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n° 15370Fiche technique40845 caractères40845
Temps de lecture estimé : 25 mn
01/01/13
Résumé:  Ayant raté ses examens de math, un étudiant reçoit l'aide d'une amie pour préparer la 2de session. Il en apprend beaucoup plus.
Critères:  fh fplusag jeunes vacances noculotte intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio portrait -prememois -inithf
Auteur : Naipas  (Retraité, j'écris pour mon plaisir.)      Envoi mini-message

Série : Récits à lire d'une main

Chapitre 02 / 05
L'examen

L’examen




Je n’ai jamais été un fort en math et je me payais chaque année un examen de passage. Ce fut ainsi jusqu’au passage en rhétorique. J’avais dix-huit ans et, comme j’avais pris du retard, je devais à tout prix réussir en septembre pour entrer en dernière année. Je passais donc mes vacances à tenter de jongler avec les intégrales et les fractions exponentielles. Je suais devant les équations, les sinus et les polyèdres plus tordus les uns que les autres.


Un dimanche d’août, mes parents recevaient des amis et après le repas, nous étions à bavarder dans le jardin. La femme, encore jeune, que j’appellerai Brigitte, s’était assise en face de moi. Elle était prof de physique dans un lycée d’une grande ville. Je la regardais avec attention et me rendis soudain compte qu’elle ouvrait lentement les jambes et que j’apercevais sa petite culotte rose. Elle rapprocha ses genoux, puis les écarta un peu plus, comme une invitation. Soudain, elle me regarda dans les yeux et je me sentis rougir jusqu’aux oreilles. Elle insista et soudain se leva, rentra dans la maison pour reparaître deux ou trois minutes plus tard. Elle reprit la pose, gardant ses cuisses ouvertes. Je baissai les yeux pour ne plus la regarder car j’avais remarqué qu’elle avait enlevé sa culotte et qu’elle ne se gênait pas pour me montrer sa chatte toute nue.



Elle se pencha vers son mari, lui chuchota quelque chose à l’oreille puis, tout simplement me dit :



C’est ainsi que je me retrouvai pour trois semaines dans la villa de Robert et Brigitte qui me prit réellement en main. Ce ne fut pas du gâteau, croyez-moi. Mais ce furent de belles vacances. Nous commencions à neuf heures, non-stop jusqu’au repas de midi. Puis une courte sieste et de nouveau jusqu’au souper. Mais cela n’avait rien de rébarbatif. Brigitte était très patiente, presque maternelle et au bout de quatre à cinq jours, je fus convaincu qu’avec un bon prof, les maths, c’était aussi chouette que « l’Anthologie de la poésie érotique » de Pierre Perret.


Il faut dire que Brigitte savait y faire. D’abord, elle ne portait jamais que des petites robes très courtes et assez décolletées. Comme elle n’avait pas besoin de soutien-gorge, je n’avais pas à faire d’efforts pour plonger dans l’ouverture de sa robe et voir, à quelques centimètres de mes yeux une paire de seins superbes, bien hauts avec un bout gros comme une merise plantée au milieu d’une aréole large comme une paume de bébé. En outre lorsque, tout en préparant les repas, elle venait contrôler mon travail, je la sentais presser sa poitrine ferme contre mon épaule, comme si elle voulait m’exciter. J’en avais la gorge sèche. J’essayais bien de coller mon bras contre sa hanche, mais, avec un petit sourire en coin, elle se reculait un peu pour s’appuyer un peu plus tard contre moi.



Elle continuait pourtant son petit manège. Mais les maths progressaient. À mesure que la semaine avançait, non seulement je devenais un as en trigo ou en algèbre, mais surtout j’avais de plus en plus envie de Brigitte qui, sans en avoir l’air, m’excitait avec ses robes de plus en plus décolletées. Le samedi arriva et je n’avais pas encore pu la serrer contre moi. Je bandais si fort que ma bite, coincée dans mon slip sans pouvoir sortir, me faisait mal. Je me tortillais sur ma chaise, ce qui faisait rire mon « prof » qui n’avait pas l’air de s’en soucier.


