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Temps de lecture estimé : 15 mn
05/01/13
Résumé:  Nous achetons de la lingerie sexy le soir du 21 décembre 2012, car nous ne faisons pas partie de ceux qui croient à l'imminence de la fin du monde.
Critères:  fh grp jeunes couple extracon copains collègues revede voir lingerie cunnilingu préservati attache piquepince -entrecoup
Auteur : SophieF.            Envoi mini-message
La fin du monde ?

Lundi 17 décembre, au téléphone :



Plus tard, devant la machine à café :



Mardi, je rappelle Isabelle :



Le mois dernier, Charlotte nous a invités pour son anniversaire, Laurent et moi. Il y avait aussi d’autres couples. Chansons paillardes et plaisanteries grivoises ont mis de l’ambiance, et nous avons même un peu flirté ; mais ensuite chacun est retourné sagement chez soi. Charlotte m’en a reparlé le lendemain :



J’avais trompé Laurent, six mois auparavant. Trompé n’est d’ailleurs pas le mot juste, puisqu’il était au courant. J’avais même failli le quitter, j’étais très amoureuse. Ça m’a passé ; je ne veux plus penser au type en question.


Caroline est une blonde qui joue les ingénues. Son copain Vincent, que j’ai rencontré plusieurs fois à la piscine, a les mains baladeuses. Il m’a même proposé de partager sa cabine un jour où Caro était absente pour une raison propre aux femmes une fois par mois. J’ai refusé. Il m’est arrivé de le regretter ensuite. Si bien que, pendant cette soirée de très improbable fin du monde, il peut se passer bien des choses…



—ooOoo—



L’interphone se fait entendre :



Il a pris son patois berrichon, signe qu’il est ravi. Il a toujours trouvé Isabelle très bandante, mais elle était amoureuse de Nicolas, un type pourtant bien désagréable. Le cœur a ses raisons. Enfin quand je dis le cœur, je me comprends.


Bises. Compliments d’usage.



Ils arrivent vite, en effet. Pizzas et rosé de Provence. Conversation sur l’imminence de la fin du monde. Personne n’y croit, bien sûr.



En riant, tout le monde m’aide à débarrasser la table pour que Laurent puisse y poser les deux valises. Isabelle prend un ton professionnel :



Charlotte le traite de cuistre, et une controverse s’engage : on prétend généralement qu’il s’agit du mamelon, mais certains pensent que ce serait plutôt le clitoris. Je donne mon avis :



Ils ne demandent qu’à m’obéir et nous quittent, les sous-vêtements à la main. Je ne suis pas sûre que Laurent tout seul aurait osé proposer de tenir compagnie à Charlotte. Ils disposent de cinq minutes… Je ressens une petite morsure de jalousie, quand même, mais aussi l’excitation de savoir que tout à l’heure je serai dans cette chambre avec un autre garçon que Laurent.


Isabelle propose d’autres dessous à Caroline, qui prétend qu’elle n’osera jamais les mettre, car trop racoleurs.



Il faut encore que j’intervienne. Si elle part ensuite en entraînant, indignée et jalouse, son Vincent déjà tout rouge, tant pis.



Caroline ne bouge pas : c’est gagné ! Isabelle sort de sa valise soutiens-gorge, tangas, slips et strings et nous les montre. Pour hommes, aussi : boxers, slips taille basse, strings ou simple poche de cuir souple. Et s’ouvre enfin la porte de ma chambre. Charlotte entre, bas noirs, mini bustier et string. Laurent la suit, les deux mains cachant son bas-ventre.



Tout le monde s’en doutait bien, qu’il bandait comme un taureau. Le gland dépasse !



Puis il s’approche de Charlotte et tâte son entrejambe :



Après quoi chacun reprend sa place.



