n° 15385 | Fiche technique | 20336 caractères | 20336Temps de lecture estimé : 13 mn | 08/01/13 |
Résumé: Histoire d'un après-midi ordinaire dans un sauna de la région parisienne. | ||||
Critères: h hhh inconnu sauna exhib hmast intermast fellation hsodo -hhomo | ||||
Auteur : Jd (J'adore lire toutes ces histoires) |
Mardi après-midi. Je m’ennuie. J’ai envie. Envie de quoi ? J’ai envie de faire l’amour. Je me décide, direction les Bains M. à Vincennes. J’aime ce sauna. Il n’y a pas que des perdreaux de l’année mais je sais que je vais y trouver ce que je cherche en ce mardi après-midi ordinaire.
L’accueil est convivial. Il est tôt mais déjà certains habitués sont là. Bonjours discrets. Sourires entendus.
Je me déshabille rapidement. Je ne pas encore excité, mais je sens que ça ne va pas tarder. Je suis rarement déçu ici. Je me ceins de ma serviette et je pars faire un tour de reconnaissance. Il y a déjà quelques cabines occupées, portes ouvertes. Voilà un mec qui y fait la sieste. Ronflement discret mais il est visiblement dans les bras de Morphée. À côté un autre « bear » est assis sur la banquette, jambes écartées, queue à l’air. Il se caresse. Me fait un sourire, je lui réponds mais poursuis mon chemin. Un écran de télé, sur lequel deux hommes poilus et bardés de cuir sont en train de s’embrasser, capte l’attention d’un gars allongé sur la banquette de sa cabine mais qui se déhanche pour apercevoir l’écran. Il se masse la bite déjà de belle taille. Il ne fait pas attention à moi.
Je poursuis mon tour de reconnaissance et descends au sous-sol où se trouvent les backrooms. Dans l’une d’elle deux hommes mûrs encadrent un plus jeune et le caressent. Du moins je crois apercevoir cela avant de m’habituer à l’obscurité. En effet, ils en sont aux prémices. Je sens que je commence à être excité. Dans le petit passage qui sépare les deux backrooms, deux hommes d’une cinquantaine d’années m’observent. Nous sommes gênés. Effleurements. Mains qui traînent et s’attardent sur mes fesses. Je ressors du passage. Je sens que je vais pouvoir m’amuser cet après-midi.
Je remonte. Je croise un homme chauve entre deux âges. À peine poilu. Il me regarde. Je lui rends son regard. On se plaît. Je sens qu’il se retourne sur mon passage. Un peu plus loin, je jette un regard par-dessus mon épaule. Il a fait demi-tour et visiblement il me suit. Cool. Il a l’air d’un bon coup, du moins j’en ai le pressentiment.
Je me dirige vers le sauna. J’entrouvre la porte. Personne. Il est tôt. Je réserve la fin de mon tour d’horizon à mon endroit préféré : le hammam. Je m’aperçois que le chauve me regarde en ralentissant le pas, faisant mine de regarder la télé pendue au mur où les deux poilus bardés de cuir sont en train de se sucer réciproquement dans un langoureux 69. En fait, le chauve attend de voir où je me dirige. J’enlève ma serviette et la pose sur un portemanteau à l’entrée du hammam. C’est un moment qui m’excite celui où je révèle ma nudité aux yeux des autres. J’aime mon cul et j’ai la prétention de penser que les autres hommes aussi. Visiblement le chauve a l’air d’apprécier si je me fie à son regard qui se porte sur mes fesses lorsque je regarde par-dessus mon épaule en pénétrant dans le hammam.
L’atmosphère y est évidemment chaude et humide. En face de l’entrée un mec à poil, jambes écartées est assis sur le carrelage qui forme un banc. Il m’observe lorsque je passe devant lui. Du moins il observe ma bite et mon cul. Je pense qu’il ne serait pas capable de me reconnaître dans la rue. Je m’enfonce dans la partie des lieux que je préfère. Il y fait sombre, très chaud, très humide, il y a un brouillard persistant. C’est un espace étroit et sur trois côtés des banquettes en carrelage sont aménagées. Un homme, brun est déjà là. Je vais m’asseoir à l’autre bout de sa banquette, dans le coin. J’entends la porte du hammam s’ouvrir de l’autre côté du mur. Je ne suis pas surpris et même plutôt content de voir pénétrer dans la pièce embrumée, le mec chauve. Lui aussi s’est débarrassé de sa serviette et nu, il vient s’asseoir sur la banquette opposée en face de l’homme brun. Deux ou trois mètres nous séparent.