En reprenant les exercices après la sieste, elle virevolta soudain. La robe se souleva et je vis à quelques centimètres une petite chatte frisée. Brigitte n’avait pas remis son slip. Ma main se mit à trembler au point que je lâchai mon crayon.



Elle partit d’un grand éclat de rire et, se penchant pour bien ouvrir son décolleté, elle me donna un petit baiser sur la bouche, puis se recula pour me regarder. Ses yeux brillaient. Elle posa sa main sur mon épaule et se mit à me caresser lentement le cou, remonta vers le visage et passa doucement un doigt sur mes lèvres. Je fis un geste vers elle, tendis la main vers sa poitrine. Je sentis dans ma paume le bout de sein se gonfler à travers la robe. Brigitte s’approcha, se pencha de nouveau et, prenant mon visage dans ses mains, posa sa bouche sur la mienne.



Je sentais sa langue contre la mienne. Je me mis doucement à la lui sucer et elle s’écarta.



Je la tenais contre moi, je sentais son ventre et ses seins se presser. Je me mis à bander si fort que j’avais l’impression que ma bite voulais s’échapper de mon slip. Elle s’en rendit compte.



Elle la prit et la dirigea lentement sous sa robe jusqu’à ce qu’elle touche sa toison. Je tremblais. C’était la première fois que je touchais une chatte de femme. C’était doux comme de la soie. Je me mis à la caresser et je sentis qu’elle écartait les cuisses.



Instinctivement, je me mis à tourner doucement dessus avec le bout de mon médius. Brigitte commença sérieusement à s’agiter, et tout en m’embrassant, elle fouillait ma bouche de sa langue vive et pénétrante. Je bandais de plus en plus tandis que mon doigt allait de plus en plus vite sur son clitoris. Elle gémissait, soupirait profondément.



Brigitte tremblait de plus en plus. Elle me disait toutes sortes de choses qui me faisaient bander au point que j’enlevai d’un coup mon short et mon slip. Je relevai sa robe et je la sentis toute nue contre moi. Ma bite se collait à son ventre.



Sa tête retomba sur ma poitrine. Je vis ses yeux se révulser. Elle devint toute rouge puis, dans un dernier soupir, elle me regarda.



Elle s’écarta lentement. Ses yeux brillaient et je crus qu’elle allait pleurer. Mais non, ce n’était qu’une petite larme de plaisir.



Je fus étonné de sa réaction. En quelques instants, elle était passée du plaisir au sérieux. Enfin. Je crois qu’il ne faut pas se poser trop de questions. La soirée fut joyeuse. Il était plus de minuit quand je montai me coucher. Je n’arrivais pas à dormir. J’avais devant les yeux l’image des yeux brillants de Brigitte, de son visage tout rougissant de plaisir et de ses lèvres tremblantes au moment de l’orgasme. Je n’arrivais pas encore à m’imaginer que j’avais fait jouir une femme la première fois que je la caressais. Je ne dormais pas et j’entendais distinctement les soupirs et les gémissements de Brigitte qui faisait l’amour avec son mari. J’en étais presque jaloux. C’est idiot mais c’est ainsi. Je finis par tomber de sommeil.


Le lendemain, Robert s’en alla après le repas de midi car il devait se taper près de six cents kilomètres pour rentrer. Quand il fut parti, je m’enfermai dans ma chambre et me remis au travail sans tarder. Il y avait encore beaucoup de problèmes à résoudre. Vers six heures, je sortis, la tête farcie de maths. Brigitte m’attendait au salon, bien étendue sur le divan, la robe courte relevée, les cuisses ouvertes qui découvraient une petite culotte rose et transparente. Son attitude ne laissait planer aucun doute sur ses intentions à mon égard.



Elle passa derrière le bar et revint avec les verres.



Elle se planta devant moi, le verre à la main. Elle me regarda dans les yeux, puis, après avoir bu une gorgée, posa son verre et me tendit la main.



Je me laissai entraîner vers la chambre. Brigitte fit tomber sa robe et s’étendit sur le lit. Je voulus faire un pas vers elle mais elle m’arrêta.