Les lèvres pincées et la respiration un peu haletante, Isabelle fouille dans ses valises. Je ne peux pas m’empêcher de lui poser une question :



C’est en riant légèrement que je prononce ces paroles. Je plaisante, bien sûr. Enfin… quand je suis écartelée sur le lit, il m’arrive parfois d’espérer que Laurent ouvrira la porte à quelque inconnu…



Il choisit un boxer noir. Avant de m’accompagner, il regarde Caroline, comme pour solliciter une autorisation. Elle se contente de hausser les épaules et, ostensiblement, abaisse son regard sur le bas-ventre de Laurent qui bande encore, évidemment, et peut-être même plus fort en pensant que je vais passer cinq minutes avec Vincent. Je le connais, mon Laurent…


À peine arrivé dans la chambre, Vincent jette sur une chaise son pull-over, sa chemise et son jean. Pour enlever son slip, il me tourne le dos. Jolies fesses ! Je l’ai toujours trouvé très mignon, ce garçon.



Il ne bande qu’à peine, je suis déçue. Il vient derrière moi, me débarrasse de mon soutien-gorge que ses mains remplacent aussitôt sur mes seins, et colle son bas-ventre contre mes fesses.



Jupe et petite culotte tombent sur le sol. Puis il me fait face. Cette fois, il bande ferme. Il picore un peu la pointe de mes seins. Sa main droite cherche mon clitoris.



Il ne m’écoute pas. Le voilà à genoux, sa langue dans ma fente. Il lèche, suce mon clito, l’aspire. Je prends ses tempes entre mes paumes, je ne veux surtout pas qu’il s’arrête. Quel adorable garçon ! Je le sucerais bien ensuite pour le remercier mais un coup d’œil à ma montre m’indique que quatre minutes se sont déjà écoulées. Ô temps, tu aurais dû suspendre ton vol…



Caroline est en train de choisir un ensemble rouge. Elle regarde le bas-ventre de son compagnon, qui reprend sa place à côté d’elle.



Caroline et Julien vont dans la chambre. Isabelle nous montre un soutien-gorge demi seins Saint-Tropez, blanc, avec string et porte-jarretelles, collection Septième ciel, puis un autre carrément seins nus en nappa d’agneau, bretelles réglables.



On peut en effet. Ça m’arrive de temps à autre. Je me passe plus souvent de soutif, mais mes nichons sont petits. C’est pour cela qu’Isabelle me propose Seins nus, de Lolita :



Je ne me fais pas prier. Mes seins sont ainsi bien mis en valeur… Qu’est-ce qu’ils attendent, ces garçons, pour les sucer et même les pincer ? Laurent sait bien que j’adore ça. Il comprend mon désir et s’approche, se penche, suce et mordille.



Mon dieu que c’est agréable ! Malheureusement, c’est trop bref car Charlotte s’adresse très vite à Isabelle :



Elle ôte son bustier. Un peu tombants, quand même, ses gros nichons ! Elle s’harnache.



Les deux garçons m’abandonnent et se jettent sur elle. Je lui en veux… Mais, très vite, la porte s’ouvre ; Julien et Caroline reprennent leur place. Vincent délaisse le sein de Charlotte et questionne sa compagne :



Un ange passe et se rince l’œil car il ne s’agit sûrement pas de l’un des sonneurs de trompettes de l’Apocalypse ! Chacun a regagné sa place. Isabelle nous montre une tenue de Mère Noël :



Je prends une option sur cette tenue, mais je désire voir les nuisettes. Je me promets en effet d’en essayer une devant Julien, car pour l’instant il embrasse Charlotte. Caroline a posé sur le bas-ventre de Vincent une main de propriétaire. Laurent se rapproche de moi et caresse mes seins, encore humides de sa salive et de celle de Vincent. Les couples se reconstituent ! Il faut que ce ne soit que provisoire…


Il y a deux trousses de cuir beige au fond de la valise dans laquelle fouille Isabelle. Je lui demande ce qu’il y a dedans.



Elle vide une trousse sur la table.



Brillent les yeux de nos mecs ! Je sens qu’ils vont acheter ce truc… Il y a aussi, dans l’autre trousse qu’ouvre maintenant Isabelle, des menottes recouvertes de velours rouge ou noir et diverses pinces, avec ou sans chaînettes.