Je me mets à l’aise, c’est à dire que je mets un pied sur la banquette laissant l’autre au sol pour mieux exposer ma bite. Certes dans le brouillard on se distingue à peine, mais cette ambiance m’excite. C’est troublant, rassurant, excitant… J’adore. Très vite mon corps se couvre de sueur. Je me frotte les seins. Le brun me regarde. Sa main entre ses cuisses. Le chauve épie le brun assis en face de lui mais me jette des regards. Je pose ma main sur ma bite. Elle commence à réagir. Lentement je fais passer et repasser ma main sur mes seins puis sur mon ventre et enfin sur ma bite. Mine de rien. En regardant en l’air mais en sachant parfaitement que les deux autres m’épient. Dans ces circonstances et dans ces lieux c’est à celui qui ose le premier se caresser, exciter les autres. Le jeu est connu et cette fois c’est moi qui le mène. Je soulève ma bite qui commence à prendre une bonne consistance. Je la branle un peu. J’aperçois dans le brouillard que j’ai toute l’attention de mes voisins. Ils ne bougent pas mais ils me regardent. Seules leurs mains semblent occupées entre leurs jambes écartées.
Je me soupèse les couilles, pointe mon index dans la naissance de mes fesses sous mes couilles puis remonte vers ma bite et mon ventre, puis mes seins. Je suis trempé de sueur, il fait très chaud mais qu’importe. Le jeu dure quelques minutes. Je me dis qu’à un moment quelconque, l’un des deux va se décider. Je joue avec eux et ça m’excite. Je bande.
C’est à cet instant que j’entends la porte de l’autre côté. Un gars costaud, si je me fie à la silhouette que j’aperçois dans la brume, pénètre dans la pièce. Il s’arrête. Tente d’apercevoir les présents. Avance au milieu de l’espace. Il se tourne sur le côté et j’aperçois sa queue qui semble à demi érigée. Il s’approche de moi et me jauge du regard. Il est en effet grand, massif, peu de cheveux, il n’est plus très jeune mais vigoureux si je me fie à la taille de son sexe. L’espace de deux ou trois secondes, il ne se passe rien. Mais répondant au désir qui monte en moi et à l’envie d’exciter les deux autres, je n’hésite plus. Je me penche et viens poser mes lèvres sur son dard. Aussitôt il se rapproche et tend le ventre vers moi. Répondant à l’invite je gobe son gland et viens prendre ses couilles de ma main gauche. Elles sont grosses, pendantes. Son gland est à l’échelle et remplit bien ma bouche. J’aperçois le brun et le chauve qui se penchent pour apercevoir la scène. Le grand baraqué leur tourne le dos mais ils peuvent m’apercevoir me mettant à genoux devant lui pour me mettre plus à l’aise pour m’occuper de cette bite qui ne tarde pas à raidir. Ne répondant qu’à mon excitation, je commence à pomper le grand mec. Je sue, je suis trempé mais je bouffe une queue et là est mon plaisir ! Je caresse les fesses fermes du mec qui gémit. Je lui assène une belle pipe pendant quelques minutes. Répondant à son invite, lorsqu’il me saisit aux épaules, je me redresse et lui fais face. Nous bouches se rejoignent dans une pelle d’enfer. Nos langues virevoltent. Il me serre dans ses bras. De ma main droite je branle sa queue maintenant énorme et de ma main gauche je caresse son cul, insinuant le majeur dans sa raie. Cela exacerbe son baiser et nous nous embrassons à pleine bouche mêlant nos langues et nos salives. D’un coup d’œil je vois que le brun et le chauve, toujours assis, se sont rapprochés pour mieux voir et se branlent maintenant sans retenue et sans plus se cacher.
Le gars baraqué et moi chancelons dans les bras l’un de l’autre. Il lâche ma langue, rejette sa tête en arrière, me saisit le visage et me regardant dans les yeux, me traite de « salope ». J’adore. Il appuie sur mes épaules et instantanément je m’agenouille pour reprendre en bouche sa queue. Tout en recommençant à le pomper, je jette un regard sur ma gauche et vois le chauve qui est fasciné par le spectacle. Le baraqué me saisit la tête et imprime maintenant son rythme de plus en plus rapide. Je le pompe de plus en plus profond. Ma salive qui s’écoule des commissures de mes lèvres se mêle à la sueur. J’ai oublié le hammam et la chaleur maintenant suffocante. Je ne suis plus qu’une bouche au service d’une bite. La baraqué gémit de plus en plus fort et soudain je sens dans ma bouche s’écouler sa semence. Il pousse un cri et lâche tout son sperme que je ne peux qu’avaler. Cela dure quelques secondes avant qu’il se retire de mes lèvres. Maintenant c’est son jus qui se mêle à ma salive et à la sueur. Je me relève. Le baraqué m’adresse un sourire, pose ses lèvres au coin de ma bouche et me souffle un « Merci ! C’était super ! T ’es un super suceur ». Puis tourne le dos et quitte la pièce puis le hammam. Je reste debout. Du sperme s’écoulant de mes lèvres, je suis au comble de l’excitation. Le brun et le chauve aussi visiblement. Je sors de la pièce sachant parfaitement ce qui va se passer.