Ses yeux plongés dans les miens, elle commença à se caresser les seins fermes qui se passaient aisément de soutien-gorge. Elle prit ses mamelons entre le pouce et l’index et les tourna dans tous les sens en les pinçant et en tirant dessus. Les bouts gonflèrent et devinrent durs comme des petits cailloux.



Elle continua à se caresser les bouts des seins puis lentement sa main droite descendit vers le ventre, tandis que l’autre continuait inlassablement sa caresse. Elle glissa sa main dans sa petite culotte. Je remarquai que celle-ci laissait apparaître une tache humide.



Ses yeux dans les miens, elle fit lentement glisser sa petite culotte rose déjà mouillée par ses caresses. Elle la jeta, ouvrit les jambes pour que je voie bien sa chatte dont elle écarta les lèvres avec sa main gauche. De l’autre, elle se mit à se caresser d’abord doucement. Elle ouvrait et fermait les yeux, poussant de temps à autre un soupir de plaisir. Je ne tenais plus et voulus me déshabiller. Elle m’en empêcha d’un regard.


Ses caresses s’accéléraient et elle faisait entrer son médius dans son vagin tout en frottant de son pouce son clitoris maintenant bien visible. Elle soupirait plus fort et je regardais en tremblant, la bite gonflée comme jamais, cette femme qui me montrait comment elle se faisait du bien. Elle me parla sans arrêter ses caresses.



Je me penchai sur elle, la langue dardée. Je la posai sur son clitoris et la fit tourner comme elle me l’avait demandé. Son ventre se mit à remuer. Je sentais sur ma langue son jus salé qui coulait comme une petite source. Il me vint alors une idée. Je l’avais vue enfoncer son doigt dans son vagin et je fis de même. Lentement tout en léchant son clitoris, j’introduisis mon doigt dans le trou bien ouvert. Cela lui fit l’effet d’une secousse. Elle gémit doucement en me disant des mots sans suite. J’accélérai le mouvement de ma langue et de mon doigt. Alors elle se déchaîna, serrant ma tête entre ses cuisses et, de ses deux mains, l’appuyant contre sa chatte à m’étouffer. Son jus coulait plus fort. Elle criait.



Comme un ressort, elle se cambra sur le lit, serrant ma tête, puis brusquement retomba, les yeux grands ouverts, le visage rougi par le plaisir. Je la regardai, encore étonné d’avoir fait jouir une femme aussi intensément, chose dont je ne m’étais pas senti capable. Il est vrai que c’était ma première expérience. Brigitte rouvrit les yeux, me sourit, m’attira sur elle et me donna ses lèvres pour un baiser bien mouillé.



J’étais assis sur le lit et je la contemplais nue. Je regardais ses seins gonflés, ses longues cuisses fermes largement ouvertes sur une chatte aux lèvres longues et d’un rouge violet surmontées d’un clitoris comme une petite fraise et que j’avais si bien fait jouir. Elle tendit la main et la posa sur mon short, frôlant à peine ma queue bandée.


Lentement, elle défit les boutons un à un, ponctuant chaque geste d’une caresse légère qui ne faisait qu’augmenter mon excitation. Je me levai, laissant tomber mon short. Brigitte fit glisser mon slip qui alla rejoindre le short puis elle m’invita à me coucher auprès d’elle. Je ne me fis pas prier. Elle se souleva un peu, fixant son regard sur ma queue gonflée et dressée, prête à exploser. Elle posa sa main dessus, frôlant légèrement le gland et, du bout de son index, elle caressa lentement la tige, suivant le tracé de la veine. Je faisais des efforts inouïs pour ne pas jouir déjà. Brigitte s’en rendit compte et se pencha sur ma bite qu’elle engloutit d’un seul coup jusqu’à la gorge, tandis que, d’une main ferme, elle saisit ce qui restait de la hampe qu’elle massa vigoureusement.



