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n° 15376Fiche technique14590 caractères14590
Temps de lecture estimé : 9 mn
06/01/13
Résumé:  Un jeune homme couche avec une mère de famille qui veut se venger de son mari qui l'a trompée.
Critères:  fh fplusag jeunes vengeance fellation cunnilingu pénétratio fsodo confession -vengeance -extraconj
Auteur : Seb      Envoi mini-message
Le plaisir après la déconvenue

Je me présente, je m’appelle Sébastien, j’ai 21 ans et je voulais raconter sur Revebebe comment j’ai couché de manière totalement inattendue avec la meilleure amie de ma mère.


Je suis à la fac et pour mes études, j’habite encore chez mes parents. Un après-midi, alors que je n’ai pas cours, je révise en avance mes partiels dans le salon, mon père est au bureau et ma mère est partie faire des courses tout l’après-midi. Lorsque la sonnette retentit, c’est tout naturellement que je vais ouvrir. C’est alors que je vois Anita, la meilleure amie de ma mère, en larmes sur le pas de la porte. Avant toute chose, laissez-moi vous présenter Anita. Rousse, la quarantaine passée, elle fait moins que son âge. Elle a une coupe au carré, de jolis yeux verts et une magnifique paire de seins que complète un fessier bien rebondi. Bref, la MILF comme on aimerait tous en rencontrer !


En cette journée, elle porte une robe marron sans manches et un sous-pull orange. Ses jambes sont gainées de nylon noir (ce n’est que plus tard que j’ai su qu’il s’agissait de bas) et elle porte de jolies bottes, marron elles aussi. Elle me demande si ma mère est là, je lui réponds que non mais, devant son état, je la fais rentrer. Nous nous asseyons dans le canapé et je reste muet quelques minutes, la regardant pleurer, ne sachant trop quoi faire. Puis je décide de crever l’abcès et lui demande ce qui la met dans un tel état. Entre deux sanglots, elle me lâche qu’elle vient d’apprendre que son mari la trompait. Elle venait pour parler avec ma mère et se faire consoler. Je ne sais trop quoi répondre et je me contente de passer mon bras autour de ses épaules pour la consoler. Sans que je lui demande, la tête sur ma poitrine, elle se met à tout me raconter, comment elle a eu des soupçons, les textos et les mails qu’elle a trouvés, jusqu’au string retrouvé dans sa propre chambre…


Pendant qu’elle me détaille ses malheurs, j’en profite pour la regarder de plus près et, à force, une belle érection se constitue dans mon pantalon. C’est alors qu’elle s’effondre complètement et vient poser sa tête sur mes cuisses et pleure de plus en plus fort. Cependant, en frottant légèrement son visage, elle se rend compte de mon état. Tout en continuant à pleurer, elle commence à me caresser le sexe à travers le tissu de mon jean. Je la laisse faire et au bout de quelques minutes, elle défait ma braguette et sort mon sexe tendu.



C’est la seule réponse qu’elle me fournit et elle commence à embrasser et branler mon sexe. Nous restons quelques minutes comme cela, sans dire un mot, puis elle prend ma queue en bouche. Rapidement, elle se met à dévorer mon sexe. J’ai l’impression qu’elle n’a pas eu de sexe en bouche depuis des mois. Je me contente de poser ma main sur ses fesses et de les caresser. Ma main va se glisser entre ses cuisses et fait remonter sa robe. Je découvre ainsi les bas cachés par cette robe, ce qui renforce mon excitation. J’atteins le tissu humide qui se révèle être un string. Elle reste presque impassible à mes caresses si ce n’est des sursauts quand mes doigts effleurent son clitoris. Elle ne relâche pas ses efforts, sa bouche va-et-vient très vite autour de mon engin et je sens rapidement monter la jouissance en moi. Je lui annonce mais elle continue consciencieusement à me sucer. Je me laisse donc aller et savoure pleinement cette fellation inattendue. Assez vite, je me déverse dans sa bouche mais elle continue inlassablement à me lécher et avale tout mon sperme. Une fois mon sexe nettoyé, elle se redresse et me regarde, l’air gênée.



Elle se relève et réajuste ses vêtements en faisant redescendre sa robe le long de ses cuisses. Je referme rapidement mon pantalon et la suis vers la porte d’entrée, sans dire un mot. Elle ouvre la porte et s’apprête à sortir. Cependant, elle reste immobile sur le pas de la porte. Puis elle se retourne vers moi et plante ses yeux dans les miens tout en refermant la porte :



Sans autre réponse, elle se pend à mon cou et m’embrasse avec force. Ma langue va à la rencontre de la sienne. Nous nous embrassons fougueusement pendant de longues minutes alors que mes mains caressent son corps. Alors que j’essaie de défaire le zip de sa robe, elle m’arrête et me murmure :



Je l’attrape par la main et l’entraîne avec moi. Je ferme la porte à clé et l’embrasse à nouveau. Elle me force à m’asseoir sur mon lit et reste debout devant moi. Elle défait lentement la fermeture éclair de sa robe et la fait glisser le long de ses jambes puis enlève son sous-pull. Les jambes légèrement écartées, les mains sur les hanches, elle n’est plus vêtue que de ses bas noirs et d’un ensemble string et soutien-gorge rouge. Je suis sous le charme et la regarde sans rien dire.



Je me relève et ôte mes vêtements aussi vite que possible.



Je me rassieds sur le bord du lit et Anita vient me chevaucher. Nous nous embrassons langoureusement et mes mains parcourent son dos, ses fesses, ses jambes. Je fais rapidement sauter l’attache de son soutien-gorge qui tombe sur mes cuisses. Je la repousse un peu en arrière et ma bouche va prendre possession de ses seins. Je joue avec les pointes de ses tétons durcis et lui arrache de petits cris de plaisirs.


