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n° 15391Fiche technique11521 caractères11521
Temps de lecture estimé : 8 mn
12/01/13
Résumé:  Une soirée entre amis qui évolue...
Critères:  ffh copains strip photofilm jeu -couple+f -jeux
Auteur : Le commissaire            Envoi mini-message
Une soirée pleine de surprises

Je me présente : je suis Morgane, mariée à Claude depuis 10 ans et mère de deux adorables enfants. J’ai 38 ans et mon mari 39. Ce soir-là, mon mari et moi recevions Patty, une amie, et son nouveau conjoint Frank à la maison. Elle, brune, 41 ans, plutôt mignonne, était mon amie depuis la fac. Elle venait de divorcer et nous rencontrions son nouveau copain pour la première fois. Lui, un peu plus jeune qu’elle, assez grand et d’allure sportive, était très souriant, et tout de suite le courant passa entre nous.


L’apéritif s’éternisa un peu et c’est déjà un peu touchés que nous sommes passés à table. L’ambiance était excellente et tout le monde était très détendu. Le repas fut comme l’apéritif : assez arrosé.


Nos hôtes du soir avaient prévu de rester dormir, et donc tout le monde s’était un peu laissé aller… Personne n’était pressé d’aller se coucher et nous passâmes au salon pour un petit digestif. Mon mari proposa de sortir un jeu de cartes et de faire un petit poker. C’était depuis peu devenu un petit rituel avec certains amis. Frank proposa immédiatement de pimenter la partie avec des gages style strip-poker. Mon mari fut tout de suite de son avis ; de mon côté, je n’étais pas très emballée à l’idée de me dévêtir devant nos amis, car je suis d’un naturel assez pudique et réservé. Patty, elle, avait l’air de trouver l’idée assez rigolote et se rangea rapidement du côté des hommes ; j’étais piégée, et si je ne voulais pas passer pour la coincée de la soirée, je n’avais d’autre choix que d’accepter.


Le jeu démarra et, pendant que les verres continuaient de se vider à un bon rythme, les premiers vêtements commencèrent à arriver au sol… Rapidement, mon mari – qui commençait à en tenir une bonne – n’arriva plus à se concentrer et suivre la partie. Il était déjà en caleçon alors que je n’avais ôté que mon gilet ; Patty, elle, était en soutif et Frank n’avait enlevé que sa chemise. Il se leva et annonça qu’il allait se coucher ; sage décision : il était temps s’il ne voulait pas finir totalement nu… La partie reprit et Patty me fit un petit clin d’œil. J’en compris immédiatement la signification : nous deux contre Frank…


Il ne se rendit compte de notre alliance que trois tours plus tard : nous n’avions rien enlevé de plus ; mais à lui, il ne restait que son boxer. Il nous annonça qu’il préférait à son tour aller se coucher. Nous objectâmes immédiatement et Patty lui annonça que s’il ne voulait pas dormir sur la béquille pendant une semaine, il avait intérêt à se rasseoir. Il se rassit mais ne voulut plus jouer au poker, nous traitant de vilaines tricheuses. Il proposa de passer à un autre jeu où nous ne pourrions pas tricher. Comme il y avait un jeu de fléchettes au salon, il proposa de lancer chacun notre tour les trois fléchettes et de comptabiliser les points. Le perdant ôterait un vêtement.


Là, ce n’était plus du tout la même histoire : avec tout l’alcool ingurgité, c’était déjà un miracle quand je touchais la cible… Heureusement pour moi, mon amie ne s’en tirait guère mieux. Frank, lui, du coup jubilait en nous voyant nous effeuiller à tour de rôle. La prochaine partie était capitale, comme tout le monde était déjà en sous-vêtements, quelqu’un devrait forcément dévoiler une partie de son corps qu’on ne dévoile pas forcément devant tout le monde !


Et ce fut moi. Avec un total de 7 points en 3 fléchettes, je ne risquais pas de l’emporter… J’hésitais un peu, et du coup ce fut Patty qui passa les mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge, avant de l’enlever et de libérer mes jolis seins. Frank n’en perdait pas une miette ; il sortit son portable et voulu tirer une photo, mais j’eus le temps de me retourner avant qu’il n’appuie sur le déclencheur. Je lui ordonnai de ranger son appareil s’il voulait qu’on continue la partie.


Pour la partie suivante, ce fut à Patty de retirer un vêtement. Je m’approchai d’elle ; elle comprit immédiatement mes intentions et me laissa à mon tour lui libérer la poitrine. La partie reprit. Je m’apprêtais à lancer ma fléchette quand un flash se déclencha… Patty, toute fière d’elle, venait d’immortaliser le moment où, seins nus, je lançais une fléchette dans mon salon avec Frank à moins de 50 cm de moi… Bravo, la bonne copine ! Néanmoins, je ne m’offusquai pas et lui promis de lui rendre la monnaie de sa pièce. Et, à la grande surprise, ce fut Frank qui réalisa le plus petit score. Patty s’approcha de lui par derrière, et d’un coup sec lui baissa le boxer jusqu’aux chevilles. Par réflexe, il posa ses mains pour cacher son sexe. Nous ne l’entendions pas ainsi et vînmes sur les côtés pour lui écarter les bras. Son sexe légèrement enflé témoignait de son excitation, sans aucun doute due à nos deux poitrines nues à ses côtés. Il ne faisait pas trop le fanfaron, mais voulait que l’on poursuive la partie afin – dit-il – de ne pas être le seul dindon de la soirée.