Sortant du hammam, je récupère ma serviette, m’essuie rapidement et je vois alors mes deux compères sortir aussi. Tout est clair. Je me dirige alors de l’autre côté du sauna vers les cabines. Je pénètre dans la première libre. J’ai eu mon petit succès en traversant les couloirs complètement nu, ma serviette à la main, trempé de sueur, et le cul offert aux regards et ma bite encore raidie par l’excitation de l’épisode qui vient de se dérouler. Je laisse la porte ouverte et quelques secondes plus tard le chauve et le brun pénètrent aussi dans la cabine étroite. Le brun veut verrouiller la porte. Je lui dis de la laisser entrouverte. Je les vois mieux maintenant. Le chauve est beau garçon, la quarantaine. J’avais bien vu tout à l’heure avant de me rendre au hammam. Il est peu poilu et commence à avoir du ventre. Le brun est plus typé et manifestement il a des origines maghrébines. Il est musclé, sans trop, une bonne trentaine, des yeux noirs et mal rasé. Terriblement sexy.
Nous ne nous attardons pas en présentations. Nous savons pourquoi nous sommes là. Ils se délestent de leur serviette et livrent à mes yeux leurs virilités encore triomphantes à la suite du spectacle que je viens de leur offrir. Je ne peux les laisser dans cet état et répondant à mon désir, je m’assois sur la banquette et saisis leurs queues. Le brun me dit :
Je m’empare de leurs bites et commence à les branler en les regardant tour à tour.
Je le gobe tout en continuant à caresser le chauve. La queue que j’ai en bouche est longue, épaisse, décalottée. Je m’en régale. De la main droite je branle cette virilité plantée dans ma bouche. Le chauve passe sa main dans mon dos et descend vers mes reins. Je l’aide en me soulevant pour permettre l’accès à ce qu’il veut. Je suis en train de me livrer aux désirs de deux mecs. J’adore cet instant où je sens que je vais me faire prendre par tous les trous. Je continue d’astiquer le brun qui gémit et susurre des mots incompréhensibles mais que je devine encourageants.
Le chauve me saisit les fesses. Les caresse.
Je me relève tourne le dos vers le brun et frotte mon cul contre sa queue dressée. J’ai envie d’embrasser le chauve et le saisissant aux épaules je l’attire et pose mes lèvres sur les siennes et nos langues se rejoignent dans un ballet infernal. Le brun se frotte contre moi. Je sens sa queue qui passe et repasse dans ma raie. Il me serre contre lui et nous sommes tous trois étroitement liés.
Un regard rapide sur le côté me prouve que j’ai eu raison de vouloir laisser la porte entrouverte. Dans l’encadrement, deux mecs, serviette écartée, queue en main sont en train de se masturber en nous regardant. Ça augmente encore mon plaisir, je redouble de vice dans le baiser que je donne au chauve et je remue le cul pour sentir encore mieux la queue du brun qui maintenant est en train de m’embrasser et me lécher le cou. Je deviens fou de désir.
Je me baisse et embouche sa queue déclenchant instantanément un gémissement de sa part. Derrière le brun profite de l’occasion et de mon cul ouvert par ma position, pour passer ses doigts dans ma raie. Je vois que de son autre main, il entretient son érection.
J’arrive peu à peu à ce que je voulais en venant dans ce sauna. Faire l’amour avec deux mecs, voire plus. Je reprends en bouche la bite du chauve qui, à l’instar du baraqué tout à l’heure, me prend la tête et imprime son propre rythme à ma pipe.
Derrière le brun commence à laper ma raie culière. Je râle de plaisir malgré le pilonnement de la queue dans ma bouche.
Un nouveau coup d’œil sur le côté me permet de voir que les deux voyeurs de tout à l’heure ont pénétré un peu plus dans la cabine, peut-être poussés par un troisième larron qui derrière eux, semble s’astiquer aussi la bite.
Je suis au comble du plaisir. Je fais asseoir le chauve sur la banquette avant de le reprendre en bouche. Le brun me titille l’anus du bout de sa langue.
Au comble de l’excitation, la vulgarité de nos propos en rajoute à notre désir commun.
Tout en pompant bien à fond la bite du chauve, je lui caresse les testicules. J’adore m’occuper des couilles des mecs. J’aime les leur gober en caressant leur sexe.
J’entends le bruit caractéristique de l’emballage de préservatif qu’on déchire. Cela m’excite, je sens que le moment est proche où je vais arriver au plaisir secret de beaucoup d’hommes : se faire sodomiser.
