n° 15364 | Fiche technique | 14941 caractères | 14941Temps de lecture estimé : 10 mn | 28/12/12 |
Résumé: Jenny, jeune provinciale, vient d'entamer sa vie universitaire. Alors qu'elle doit travailler un exposé avec un camarade, ils surprennent deux de leurs condisciples en pleine action. Une scène qui va les échauffer au plus haut point... | ||||
Critères: fh jeunes école pénétratio -totalsexe | ||||
Auteur : Jenny Pirate Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : De chaudes études Chapitre 01 / 05 | Épisode suivant |
Cela fait trois semaines que j’ai commencé mes études sur le campus de Virginia Tech, et je dois dire que je m’y suis faite assez vite. En même temps, lorsque l’on est une petite étudiante tout droit sortie de l’Alabama, de ses règles strictes et de ses écoles religieuses pour filles uniquement, arriver dans une université libérale, où l’alcool coule à flots et où l’on peut croiser partout de beaux athlètes virils et musclés ne peut être qu’une libération ! Je me croyais dévergondée, il n’y a pas six mois au pensionnat, lorsque je faisais le mur pour aller passer un peu de bon temps avec mon petit copain, j’avais même cru être la dernière des traînées lorsque, pour la première fois, je lui avais ouvert mes cuisses et offert ma virginité, mais depuis que je suis ici et que j’ai vu comment se comportent les filles de la fac, je comprends que je suis encore une gentille fille sage… mais j’entends bien ne pas le rester.
Aujourd’hui, il faut que je prépare un oral de mathématiques. Par malchance, le type avec qui je dois le faire, Drake, est un incurable fainéant… je sens que je vais me taper tout le boulot. Mais par chance, son manque de matière grise est amplement compensé par son physique de footballeur, aux larges épaules carrées et aux bras épais et musclés… je sens que je vais me le taper, après le boulot !
Mais tout d’abord, au travail. Le devoir avant tout ! Enfin, non, avant tout, il va falloir trouver une salle. Cela fait un quart d’heure que l’on tourne en rond et que toutes les salles que l’on essaye sont occupées par des cours. Je commence à me décourager, et je sens que ce couillon de Drake serait depuis longtemps rentré chez lui si je n’avais pas eu la bonne idée de mettre un décolleté plongeant… Il faut dire que depuis que je prends la pilule, mon 90D a encore pris du galon et comme je n’ai pas eu le temps de changer mes soutiens-gorge, il est tout compressé et ne demande qu’à jaillir hors de mon débardeur. Ce cochon doit bien se régaler en me reluquant quand il croit que je ne le vois pas !
Enfin, on trouve une salle libre, au fin fond d’un couloir, qui ne communique d’ailleurs qu’avec une seule autre classe. On décide de s’y installer et de déposer nos affaires pour se mettre au travail. Bon, au travail, c’est vite dit, avec cet engin de Drake… d’ailleurs, je me demande si son engin est aussi bien proportionné que le reste de la bête ? Mmmh… Non ! Halte, ma fille ! Tu es venue ici pour tes études, malgré tout ! D’abord l’effort, ensuite le réconfort.
Qu’est-ce qu’il me veut ? Moi, j’ai sorti mes livres, mais lui est à la porte du fond, légèrement entrebâillée, à me faire signe de venir le rejoindre sans faire de bruit.
Bon, ok, si ça peut lui faire plaisir. Qu’est-ce qui l’excite tant là-bas ? Je me rapproche de lui et il s’écarte de la porte, pour me laisser glisser un regard dans l’ouverture. Et là, je comprends.
Ce que je vois, c’est Myriam, une nouvelle qui est arrivée la semaine dernière seulement, totalement nue et assise sur le bureau, avec la tête d’un homme entre les cuisses. Je le vois s’activer sur l’entrejambe de Myriam sans pouvoir distinguer son visage, et j’entends les gémissements de plaisir qu’elle pousse à chaque nouveau coup de langue de son partenaire. Cette scène, je ne l’aurais peut-être même pas comprise il y a six mois seulement ! Mais tout a changé depuis trois semaines. Maintenant, je sens des fourmillements de désir monter dans mes reins, je sens la moiteur poindre entre mes cuisses, et surtout je sens la jalousie de ne pas être à la place de cette petite Sainte-Nitouche. Insensiblement, je me suis encore approchée de l’ouverture de la porte, glissant une de mes mains sur le battant tandis que l’autre se dirige lentement vers ma poitrine. Soudain, je sens quelque chose de long et dur se coller à mes fesses. Ce spectacle me l’avait presque fait oublier, mais mon camarade a l’air d’être tout aussi émoustillé par ce qu’il voit… et, je l’espère, aussi par mes petites fesses bien rondes et fermes que je commence à faire aller et venir contre son membre, à travers son pantalon.