Je me soulevai. Elle lâcha ma queue qui resta dressée comme un bâton, me regarda, incrédule, fronça les sourcils et me dit doucement :



Elle se pencha de nouveau, reprit ma bite en bouche et recommença à me branler avec sa main droite tandis que la gauche elle grattait mes couilles de ses ongles pointus. Cela m’acheva. D’un seul coup, j’explosai en criant. Mon foutre gicla dans sa bouche. Brigitte essaya bien de le garder mais il coula sur ses seins puis sur le ventre. Je retombai sur le lit. Je voyais des étoiles partout et une sorte de voile noir me couvrit les yeux. Je savourais le plaisir intense qu’elle venait de me donner. Elle me secoua légèrement ; je la sentis se coucher sur moi et sa bouche humide de mon jus vint se poser sur la mienne.


Je ne sais combien de temps nous sommes restés l’un contre l’autre à profiter de ces instants de bonheur. Nous restions silencieux, enlacés comme deux amoureux qui ont découvert toutes les joies de l’amour. Ce fut Brigitte qui rompit le silence.



Elle écarta ses cuisses et à deux mains, elle ouvrit les lèvres de sa chatte en m’invitant à la regarder. Sa chatoune brillait de sa mouille qui s’écoulait lentement entre les cuisses. Je posai les doigts dessus en la caressant et je me penchai pour l’embrasser.



Elle se leva, m’entraînant avec elle dans la salle à manger. Nous étions restés nus pour nous mettre à table. Le repas terminé, nous sommes allés nous asseoir sur la terrasse. La nuit tombait lentement sur la mer. Nous nous regardions. J’admirais la courbe de ses seins et la ligne de ses jambes qu’elle gardait grandes ouvertes comme une invitation.



Elle me prend par le bras et m’entraîne dans la chambre. Elle sort de la garde-robe une sorte de combinaison de cosmonaute en tissu léger qui se ferme du cou à l’entre-jambe par plusieurs tirettes que l’on ouvre ou ferme comme on veut.



Je me trouve serré dans ce costume pourtant à ma mesure. Nous sommes nus dans notre vêtement et je constate que la braguette peut s’ouvrir du nombril jusque entre mes cuisses, laissant libres ma pine et mes couilles.



Il n’y a pas grand monde dans le club. Deux couples occupent des tables de coin, bien à l’abri des regards. Nous nous asseyons dans le troisième coin. Aussitôt la serveuse, très court vêtue et les seins bien visibles, vient prendre la commande ; ma compagne y va d’un grand whisky alors que je me contente d’un jus de fruits.



Elle sourit et glisse sa main sous la table à la rencontre de la tirette qu’elle glisse lentement vers le bas et insinue ses doigts sur ma queue qui se dresse presque aussitôt. À ce moment, la sono donne un slow très lent ; un des couples se lève et se met à danser. La femme se colle à son partenaire, lui prend la tête et l’embrasse à pleine bouche. L’homme caresse les fesses de la fille qui passe sa main entre eux à hauteur de son sexe et essaie de glisser ses doigts dans le pantalon du monsieur. Brigitte se lève aussitôt, me prend la main et m’entraîne sur la piste.



Elle m’enlace étroitement mais laisse entre nos ventres un léger espace qui lui permet d’écarter les pans de sa robe, de sortir de son réduit ma bite déjà bien dure. Elle l’approche de sa fente, écarte suffisamment les jambes et la fait entrer lentement en elle, ce qui se fait sans mal puisque nous sommes de la même grandeur. Puis elle me saisit par les fesses et me colle contre elle tout en m’embrassant à en perdre le souffle. Ouf !



Sa respiration s’accélère, ses mamelons durcissent ; je glisse une main entre nous pour trouver son clitoris ; il est déjà gonflé ; je le tripote. Elle soupire plus fort, commence à râler ; un coup d’œil vers les autres couples qui nous regardent ; une des filles a dégrafé son corsage et se caresse les seins découverts tandis que son compagnon a posé sa main sur sa chatte et essaie d’y faire entrer un doigt. La fille râle plus fort. Brigitte l’imite ; je pousse de toutes mes forces et je sens son vagin qui serre ma bitte.



