de production. Comme elle avait atteint la trentaine, elle n’était plus une « jeune » et pas encore une couguar ou une « MILF ».


Elle avait continué les shows de danse exotique, dont j’avais trouvé un flyer.


Puis elle était tombée enceinte, de jumeaux. Depuis sa grossesse, elle a tout arrêté : les shows, les rencontres libertines, la recherche de tournages.


Après ce coup de fil, nous nous sommes revus autour d’un verre. Elle n’avait rien perdu de sa superbe, malgré sa grossesse et l’enfantement de jumeaux. Lui, il était toujours aussi sympa. Mais l’étincelle libertine s’était évaporée, alors que chez moi elle renaissait. Je ne demandai rien ; ils ne m’invitèrent pas.


Nous sommes donc restés en contact, très bons amis, amis… moldus.


De mon côté, ma femme avait fait preuve de tendresse et de force, mais j’appris qu’elle ne m’avait pas été fidèle. Je ne lui ai rien révélé de ma vie dissolue, mais je ne lui en ai pas voulu car c’était de ma faute. Lorsque j’étais au plus bas, carrément méchant, l’esprit embrouillé par la douleur et le désespoir de la progression bien trop lente des progrès, elle ne m’a pas abandonné alors qu’elle aurait pu. Mais elle a trouvé du réconfort dans d’autres bras.


Je ne lui pas dit que j’étais au courant de tout, étant tombé sur ses échanges de courrier dans un dossier d’archives sur son ordinateur. Je lui ai juste dit que je savais qu’elle m’avait trompé. Bien entendu, elle nia ; mais elle dut bien l’admettre lorsque je citai le nom de son premier amant ainsi que quelques détails. Je prétendis qu’il s’en était vanté, ajoutant qu’il allait la convaincre de quitter son connard de handicapé, et que ce bruit m’avait été rapporté par une connaissance commune.


Je lui pardonnai, et je lui dis. Et j’étais (et suis toujours) sincère. Nous avons retrouvé une certaine intimité ; mais j’avoue que je suis plus vigoureux lorsque je l’imagine se faire prendre comme elle le décrit dans ses échanges épistolaires, car elle ne se comportait pas avec moi comme avec ses amants. Je pense que c’est dans la psychologie des femmes : on se comporte comme une salope avec son amant, mais comme une femme respectable et comme une maman avec son mari…


Depuis, nous avons même eu un deuxième enfant, né il y a quelques mois à peine. Un peu par miracle, vu que nos rapports se sont de nouveau espacés. Alors, bien que j’adore ma femme, bien que j’adore mes enfants, et que je ne veux perdre ni l’une ni les autres, je suis revenu de mes aventures libertines, dont je vous narrerai peut-être quelques épisodes dans un prochain récit.


Encore une fois, malgré ce que pourraient croire certains, tout ceci est vrai, et raconté sans vantardise. Quelque part, je le sens plus comme une confession…