| n° 15383 | Fiche technique | 10319 caractères | 10319Temps de lecture estimé : 7 mn | 08/01/13 |
| Résumé: J'ai fait la connaissance de Bruno via un site libertin. Nous avons beaucoup discuté par chat comme par mail, et je dois dire que j'étais quand même assez pressée de le rencontrer. | ||||
| Critères: fhh inconnu noculotte fmast intermast entreseins fellation pénétratio -couple+h | ||||
| Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message | ||||
Juste un petit récit sans prétention…
J’ai fait la connaissance de Bruno via un site libertin. Nous avons beaucoup discuté par chat comme par mail, et je dois dire que j’étais quand même assez pressée de le rencontrer.
À chaque fois que je rencontre un homme, une femme ou un couple pour la première fois, je désire que ce soit de manière plutôt informelle autour d’un verre, pour dialoguer en toute liberté, parce que les écrits sont quelquefois trompeurs…
Avec mon mari, nous nous sommes donné rendez-vous tous les trois dans un café. Nous avons bien discuté. Bruno est assez mignon, pas une gravure de mode, mais agréable à regarder. En plus, il a de l’humour et cela me plaît beaucoup. Apparemment, le courant passe bien, si bien que nous sommes allés à la pizzeria. Franchement, ce fut une excellente soirée, et ma foi, Bruno m’a laissé une très bonne impression !
En a-t-il été de même pour lui ?
La réponse me fut donnée le lendemain via MSN : je lui avais fait beaucoup d’effet ! Bon, peut-être que la tenue y était pour quelque chose : robe courte en laine moulante avec un très joli décolleté, cuissardes, le tout agrémenté de mon sourire charmeur (on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même, n’est-ce pas ?).
Durant cet échange, il a osé m’avouer diverses petites choses, comme quoi qu’il m’aurait volontiers tenue dans ses bras ou qu’il m’aurait donné un plus gros bisou de départ. Puis il a fini par demander :
Un petit blanc s’installe… Puis une réponse arrive :
Je pense que ce sera pour une autre fois, bientôt…
Très vite, nous sommes convenus d’une date pour se revoir. Comme convenu, le jour J, Bruno se présente à la maison à l’heure pile. Je l’accueille comme il se doit, un petit bisou sur les lèvres, puis il s’installe avec mon mari dans le salon ; je lui offre à boire, petite discussion qui porte sur tout et sur rien, l’atmosphère est très conviviale et détendue. Puis nous passons à table.
Comme toute bonne maîtresse de maison, je sers ces messieurs en restant concentrée sur ce que je fais, parce que, bien sûr, dès que je suis à côté d’eux, ces deux coquins ont souvent leurs mains occupées sous ma robe ! Visiblement, Bruno tient absolument à rattraper son retard !
Et comme je porte très, très rarement de petite culotte…
Voilà ; à présent, le repas est fini, ces messieurs m’ont félicitée pour mes délicieuses paupiettes. Il est l’heure du dessert, mais je crois comprendre que celui-ci ne sera pas vraiment culinaire…
Nous allons nous asseoir sur le canapé ; je suis à présent assise entre les deux hommes, et tout de suite Bruno se fait plus pressant ! Après tout, il n’est pas venu uniquement pour déguster mes paupiettes ! Il a les mains particulièrement baladeuses, idem pour les lèvres ; j’en éprouve de délicieux frissons ! Un fin sourire aux lèvres, mon mari me regarde ; dans ses yeux, je peux distinctement lire « Laisse-toi faire, ma belle salope », et cela m’excite énormément !
Bruno commence à me dévêtir, tout en me caressant. J’en fais de même pour lui, l’aidant à enlever ses derniers habits, puis je déshabille aussi mon mari ; et là, commence un ballet de caresses, de bisous, de frôlements. Mes seins sont léchés, aspirés, croqués des deux côtés, les cuisses bien écartées où des doigts se mélangent…
Excitée, attisée, désirée, je mouille déjà beaucoup !
Le bruit que font ces doigts en me fouillant, je ne sais pas comment expliquer, mais j’adore l’entendre ! La jouissance ne tarde pas à venir, rapide, intense, explosive !
Revenant peu à peu de cette première jouissance, j’ouvre les yeux et je vois sous mon nez deux tiges bien dressées ! Humm, je crois que je ne vais pas tarder à remettre ça ! Mais pas comme ces messieurs le croient…
Prenant leurs mains qui m’ont si bien caressée, je lèche leurs doigts encore dégoulinants de ma mouille, un doigt à la fois, doucement, délicatement, suavement… J’aime beaucoup faire cela, et je vois dans leurs yeux qu’eux aussi aiment.