La danseuse lance la tête en arrière et fait part de son plaisir en tremblant. Brigitte crie, elle aussi tandis que je sens son vagin pris de spasmes qui me font éclater en elle en grognant. Le slow s’achève sur un quadruple orgasme. Le troisième couple achève aussi son parcours de plaisir sur leur petite table ; la femme, la robe relevée jusqu’aux seins nus nous offre la vue de sa chatte luisante de cyprine et de sperme mélangés. Tous les quatre, nous nous approchons d’elle et Brigitte lui caresse les seins qu’elle a fermes et gonflés, surmontés d’une large aréole brune. Puis nous retournons nous asseoir à notre table.



Le sommeil n’eut pas raison de nous. Je me dirigeai vers ma chambre mais Brigitte me prit par le bras et m’invita à partager son lit.



Nous étions toujours nus, n’ayant pas éprouvé le besoin de nous rhabiller. Nous étions couchés l’un contre l’autre. J’avais posé ma main sur sa chatte et introduit un doigt dans sa fente tandis qu’elle tenait fermement ma pine déjà prête à gonfler.



Lentement Brigitte me caressa la bite jusqu’à ce qu’elle devienne bien dure. De mon côté, je massai doucement son petit bouton d’amour que je sentis gonfler de plus en plus. Nous soupirions d’aise tous les deux. Sa caresse se fit plus insistante et je me penchai sur elle pour la caresser et lécher sa chatte.



Je m’étendis sur le lit. Brigitte s’accroupit sur moi et, d’une main habile, saisit ma bite bandée et avec des gestes précis, la dirigea vers l’entrée de son con. Je sentais ma pine pénétrer lentement à mesure que Brigitte se laissait descendre.



Elle se mit alors à danser sur moi de plus en plus vite. Je sentais ma pine cogner contre le fond de son vagin. Elle soupirait, gémissait. Ses yeux se fermaient puis s’ouvraient et elle me regardait fixement. Je pris un bout de sein dans ma bouche et je me mis à le sucer de toutes mes forces comme si je tétais. Elle poussa une longue plainte et se déchaîna. Son corps allait de gauche à droite tout en continuant à danser sur moi. Soudain elle hurla.



Elle tomba sur moi. Je me sentis partir moi aussi et soudain, je grognai et je déversai mon foutre en elle. Elle se laissa couler sur le côté en fermant les yeux. Je l’enlaçai tendrement. Elle reprit lentement ses esprits.



Brigitte s’absenta le temps de prendre du jus de fruits dans le bar, puis elle revint s’étendre près de moi. Tout en sirotant notre boisson, nous avions repris nos caresses, elle sur ma queue et moi sur sa chatte et ses seins. Le calme ne dura pas. Peu à peu, ma bite reprit sa taille normale et prête à une nouvelle pénétration tandis que son clitoris se dressait comme une petite groseille en haut de ses lèvres. Je me penchai pour le sucer. De son côté, Brigitte se coucha à l’envers sur moi. J’avais sa chatte en face de ma bouche tandis que ma pine redressée s’enfonçait dans la sienne.



Lentement, je passai ma langue sur ses petites lèvres et je soufflai doucement sur la fente ouverte. Elle frémit. Je sentais sa bouche sucer mon dard déjà bien gonflé. Elle prenait mes couilles entre ses doigts et me les malaxait avec beaucoup de douceur. Je pris alors son clitoris entre les lèvres et me mis à le sucer avec avidité. Brigitte gémissait. Je mettais beaucoup de cœur à l’ouvrage.


Oui ! Suce-moi bien. Oh ! C’est divin, c’est doux, c’est bon. Encore ! Encore ! Plus vite ! Enfonce ta langue dans mon con ! Ouiiiii ! Ouiiii ! Ouiiiii ! Ça y est ! Je viens ! Je viens ! Oh ! Chériiiiii ! Chériiiii ! Oui ! Je Jouiiiiis… Aaaaaahhhhh !


J’explosai une nouvelle fois dans sa bouche. Nous glissâmes tous deux sur le côté, entièrement épuisés par cet orgasme puissant que nous venions de connaître.


Le lendemain matin nous trouva enlacés. Après une nuit d’amour si ardente, je me demandai si je serais capable de recommencer et de lui donner autant de plaisir. Pour l’instant, il me fallait penser aux maths. Brigitte s’éveilla, s’étira comme un chat puis me couvrit de son corps et se mit à m’embrasser partout. Mais il nous fallut bien abandonner la gaudriole pour retourner au travail.