Au bout d’un moment, elle se relève et fait glisser son string le long de ses hanches et de ses jambes. Je découvre son sexe relativement peu poilu, avec uniquement un peu de poils au-dessus, ce que l’on appelle vulgairement le ticket de métro. Une fois en tenue d’Ève, elle vient s’allonger sur le lit, les jambes largement écartées et me fixe :



Je ne me fais pas prier et viens placer ma bouche entre ses cuisses. Lentement, puis plus rapidement, je lèche son sexe déjà humide. Elle soupire sous mes assauts et m’encourage à continuer. Alternativement, je suce son clito et glisse ma langue entre ses lèvres. Ses gémissements se font de plus en plus poussés alors que mon sexe a retrouvé toute sa vigueur. Par moment, elle plaque ma tête violement contre elle puis me relâche. Sans discontinuer, je continue mon ouvrage pour la mener au plaisir. Au bout d’une dizaine de minutes, elle me demande d’arrêter et de m’allonger. Elle s’agenouille à côté de moi et, alors que je pensais qu’elle allait venir s’empaler sur moi, elle vient me chevaucher mais en posant son sexe sur mon visage.



Je continue donc à dévorer son minou alors que mes mains vont jouer alternativement avec ses cuisses, ses fesses et ses seins. Elle frotte son bassin contre mon visage qui est vite recouvert de sa mouille. Sa main finit par caresser mon ventre puis attrape mon sexe qu’elle branle lentement. Cela dure encore plusieurs minutes puis elle vient se placer au-dessus de mon sexe.



Bien évidemment, mon sexe entre sans problème et s’enfonce en entier en elle. Elle se met alors à s’agiter sur moi, fait coulisser mon sexe en elle comme bon lui semble, change de rythme selon son bon plaisir. Je la laisse faire, elle me considère comme un objet sexuel vivant. Elle prend mes mains, les balade sur son corps. Je la caresse selon ses sollicitations, ce qui semble la satisfaire. Ses soupirs se transforment progressivement en cris de moins en moins étouffés ; au bout d’un moment, ses mains viennent se poser sur ma poitrine et elle accélère franchement le rythme. Elle halète de plus en plus et finit par être secouée par un orgasme violent. Son corps entier tremble et je sens son vagin se contracter autour de mon sexe. Elle finit par s’écrouler sur moi pour reprendre son souffle. J’ai réussi à me retenir de jouir et reste fièrement dur en elle. Au bout de quelques minutes, elle se redresse et me fixe :



À ces mots, je la fais rouler sur le lit et me retrouve au-dessus d’elle. Je bouge en elle lentement, savourant ces moments alors qu’elle m’encourage par ses soupirs de plaisir. Quand je rentre au plus profond d’elle, ses doigts s’enfoncent dans mon dos. Puis je me retire et la fais se mettre sur le ventre. Alors qu’elle s’attend à être prise à quatre pattes, je la plaque sur le lit, maintenant ses bras en croix et ses jambes écartées. Mon sexe glisse entre ses cuisses et retrouve son fourreau brûlant. Je donne de grands coups de reins pour la prendre violement et elle crie à chacun de mes mouvements. On pourrait presque croire que je la viole si je ne sentais son sexe inondé par son plaisir. Au bout d’un moment, je la laisse se mettre en position de levrette et continue à la pénétrer. Je la tiens par les hanches ou par les seins puis mon index glisse vers son anus que je caresse lentement. Mon doigt va alternativement de son sexe vers sa rondelle ce qui me permet de bien lubrifier sa rosette et mon index coulisse maintenant dedans. En insistant, j’arrive à passer un deuxième doigt. Elle se retourne alors vers moi :



Je continue donc à bien la lubrifier avec sa mouille et quand elle s’estime prête, elle me le dit :



Je me retire de son vagin brûlant et place mon sexe sur son anus. Je pousse plusieurs fois mais je n’arrive pas à entrer. Elle prend alors mon sexe avec sa main et le guide alors que je pousse une fois de plus. J’arrive enfin à entrer en elle. Je vois bien qu’elle a mal mais me laisse continuer. Par de petits va-et-vient, je m’enfonce de plus en plus en elle. Alors que les deux tiers de mon sexe sont en elle, elle me demande de ne pas aller plus loin. Je m’assure qu’elle va bien et accélère un peu. Quelle sensation fabuleuse que l’étroitesse de son anus, après son vagin détendu par son plaisir !


Cependant, au bout d’un moment, elle me demande d’arrêter :



Un peu à regret, je me retire et regarde sa rondelle encore détendue se contracter. Je replonge dans son sexe dégoulinant et plonge au plus profond. Mes deux mains fermement ancrées sur ses hanches, je la pilonne violement. Elle crie à chacun de mes mouvements et finit par plonger sa tête dans la couette comme pour étouffer ses cris, les bras en croix sur le lit. Je la regarde ainsi offerte, sentant le plaisir monter en moi. Au bout de quelques minutes, elle est de nouveau secouée par un nouvel orgasme alors que je jouis également, me vidant dans son ventre.


J’ai continué à la limer pendant encore quelques secondes puis une fois mon sexe ramolli, je me suis retiré et me suis allongé à côté d’elle. En reprenant son souffle, elle est venue se blottir contre moi :



Toujours nu comme un ver, je l’ai regardée se rhabiller devant moi en espérant bien coucher avec elle à nouveau. Alors qu’elle s’apprêtait à sortir, j’ai sauté dans mon pantalon pour la raccompagner.

Devant la porte d’entrée, elle m’a embrassé sur la bouche en me murmurant :



Sur ces dernières paroles, elle a refermé la porte et est partie vers sa voiture.