Et à qui ça n’en ferait pas ? Et à lui-même, ça n’en fait pas peut-être ? J’ai l’impression que son caleçon va se déchirer tant son érection est forte. Et ça, ça n’arrange pas mon état.
Il commence alors à me couvrir la nuque de baisers, et je sens son souffle chaud au creux de mon cou déchaîner un véritable ouragan en moi.
Délaissant un instant ma poitrine, il relève totalement mon haut et défait mon soutien-gorge, libérant mes deux gros seins dont les pointes partent vers le ciel. Puis, continuant à m’embrasser de partout, il glisse ses mains sous ma jupe. Règle numéro un à l’université : toujours en jupe ; on ne sait jamais ce qu’il peut vous arriver dans la journée, alors autant se montrer prévoyante, n’est-ce pas mesdemoiselles ? Il descend mon string en se mettant doucement à genoux et en parcourant toute ma colonne vertébrale de sa langue, et j’arrive tout juste à retenir un petit cri lorsqu’il me mord la fesse. Il s’attarde un instant, une main entre mes cuisses, titillant mon intimité… docile, je me laisse faire, cambrant les reins pour lui offrir mon petit cul juste sous le nez. Je sens que s’il ne me prend pas très vite, je ne répondrai plus de rien !
En face, la situation a évolué. La respiration de Myriam s’est accélérée, elle a gémi de plus en plus fort et tendu tout son corps en un long hululement passablement ridicule. La petite pute a eu un orgasme et pas moi ! Drake, il va falloir t’occuper un peu plus sérieusement de moi ! Maintenant qu’elle a bien joui, son partenaire se redresse et je le reconnais : c’est Shane, un grand Black, lui aussi footballeur dans l’équipe de la fac. Je dois dire que lui aussi m’a beaucoup attirée, ne serait-ce que pour vérifier la légende ! Je le vois aller s’asseoir derrière le bureau, ce qui m’empêche de voir sa queue. Il attire sa petite cochonne à lui et l’empale sur son membre, que je devine terrible, à en juger par la grimace qu’elle fait. Il lui empoigne les hanches et commence à la faire aller et venir en cadence, et je m’amuse de constater que je suis le même rythme en me masturbant sur les doigts de Drake.
D’ailleurs, celui-ci décide enfin de se relever et de me faire ce qu’un homme se doit de faire à une femme. Pétrissant mes hanches de ses larges mains si fortes et si douces, il m’embrasse à pleine bouche lorsque je tourne la tête à la limite du torticolis pour apercevoir ses yeux. Jamais je ne les oublierai, ces yeux, plein de fièvre, de sexe, plein du désir du mâle de posséder sa femelle. Et je sais qu’à cet instant, c’est le même désir qu’il lit dans mes yeux, le même appel au plaisir et à l’amour. Il ne me lâche que le temps de descendre pantalon et caleçon aux chevilles, et il revient aussitôt à la charge, de ses doigts, de sa langue, partout sur moi, sur mes seins dont les pointes me font presque mal à présent, sur mes hanches, sur mes fesses, partout. Il fait de moi sa chose, son esclave, je sais ce qu’il veut, il veut que je le supplie de me faire l’amour, et c’est exactement ce que je vais faire.
J’écarte alors un peu plus les jambes, pour qu’il puisse s’insinuer entre mes cuisses. Il glisse son énorme sexe dressé entre mes lèvres, le faisant jouer sur mon clitoris, aller et venir le long de mon sexe trempé… il cherche à me rendre encore plus folle, sans savoir que c’est déjà le cas, sans se douter que de voir Myriam là-bas, dans la pièce d’à côté, se faire sauter en d’amples coups de bassin par ce grand diable de Shane me met déjà au bord de l’orgasme, mon Dieu, que lui faut-il de plus, je l’ai déjà supplié, faut-il que je recommence, c’est ça, c’est ce qu’il attend, bon sang, oui, je la veux, ta queue, dépêche-toi de me la donner, prends-moi, vite !
J’ai honte de moi de devoir le supplier comme ça, mais j’ai vraiment les reins en feu, et j’ai besoin de sa lance pour m’éteindre.