La journée se passa dans le calme. Il nous fallait bien récupérer des folies de la nuit. Je me remis au travail pendant que Brigitte, tout en surveillant d’un coin de l’œil mes exploits géométriques, préparait une cuisine d’amoureux. Elle venait souvent me retrouver dans ma chambre, vêtue seulement d’un sari très court sous lequel elle ne portait rien. Elle se frottait contre moi, découvrait ses seins gonflés, me faisait sucer ses mamelons pour me mettre en appétit. En même temps, elle passait sa main sous mon slip de bain pour caresser ma pine qui ne demandait pas mieux que de bander.


Midi approchait. C’était l’heure de l’apéro. Elle apporta une petite mixture de sa fabrication qui me donna des fourmis dans la queue.



Elle s’étendit toute ouverte sur le lit et m’attira sur elle. Je me couchai. De sa main droite, elle prit ma bite et se l’introduit d’un coup dans sa migeole qui coulait comme une source. Elle ouvrit ses cuisses et les referma sur mes reins, me serrant au plus fort qu’elle pouvait.



À ce moment-là, je n’ai pu me retenir et je déversai violemment mon jus en elle. Quand nous eûmes repris nos sens, le temps du repas était largement passé, ce qui ne nous empêcha pas de profiter d’une table bien servie. Brigitte s’y entendait en cuisine comme en maths et en amour.



Je passai une merveilleuse semaine jusqu’au retour de Robert. Nous alternions problèmes, géométrie, algèbre avec de bienfaisantes parties de jambes en l’air. Brigitte était une surdouée dans les deux domaines. J’appris beaucoup de choses tant en mathématiques qu’en techniques de l’amour.


Deux jours plus tard, Robert revint. Il n’était pas seul. Il avait rencontré une de ses collègues et l’avait ramenée à sa villa. Elle devait avoir vingt-cinq ans, portait des cheveux courts, une petite jupe blanche et une blouse verte bien gonflée à hauteur des seins. Elle embrassa Brigitte qui fronça le sourcil mais ne dit rien.



Je m’inclinai cérémonieusement devant cette apparition et regardai Brigitte en coin qui d’un clin d’œil m’avertit de me taire pour éviter de me trahir, ce dont je m’abstins prudemment.


Robert entraîna sa femme dans la maison, me laissant seul avec la nouvelle venue qui jeta ostensiblement un coup d’œil vers mes cuisses. Elle se pencha pour relacer sa sandale et je pus m’apercevoir qu’elle était nue sous son corsage. L’était-elle aussi sous sa jupe ? Je ne tardai pas à m’en rendre compte. Elle s’assit sur la table basse et son mouvement lui fit écarter assez les cuisses pour que je visse qu’elle n’avait pas de culotte. Ce cher Robert n’avait pas dû se priver pendant le voyage. Les yeux de la jeune femme brillaient encore d’un plaisir sans doute partagé.



Je réussis mon examen de passage et, si je devins rapidement un bon élève en maths, Brigitte me fit connaître surtout l’art de la minette et d’autres techniques pour amener une femme au plaisir. Elle m’apprit à frotter mon gland contre un clitoris, de lécher celui-ci doucement puis en aspirant de longs coups. Elle m’habitua à pénétrer lentement dans un vagin puis à alterner les mouvements rapides et lents, à donner de violents coups de boutoirs et à m’arrêter brusquement quand je la sentais prête à jouir pour recommencer si elle se calmait. Elle m’enseigna l’art de l’attente, les caresses douces puis violentes pour amener la femme au sommet du plaisir. Je suis devenu, grâce à elle, un homme qui savait faire sauter une femme au plafond.


Je garde de Brigitte le souvenir d’une femme faite pour l’amour et je n’ai jamais regretté d’avoir été si faible en maths. Je la revois encore de temps à autre. Il nous arrive de revivre les moments fous du passé. Elle est toujours aussi chaude et nos rencontres se sont toujours terminées par une partie de « bête à deux dos », pour reprendre l’expression de Rabelais.