Je me redresse, les lèvres luisantes :
Je jette un coussin au sol puis je me mets à genoux devant eux ; je prends délicatement leur tige. Je les décalotte tout doucement. Un coup de langue sur chacune, de petites succions, et puis je les enfonce dans ma bouche tour à tour afin de bien les savourer, les déguster, m’en imprégner. Je lèche leurs couilles toutes rondes, je les aspire doucement, je les gobe pour en éprouver le volume et la douceur. Je passe ma langue tout le long du pieu bien raide tout en les regardant bien dans les yeux, d’un air gourmand ! Je continue à lécher, aspirer, sucer ! J’entends des soupirs d’aise, des grognements de satisfaction. Je suis très contente de moi !
Je sens entre mes jambes que je suis à nouveau toute trempée ; j’arrête cette douce torture que j’inflige aux deux tiges prêtes à éclater.
Je me redresse, les regarde en passant ma main sur ma chatte, me masturbe un peu devant mes hommes puis, sans un mot, je leur présente mes doigts couverts de mouille ; ils se mettent à me les lécher : j’adore !
Oui, j’adore voir le pouvoir que je peux avoir sur des hommes, les exciter, les faire bander ! Mais il est temps de passer à la suite :
En un rien de temps, le canapé s’ouvre, s’aplatissant en lit. Grimpant dessus, je m’allonge sur le ventre, un coussin bien calé entre mon pubis et mon ventre, le cul en buse ; je me masturbe en remuant bien mes fesses, indiquant clairement que je désire être « consommée ». Mon mari se place devant moi et Bruno derrière ; une queue dans ma bouche, et une autre déjà dans ma chatte toute détrempée ! Bruno ne perd pas de temps ! Je sais qu’il avait hâte de me posséder : il le démontre sans problème !
Embrochée devant et derrière, comme une grosse cochonne sur un tournebroche !
Franchement, quelle image !
Mais, ça me plaît beaucoup, beaucoup !
J’adore me retrouver dans cette position, mon homme le sait très bien ; il aime m’entendre dire que je suis une salope, que j’aime être bien remplie, que j’en ai jamais assez ! Mais cette fois-ci, avec ma bouche pleine, c’est difficile de le crier sur tous les toits !
Tant pis, ce sera le monde du silence, ce soir !
Quelque temps après, après diverses sucettes et va-et-vient très agréables, ils échangent leur place : mon mari, se retrouvant derrière, en profite pour me mettre un doigt ou deux (je ne sais pas) dans ma rondelle déjà bien ouverte suite à l’excitation. Entre ces doigts dans mon cul, sa queue dans ma chatte et la tige de Bruno dans ma bouche, je ne peux pas me retenir plus longtemps ! Je me laisse complètement aller ! Je suis secouée de spasmes, une vague qui me balaie comme un vulgaire fétu de paille !
Oh, c’est si fort, si puissant que j’ai du mal à reprendre mon souffle !
Après qu’ils « eussent » (je sais causer) bien profité de mon corps, de ma bouche, de ma chatte, après avoir joui plusieurs fois dans diverses positions – dont certaines assez acrobatiques pour mes hommes mais très souvent ultra-savoureuses pour moi – je leur fais comprendre que je commence à être un peu fatiguée, et que c’est à eux de se laisser aller :
D’un commun accord, ils ont décidé de jouir tous les deux sur mes seins. Friponne, je prends leur queue du bout des doigts, chacune son tour entre mes seins tout doux et chauds, caressant doucement cette tige de chair avec mes hémisphères. Il n’a pas fallu attendre bien longtemps avant de les faire jouir, déversant leur semence chaude sur ma poitrine !
C’est si bon, ce sperme chaud et gluant !
J’ai pris mes seins et je les ai frottés l’un contre l’autre pour bien étaler leur sève partout sur ma peau, être bien luisante, puis j’ai trempé mes doigts dedans et je me suis mise à les lécher, gourmande, lentement, regardant bien mes hommes dans les yeux !
Puis, repus tous les trois, nous voici allongés pour faire un gros câlin, reprenant chacun nos esprits dans un silence apaisant.
Une bien belle soirée qui débute cette année 2013 !
J’espère qu’il y en aura d’autres !
Plein d’autres !
Bruno a promis de revenir ; il a dit qu’il avait passé une merveilleuse soirée !
Je suis sûre que c’était pour mes talents de cuisinière, pas vous ?
PS : Petit récit initialement rédigé par ma femme, puis arrangé et augmenté par mes soins.