Nous acceptâmes, fair-play, de continuer à jouer (et aussi sans doute un peu excitées par la situation…). Mais avant tout, je voulais immortaliser le moment : je saisis discrètement l’appareil photo et pris Frank dans le plus simple appareil. Il s’offusqua pour la forme, mais je sentais que ça l’amusait beaucoup. Il commença du coup à mimer des poses de modèle photo à la manière d’un culturiste. C’était très drôle, et nous l’encouragions à continuer pendant que je le mitraillais. Il s’approcha de Patty, lui demanda de se courber et vint se placer collé à ses fesses. Je continuais d’immortaliser les poses de plus en plus suggestives et érotiques. Malgré que Patty portât son tanga, c’était très réaliste. Patty se décolla de lui et vint me prendre l’appareil des mains.



Je jouai le jeu et me courbai sur la table de la salle à manger. Frank se colla à moi ; je sentais son sexe maintenant bien dur collé à mes fesses. Il me saisit par la taille et allait et venait contre mes fesses, simulant la pénétration. C’était très excitant et je sentis mon sexe s’humidifier.


Alors il me retourna fermement et me fit agenouiller devant lui ; j’avais son sexe bandé à quelques centimètres de mon visage. Je continuai à jouer le jeu et vins le cacher en le collant contre ma joue. Patty, de l’autre côté, mitraillait cette simulation de gorge profonde. Mais Frank semblait en vouloir plus : doucement, il se recula et vint coller son membre sur mes lèvres. Je l’embrassai délicatement avant de me relever. Patty n’avait pas raté une miette du spectacle. Elle s’approcha de nous et fit défiler les images sur l’écran : c’était très beau, très érotique, et pas du tout vulgaire. Même l’image de mes lèvres posées sur le sexe de son homme n’était pas du tout vulgaire, mais très sensuelle.



J’acceptai avec joie : je n’avais pas passé une soirée aussi excitante depuis bien longtemps ! Mais avant tout, j’avais besoin d’un petit remontant. Frank à son tour se saisit de l’appareil ; je vins me coller à Patty et nous approchâmes doucement nos lèvres pour nous embrasser. C’était très doux et très sensuel ; je sentais sa poitrine contre la mienne. Nous étions dans un état plus que second et n’arrivions plus à nous contrôler. Patty prit de nouveau l’initiative en glissant ses mains dans mon petit slip, directement sur mes fesses. En me tournant vers Frank, je vis qu’il bandait maintenant fortement. Pour l’exciter un peu plus, je cambrai bien les reins avant de glisser ma main dans le tanga de Patty, mais sur le devant, directement au contact de son petit minou. Frank continuait de mitrailler cette scène très érotique. Doucement, je continuai mon exploration et glissai un doigt entre les lèvres humides de ma copine. Elle commençait à gémir et glissa sa langue dans ma bouche ; je l’acceptai sans hésitation et sortis doucement la mienne pour lui rendre son profond baiser.


C’était de plus en plus chaud ; nous nous écartâmes l’une de l’autre et Patty se leva à son tour pour remplacer Frank, qui sembla ravi de prendre place à mes côtés. Patty me demanda de m’appuyer au fond du canapé tandis que Frank se glisserait entre mes cuisses pour simuler un cunnilingus : ça devenait carrément hard, et je lui en fis la remarque. Elle me répondit qu’avec mon dernier rempart je ne risquais pas grand-chose, et que ça allait être uniquement érotique et « soft ».


Je n’étais pas dupe que la situation était en train de m’échapper, mais j’étais tellement excitée que je m’exécutai et lui obéis. Frank se glissa entre mes cuisses et, doucement, approcha sa bouche de mon entrecuisse. Je sentais mon cœur battre de plus en plus fort dans ma poitrine. Il avait posé ses mains sur mes hanches et m’attirait contre lui. Je sentis qu’il sortait sa langue et me fouillait au travers de la fine étoffe. Patty ne ratait du rien du spectacle et continuait de mitrailler la scène.


Doucement, je descendis ma main entre mes cuisses, au contact des lèvres de Frank. J’écartai le fin tissu afin de sentir la langue de Frank directement sur mon jardin secret. Sa langue s’immisçait maintenant entre mes lèvres intimes et il aspirait délicatement mon clitoris. C’était vraiment très bon ; je n’étais pas loin de la jouissance. Doucement, il remonta les mains le long de mon corps et vint me caresser les seins, titillant délicatement mes tétons. C’en était trop ; je me cabrai d’un coup : je venais de jouir sous ses caresses. Il se recula et Patty tira une dernière photo de moi, les jambes ouvertes et la culotte écartée sur le côté pour dévoiler mon intimité.


Frank s’était relevé et son sexe était dressé au maximum. Patty posa l’appareil photo et se cala à lui par derrière. Elle passa sa main sur le devant et lui saisit le sexe afin de débuter une lente masturbation. Je m’étais rassise au bord du fauteuil et les regardais. Patty approcha Frank de moi et il se glissa entre mes cuisses. Patty dirigea sa bite vers ma bouche et la glissa entre mes lèvres. Je débutai une douce fellation tandis que Patty lui caressait les bourses. Ce traitement conjugué sur son sexe lui fit rapidement perdre tout contrôle. D’un coup, je le sentis se raidir et il éjacula vigoureusement dans ma bouche. Je continuai doucement à le sucer ; il commençait à perdre de sa vigueur. Il se recula et se baissa pour m’embrasser.


Patty venait de m’offrir un très beau cadeau ; mais maintenant, elle voulait son homme pour elle seule. Elle le tira par la main afin de rejoindre leur chambre. La nuit allait être agitée…


Je regagnai ma chambre et me glissai sous les draps. Mon mari dormait, mais je voulais le sentir en moi. Je me saisis de son sexe afin de lui redonner vie ; rapidement, il réagit à mes caresses : notre nuit, à nous aussi, allait être très agitée…