Et, soudainement, il pousse sa grande verge dressée et me pénètre. J’étais tellement mouillée et excitée qu’il rentre jusqu’à la garde, jusqu’au fond de mon ventre, et je dois me mordre violemment la main pour ne pas pousser un long hurlement. Je vois que lui aussi fait de gros efforts pour ne pas faire de bruit, je vois son visage crispé par la concentration aller et venir contre le mien, dans mon dos, je sens son souffle chaud sur mes épaules, je sens ses mains, me malaxant les hanches, et surtout je sens sa queue, son énorme queue, glissant dans mon intimité toute lubrifiée, donnant de grand coups de boutoir qui me font grimacer de plaisir.
En face, Myriam aussi se fait carrément défoncer à présent, mais elle, elle peut crier son plaisir, elle peut se laisser totalement aller à l’orgasme qui monte en elle. Drake a déplacé ses mains sur mes seins à présent, il joue avec mes pointes et me malaxe la poitrine, en continuant ses violents coups de reins. Je n’y tiens plus, je vais bientôt jouir, exploser, il est en train de me tuer de plaisir ! Alors que me vient mon premier orgasme, il se rejette d’un coup en arrière, me penchant davantage pour me prendre en levrette, sortant presque entièrement son sexe du mien pour mieux me pénétrer à nouveau. Maintenant, on est à égalité, Myriam et moi, et je crois que nos hommes n’en ont plus pour longtemps s’ils veulent nous faire jouir une seconde fois, au vu des râles de son étalon et des mouvements de plus en plus forts et sauvages du mien. Déjà je la vois qui recommence à crier de plus en plus fort, et mon partenaire change à nouveau sa position, me redressant et se collant à nouveau à mon dos, pour pouvoir mieux m’enserrer le corps. Il s’agrippe à mes hanches, cherchant à me pénétrer toujours plus loin, et plaque sa main sur ma bouche pour m’empêcher de hurler alors qu’il entame son rodéo final. Enfin, je sens la verge toute saisie de soubresauts, et le jus tant attendu jaillir au fond de moi en longs jets chauds, ce qui me fait jouir à mon tour comme jamais. Heureusement qu’il me bâillonne, sinon j’aurais rameuté toute la fac !
Bon sang, que c’était bon… c’est aussi ce qu’a l’air de se dire Myriam, d’ailleurs ! Nous avons joui toutes les deux en même temps, sous les coups de reins et les éjaculations simultanées de nos étalons. Elle, elle se laisse lentement retomber entre les bras du sien, qui lui caresse tendrement la poitrine. Moi, le mien s’est déjà échappé d’entre mes cuisses, rangeant un organe qui a bien perdu de sa superbe dans son pantalon et allant s’affaler sur une chaise, un petit sourire satisfait aux lèvres. C’est drôle comme un homme peut vous rendre totalement folle puis vous dégoûter dès qu’il a fini sa petite affaire. Préférant en revenir au couple d’à côté, je commence doucement à me rhabiller, les muscles encore engourdis, lorsque soudain mon regard croise celui de Myriam.
Un instant, elle paraît décontenancée, honteuse d’avoir été surprise dans cette position, puis ses yeux se posent sur mes cheveux blonds en bataille, mon haut remonté et coincé au-dessus de ma généreuse poitrine nue, ma jupe toute froissée et ramenée presque jusqu’aux fesses, et comprenant que je viens de partager la même extase qu’elle, un sourire apparaît sur ses lèvres, et elle va même jusqu’à me faire un clin d’œil. Je le lui rends et achève de rajuster ma tenue, laissant le couple à son extase post-coïtale. La mienne, je la sais déjà foutue en l’air, inutile de se le cacher. Un coup d’œil à Drake me le confirme, lui qui arbore toujours son petit sourire béat sur sa chaise. Il est aussi trop tard pour se mettre au boulot, et de toute façon, je pense que ni lui ni moi n’en avons envie. Non, tout ce dont j’ai envie, c’est de rentrer chez moi et de rejoindre Helen, ma camarade de chambrée, pour lui raconter cette histoire. Je sais que ça la fera rire. Après tout, c’est grâce à elle que je suis ce que je suis aujourd’hui.
Et je quitte la pièce, sans même me retourner. Bon, j’ai peut-être été un peu rude… je savais qu’il était un rustre et un imbécile, seuls ses talents d’étalon m’importaient… bah ! Je n’aurai qu’à me faire pardonner demain, je le laisserai remettre ça… si Helen ne m’épuise pas trop ce soir !
### à suivre ###