Il applique sur mes tétons déjà bien gonflés des pinces à chaînette d’acier. Je n’ai pas vraiment mal, mais un peu quand même : juste ce qu’il me faut. Comme les seins de Caroline peuvent très facilement sortir de son soutif demi push-up, Vincent gratifie ses tétons de deux autres pinces, dont l’une tombe aussitôt tellement elle ne serre pas fort. Isabelle montre à Vincent qu’une molette sert à les régler, car il faut bien qu’elles fassent un petit peu mal, quand même, explique-t-elle.



Je l’approuve :



Il prend la poche de cuir souple qui se contente d’enserrer les bourses. Le reste dépassera, comme il dépasse déjà du string ficelle décoré du serpent du paradis terrestre. Je le précède vers ma chambre.



Il jette sa poche de cuir souple sur une chaise, y ajoute la tenue de Mère Noël que je tenais dans ma main gauche et me serre si fort dans ses bras que les pinces de mes seins deviennent vraiment douloureuses. Sa main droite n’a eu aucune peine à écarter le triangle noir et rose du string, et son majeur est en moi, qui comprime mon clitoris. Décharge électrique ! Je vais jouir bêtement, là… Je me dégage :



Il est furieux ; son regard est méchant, lourd de haine ! Je n’aime pas ça…



J’ôte les pinces de mes seins et je les pose sur mon chevet. Mon string les y rejoint. Julien y ajoute le sien. Une goutte perle au bout de son membre qui va entrer en moi…



Il m’obéit. Me voici allongée sur mon lit, en soutien-gorge Seins nus de Lolita et porte-jarretelles Belle de nuit de Maison close… Pas de préliminaires ; Julien est tout de suite en moi. J’étais trempée de désir, de désir de lui, de désir des autres… Que c’est bon de le sentir aller et venir ! Pourvu qu’il ne jouisse pas trop vite, pourvu qu’il attende deux ou trois secondes, une dizaine peut-être…


Pendant les soubresauts de sa bite en moi, alors que son sperme se jette dans le latex, je griffe son dos et ses fesses, je soulève mon bas-ventre à la rencontre du sien, et je grogne mon contentement de femelle enfin satisfaite.


Il me demande ce qu’il doit faire du préservatif. Je lui montre la porte de la salle de bains. Il y va. Ça doit bien faire cinq minutes que nous avons quitté les autres ; il faudrait les rejoindre, mais je suis si bien, si bien…


Elle arrive donc plus tôt que prévu, la fin du monde ! Mais pas de Saint Pierre barbu, pas de démons non plus ; rien !… Ah si : des jeunes hommes nus, beaux comme des anges ; ce sont donc des anges, mais des anges au sexe érigé. Ils ont envie de moi ; et moi, attachée bras et jambes en croix, je suis tout à fait disposée à les laisser me faire l’amour, interminablement, tous autant qu’ils sont.


Ils me caressent sur tout le corps, de si douces caresses… L’un d’eux aspire mes tétons, des mains frôlent mes cuisses, de si nombreuses mains… Des lèvres prennent mes lèvres, une langue visite ma bouche… Où est Laurent ? Sans doute avec d’autres anges, car il y a des anges filles ; seule une fille peut me lécher comme on me lèche, aspirer mon clito comme on l’aspire, fouiller de la langue ma fente trempée…


Elle cesse soudain. D’autres mains me caressent. Mes tétons sont délicatement pincés, puis un peu tordus comme me le faisait Laurent. Un corps est sur moi, sans peser, car il s’appuie sur ses coudes et ses genoux, et il me baise très doucement, si doucement…


On chuchote autour de nous. On rit un peu. Ils s’amusent, les anges. Les va-et-vient du mien se font plus rapides, plus intenses. Je serre ce corps entre mes bras… Tiens, je croyais bien être attachée, pourtant ! Mais non, puisque mes cuisses enserrent ses hanches. Celui-ci me fait l’amour sans capote car je sens bien qu’il éjacule, déclenchant en moi un orgasme ravageur. Un ange peut tout se permettre ; je donnerai naissance à un chérubin, un angelot potelé comme ceux de la Chapelle Sixtine.


Un éclat de rire me réveille. La bouche de Laurent est tout contre la mienne, il me sourit, lui. Ce sont les autres qui rient.