Le brun continue d’humidifier mon trou en crachant dans ma raie. Je me redresse en quête de baiser. Je roule une pelle d’enfer au chauve avant de me tourner vers le brun et de lui offrir à son tour mes lèvres. Il embrasse bien. Sa langue est fureteuse. J’adore. Le chauve offre à son tour sa bouche à ma bite qui est au maximum de son érection.
Laissant la bouche du brun je lui dis :
À nouveau je me penche et reprends en bouche le sexe du chauve qui s’installe confortablement pour profiter de ma caresse de plus en plus profonde.
Derrière moi le brun a écarté au maximum mes jambes pour permettre une meilleure introduction. Je sens son gland se poser à l’entrée de mon anus qui palpite d’envie. J’aime ce moment où le cœur bat plus vite dans l’attente de cette délicieuse douleur, prémices aux plus profonds plaisirs. Lentement, comme il me l’avait promis, le brun me pénètre. Je stoppe ma fellation le temps qu’il entre suffisamment pour que je puisse de nouveau me consacrer à nos plaisirs réciproques.
Le chauve qui a certainement de l’expérience, me comprend et me caresse gentiment les joues.
Lentement je sens le sexe me pénétrer. Je recule pour aider et soudain il est en moi. Le brun s’arrête. Son sexe s’installe dans mon antre. Je reprends alors la fellation et adapte le rythme de mon pompage à celui du brun qui derrière moi commence lentement à me limer.
Je gémis en réponse. Et le chauve se livre complètement à ma caresse buccale. Je lime sa queue de ma bouche comme le brun lime mes fesses de sa bite. Nous sommes en complète osmose tous les trois et oublions la présence de nos trois voyeurs. Pas très longtemps, car l’un d’entre eux n’en pouvant plus vient éjaculer sur mon épaule en poussant des cris qui excitent encore plus mes deux compères. Le chauve tend son corps comme un arc et me pénètre complètement la bouche entraînant un haut-le-cœur. Je ne m’attendais pas à la soudaineté de son geste. Derrière le brun accélère ses pénétrations. Soudain le chauve s’écrie :
Et je sens son sperme envahir ma bouche en grosse salves. Je retire mon visage mais sans délaisser son gland qui finit de se vider en moi. Le brun accélère encore. Je saisis ses couilles en passant une main sous moi.
Le chauve se retire alors de ma bouche et souffle fort. Il est en sueur. Je tourne alors la tête vers le brun.
Lentement il se retire. Immédiatement je m’accroupis et saisis son sexe encore encapuchonné dans le préservatif. C’est humide. Je mouille du cul. Je n’y crois pas. Je retire le plastique et saisissant sa hampe de ma main, je gobe son gland énorme. J’essaie d’enrouler sa turgescence de ma langue. Je suis au comble de l’excitation. Le brun gémit et m’encourage à le pomper en prenant mes cheveux. Je me dis que cette énorme bite habitait mes fesses il y a encore quelques minutes. D’un doigt, je vais inspecter mon anus que je sens béant, ouvert, humide, offert. Répondant à une impulsion soudaine et irraisonnée, je me relève et tout en maintenant le gland entre mes lèvres je tends mes fesses vers un des voyeurs encore présents. Surpris par cette réaction inattendue de ma part, il met une seconde avant de se décider à investir à son tour mon anus préparé par le brun. D’un « han », il me pénètre. Plus petit que le conquérant précédant, sa bite n’a aucun mal à me pénétrer entièrement. Il s’enfonce et ses couilles viennent battre mes fesses alors qu’il me saisit par les hanches.
Cette réaction de ma part achève mon brun qui repoussant ma main, saisit sa bite et après trois ou quatre mouvements rapides, éjacule à son tour dans ma bouche grande ouverte. Le sperme jaillit au fond de ma gorge puis sur mon menton. Il n’en finit plus de se vider en poussant des cris de plaisir intenses. Derrière moi le voyeur n’en peut plus. Ayant constaté mes préférences, et certainement répondant à ses propres envies, il se retire de mon cul et vient à son tour se libérer dans ma bouche.
De ma main droite je saisis mon sexe et me masturbant je jouis à mon tour. Le troisième voyeur prend lui aussi son plaisir avant de s’esquiver en ramenant sa serviette sur son sexe encore érigé.
Épuisé je m’assois sur la banquette à côté du chauve qui devant autant de déferlement de plaisir a repris de la vigueur. Il se tourne vers moi et m’embrasse faisant abstraction du sperme qui reste sur mes lèvres, mon menton, mes joues. Il y a du remerciement dans ce baiser. Le dernier profiteur de mes fesses s’est esquivé lui aussi. Le brun à son tour me remercie.
Quel moment de bonheur.
Quel après-midi de plaisir.
Je suis adepte parfois de ce genre de distractions aux Bains M. à Vincennes. Peut-être un jour, lecteur, te rencontrerai-je ? Qui sait ?